Soirée Entre Filles.
Ce soir, cest soirée entre filles.
20h00, mes quatre copines sont arrivées, Olivia a apporté une bouteille, on met de la musique, on danse, on chante en buvant un coup.
On se coiffe, on se maquille, on shabille, bref un bon début de soirée.
22h00, on arrive au club, on entre sans problème, on sinstalle dans un box, on commande, on continue à discuter.
Lalcool aidant, on se met à parler de sexe, de nos expériences, de nos fantasmes.
Javoue à mes copines que jai le fantasmes davoir une relation avec une autre femme, je rougis quand je me rends compte de ce que je viens de dire.
Olivia me demande : « tu as déjà embrassé une autre femme ? ».
« Non. », je réponds toujours aussi gênée.
À peine jai terminé de parler que Natalie matt délicatement le visage et approche sa tête de la mienne.
Ses lèvres touchent les miennes, je ferme les yeux instinctivement.
Ses lèvres ont le gout de la fraise, la même odeur que sa crème hydratante.
Son baiser est délicat et langoureux, à tel point que jen oublie le reste du monde et que le temps semble sêtre arrêter.
Lorsquelle arrête de membrasser, jouvre les yeux et la vois avec un grand sourire, ma tête est encore embrumée par la sensation de ses lèvres sur les miennes.
Ce nest que lorsque jentends la voix de Catherine que mon esprit reprend le contrôle.
Catherine dit en parlant de moi : « elle a vraiment aimé ça ! ».
Et Vanessa ajoute : « Nat aussi je crois ! ».
Pendant les 10 minutes suivantes, les filles narrêtent pas de me chambrer.
On continue à discuter, de temps en temps on regarde si il y a des beaux mecs dans le club, malheureusement, il ny a rien dexceptionnel ce soir.
On décide daller sur la piste de danse, on samuse, on se défoule.
On danse entre nous, lune avec lautre puis on change de partenaire.
Chaque fois que je croise le regard de Nat, je sens que je rougis.
Le souvenir de notre baiser est impossible à chasser de ma tête.
Lorsque nous dansons ensemble, Nat et moi, je ressens comme une tension entre nous, pas danimosité mais le genre de tension que javais déjà ressenti avec un homme, une tension sexuelle.
La soirée se poursuit, on alterne entre notre box, la piste de danse et le bar pour commander des boissons.
Il devait être minuit passé quand je maffale dans le box, Nat vient rapidement me rejoindre.
La douce peau de son épaule frottant contre la mienne et lalcool ingurgité ne facilite pas mes tentatives de cacher le fait que je rougis chaque fois quelle mapproche.
Les flashs lumineux danse dans la salle sombre, la musique va fort: on sentend à peine.
Elle se penche pour me dire quelque chose à loreille : « tu embrasses bien. », son visage est tellement proche du mien.
Je me retourne pour lui répondre mais lorsque je tourne ma tête vers elle, elle membrasse avant que jai le temps de réagir.
Son baiser est diffèrent cette fois, plus passionné et au gout dananas, probablement le gout de tous les cocktails quelle a buts.
Alors que lon continue à sembrasser, sa main caresse mon genou.
Ma tête sembrouille face au déferlement dhormone et une fois de plus joublie tout ce qui se passe autour de moi.
Tout doucement, sa main séloigne de mon genou et remonte le long de ma cuisse.
Sans men rendre compte, jécarte les cuisses pour la laisser remonter jusquoù elle veut.
Le bout de ses doigts effleure ma culotte, puis pousse le tissu sur le côté pour avoir accès à mon sexe.
Ses doigts glissent entre mes pétales, de mon bouton de rose à lentrée de ma fleur, à chaque passage je sens le plaisir saccen et mon corps devenir de plus en plus humide.
Nat arrête de membrasser pour me demander: « ça ressemble à ton fantasme ? ».
Me mordant la lèvre inferieure, je hoche la tête.
Avec un grand sourire, Nat me dit à loreille: « Attention, voilà Oli.
A peine je levé la tête quOlivia nous rejoint dans le box.
Olivia nous regarde et demande: « ça va? ».
« Oui, je crois que jai un peu trop bu. » je réponds en essayant de garder bonne figure alors que Nat continue de jouer avec moi.
Oli se penche vers son sac et ajoute: « On ne va pas trop tarder, je vais aller fumer avec Cat, surveillez Vanessa, je crois quelle aussi à trop bu. », « Sans problème. » répond Nat.
Alors que Olivia est à un mètre de nous, en train de chercher ses cigarettes dans son sac, les doigts de Nat glisse et commence à toucher mon bouton de rose.
Elle tourne au tour, le pousse doucement puis le prends entre deux doigts.
Essayant de contenir un gémissement jai un mouvement involontaire de la jambes et tape la table devant nous.
Oli me regarde intriguée, « Une crampe. », une excuse nulle mais la seule que je trouve sur le moment.
LorsquOli sen va, je regarde Nat, prête à lengueuler pour nous avoir fait presque prendre, mais vu la situation impossible de dire quoi que ce soit.
Nat me fait signe de ne pas faire de bruit puis se faufile sous la table, avant que je comprenne ce quelle fait, je sens ses lèvres sur le haut de mes cuisses.
Petit à petit elle membrasse délicatement lintérieur des cuisses avant de remonter doucement vers mes pétales.
Je sens sa langue passer entre mes pétales, de mon bouton de rose à ma fleure puis dans lautre sens.
Lorsque ses lèvres touchent mon bouton de rose, deux de ses doigts se glissent dans ma fleur, sa langue joue avec mes pétales et mon bouton de rose.
Elle continue comme ça plusieurs minutes, pénétrant ma fleur de deux de ses doigts, suçant et mordillant mes pétales et mon bouton, au point que je sois obligé de couvrir ma bouche pour ne pas gémir.
Cest quand je sens le point culminant arriver quun homme se présente à notre table et me dit : « tu veux danser? », jessaye de ne rien laisser paraitre et lui répond : « Une autre fois peut être.
Lhomme se penche sur la table et insiste: « Allez, rien quune, à quoi bon venir ici si cest juste pour rester assise ? ».
Pas le temps de répondre, je gémis et laisse tout mon corps se contracter, lhomme me regarde interloqué.
Je le regarde et dis « jai des crampes très douloureuses, la prochaine fois sans fautes. », il sen alla lair avec un air dincompréhension sur le visage.
Nat sort de sous la table et me demande : « pourquoi toujours des crampes? », jignore sa question et répond: « Va chercher les filles, on sen va. ».
Quinze minutes plus tard, on est dans la voiture dOli qui était notre chauffeur désigné pour ce soir, elle nous ramène chacune chez nous.
3h00 du matin, Oli sarrête devant chez moi, il ny a plus que Nat avec nous dans la voiture.
Nat explique à Oli: « Je crois que jai oublié mon portable chez Ana, je vais monter le chercher et je prendrai un taxi. ».
« Tu es sûre? Je peux tattendre et te ramener chez toi si tu veux. » répond Oli, mais Nat insiste et Oli rentre chez elle en nous laissant toutes les deux.
On passe à peine la porte de mon appartement que Nat enlève sa robe, elle sapproche doucement, uniquement vêtue de ses sous-vêtements.
Elle menlace et membrasse, ses mains menlève ma robe, puis son soutien-gorge, puis le mien, on passe quelques secondes à sembrasser, uniquement vêtues de nos petites culottes.
Le contact de nos peaux nues, de nos poitrines, est encore plus excitant que je ne laurait cru.
Je lui prends la main et la guide vers la chambre.
Une fois devant le lit, elle me pousse, allongée là, je la regarde pendant quelle enlève sa culotte.
Elle se couche sur moi et recommence à membrasser, puis descend doucement pour membrasser le cou, les seins, le ventre.
À mesure que sa bouche descend le long de mon corps, ses mains font descendre ma culotte le long de mes jambes.
Nous voilà toute les deux nues dans le lit, elle membrasse puis colle son bouton de rose contre le mien.
La sensation de sa peau douce, de ses lèvres au goût dananas, de sa peau à lodeur de fraise, de ses cheveux soyeux chatouillant mon visage.
Elle se met à bouger ses hanches, à chaque mouvement je sens son bouton de rose frotter contre le mien.
Très vite, je sens quavec chacun de ses mouvements, ma fleur liber plus de nectar.
Après quelques minutes, elle se redresse et fait passer une de mes jambes au-dessus de lune des sienne et commence à frotter ses pétales contre les miens, nos nectar se mélange.
Elle se courbe en avant et att mes seins ave ses mains, sa bouche suce un de mes tétons puis lautre et les mordille à tour de rôle.
Une décharge parcoure nos deux corps, et nous immobilise quelques secondes.
Un premier orgasme vient de nous parcourir le corps en même temps.
Haletante, elle me regarde et dit: « passe au-dessus. », je mexécute sans discuter.
Première fois que je faisais ce genre de chose avec une femme, mais je suis étonnée avec la facilité avec laquelle mon corps fait tout de manière instinctive.
Elle se redresse pour laisser sa main glisser sur mon ventre entre mes seins et se serer autour de mon cou.
À peine sa main est-elle autour de mon cou que je sens un second orgasme me parcourir le corps, au même moment je sens sa main quitter mon cou et je vois son corps se contracter de plaisir.
Je mécroule à côté delle.
Nous somme toutes les deux haletantes.
Aucun homme ne mavait touché comme ça et encore moins fait atteindre lorgasme quatre fois en une soirée.
Allongée lune contre lautre, face à face, elle me regarde avec un grand sourire et toujours haletante me demande: « cest à sa que ressemblait ton fantasmes ? ».
Avec un gros sourire et me rapprochant delle pour la câliner, je réponds: « était encore mieux que mes fantasmes. », cest dans les bras lune de lautre que lon passera le restant de la nuit.
Fin.
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