Mari Femelle (3/4)
Marc fut poussé violemment sur la couchette au fond de la cabine. Abdou lui ordonna de se mettre à quatre pattes, la joue sur la couchette, croupe relevée au maximum et cuisses écartées. Dans cette position, on ne voyait plus que lanus de Marc sous la lumière crue du plafonnier. Les couilles pendantes et la verge désormais inutile, Marc se sentait soumis et sattendait à être violé sans ménagement.
Abdou se dégrafa et sapprocha du cul exposé à sa vue. Sa bite de vingt centimètres en érection, il se positionna à lentrée de lorifice ainsi offert.
Il resta quelques secondes en contemplation devant cet anneau brun et légèrement entrouvert. Il cracha sur ses doigts et entreprit de lubrifier cette chatte quil était le premier à bord à utiliser. Son gland commença à se frayer un chemin, avec une douceur qui surprit Marc. Mais très vite Abdou senfonça davantage et Marc ne put retenir un cri de douleur, affolé par la sensation que ce sexe énorme allait lui déchirer lanneau.
« Tais-toi salope », lui intima Abdou. « Tu nauras pas mal longtemps et dans deux jours, avec tous les mecs qui te seront passés dessus, ton trou restera ouvert en permanence ».
Abdou senfonça dun seul coup et vint buter au fond de la chatte de Marc qui étouffa un cri de douleur. Puis Abdou le besogna lentement, assouplissant lanus offert, faisant de lents mouvements avant daccélérer. Maintenant, les coups de boutoir dAbdou se déchaînaient. Marc sentait son trou souvrir et commençait à ressentir du plaisir. Il geignait doucement, comme une femme, la femme quil était devenu. Il avait du mal à conserver son équilibre sous leffort et Abdou lempoigna par les hanches, linsultant en arabe. Puis tout à coup, Abdou le retourna sur la couchette, le tint par les chevilles, écartant ses jambes, sans même sortir de son cul. Il se coucha de tout son long sur Marc qui sentit le poids de son corps lécraser tandis que la langue dAbdou forçait le passage de ses lèvres et fouillait sa bouche.
Abdou se retira aussitôt et présenta sa queue à Marc qui sempressa de la prendre avec reconnaissance dans sa bouche pour la nettoyer et ne pas perdre une goutte de la semence qui perlait du méat. Mais Abdou bandait encore. Il tira Marc sur le bord du lit et lencula à nouveau dun seul coup de reins. Lubrifiée par le sperme dAbdou, encore béante, sa chatte accueillit le sexe dressé. Immédiatement après, Marc se sentit soulevé par des bras puissants et plaqué le dos contre la cloison de métal de la cabine. Assis sur la verge dAbdou, il mit instinctivement les jambes autour de la taille de son amant et ses bras autour de son cou et se laissa travailler, la tête rejetée en arrière, les yeux mi-clos. Abdou plaça ses mains sous les fesses de Marc. Il le soulevait légèrement pour mieux ensuite le laisser descendre sur sa verge. Marc la sentait au fond de lui, entre ses reins, dure, vivante, palpitante. Dans cette position, il se sentait totalement femme, enfin lui-même, toute dignité dhomme abdiquée. A nouveau, au bout de quelques minutes, Abdou jouit au fond de Marc puis le releva dun coup. Prestement, il recueillit avec la main le foutre qui séchappait de lanus de Marc. Il tendit la main vers la bouche de Marc qui lécha consciencieusement et avec avidité le jus épais. Il accomplissait ces gestes avec un tel naturel, un tel instinct quAbdou ne put sempêcher déprouver furtivement une sorte dadmiration.
« Cétait un aperçu de ce qui tattend pendant trois semaines », lui dit Abou. « Il y a encore une vingtaine de mecs qui attendent leur tour, alors voilà comment ça va se passer ».
« A partir de maintenant, on va te mettre à la diète car tu as un peu de ventre pour une femelle. Pendant 4 ou 5 jours, on va te nourrir à notre façon : tu ne mangeras pas autre chose que le sperme quon te donnera».
Cette annonce provoqua chez Marc la plus grande excitation. Il entra en érection, pas pour longtemps car Abdou lui donna aussitôt une claque puissante sur la verge. « Noublie pas que tu es une femme, et ta queue na aucune utilité ici, seuls tes trous nous intéressent ».
Puis Abdou alla ouvrir la porte de sa cabine. Plusieurs hommes attendaient dans la coursive. « Elle est à vous maintenant » leur dit Abdou en poussant sans ménagement Marc dehors. « Emmenez-la dans lentrepont. »
Marc se retrouva au milieu de cinq hommes surexcités qui lentourèrent, lui caressèrent les seins, les fesses, insinuèrent leurs doigts dans sa chatte humide de sperme. Ils lemmenèrent dans un petit local, une sorte de hangar dont un côté nétait pas fermé et donnait directement sur le pont. Lun après lautre, ils déchargèrent qui dans la bouche, qui dans la chatte de Marc, dans des halètements et des grognements de plaisir. A présent, Marc était épuisé et se serait volontiers effondré de sommeil mais il sentit quon lui attachait un collier autour du cou, avec une chaîne de plusieurs mètres de longueur attachée à la rambarde à lextérieur. Le tout était fixé par deux cadenas, un sur le collier, le second à lautre bout de la chaîne sur la rambarde.
Au sol, une paillasse, une écuelle deau et les godes quon lui avait demandé dapporter avec lui.
Les hommes le quittèrent et Marc but avidement. Un peu plus tard, Abdou revint le voir et lui expliqua quil passerait ici le reste de son séjour à bord. Il ne quitterait le local que pour être lavé et rasé par les deux vieilles femmes ou lorsquAbdou lemmènerait dans sa cabine. Il serait disponible ici en permanence pour les hommes qui ne seraient pas de quart et devrait entre deux visites se goder régulièrement pour garder sa chatte toujours prête à servir.
Les jours suivants, Marc eut du mal à dormir, tenaillé par la faim et les visites incessantes des hommes déquipage. La quatrième jour, il se surprit à attendre avec impatience ces visites, espérant chaque fois, tellement il avait faim, que les hommes déchargeraient dans sa bouche.
Le cinquième jour, pendant que deux hommes se vidaient, lun dans sa bouche, lautre dans sa chatte, il eut la surprise de voir deux femmes. Pas les femmes âgés, non, deux des femmes réservées aux princes. Elles observaient la scène avec stupéfaction, une lueur dexcitation dans le regard. Les voyant, les deux hommes redoublèrent dardeur. Lun des deux jouit dans la bouche de Marc qui tourna un visage hébété vers les deux spectatrices, la bouche encore pleine de sperme. Le second homme déquipage, un grand costaud un peu bedonnant mais monté comme un âne, voulait montrer sa force aux deux femmes. Il souleva Marc comme une plume, le tenant par la taille, et lenfila dun seul coup sur son pieu. Marc ne put retenir un cri de surprise et de douleur. Celle-ci disparut linstant daprès, tellement sa chatte avait été élargie les jours passés. Il ne pouvait voir le matelot car celui-ci était derrière lui et le soulevait alternativement jusquà ce que son sexe ressorte complètement de sa chatte puis il lempalait de nouveau. Dans lintervalle, la chatte de Marc navait pas le temps de se refermer et il loffrait, béante, à la vue des deux femmes, ainsi que son sexe et ses couilles qui ballotaient, inutiles. Le matelot finit par jouir dans le cul de Marc, mais celui-ci était trop ouvert pour pouvoir retenir toute cette semence qui coula le long de ses cuisses et tomba sur le sol. En linsultant, lhomme lui dit de lécher le sol, ce que fit Marc en sagenouillant humblement, sa chatte continuant de relâcher de petits jets de sperme. Il avait perdu tout sentiment de dignité et cette scène avait pour les deux jeunes femmes une sorte de beauté fascinante et diabolique.
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