La Libraire

Danielle, femme de 34 ans, assez portée sur le sexe est du genre à se masturber sans attendre en cas d'excitation. C'est la raison qui fait qu'elle ne porte jamais de sous vêtement. Habillée toujours très court elle laisse voir son cul en se penchant un peu trop en avant. C'est la même chose quand elle monte sur un escabeau. Et ça lui arrive souvent: elle est libraire et il arrive qu'un client ou cliente lui demande un ouvrage classé assez haut et dans ce cas il faut bien qu'elle aille chercher le livre. Mais entre deux clients il lui reste du temps libre. Elle commence la lecture de ses auteurs préférés. Ses goûts se portent toujours vers des ouvrages licencieux, la plus parts ayant des illustrations très libertines.
Faut-il rajouter que sa boutique est spécialisée dans ce genre d'ouvrage et que les clients ou clientes allant chez elle font partie des amateurs "éclairés". Elle gagne très bien sa vie:les ouvrages vendus coûtent très chers.
Pendant ses loisirs, donc, Danielle lit ou feuillette ce qu'elle vend. Mais pour ce faire, elle s'installe toujours à l'arrière boutique d'où elle peut voir sans être vue. En ce moment elle feuillette un ouvrage mettant en valeur l'étreinte d'un homme très bien monté et d'une domestique un peu rétive. La première illustration montre la plastique irréprochable de la servante: grosse poitrine, cuisses parfaites et sexe poilu. Danielle mouille de voir ce corps qui va être la proie de la bite que montre l'image suivante. Les textes accompagnateurs sont aussi très violents. Tournant les pages qui deviennent de plus en plus porno, Danielle n'y tient plus et elle soulève sa mini jupe et pose sa main sur son sexe et commence à se branler. Elle pose chacune des jambes sur un petit banc de part et d'autre pour ne pas avoir à forcer pour se masturber et jouir sans peine. Quelques fois, quand elle est très excitée elle se branle avec un gros godemiché qu'elle a à demeure dans sa boutique. Dans ce cas, elle se branle légèrement le clitoris et étant mouillée elle s'introduit dans le vagin cet engin qui lui donne énormément d'orgasmes.

Mais dans ces cas là elle ne sort son gode qu'après avoir jouit pour le remettre aussitôt encore pour se masturber.
Un jour elle jouissait comme une folle pour la 4° fois de la matinée quand une cliente venait choisir un ouvrage pour pimenter sa vie de couple. Cette personne bien mise entendant un bruit dans l'arrière boutique allait voir ce qui pouvait s'y passer. Elle surpris Danielle en pleine masturbation. Elle ne la dérangeait pas, mais excitée par cette vision, elle levait sa jupe et passait une main dans son slip pour accéder à son clitoris. Contrairement à Danielle qui fermait les yeux, elle les gardait ouvert pour admirer. Elles jouissaient pratiquement en même temps.
Ouvrant enfin les yeux Danielle voyait qu'elle n'était plus seule et en était confuse. La cliente la rassurait. Elle avait eu raison de se donner du plaisir. Elle venait bien de le faire à l'instant. Pour achever la conversation elle faisait une proposition qu'elle n'aurait jamais faite en temps normal. Pourquoi ne pas fermer la boutique le temps pour elles de baiser. Danielle sans hésitation et contrairement à ses habitudes se levait et allait fermer la porte d'entrée. Elles passèrent dans l'arrière boutique et sans se concerter, elle se mirent entièrement nues et en s'enlaçant elles échangeaient un profond baiser en se caressant mutuellement les seins. La cliente les avait assez gros et ceux se Danielle assez petits. Il n'empêche qu'elles se les embrassaient et les caressaient. Enfin leurs mains venaient sur leur moule et commençaient à les branler. Mais Danielle faisait asseoir la client, lui écartait les jambes les posait sur ses épaules et commençait à venir sucer le con, en mettant un doigt dans le cul. La cliente appréciait cette double caresse et jouissait dans la bouche de Danielle. Au tour de Danielle de se voir sucer le con. Elle avait droit aux mêmes prévenances et elle jouissait de la même façon.
Elles recommençaient à chacune des visites hebdomadaires de la cliente. Elles n'étaient pas lesbiennes ni bisexuelles, mais entre elles s'était devenu une drogue.