Les Récits De Ma Femme

Nous sommes mariés depuis 4 ans, mais ensemble depuis plus de 6 ans. Notre couple est solide, basé sur une confiance mutuelle. Toutefois ma femme, qui avant de me connaître avait eu des fréquentations particulières, gardait en elle une certaine envie de retrouver d'anciennes compagnes.
C'est ainsi qu'un soir, juste avant de baiser je la trouvais remontée, désireuse d'avoir une nuit de baise plus intense que les autres. Nous avons donc fait l'amour de toutes les manières possibles que nous pratiquions habituellement. Nous avons commencé par nous exciter en nous caressant un peu partout.
Je lui pelotais les seins lentement et elle me caressait le bas ventre, sans me toucher la bite. Enfin nous nous sommes mis en place pour un 69. J'étais sous elle et j'avais son con sur ma bouche: je lui prenais le clitoris entre mes lèvres et le caressais avec ma langue. De son coté elle avait ma bite dans sa bouche et sa langue s'activait autour de mon gland. Cette position nous était chère parce qu'elle offrait nos sexes à l'autre sans équivalence. Bien sur elle jouissait toujours la première et je goûtais sa mouille. Elle n'arrêtait que quand je jouissais dans sa bouche.
Ensuite nous nous prenions ans les bras et échangions des baisers à n'en plus finir, jusqu'au moment où je bandais encore. Cette fois je la baisais en levrette: elle aimait être baisée comme ça. Je lui rentrais ma queue dans son vagin et elle entamait d'elle même les mouvements. Elle jouissait encore, mais cette fois ci plusieurs fois. Enfin je jouissais à mon tour.
Nous avions besoin d'un moment de répit. C'est à ce moment là qu'elle me racontait son après midi: elle avait rencontré une ancienne amie qu'elle avait connu quand elle avait 15 ans et avec laquelle elle avait fait l'amour. Et là je cite:
"Tu sais, je t'ai déjà parlé d'Annie. Je l'ai revue vers 17 heures et elle m'a invité chez elle et là elle m'a embrassée sur le bouche, comme avant. Je n'ai pas pu résisté à son invite et j'ai rendu le baiser.

J'étais très excitée et je me laissais faire: Annie qui connaissait mes points faibles ma mis une main sous la robe et m'a caressé les cuisses que j'ai écartées. Elle a su trouver presque aussitôt mon sexe et mon bouton qu'elle a branlé. Tu sais que j'aime être branlée et elle aussi le savait depuis longtemps. Elle m'a demandé de la branler aussi et je la connaissais assez pour trouver rapidement aussi son clitoris. Nous avons joui très vite. Elle a commencé à me déshabiller et j'étais nue devant elle. Elle se collait à moi et m'embrassait dans le cou et sur les seins. Je l'embrassais aussi et je la déshabillais à mon tour et encore l'une contre l'autre nous avions les seins avec les tétons l'un contre l'autre. C'était terriblement efficace. Nous n'en pouvions plus de désir de jouir. C'est elle qui l'a entraînée dans la chambre où nous nous sommes couchées et là elle a recommencé à m'embrasser sur la bouche et surtout sur les seins pendant que sa main allait se poser sur mon sexe. Elle se tournait en commençait à poser sa bouche sur ma chatte. J'ouvrais les jambes et sa langue est venue me lécher. J'ai jouis fort, presque aussi bien qu'avec toi. Elle m'a enjambée et j'ai vu sa moule devant ma bouche: je n'ai pas résisté et l'ai sucé à mon tour son clitoris. J'avais perdu le souvenir de son goût et là je retrouvais ma jeunesse. Nous avons joui plusieurs fois comme ça. Enfin elle s'est installée presque assise et m'a demandé d'en faire autant. Une de ses jambes est venue sur la mienne et elle m'a demandé d'en faire autant: nos cons étaient très proche l'un de l'autre: elle a frotté le sien contre le mien et elle m'a donné du plaisir, alors j'en ai fait autant et nos cons se caressaient jusqu'à notre dernière jouissance."
Voila: je t'ai tout dit. Ne m'en veux pas, mais tu sais que j'aime baiser avec elle quelques fois.

Que répondre: elle avait pris son plaisir avec une autre femme et elle aimait le refaire. Je ne pouvais pas raisonnablement lui en vouloir puisque nous étions tous deux très portés sur le sexe.
Au début de sa confession j'étais un peu jaloux et ensuite elle m'excitait et je bandais. Pour se faire pardonner ou parce qu'elle aussi était excitée, elle me demandait de l'enculer. C'était rare qu'elle me demande le la sodomiser. Je ne refusais pas et elle m'offrait son cul qu'elle venait de mouiller avec sa salive. Je rentrais dans son anus et elle me demandait d'accélérer le mouvement pour qu'elle tire un maximum d'un orgasme qu'elle sentait déjà arriver. Pour jouir plus elle se branlais et enfin nous jouissions ensemble: elle s'effondrait et je me trouvais sur elle l'écrasant contre le lit.
Je lui disais que je ne lui en voulais de m'avoir trompé avec une de ses vielles amies et qu'elle pourrait le refaire quand elle voudrait, à condition de m'avertir après chaque baise qu'elle aurait eue.
C'est ainsi que de temps en temps elle vient vers moi, nue, la tête baissée en me demandant pardon de m'avoir trompée avec sa copine. Elle avait un air très sexy en m'avouant sa "faute" et m'embrassait ensuite profondément: je sentais quelque fois le goût du con de l'autre dans sa bouche. Nous baisions alors plus que d'habitude. Jusqu'au jour où elle a tenu à me présenter sa copine: c'était une fille banale qui n'avait rien de très attirant et avec laquelle je ne sentais aucuns atomes crochus. Et pourtant c'était la maîtresse de ma femme.

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