Collection Pute. Grand-Mère Odette. Saison I (1/3)
Deux saisons de trois chapitres, jaime écrire cette histoire, jespère que vous laimerez.
Javais 12 ans quand jai eu mes règles et suis devenue une jeune adolescente.
Ça faisait un an que je savais que mon sexe était promis à autre chose que daller sur les toilettes pour soulager ma vessie.
Cest lannée où je suis entrée au collège quune copine, en avance pour son âge, ma fait entrer dans la moyenne entendue un jour aux infos.
Ça parlait des portables et des films pornos vus par les jeunes, ainsi jai su que la bite dAurélien, garçon de 14 ans, sorti devant moi aux toilettes servait à nous donner du plaisir.
La différence entre lui et les protagonismes des films, cétait quAurélien lavait pendante, les autres bandant au maxi.
À partir de ce moment, maman mayant, elle aussi donné un portable afin que je lappelle en cas de problème, je suis devenue accro à ce genre de films.
Cest ainsi que la pointe de mes doigts a trouvé mon clito que jaimais caresser et qui au fil des semaines devenait de plus en plus développé.
Jouissance rapidement trouvée me faisant entrer dans le monde des adultes.
Douleur vite oubliée lorsquà une soirée vers la fin de ma quinzième année, ces verges si souvent vues, lune delles est entrée en moi.
Cétait là encore un garçon de mon âge, bien que dans des films je voie des jeunes filles sucer et se faire baiser par des vieux.
Jétais bonne élève quand jétais plus jeune, mais la débauche de verge que je rejoignais le soir, on fait que jai accumulé du retard.
À 16 ans il ma fallu prendre une autre voie.
La voie familiale.
Maman tient une boutique de coiffure à Avignon alors quau peu que jen sais, elle est originaire du chnord si bien mis en valeur par Galabru dans, « bienvenue chez les Chtis. »
Ce qui ma étonné, cest que le peu de fois où jai évoqué ses origines je trouvais lettre morte.
Jignore quel mystère entourait sa jeunesse et la mienne, plus tard je restais toujours sans réponses.
Bref, maman ma prise avec un contrat dapprentis.
Je gagnais quelques euros surtout les pourboires de certaines clientes ayant aimé mes mains dans leurs cheveux.
Les faisais-je mouiller, rapidement je me suis aperçu que, plus je leur caressais le cuir chevelu, plus les pièces étaient importantes, voir les billets jusquà 10.
Lune delles, la cinquantaine que je voyais serrer les poings a glissé un billet à lintérieur de la boîte ou maman avait marqué « Gladys » sans que je remarque sa valeur.
Quand je lai ouverte en fin de semaine, cétait 50 que javais gagnés.
Depuis, chaque fois quelle vient, je prends mon temps et le billet est toujours là.
Au fil du temps, certains auraient oublié cette question dorigine, du moins pour moi ce fut le contraire.
Jai horreur des choses cachées.
Jai un peu fouillé et dans un bas de placard de la chambre de célibataire de maman à croire quaprès ma naissance, elle avait décidé davoir une vie de none, jai trouvé quelques papiers.
Trois fois le nom dOdette Coquelet revenait alors que nous nous appelions Martin comme les ânes.
Il y avait une ville aussi, Tournai avec une adresse.
Jai failli en parler à maman, mais la connaissant, jai fermé ma gueule et jai continué à faire mon apprentissage.
La coupe pas facile et les brushings, mais le principal pour moi, cétait les quelques euros que maman me concédait pour ce travail et qui gonflait ma cagnotte.
Cagnotte qui augmentait, car fatigué par ce travail, je sortais moins.
À chaque fois le garçon qui sintéressait à mes fesses réglait les factures des cocktails que je buvais.
Jétais bonne joueuse, et chaque fois joffrais mon corps à tous leurs débordements.
Pour fêter mes dix-huit ans, cest dans la chambre de lun deux que jai finis en sandwich entre deux garçons.
Ça faisait quelques semaines que javais accepté la sodomie, pratique par ailleurs mapportant du plaisir au bout de quelques pénétrations.
Certains pouvaient dire que jétais une chaudasse, car peu de chose me rebutait.
Pour cette fête danniversaire, deux verges se frottant au travers de mon périnée mont apporté un plaisir double et intense jamais atteinte.
Cest à ce moment, non, pas la double pénétration, mais mes 18 ans que je me suis fait un petit plaisir.
Une Vespa doccase avec un casque neuf.
Impossible pour moi de mettre mes cheveux blonds dans un vieux machin comme me le proposait le proprio de mon engin.
Quand jai rencontré cet homme, la quarantaine, il était prêt à me faire 10 puis mieux 20 % de rabais si je me couchais sur son canapé.
Il me prenait pour une pute, mais comme la Vespa me convenait jai allongé la monnaie principalement des billets de 50 sans que jaie besoin de mallonger.
Cétait un con, il était beau gosse et aurait pu mavoir sans un radis.
Me proposer une remise pour me sauter faisant de moi une pute même pas en rêve.
Cest en août que mon plan murement muri a pu être déclenché.
Aller voir ce qui se cachait derrière cette adresse à Tournai et espérer en apprendre un peu plus sur mes origines si mystérieuses.
À ma mère, je lui fais croire que pour mes vacances, je pars sur la côte retrouver des copains qui campent près de Ramatuelle.
Lyon, je viens de passer Lyon quand ma Vespa se met à crachoter avant de séteindre à quelques mètres dun routier.
Je la pousse jusque-là et étant entré un chauffeur anglais me propose de mamener à Lille.
Il connaît un mécano qui sera capable de réparer mon engin gratuitement, il lui doit un service.
Il fait beau, il fait chaud, je suis recouverte dun mini-short et dun débardeur les jolis seins libres de toute entrave.
À mes pieds des brodequins me donnant une allure délurée.
Peu vêtu, mais que cest bon de sentir la fraicheur du vent sengouffrer entre mes seins en roulant vers ce que jespère être mon destin.
Mon destin, car nul doute que les choses cachées, ressellant une partie de la vie de ma famille que ma mère semble vouloir cacher orienteront ma vie.
Ma Vespa chargée à larrière de son camion-frigo, au milieu de cagots de tomates, nous prenons la route.
Bob, il sappelle simplement Bob, parle français aussi mal que je parle anglais, mais le peu que nous avons à nous dire ce franglais est bien suffisant.
À la hauteur de Sens, il sarrête sur lair dun ancien routier comme celui ou il ma chargé.
Je dois faire ma pose pendant deux heures avant de repartir.
Il se glisse sur la couchette derrière nous.
Viens.
Je délasse mes brodequins et je grimpe à ses côtés.
Je comprends son envie, avoir une jolie fille à son côté surtout assez dénudé et comme son invitation est dénuée de toute valeur pécuniaire, cest moi qui défais son ceinturon dégageant sa verge.
Sauf quil est anglais, sa bite ressemble à toutes les bites que jai déjà connues à un détail près, une grosse veine qui louvoie jusquau gland.
Je mamuse à la suivre avec ma langue, ce qui semble lui faire plaisir.
Il bande comme lhomme quil est et dont ma bouche se repaît lengloutissant jusquà ses couilles.
Des couilles de garçon, combien en ai-je soupesé malgré ma jeunesse ?
Inutile dessayer de compter, jen oublierais quelques-unes du temps de ma débauche.
Lendroit est exigu, mobligeant à ôter mon short moi-même pour la première fois de ma vie amoureuse.
Depuis la première verge, ce sont toujours les garçons qui mont dégagé mon abricot doré.
Cest le nom que Robert, le fils du facteur lui donnait quand il me le léchait.
Jaime à lui garder ce nom.
Après quelques contorsions, me tapant la tête dans le haut de la cabine, jarrive à dessiner un 69, ce chiffre qui fait rire toute une salle lorsque je fais des lotos avec maman en hiver.
Il trouve mon clito, moi sa veine sur sa verge étant toujours au même endroit bien quelle mapparaisse dans lautre sens.
Je suis sensible du clito et rapidement je démarre.
Je labandonne, je me remets un coup sur la tête avant de mempaler ce qui déclenche un orgasme très rapidement.
Dessus, dessous, en levrette, hélas, impossible dans cette cabine, surtout pour Bob qui serait plié en deux.
Jaime tout du kamasoutra sous forme réduite sur cette couchette.
Jai un très bel orgasme franco-anglais quand il me prend passant par-derrière ma jambe gauche touchant le plafond de la cabine.
Un camion-frigo présente lavantage à larrêt, il envoie du frais dans lhabitat et repu de sexe, je dore.
On se réveille enfin, on a contourné Paris et nous serons à Lille dans moins dune demi-heure.
Il me conduit vers son copain qui tient un garage, diagnostic prenant peu de temps pour réparer ma Vespa, bougie h.s, simplement.
Jai bien dormi dans le camion, je décide de rejoindre la Belgique.
Tournai me voilà, qui je suis, quelle sont mes origines ?
Maman quavais-tu à me cacher ?...
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