La Première Fois Que J'Avale
Bonjour à toutes et à tous. Ceci est la suite de ma visite débridée au sex-shop. On regagne donc la boutique où Sandrine nous attend en discutant avec le patron. Elle a une poche anonyme à la main, preuve de son achat:
Elle s'adresse à Dani:
- Eh bien vous en avez mis du temps! J'espère que ça valait le coup?
- Trop bien, mais demande plutôt à Pat.
- Ah oui, c'est vrai que c'était elle la salope de service. Elle a eu sa queue?
- Oh pour ça oui, même deux, et plus si elle avait pu. Une vraie nympho.
Elles parlent de moi comme si je n'existais pas, devant cet inconnu, et j'ai le feu aux joues de honte, je dois être cramoisie. Ca les fait sourire:
- Ne rougis pas ma chérie, il n'y a pas de mal à aimer les queues, même si ce n'est pas mon truc. Deux queues c'est bien, mais on dit jamais deux sans trois. Si tu as encore faim notre copain ne demande qu'à t'offrir la sienne, il ne me parle que de toi. Et puis tu n'as rien à craindre, il est de toute confiance, et tu peux le pomper à fonds.
Je ne sais plus où me mettre, et sans le vouloir une voix s'échappe de moi:
- Vous voulez que je vous suce?
- Volontiers, et comme te l'a dit ta copine, tu n'as rien à craindre.
Je passe derrière le comptoir. Les autres mecs étaient nus et bandaient dur, lui est habillé, sans doute mou, et j'ai peur de mal m'y prendre. Je m'accroupis, défait sa ceinture, sa braguette, et descend son froc. Il a un boxer avec une belle bosse prometteuse. Je le baisse sans hésiter et me trouve face à face à son sexe. Il est joli, mi mou mi dur, mi pendant mi dressé. Je le prend délicatement en main. Il est chaud, souple, et s'épanouit sous mes caresses. Il n'est pas démesuré comme celui du vieux, mais respectable. La taille idéale pour le gober entièrement, ce que je fais sans plus tarder. Il n'a pas encore décalotté, je le décapuchonne de mes lèvres, tout en douceur, et le gobe jusqu'à sentir son gland dans ma gorge.
- Humm, c'est une bonne ta copine. Tu es sûre qu'elle n'a jamais sucé?
- C'est ce qu'elle m'a dit, et je veux la croire. Mais c'est vrai qu'elle a l'air de te faire du bien. Remarque si elle suce aussi bien qu'elle lèche, je te comprends.
- Pour me faire du bien, elle me fait du bien la salope. J'ai connu pas mal de bouches, hommes ou femmes, mais je peux te dire que c'est une des meilleures.
Une fois de plus ils parlent de moi comme si je n'existais pas, et je m'en fous complet. Je crois même que leur propos me plaisent, et je suis fière de leur plaire d'autant que c'est vrai, je n'ai pas d'expérience en fellation. Ce doit être inné, j'aime la queue.
Je le pompe si bien qu'il me prévient qu'il ne va plus pouvoir se retenir, et que si je ne veux pas qu'il jouisse il est temps d'arrêter. Je me retire, regarde sa queue luisante de ma salive, son gland rouge de plaisir, gorgé de désir. Les filles me sentent hésitante, et m'encouragent à continuer, m'assurant encore une fois que c'est sans risque et que je regretterais de ne pas le faire. Et puis merde, j'en ai trop envie. Je le reprends et le pompe avec frénésie pour activer son éjaculation. Il pose sa main derrière ma tête, me maintient fermement contre lui, et je sais que ça va partir et qu'il est trop tard pour faire marche arrière. De toute façon je n'en avais pas l'intention.
Une première giclée, puissante et fournie, fuse dans ma gorge et j'avale pour ne pas m'. Puis d'autres giclées suivent que j'arrive à contrôler. Je les garde en bouche, et pour la première fois de ma vie je savoure du sperme, puis j'avale. Ce n'est pas mauvais, sans plus. C'est chaud, épais, salé, mais plus que le sperme lui même je comprends que ce qui est excitant, parce que dégradant, c'est qu'un mec se serve d'une suceuse, ou un suceur, comme d'un vulgaire vide couilles.
Ces soubresauts cessent, sa main se dégage, et je continue à le sucer pour le nettoyer comme une traînée consciencieuse du travail bien fait, à saliver pour me rincer la bouche.
J'ai terminé et me relève. Il me saisit par la mâchoire, soude ses lèvres aux miennes, et allonge sa langue pour un baiser auquel je m'abandonne. Il me relâche et se rhabille.
- C'était parfait, tu es géniale. On remet ça quand tu veux.
Je lui dis on verra, histoire de le titiller un peu.
En fait je ne cesse de penser au vieux de la cabine et à sa grosse queue, et au mec qui pompait entièrement la longue queue de son pote, et se la faisait mettre toute dans le fion.
J'ai envie d'en faire autant avec notre habitué, le gober jusqu'à la racine, me faire enfiler au plus profond. Mais pour cela il faut que je m'exerce. Je regarde les vitrines et me décide pour un superbe gode ventouse aux dimensions de mon vieux queutard. Le patron me l'emballe dans une poche discrète, et me fait cadeau d'un joujou.
On repart en voiture, et je ne cesse de gonfler mes copines avec ce vieux hyper emmanché. Il me tarde d'être chez moi pour m'entraîner sur mon bel engin. Elles ont prévu autre chose et n'ont aucun mal à me persuader à les suivre.
On se retrouve toutes les trois chez Sandrine. Je suis chez elle comme chez moi, et inversement, et je vais à la cuisine chercher du lubrifiant. Crème fraiche, chantilly, petit suisse, j'hésite puis me décide pour du beurre mou. Je revient au salon, et mes compagnes se sont dévêtues, puis allongées sur le canapé dans un 69 gourmand. Elles n'en ont rien à faire de moi, ni moi d'elles. Je fixe solidement mon gode ventouse sur la table du salon, puis déballe mon cadeau. C'est un superbe plug, ovalisé, hyper large au milieu. Je prends du beurre, enduis ce jouet, et me fouille le cul. Je suis bien graissée et tente l'insertion. Ce plug est plus large que je ne le pensais, et il me faut serrer les dents pour me le mettre.
Je m'assieds sur ce pylône, m'empale dessus , et le beurre aidant je descend jusqu'à toucher la table de mes miches. C'est vraiment énorme et je reste quelques instants sans bouger pour accepter cette insertion. Lentement je remonte sur cet impossible engin, redescends, remonte, et je prends un plaisir infini qui me fait disjoncter. Je suis transportée et crois vraiment que mon vieux salaud est là:
- Oh ouihh! C'est trop bon salaud, bite moi profond, c'est bon ta grosse queue dans mon cul de salope. Défonce moi, je suis ta pute. Ramone moi mon fion de putain d'enculée.................................
Une main se pose sur mon épaule. "Ca va?"
Je redescend de mon nuage. Mes copines ont stoppé leur broutage de minou pour s'inquiéter de moi. Je ne sais même plus ce que j'ai fait ou dit et elles me le raconte avec délicatesse. Puis elles me proposent de s'équiper d'un gode ceinture et de me prendre par derrière. Sandrine s'appareille, et à peine je me suis dégagée de mon joujou, qu'elle est au fonds de moi.
On baise régulièrement, avec ou sans ustensiles, on a je crois tout essayer, soft ou hard, mais avec toujours de la tendresse, limite amour. Mais là, pour la première fois je ne reconnais plus ma chérie. Elle me défonce, m'insulte, comme le ferais un mec macho sûr de sa virilité à la con:
- Tu en veux de la bite ma salope, je vais t'en donner. Prends poufiasse, sens la bien ma grosse bite dans ton cul de chienne lubrique.
Elle me connait par cur, et c'est tout ce que j'espérais.
Elle me ramone jusqu'à s'épuiser, et Dani prend le relai.
Elle profitent de mon plug, de mon gode ventouse, de leur gode ceinture, et on passe des heures à se matraquer à tour de rôle.
On en a assez, plein le cul pour oser un jeu de mot douteux, et on va à la chambre. On s'installe sur le lit, en triangle, pour un 69 anal, qui soulage nos fions défoncés.
Nos culs réconfortés, on se broute le minou, pour s'abreuver de nos cyprines intarissables.
Je rentre chez moi, et n'ai plus l'envie de jouer avec mas toys, comme je me l'étais promis. J'ai eu ma dose, on verra demain.
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