Karine Fête Ses Quarante Ans

Je continue à vivre des moments merveilleux avec mes partenaires, mâles ou femelles.
Je suce, je lèche, je baise , j'encule, j'embrasse, je me fait pomper, bouffer les couilles, brouter le cul.
Je suis un salop fini qui aime les chattes, les queues, les fions.
Mais de tous mes partenaires, c'est Karine ma préférée. Elle est super belle, et hyper salope, aussi salope que ce putain de JC.
Elle est de plus en plus bi, et aime les femmes autant que les hommes. On continue à baiser régulièrement à plusieurs, au bureau avec Fatima, ou les weekend avec nos divers partenaires.
Ce n'est pas suffisant pour la satisfaire, et elle m'invite de plus en plus souvent chez elle pour s'envoyer en l'air.
Après une de nos très chaudes baises, elle me fait une proposition intéressée.
Elle me parle alors de sa voisine de palier, Nathalie. Elles sont devenues amies, intimes, et s'invitent chez l'une ou chez l'autre pour discuter en toute liberté. Elles abordent tous les sujets, dont le sexe, sans tabous. Karine lui avoue sa bisexualité, et ses orgies. Nathalie lui avoue son manque d'amour. Elle a 43 ans, et s'est faite larguée par son mec pour une jeune pétasse. Elle ne veut plus s'attacher à un homme de peur d'être déçue, mais accepte toutes les occasions de s'en faire un.
Elle a un visage quelconque, mais Karine lui devine un corps de rêve. Elle a envie d'elle mais n'a jamais osé lui en parler, de craindre de perdre son amitié. Elle s'est fait alors son petit plan.
Elle va bientôt avoir quarante ans, et veut les fêter au restaurant. Elle invite des amies, seules ou avec leur conjoint, Nathalie et moi. Elle lui a parlé de moi, et assuré que je répondrais à ses avances. Je serais le seul mâle libre, et elle ne peut passer à côté.
Karine espère que je la persuade à finir la soirée, et la nuit, tous les trois. Elle a prévue de prendre sa voiture et de nous emmener tous les deux, elle en tant que voisine de palier, moi pour me permettre de boire.


Le soir venue je sonne chez ma chérie. Elle me fait entrer et me présente Nathalie. Elle me plait au premier regard, bien faite, avec un teeshirt moulant et une jupe courte pour la mettre en valeur.
On prend un verre, non alcoolisé pour notre chauffeur, puis on y va.
On est une vingtaine, on a droit à une salle pour nous, avec un apéro alléchant dressé sur une grande table. Je ne connais personne, Nathalie non plus, et tout naturellement on reste ensemble. Il y a un punch délicieux, et je me charge de bien me servir, sans oublier ma compagne. On parle de chose et autre, et elle me fait son numéro de charme, de plus en plus irrésistible au fur et à mesure que l'on boit. Il est temps de passer à table.
Je suis en face d'elle. Elle allonge ses jambes et je lui fais du pied. Je m'excuse, elle les replie un instant, puis aussitôt me refait du pied, et insiste. C'est l'été, et je ne porte pas de chaussettes. Je sors une chaussure, et caresse sa jambe nue. Elle me laisse faire. Je remonte jusqu'au genou, puis avance entre ses cuisses. Elle les ouvre pour me faciliter le passage, et je progresse jusqu'à leur jonction. Je lui masse la chatte à travers le tissu qui devient chaud et humide. On mange et on discute comme si de rien n'était, mais son visage me dit combien elle apprécie.
Soudainement elle se lève de table, et me dis qu'elle en a pour une minute. Elle revient et son pied m'invite à reprendre notre petit jeu. Je suis à nouveau dans la chaleur de son entre cuisses.
La salope. Elle a enlevé sa culotte, et s'est avancée au bord de la chaise. Sa chatte entièrement rasée est offerte, ouverte, à mes orteils. Je caresse doucement sa fente mouillée, mais pas suffisamment à son goût. Elle s'essuie à sa serviette, puis sous prétexte de la remettre sur ses genoux, elle s'empare de mon pied et en deux trois mouvements me fait la pénétrer de mes doigts. Je n'hésite plus à la fouiller, et je le vois se mordre les lèvres pour ne pas crier son plaisir.
Je me retire, et discrètement elle me fait comprendre de remettre ça.
On en est au café, et depuis l'entrée j'ai dû la masturber près de deux heures.
On sort du resto, et on discute sur le parking pour savoir comment finir la soirée. Karine veut aller en boîte, et la majorité de ses invités est ok.
Notre chauffeur nous reprend. Comme à l'aller je monte derrière, et Nathalie qui était devant, vient à côté de moi en demandant à son amie si ça ne la gêne pas. Elle démarre. A peine parti, ma voisine se colle à moi et cherche ma bouche que je lui offre sans hésiter. On échange un long baiser chaleureux, tandis que sa main me caresse à travers le pantalon puis, me sentant bander, essaie d'ouvrir ma braguette :
- A quoi tu joues?
- J'ai envie de sucer.
- Mais on est en voiture!
- Et alors, il fait presque nuit, personne nous voit.
- C'est pas ça, mais je ne suis pas sûr de me retenir.
- J'espère bien. Je veux te pomper à fonds, et tout avaler. On n'a pas eu de digestif.
J'arrête de discuter et baisse mon froc et slip pour libérer mon manche qui bande mou. Elle s'en empare à pleine main et me branle pour me faire raidir :
- Oh, elle est belle ta queue. Laisse moi faire et laisse toi aller, et surtout ne te retient pas.
- Tu es quand même une belle petite salope.
- Comme tu les aimes. Je suis aussi salope que Karine.
- Comment ça, je ne comprends pas.
- Te fatigues pas. Je sais tout de vous deux, mais ce soir tu es à moi.
Elle cesse de parler et me prend en bouche. Elle est en manque, affamée, et je dois me forcer à penser à autre chose pour ne pas jouir trop vite. Karine nous prévient qu'il reste cinq minutes avant d'arriver et je lâche tout. Je lui couvre la langue, lui tapisse le palais, lui noie la luette. Elle ne bronche pas, continue à sucer et avale tout. Je range ma queue, et lui roule une pelle qu'elle n'osait me demander.
On est en boîte, une boîte un peu rétro où on alterne les danses modernes auxquelles je ne comprend rien, et les danses de mon temps qui permettaient des rapprochements.
Il y a une série de slow et on est collé l'un à l'autre. Je bande, elle sent ma grosseur presser son ventre, et elle m'invite à la suivre aux toilettes. Je la prend vite fait en levrette, lime copieusement son huître brulante et détrempée, puis la retourne pour finir dans sa bouche. Elle avale à nouveau, me nettoie, et on repart.
C'est une danse moderne, et on s'assoit sur un canapé. Karine est sur la piste, hyper belle, désirable, et je la mâte sans discrétion. Nathalie semble jalouse, me fait une petite remarque, et il ne faut pas que je manque l'occasion. Je lui dis que j'ai Karine dans la peau et que j'espère bien me la faire cette nuit. Elle m'imaginait déjà dans son lit, et alors que l'on se connait à peine on commence une dispute comme de vieux amants. Je finis par la persuader que l'idéal serait une partie à trois. Elle reconnait que sa voisine et amie est magnifique, et qu'il lui est déjà arrivé d'avoir des pensées coquines pour elle. Elle est d'accord mais se demande si Karine qui ne lui a jamais fait de propositions sera partante.
Je lui dit que je m'en charge, et en parle à notre amie commune qui mouille d'avance. C'est tout ce qu'elle espérait et l'affaire est entendue.
La boite ferme et elle nous ramène. Nathalie est derrière avec moi, elle m'a sucé à l'aller et je la lèche au retour. Elle n'a pas la chatte aussi volumineuse que la putain de choune de ma salope de Karine, mais sa cyprine est aussi délicieuse et abondante.
On arrive chez notre hôtesse. On est dans sa chambre, je m'allonge nu sur le lit, la queue molle et inerte, et les invite à me sucer. Elles se partagent mon asticot qui très vite prend de l'ampleur et de la raideur. Elles s'activent sur mon manche, leur bouches se rencontrent, se soudent, s'aiment. Elles me montent au septième ciel, me font éjaculer et se partagent mon offrande. Puis elles s'abandonnent dans un très long et très chaud baiser, à faire pâlir les anales du cinéma érotique.
Je reste comme un con avec ma queue recroquevillée et sais qu'il est l'heure de me casser.
Je me rhabille, et elle ne font rien pour me retenir. De toute façon je ne suis plus en état de les satisfaire. J'embrasse Nathalie et on se promet de se revoir. Karine me raccompagne à la porte, me roule une chaude pelle, et me remercie pour avoir permis sa rencontre avec sa voisine.
Je rentre chez moi pour dormir, alors que je leur suppose une nuit blanche à s'aimer entres salopes.

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