1 - Initiation

Bonjour à tous. Fréquentant assidument ce site et appréciant particulièrement les histoires relatées qu’elles aient été vécu ou simplement fantasmées, je viens apporté ma contribution avec mon histoire. Je m’appel Alexandre j’ai 25 ans, les cheveux brun et je mesure 1m75 pour 60 Kg.
Tout commença par une après-midi d’été ou je profitait de mon temps libre pour allé faire une sortie de vélo en montagne malgré le temps lourd et menaçant. Alors que je n’étais pas même à mis parcours le vent se leva, prémisse à l’orage et quelques grosses goutes de pluie se mirent à tomber. J’étais dans l’ascension d’un petit col alpin que je connaissait bien et je savait qu’il y avait au sommet un petit abris bus en bois ou je pourrais attendre tranquillement que passe le plus gros de l’averse. Je hâtais le train et me mettais à l’abris juste avant que l’orage ne s’intensifie. Profitant de cette halte je me restaurait tranquillement lorsqu’un autre cycliste, âgé d’une bonne quarantaine d’années et arrivant du versant opposé juge l’idée bonne et me rejoigne. Nous échangeâmes quelques banalités puis je lui répondit que nous n’avions plus qu’à prendre notre mal en patience.
Alors il s’approcha de moi et commençant à me caresser la cuisse droite il me souffla à l’oreille qu’il connaissait de bons moyens pour faire passer le temps très agréablement. J’eu un mouvement de recul lui expliquant que j’étais seulement hétéro et que ce genre de rapport ne m’intéressait pas du tout, mais il me répliqua toujours sur le même ton qu’il ne me demandais pas d’être gay mais simplement de prendre du plaisir. Il avançait au fur et à mesure que je reculais et je ne tardais pas à être acculé à la paroi de l’abris bus. C’étais un solide gaillard à peine plus grand que moi mais particulièrement trapu et je ne savait pas du tout comment lui échapper. Il intensifia ses caresses passant à ma fesse droite tout en me disant : « Laisses toi aller, tu vas adorer » et il ajouta en souriant « on dirait que tu apprécie déjà ».

En effet sa main était passée à mon sexe qu’il caressait à travers mon cuissard et celui-ci se mettait à bander progressivement bien malgré moi.
Il m’embrassa d’abord dans le cou puis sur la joue et enfin sur la bouche. Ses caresses délicates sur mon sexe finirent par me libéré et je m’abandonnais petit à petit à ses caresses. Nos langue se mêlèrent dans un baiser langoureux puis voyant que je réagissait favorablement il me prit la main et la guida vers son sexe. Je passa une main sous son cuissard et je commençait à la caresser délicatement tout en sous-pesant ses testicules. Imprimant une légère pression sur mes épaules il me fit m’agenouiller et libérant complètement son sexe il m’invita à le sucer. Il restait plutôt doux mais dégageait un charisme naturel qui ne souffrait aucune contestation. Je pris son sexe d’une main tremblante et le masturbait délicatement. Puis jouant avec ma langue je lui léchait d’abord les testicules puis remontait doucement vers le gland laissant courir ma langue sur toute la longueur de son sexe. N’y tenant plus je le pris en bouche et découvrait le gout fin et délicat d’un sexe masculin. C’étais aussi doux et chaud et moi qui était encore farouchement hétéro quelques minutes auparavant, je suçais un inconnu en pleine nature qui pourrait presque être mon père et j’aimais ça. J’alternai les caresses jouant de ma langue et de mes lèvres tantôt sur le gland, tantôt sur les testicules. Il me caressait la tête me traitant de « bonne petite suceuse » et m’encourageant ce qui décuplais mon excitation et mon plaisir.
Mais il ne voulait vraisemblablement pas en rester là car me prenant par le bras il me releva, me retourna et me plaquant la joue contre la paroi il me dit à l’oreille « maintenant je vais enculer ce magnifique petit cul bien ferme, ferme les yeux et détends toi ». Son ton avait changé et il étais encore plus autoritaire. Il descendit brusquement mon cuissard sur mes chevilles puis remontant mon maillot il m’empoigna les fesses, les malaxant entre ses doigts.
Il cracha sur mon anus et commença à le caresser et me pénétra avec un puis deux doigts. J’écartais les jambes et me cambrais au maximum pour lui faciliter l’accès, alors ses doigts se retirèrent et je sentit son gland bien lubrifié par ma longue fellation contre mon anneau délicat. Un long frisson me parcourut l’échine, j’avais la peau très moite et je sentais mes jambes flageolantes céder petit à petit sous mon poids. Il m’attrapa par la taille, et je sentis son gland pénétrer petit à petit mon cul étroit, centimètre par centimètre jusqu’à ce que je sente le contact de ses poils pubiens contre mes fesses. Il s’immobilisa quelques seconde puis entreprit un lent va et viens. La douleur initiale se transforma bien vite en plaisir et mes petits cris de douleur se transformèrent en gémissement de plaisir. Il accéléra progressivement la vitesse et je sentais maintenant ses testicules battre contre mes fesses. Soudain ses mains se crispèrent sur mes hanches et je sentit son sexe se contracter. Il éjacula par long spasme au fond de mon culs poussant de petit grognement satisfait. Il se retira et n’ayant plus ses mains pour me maintenir je me laissais glisser le long de la paroi satisfait et repu de sexe. Les yeux toujours clos je sentais mon cœur palpiter et une étrange sensation de vide dans mon anus.
Je ne saurais dire combien de temps je restais dans cette position, mais lorsque je me rouvrit les yeux, la pluie avait cessée et mon homme c’était envolé. Je pris alors conscience de l’urgence de la situation. J’étais en pleine nature, affalé sur le sol le cul à l’air et dégoulinant de sperme. Soudain honteux de ma conduite, je me rhabillais en vitesse, pris mon vélo et repartis. Malgré cela mon sexe douloureusement bandé me donnais surtout envie de recommencer au plus vite mais je réalisais que je ne connaissais pas même le prénom de mon amant…

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