Histoire De Soumise (Extrait Du Livre Claire) Jill 2


Jill l’avait rencontré sur Internet, par un message très troublant, attirant, envoûtant…

« Soumise à moi tu seras, amenée au plaisir et perdue de jouissances tu seras ».

Par jeu et défi, Jill répondit…

«- Pourquoi pas, comment ? »

A sa grande surprise, elle reçut réponse…

« -Tu te trouveras dans une chambre, aveuglé par un bandeau, offerte à moitié nue, je viendrai … »

Elle fut surprise de son émoi, son cœur battait en lisant ces mots, elle se caressait en les relisant, un charme se dégageait de ces mots laconiques. Elle répondit avec audace, cachée derrière l’écran de son PC…

« -Et ensuite ? »

« - Ensuite, je viendrai, te caresserai et te prendrai, tu seras à moi et tu gémiras pour en avoir plus et jouir plus encore… Décris-toi »…

Elle mit trois jours pour se décider à répondre, puis se décrivit, au fil des mails, se livrant un peu plus chaque jour. Elle rêvait de cette rencontre, s’imaginant ainsi, offerte, impudique, à un inconnu qui entrerait et la prendrait … Elle faisait des songes de plus en plus chauds, se caressant dans son lit, trouvant son sexe toujours plus mouillé, excité, elle s’agitait et se frottait au drap, pleine de désirs et de songes fantasmés.

Un jour il lui écrivit de manière plus autoritaire et succincte, il donna des ordres.

"-Trouve toi une tenue sexy, bas noirs, chaussures très hautes, top noir à ouvrir facilement, jupe noire courte, pas de sous-vêtement. Je t'envoie le lieu de rendez-vous de soir pour demain. Prépare-toi...Et je n'aime ni les poils sur les petites chattes ni les parfums. Prépare-toi avec soin..."
Elle n'avait pas su dire non jusque là, elle hésita... Le ton et les manières lui déplaisaient et l'excitaient. Elle écrivit...

"- Oui".

Il répondit... "

-Dis-moi Maître ! »

-« Oui, Maître »

« -Bien… »

Jill dormit mal cette nuit -là, elle était anxieuse et pleine d'envie, elle se caressa dans son sommeil.

Le lendemain, elle ouvrit son mail et trouva une simple phrase, « Hôtel du Héron, CHAMBRE 56, 20H. ». Elle fut déçue de ne pas avoir plus de mots, cette phrase si laconique la choquait, elle se trouvait prise au piège, elle voyait qu'elle avait été appâtée, mais elle ne voulait plus reculer, son corps avait si envie de vivre ce qu'elle attendait depuis longtemps. Elle répondit tout aussi brièvement. "-J'y serai." Elle n'état pas à l'aise, elle avait peur.

Elle se prépara avec soin, fit les boutiques pour trouver la paire de chaussures, et trouva des escarpins vertigineux, des bas noirs et une jupe courte à voilages noirs, une blouse à deux boutons qui laissait voir l'échancrure de ses seins...Elle se regarda dans la glace elle était une autre, séduisante et sexy, elle sentait sa vulve palpiter et s'humidifier, ces préparatifs l'avaient terriblement excitée. L'absence de sous vêtements attisaient ses sensations, elle avait hâte d'enfin concrétiser la rencontre.

Jil parvint le soir à l’hôtel désigné, il commençait à faire nuit, elle se gara dans la rue voisine, le cœur battant. Elle passa devant la réception en essayant d’avoir l’air dégagé, elle avait mis une longue veste pour cacher sa tenue provocante, elle ne se sentait pas très à l’aise, s’imaginant suivie des yeux par les employés, mais ce n’était peut-être qu’une impression, il lui semblait que tout le monde voyait ses fesses nues sous ses vêtements. Elle parvint à la chambre et la trouva entrebâillée. Elle entra, laissa la porte à semi-ouverte et explora les lieux. C’était une chambre banale, simplement obscure, éclairée par quelques bougies qui donnaient une ambiance mystérieuse.

Elle se prépara, retira sa veste, se remaquilla, se recoiffa, inquiète d’être ainsi offerte à son regard sans pouvoir vérifier si il la trouverait assez séduisante. Elle se regarda dans le miroir, et se trouva belle, ses cheveux épars sur ses épaules, ses yeux sombres maquillés lui donnaient un air fatal, on voyait un peu ses seins, les talons la faisant se cambrer, elle avait un air sexualisé extrême, les yeux brillants et dilatés, son sexe brûlant semblait irradier de désirs.


Elle se plaça comme précisé dans le mail, à genoux sur le lit dos à la porte, et se cacha les yeux d’un foulard qu’elle avait amené avec elle… Elle attendit comme il le désirait, offerte, à demi vêtue et aveuglée… Elle attendit longtemps, sursautant à chaque bruit dans le couloir, craignant l’arrivée inopinée d’un employé venu pour nettoyer la chambre.

Enfin la porte s’ouvrit, Jill entendit quelqu’un approcher, qui referma à clé, elle sentit la peur bloquer son ventre. Elle l’entendit marcher dans la pièce, le bruit d‘objets posés sur la table, de vêtements retirés et déposés quelque part, puis des pas s’approchant d’elle, un souffle sur sa nuque, elle frémit. Un souffle dans son coup, à son oreille, des mains sur ses seins par l’échancrure de son haut, des mains partout sur elle, elle cria à mi-voix, envahie de sensations extrêmes… des doigts dans sa bouche et un mot...

« - Silence ! »

Exprimé d’une voix basse impérieuse. Elle trembla et réprima ses gémissements, prise de frissons dans tout son corps… Les mains continuèrent leurs caresses et la voix dit…

«- C’est bien, tu es comme je te l’avais demandé »

Elle tremblait sans pouvoir s’arrêter, prise de peur et d’excitation, elle était appuyée contre son torse , elle sentait son corps nu contre le sien, elle était complètement excitée et terrorisée tour à tour , ne rien voir dans cette situation érotique était extrêmement difficile à supporter, tant l’intensité était forte.

«- Réponds ! »

«- Oui » Répondit –elle, et reçut une claque sur les fesses, elle cria de surprise…

«-Poliment, à ton Maître ! »

Elle hésita, reçut une claque plus appuyée, et se décida :

« -Oui, Maître ».

«- Bien… »

Il reprit ses caresses, ouvrant son haut complètement il pinçait et caressait ses seins, elle gémit, elle sentit des mains empoigner ses cheveux, elle mouilla brusquement, excitée par cette sensation inattendue, les mains attisaient toujours ses tétons, la tête tirée en arrière par sa chevelure elle ouvrit la bouche et sentit quelque chose, elle gémit, se sentit e, par son sexe durci dans sa bouche se glissant et s’immobilisant.
« -Prends, jusqu’au bout ! » elle ouvrit grand la bouche et l’avala entièrement, jusque presque à l’ et attendit. Elle sentait son odeur musquée trop forte à ses narines, elle avait les poils de son sexe dans le visage, elle était tenue par les cheveux, une main pinçait toujours ses seins, elle aurait du détester cela, mais elle se sentit terriblement proche du plaisir.

Jil gémit et il commença de la baiser ainsi, respirant fort et haletant, elle comprit qu’il contrôlait son excitation, son membre était raidi dans sa bouche, il l’encourageait à voix basse et elle commença à apprécier cette situation qu’elle avait souvent rêvée et fantasmée. « -C’est bien, tu es parfaite, continue, ouvre grand tu es belle ainsi, » Elle gémit, choquée de ces mots, et pourtant excitée par la sensation elle ressentait son sexe aller et venir au fond de sa gorge, c’était jouissif, excitant, elle sentait sa vulve se contracter au même rythme , elle adora cette impression, tenue et prise entièrement, à sa merci, ses mains l’ayant capturée , la faisant aller et venir à son rythme, objet de son plaisir, pourtant si proche de la jouissance elle-même.

Pui il se retira, elle frémit, il la lâcha, elle attendit en tremblant encore, qu’allait-il se produire, elle sentit de l’air sur ses fesses, il relevait sa jupe, passait ses doigts dans sa chatte, caressant ses fesses, puis les claquant, surprise elle cria à nouveau.

« - Silence, tais-toi. C’est bien, tu as un beau cul, ta chatte est superbe, tu mouilles déjà. »

Elle gémit, s’agita de peur et de désir.

« - Ne bouge pas, respire à fond, cambre toi…plus encore…Cambre-toi …»

Elle essayait mais dans cette posture impudique et dangereuse pour son intimité, elle se redressait, tiraillée entre son envie de le satisfaire et sa peur …Il lui donnait une tape chaque fois qu’elle bougeait, lui recommandant de se contrôler… Elle finit par y arriver, haletante et gémissante, pleine de désirs réprimés…Elle tenait sa tête basse, plaquée contre son bras, réfugiée sous sa chevelure, le cul offert, la croupe relevée, la chatte ouverte et son nectar s’écoulant sur ses cuisses, lui chatouillant la peau si sensible à cet endroit.


Elle attendit… Des doigts agiles la caressèrent, pénétrant sa fleur, titillant son bouton, puis ses cuisses puis toute son intimité pendant que d’autres s’occupaient de ses seins. Elle gémissait à nouveau, ivre de sensation sous son bandeau.

«- Tu veux quelque chose ? « lui dit-il d’une voix douce.

Elle avait envie d’être prise, d’être investie enfin de son sexe en elle, il le savait, il l’avait compris. Elle gémit et dit tout doucement

«- Oui… »
Une claque sur sa fesse, elle sursauta

«- Oui qui… ? »

Jill répondit rapidement, elle avait décidé de jouer le jeu, trop envie…

« -Oui Maître »,

« - C’est bien, tu vois, tu sais comment faire… »

En récompense, il caressa son cul, son dos, son intimité, frissons, puis il lui écarta les fesses et la pénétra d’un coup, elle cria de plaisir, si envie que son corps n’attendait plus que cela, elle relevait les hanches pour mieux l’accueillir, et il la prit de longues minutes, lui relevant la tête parfois par les cheveux ce qui décuplait son plaisir. Elle s’étonna d’apprécier ainsi cette sensation nouvelle, et remarqua sa manière de faire, autoritaire et douce pourtant, attentif à la dominer sans lui faire mal, elle n’avait eu que du plaisir jusque là…
Il la fit s’allonger à plat ventre, se coucha sur elle et la pilonna encore de longues minutes pendant qu’elle criait de jouissance…

Pui il se retira, fit remettre Jill à genoux, et lui écartant les fesses, lui caressa habilement son étoile. Elle frémit, emplie d’appréhension, elle sentit une substance froide couler sur toute sa vulve, et ses doigts la masser toute cette région, puis particulièrement son petit trou. Elle se crispa, reçut plusieurs claques légères sur les fesses tandis qu’il lui ordonnait de se détendre….Elle mit du temps à se calmer, à arrêter de trembler et de se raidir, il restait calme et directif, la punissant d’une petite claque sur une fesse ou l’autre chaque fois qu’elle se redressait. Elle finit par se soumettre, relever ses fesses offertes et ouvertes, la tête à nouveau cachée sous son bras, vibrante et frémissante, gémissante, frissonnante…

Jill sentit alors quelque chose la pénétrer par son étoile, ce n’était pas son sexe mais un jouet, un gode sans doute, sensation désagréable, elle cria, elle reçut une claque sur sa fesse, il lui recommanda de pousser vers lui avec le cul pendant qu’il enfonçait le gode en elle, ce qu’elle fit, et de se calmer, ce qu’elle mit du temps à réussir. La sensation était étrange, l’objet s’était implanté en elle, la douleur avait disparu, un plaisir inconnu faisait son arrivée… Il lui releva les cheveux à nouveau et se couchant devant elle sur le dos en écartant les jambes, il lui attira la tête vers son sexe, lui recommandant de le lécher, puis de lécher ses bourses, elle dut se coucher sur sa jambe étendue, guidée par ses mains elle obéit, elle lécha et suça ce qu’il lui commandait de faire, le gode toujours fiché en son cul, esclave aveugle de son plaisir et du sien propre, elle sentait son intimité ruisseler sur la jambe de cet inconnu à laquelle elle se frottait pour se caresser, elle se sentait lui lécher son sexe et toute la région sous celui-ci, elle obéissait et faisait ce qu’elle n’aurait et n’avait jamais accepté jusqu’à ce jour, et s’en étonna.

De plus, elle jouissait de le faire, et comprit que ce bandeau lui permettait une soumission sans limites, elle dépassait les barrières qu’elle n’aurait jamais franchies si elle avait eu la vision de ce qui se passait dans cette chambre, et donc la latitude de se rebeller ou de dire non. Tout en léchant cet inconnu, elle comprit que leur jeu dominance et soumission était un moyen de dépasser les limites du mental sur le corps et sur la sexualité, et d’oser réaliser certaines choses et d’en jouir sans freins. A la voix calme et posé de son « Maître » elle comprit qu’il faisait un effort important sur lui-même de contrôle et d’observation de ses propres réactions, afin de diriger le jeu pour son plaisir, et le sien aussi. Elle continua de suivre ses instructions, il lui tenait toujours les cheveux et la guidait elle se retrouva à lécher sous ses bourses jusqu’à son anus, ce qu’elle réussit sous ses encouragements.

« -C’est bien, tu es belle, tu es ma chienne, tu vas jouir encore ».

IL lui releva la tête et la fit se tourner et coucher sur le dos, écartelée au maximum, elle n’osait imaginer l’apparence qu’elle devait avoir, en bas et escarpins noirs, sa jupe relevée à la taille, son haut écarté sur ses seins dressés, son bandeau sur les yeux, ses cheveux éparpillés sur le lit, sa bouche mouillée de bave et de fluides mêlés. Elle sentit qu’il se mettait à lécher son intimité, elle gémit de plaisir, il la fit jouir à nouveau , caressant habilement son petit trou et sa fleur qu’il léchait et mordait, puis il s’allongea à côté d’elle, et tandis qu’elle avait toujours ce gode en son cul, il fit aller ses doigts dans sa vulve avec rapidité, la doigtant jusqu’à l’explosion finale, tandis qu’il lui plantait sa langue dans sa bouche, la baisant ainsi par ses trois orifices, comblée , enculée et prise, elle cria et se cambra dans un orgasme dévastateur….

Ils restèrent longtemps allongés l’un à coté de l’autre, respirant et haletants, redescendant de la volupté à la réalité. Il lui embrassa la bouche et lui dit :


« -C’est bien, tu es une bonne soumise »

Elle répondit amusée intérieurement « -Oui Maître ».

Puis Jill sentit son amant quitter le lit, il lui fit monter les jambes et retira doucement le gode encore en elle, elle l’entendit partir vers la salle de bain, des bruits de douche, des bruits de vêtements que l’on remet, des sons variés qui lui expliquaient un départ, un baiser possessif sur sa bouche et une langue avide intrusive, le bruit de la porte qui s’ouvre et se referme, puis plus rien, elle était seule. Elle retira son bandeau, elle se sentait libérée, fière d’elle, épanouie, en plénitude. Elle avait réussi, elle avait surmonté ses peurs, réalisé son fantasme, elle avait osé et joui, elle avait joué à ce jeu étrange jusqu’au bout et suivi ses règles sans perdre son estime personnelle, elle avait découvert une autre féminité, faible en apparence et forte intérieurement. En effet, elle avait senti plusieurs fois que son « Maître » était ému ou même en état limite de faiblesse, son sexe avait eu parfois des mollesses qui l’avaient étonnée quand elle l’avait sucé, sa voix avait parfois des accents peu affirmés, pour lui aussi ce jeu avait été un défi, il avait la responsabilité de mener la partie, et avait certainement eu quelques angoisses de pouvoir le réaliser.

Jill se releva et se regarda dans le miroir son visage irradiait de fierté, elle savait qu’elle ne pourrait le raconter à personne, qui comprendrait une telle chose… ? C’était une jouissance dans la soumission, une certitude de progression dans un jeu de domination étrange. Et pourtant elle le sentait, aujourd’hui elle était devenue une femme encore plus complète qu’il y avait quelques heures auparavant…



(Extrait de mon livre "Claire conte érotique et autres histoires "chez Publibook)

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