A Trois C'Est Bien

Je vis avec une autre fille depuis que nous sommes colocataires pendant nos études. Notre cohabitation se passe très bien, sauf des fois où l'une ou l'autre vient avec quelqu'un pour baiser. Bien souvent celle qui est seule doit sortir le temps que l'autre prenne son pied.
C'est souvent gênant. Et puis un jour ou plutôt un soir sans plus penser à ma copine, je viens avec un garçon très bien fait, adorable et tout et tout. Evidemment ma coloc est là et commence à râler.
- Tu sais bien qu'on a décidé une bonne fois pour toute d'éviter d'avoir des relations avec quelqu'un sans en avertir l'autre.
- Excuses moi, j'ai complètement oublié. Nous allons ailleurs.
Le garçon surpris de notre petite dispute est prêt à partir. Je lui parle à l'oreille, pleine d'idées.
Il parle a son tour:
- Pourquoi partir, c'est aussi bien à trois, d'autant plus que tu me plais aussi.
Ma colocataire n'en croit pas ses oreilles. Je sais qu'elle a déjà participé à des baises en commun. Je ne sais pas se qui brusquement viendrai ma transformer en dame patronnesse.
A mon tour j'insiste: tu verra à trois c'est mieux.
Je m'approche d'elle et l'embrasse tendrement sur les joues:
- Allons ne fais pas la tête, je sais que tu aime bien baiser.
- Oui, mais on ne la jamais fait ensemble.
- Il faut un début à tout, ajoute le garçon, qui de son coté serai ravi de nous voit baiser les deux filles.
Sans se démonter, il prend Marie, ma colocataire dans ses bras et l'embrasse sur le bouche, malgré les efforts pour se débarrasser de l'importun. Finalement elle accepte le baiser. Comme elle accepte de se laisser caresser la poitrine et la main sur son sexe. Elle cède finalement.
Enfin nous allons pouvoir baiser sans problème. A mon tour je l'embrasse: elle refuse d'abord et finalement c'est sa langue qui vient dans ma bouche. Elle me met une main sur les fesses pour me lever la mini jupe et arriver à mes fesses.

Elle va vite en besogne et avoue qu'elle a envie de baiser avec moi depuis longtemps. Pourtant je sais qu'elle aime les hommes. Mais l'un n'empêche pas l'autre.
Pour parfaire la situation le garçon passe derrière Marie, l'embrasse dans le cou et lui pose les mains sur les seins, pendant que sa bite bandée vient se coller contre ses fesses. Il lui cherche le con et le trouve: il la branle a à travers les vêtements. Enfin sans qu'on ne lui demande, il se déshabille et nous pouvons voir sa queue très grosse, celle que nous allons prendre dans le con ou le cul. J'ai peur pour la sodomie. Marie non, elle ne craint pas les grosses bites.
Me dévêtir, c'est vite fait, je ne porte pratiquement rien sur moi. Pour elle je m'en occupe: c'est aussi vite. Nous voila tous à poils. Les deux filles nous nous regardons et mis à par son sexe rasé et le mien poilu, nous ne sommes pas très différentes.
Nous continuons notre étreinte et nos langues se disputent dans nos bouches. Le garçon bande de plus en plus fort.
C'est Marie qui a pitié de lui: elle lui prend la bite dans sa main droite et le branle: je la vois faire cet exercice comme une pro. Elle a du en faire jouir comme ça des hommes. Elle branle de plus en plus vite et quand elle sent que la limite est proche, elle arrête tout. La voir faire me donne envie de jouir et je ne peux me retenir, je suis assise sur le divan de la pièce commune et écarte les jambes pour me caresser le clitoris. Je sais qu'après cette masturbation je serais prête pour affronter plusieurs amours.
Marie s'approche aussi du divan. Je m'apprête à la recevoir et surtout la sucer, j'ai brusquement envie d'elle. Elle s'assoit à coté de moi qui lui prend à nouveau les lèvres. Elle me répond et écarte bien les jambes quand je lui pose la main sur le haut des cuisses. je ne cherche pas longtemps en ayant trouvé le bouton que je cherchais je la branle jusqu'au
moment ou elle me mort la langue en jouissant. J'en suis satisfaite, je pensais pas qu'elle serait aussi réceptive à mon désir.
Marie a jouit, mais le garçon n'a pas eu d'extase. Il vient se glisser entre nous et me prend sur ses genoux. Je sens sa queue contre mon con. Il me pénètre très vite et commence ses allers et venues dans mon sexe. Je ne sais comment résister à cet assaut. Finalement je me laisse aller complètement, d'autant plus que Marie l'aide. Elle a passé une main sous mes cuisses et va me mettre un doigt dans le cul que j'ai très sensible. Bien sur je ne résiste pas et j'ai un deuxième orgasme. Lui n'a pas jouit: c'est parait-il normal.
Il s'occupe de Marie: moi il vient de me baiser et elle il va l'enculer. Elle est à genoux penché sur le divan, les fesses vers le garçon qui doit avoir l'habitude de cette situation: il me prend de ma cyprine et s'en sert pour bien mouiller le cul de Marie. Avec ses mains elle écarte bien les fesses et la garçon pose le boute de sa queue sur l'anus. Marie, très
excitée, d'elle même d'un coup de rein se fait enculer. Au début elle gémit un peu de douleur et ensuite en gémit de plaisir. J'en profite pour moi aussi l'aider à jouir d'avantage:
j'arrive à passer ma main pour aller lui chercher le clito.
Elle jouit et maintenant me propose de baiser avec elle. Je l'embrasse et nous voila parties vers les rivages de Lesbos. Si je ne suis pas particulièrement adroite en lesbianisme, je sais quand même qu'il faut beaucoup de délicatesse avec sa partenaire. Avec ce principe
nous nous faisons jouir de différentes façons. Le garçon oublié se branle devant nous en nous excitant.