Mon Petit Rugbyman 3

Voici la suite de l’histoire avec mon rugbyman, L :

Donc je suis souvent revenue le voir, mais on ne faisait pas que faire l’amour, même si on le faisait chaque fois avec grand plaisir.
Un jour, alors que l’on buvaient un verre, une question me tourmentait sur sa bisexualité, je lui demande :
Moi - explique moi L, tu m’as dit que tu es bisexuel ?
Lui - oui.
M - tu baises avec des filles et des mecs.
L - oui j’aime les deux.
M - même si je ne comprends pas ça, une autre question : donc tu couches avec d’autres mecs ?
L - non je suis avec toi, je n’ai pas besoins d’autres mecs. En taule, c’était pareil je n’avais qu’un seul amant. Même si c’est tabou, c’est comme ça que ça se passe le plus souvent. De plus, avec toi, je ne baise pas, je fais l’amour.
Je suis ravi mais je lui dis …
M - et les femmes ?
L - là c’est différent !
M - explique moi.
Un peu gêné il me répond :
- et bien, comme j’aime les deux, je peux avoir un mec et ne femme en même temps.
M - si je comprends bien, tu baise peut être avec une fille en ce moment.
L - non pas en ce moment, mais ça peut se produire.
Vexé, je lui réponds :
- dis moi, si tu trouve une femme, dis moi le, car je ne voudrais pas passer après elle… moi, je ne partage pas.
L - dis moi, tu es bien avec un mec non… Tu ne partages pas là !
M - c’est pas pareil, je suis sur le point de le quitter !
L -oui mais moi en ce moment, je suis bien obligé de te partage avec lui !
M - mais je ne baise plus avec lui, et toi tu va tremper ta bite ailleurs !
Sur ce, il se lève de sa chaise un peu excédé; vient s’asseoir sue mes genoux face à moi et me dit :
- serais tu jaloux ?
- non pas du tout !
Il plonge sa main dans mon jean, et me dit en m’empoignant mon sexe :
- ça, une femme ne peut pas me l’offrir !
D’un coup, la chaise sur laquelle nous étions assis, cède, nous voilà tous les deux à terre.

Plus de peur que de mal, nous explosons de rire. Alors qu’il est sur moi, son regard change, il devient plus doux. Muni de son arme redoutable, son admirable sourire, L se relève et de ses bas, sans effort, il me porte et m’entraîne dans sa chambre. On se déshabille mutuellement, puis, nus, on tombe sur le lit en s’embrassant à en perdre haleine. On se feras aussi un 69 du plus délicieux. D’un coup, L se remet face à moi, me prend fermement la tête en ses deux mains, et me dit
- je veux que tu me fasses l’amour.
- tu veux que je te prenne ?
- oui.

Un peu surpris, mais aussi excité par la proposition, j’accepte.
Il se place sur le ventre, moi, après avoir mis un préservatif, je me glisse entre ses jambes. Comme il me l’avait fait (voir Mon petit rugbyman 2), j’écarte un peu plus ses cuisses avec mes genoux. Je commence par juste faire coulisser ma queue raide et dure comme du fer entre ses fesses adorablement fermes et musclées. Ça, c’est vraiment un beau petit cul. Même s’il dit pareil du mien, je ne regarde mon derrière que rarement, dans une glace (je ne suis pas du tout narcissique).
Je suis hyper chaud en apercevant son anus tout rose. Je place mon gland gonflé et rouge vif de désir sur son anus. L, brûlant comme la braise, cambre un peu plus ses reins. Je pousse pour entrer en mon rugbyman, mais je n’y arrive pas. Je vais essayer encore, mais il est trop serré. Je lui dis de se détendre, nous somme tous deux très excités et nerveux. Je cherche le lubrifiant, mince, c’est vrai, qu’il n’y en a plus, on a tout utilisé. Je dois user de ma salive pour lubrifier ma bite et son anus, mais rien n’y fait. Vous me croirez ou pas, mais L, est le seul mec que je n’ai pas réussi à pénétrer. Pourtant j’ai même dépucelé des mecs et c’est toujours rentré. Je ne sais pas ce qui s’est passé, peut être nous étions un peu trop tendu.
Il se retourne et dit :
- tant pis !
Je suis dépité et déçu de ne pas pouvoir faire l’amour à mon amant.
Il me rassure et me dit :
- ce n’est pas grave, il y a d’autres alternatives pour que tu me donnes du plaisir.
En effet, d’un sourire vicieux, je m’assois sur ses cuisses, je prends sa bite et la colle contre la mienne et commence à les branler l’une contre l’autre. Quelle délectable sensation de sa queue ardente et extrêmement rigide contre la mienne.
Il va vite remplacer mes mains par les siennes et va continuer la masturbation.
A ce moment là, je peux caresser à satiété ses larges épaules, ses pectoraux saillants et sons ventre d’une extrême douceur.
Le plaisir monte rapidement et je sens que je vais jouir. Je ne veux pas lui faire dessus et d’une voix essoufflée je lui dis :
- c’est trop bon, je vais jouir !
- va s’y, va s’y, moi aussi !
Dans un bonheur trop fort pour contrôler mes jets et accompagné d’un orgasme dévastateur, je lui macule le ventre et le torse de mon sperme. Alors que mes dernières gouttes de jus s’écoule de mon méat, L est pris de violentes convulsions de jouissance et gicle son sperme qui se répand sur son corps et se lie au mien.
Je m’écroule à ses côtés, mais l’heure tardive me fait vite reprendre mes esprits et je dois m’en aller.
Je lui dis à bientôt, non sans oublier de l’embrasser tendrement.
A suivre.

Seithan





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