Laurette
Depuis toujours nous sommes copains, presque des frères. Laurent habite juste en face de chez moi, dans une villa à peu de chose près comme le mienne. Dès que nous avons pu nous déplacer seuls, nous avons commencé à nous fréquenter. Nous partagions les même jeux, les même engueulades, les même fessées. Nous trouvions toujours le moyen de faire les mêmes c
.s. Tout allait bien jusquau jour où en grandissant nous nous sommes intéressés aux filles. Nous avions sans doute vers les 17 ans. Pour nous les filles étaient des êtres à parts : comment elles sont faites, pourquoi elles se moquent toujours des garçons quand elles sont en groupe et baisse la tête quand elles sont seulee. Nous faisions une exception et une seule: Laurent avait une sur qui, parce que nous la connaissions était à part. Elle avait 16 ans à lépoque. Je la trouvais jolie et gentille. Pour Laurent elle était une emmerdeuse. Je pense quil devait y avoir un peu de jalousie entre Laurent et Laurette.
Ma faiblesse vis-à-vis de Laurette nentamait jamais nos rapports avec son frères. Nous faisions les même bêtises que ceux de notre âge.
Noua étions de bons élèves, sauf que par le hasard des affectations académiques nous nallions plus dans le même lycée. Nous nous fréquentions un peu moins. Par contre je voyais Laurette plus souvent. Juste avant de passer le bac, je me trouvais isolé avec Laurette. Je ne pouvais mempêcher de lembrasser, dabord comme une copine et ensuite sur la bouche, comme au cinéma. Jétais devenu presque un homme, alors quelle devenait femme. Nous étions très serrés, jétais sur le point de la caresser quand elle me le défendait pour je ne sais quelle raison. Certainement parce que je commençais à bander.
Je partais ensuite pour la fac sans pour autant labandonner. Nous avions la chance dhabiter près de la fac. Nous nous voyons souvent avec Laurent. Nos bêtises devenaient dun autre acabit. Nous cherchions les filles pour simplement nous soulager les couilles.
Pour moi, elle métait destinée. Nous allions en fac, tous les matins en voiture, cadeau de mes parents. Plusieurs fois nous étions seuls avec Laurette. Jen profitais pour lui parler tendrement, jusquau jour où jai arrêté la voiture simplement pour lembrasser. Elle répondant à mes baisers. Nos langues étaient de la partie. Je nallais pas plus loin. Sauf le jour où jai osé lui posé une main sur son genoux. Elle me regardait sans rien dire, ni rien faire pour que ma main sorte de là où elle était. Jen profitais pour la remonter un peu plus. Elle ma arrêté quand jarrivais trop haut à la lisière de sa culotte. Je la sentais hésitante, elle étais prête à céder. Dun seul coup elle écartait ses cuisses. Je montais cette fois au-delà de sa culotte pour passer ma main dessous. Elle me laissait faire en regardant ma bouche. Le message était des plus clair : embrasses moi et continues. Jai pu trouver, malgré linconfort dune voiture, son petit bouton. Elle se cambrai pour soffrir, jai mis un bon moment avant de la faire jouir. Dès cet instant elle ma demandé de lui mettre mes doigts.
Pratiquement quand nous étions seuls, je la branlais. Je commençais moi aussi à vouloir sa main sur ma bite. Un jour quand je le pelotais je lui faisait remarquer la grosseur sur mon pantalon. Elle nosait pas venir me toucher à cet endroit là. Elle savait bien ce qui sy cachait.
Un samedi après midi nous nous sommes libérés pour faire autre chose que des séances de touche pipi. Un copain nous prêtait sa chambre pour laprès midi. Elle savait bien ce quelle risquait : elle venait pour ça justement. Il faut reconnaitre quêtre avec une nana dans une voiture ou dans une chambre il y a une sacré différence. Je commençais par le début, nos lèvres lune contre lautre, nos langues liées. Elle se serrait contre moi qui bandait. Il me semble encore quelle le faisait exprès de frotter son ventre contre le mien et sentir ma pine. Je commençais par la déshabiller, elle men faisait autant. Nous restions en culotte ou slip. Je pouvais bien lui caresser les seins bien hauts et durs. Je mattardais sur les tétons longuement. Elle semblait apprécier. Cest elle qui enlevait mon slip pour prendre la bite. Elle voulait me branler. Je la laissais samuser un peu avec ma queue, après tout cétait la première fois quelle me voyait tout nu. Je larrêtais avant que je jouisse. Je la poussais sur le lit, je lui faisait retirer son dernier vêtement. Elle avait les jambes encore pendantes mais surtout ouvertes. Je ne pouvais me retenir, je ne lui avais jamais fait , elle navait jamais eu de bouche sur son con. Je la léchais partout surtout vers son clitoris, elle en jouissait plus quavec mes doigts. Je la lui mettais dans son vagin et la tournais sans arrêt, elle jouissait encore. Je me risquais vers son anus. Elle me laissait faire. Jentrais légèrement et encore une fois elle avait un bel orgasme. Je me levais comme elle qui allait sétendre normalement. Elle me faisait part de sa surprise davoir jouit si souvent. Je ne pouvais répondre que pour une fille c était normal. Elle sétonnait également davoir eu du plaisir si intense quand je lui mettais ma langue sur son cul.
Javais envie delle, comme elle avais envie de moi. Cétait notre première fois ensemble, pour elle cétait la première fois tout court. Ma spécialité nest pas de dépuceler les filles. Celle là était particulière : cétait ma voisine, la sur du meilleur ami, et sans lavouer je laimais.
Je ne lui disais rien qui linquiète; elle attendait du plaisir, je souhaitais lui en donner.. Elle écartait les jambes, je venais sur elle. Je prenais ma pine en main pour la passer avant sur toute sa fente avant de lenfoncer en elle. Si les premiers centimètres la bite entrais facilement, jarrêtais à la première résistance. Je lembrassais plus fort que les autres fois et dun seul coup de rein jétais en elle. Je craignais quelle ait eu mal. : elle avouait une très légère et passagère douleur.
Je commençais à la limer. Elle répondait, nos aller et venue étaient synchronisées. Elle commençait à gémir de plus en plus fort, jusquà pousser un léger cri de jouissance. Je jouissais moi aussi. Je me relevais, elle en voulait encore. Pour cette première fois elle voulais bisser. Je recommençais heureusement à bander. Cette fois je lui annonçais que jallais la sodomiser. Elle avait jouit avec ma langue, pas de raisons quelle ne jouisse pas avec ma pine. Je la faisais mettre en levrette. Elle devinait que jallais la lui mettre au cul. Elle était tellement mouillée que je navais pas besoin de lui mettre de salive. Elle se laissait faire, et pourtant, malgré ma lenteur mon gland entrait difficilement. Ce n est que quand il était totalement en elle, quenfin elle me disait de la lui mettre à fond. Je la limais toujours de plus en plus vite. Elle recommençait à gémir et crier un peu à chaque orgasme.
Il nous fallait quitter la chambre. Nous rentrions en voiture. Elle avait encore envie de jouir. En plaisantant je lui demandais de se masturber. Jai enfin compris pourquoi elle se refusait si longtemps : elle se masturbait devant moi sans pudeur, elle le faisait depuis longtemps, et son fantasme était tout simplement moi.
Depuis maintenait plus de 15 ans plus tard nous faisons comme au début. Nos plaisirs sont les mêmes, sauf que nous changeons souvent de positions.
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