Amant Partagé
Après dix ans de vie commune et six ans de mariage, javais envie dune femme plus chaude, plus sensuelle, plus coquine. Je fantasmais quelle devienne un jour une belle salope. Nous menions une vie très tranquille, que ce soit familiale, professionnelle ou sexuelle. Côté cul, trois ou quatre rapports par mois où je faisais de mon mieux pour la faire jouir. Elle jouissait, mais les orgasmes restaient rares.
Lorsquelle était disposée à faire lamour, je la caressais, lembrassais, la léchait. Je la mettais en condition, mévertuant à lui donner du plaisir. De son côté, elle se contentait décarter les jambes et se laissait faire. Javais rarement le droit à une gâterie et le plus souvent du bout des lèvres. Je ne parle même pas de ses jolies fesses, elle aime que jy mette la langue, mais pas plus. Lendroit reste désespérément clos à mes suppliques. Pour la fantaisie, jai bien remarqué quelle jouit mieux quand je la fesse ou quand je maltraite ses seins. Mais dès le rapport fini, elle me reproche ma brutalité. Bref, ce nétait pas vraiment la joie au lit et ça me pesait énormément. Je rêvais souvent quelle devienne plus salope, quitte à ce que dautres hommes en profitent.
Je fini par fréquenter les sites qui traitaient du sujet, des hommes voulant que leurs femmes souvrent à la sexualité, sans ment aller jusquau libertinage ou à la partouze, mais juste plus ouvertes dans lintimité. Quelques témoignages et forums me confirmaient que pour ce genre de chose, il fallait souvent passer par un tiers. Plus facile à dire quà faire.
Puis un jour lors dun déplacement, je me suis retrouvé avec un gars à la table voisine, on a sympathisé, on a bu un peu trop et finalement nous nous sommes racontés nos vies, surtout sexuelles. Je lui racontais mes déboires et mon désarroi, lui me racontait les siens. Sa femme était un peu comme la mienne, même sil avait obtenu plus de chose que moi et quil arrivait à lamener plus souvent que moi à lorgasme.
- Tu sais Jean, pour éviter les problèmes, je ne séduis que des femmes mariées. Comme ça, après la baise, elles retournent voir gentiment leurs petits maris.
- Mais elle se laisse séduire ?
- Les femmes mariées ont besoins de se sentir belles et désirées, comme les autres. Ya pas de raison. Et puis comme ça, on est à égalité, je suis marié, elle aussi, après chacun rentre chez soit et voilà.
- Et tu ne tais jamais fais attrapé pas un mari ?
- Non, jamais, elles sont très prudentes.
- Ok, bon ! Mais moi, je ne crois pas que je pourrais aller voir ailleurs, ce nest pas vraiment dans ma nature, je crois que je ne saurais pas trop quoi faire.
- Tu sais les femmes sont différentes avec leurs amants, elles sont plus coquines, plus entreprenantes, elles sont plus salopes quoi !
- Tu crois que ma femme est comme ça aussi ?
- Je crois que beaucoup de femmes sont comme ça. La tienne, peut être aussi !
On se quittait un peu plus tard, passablement éméchés. Dans ma chambre, je ne pus mempêcher de repenser à notre conversation. Je limaginais en train de prendre ma femme qui se comportait en véritable furie sexuelle. Je bandais tellement que je me branlais à cette idée.
Le lendemain, peu habitué à boire, je me réveillais avec une gueule de bois terrible et aussi une envie irrépressible de jeter ma femme dans les bras dun homme qui saurait louvrir aux plaisirs du sexe. Je savais le jeu dangereux, mais connaissant ma femme, je le pensais surtout impossible. Un doliprane soigna mon mal de cheveux, mais rien ne me fit passer mon fantasme. Je bandais dur toute la journée en y pensant. Je décidais de recontacter mon nouvel ami pour lui faire part de mon désir.
- Tu aimerais que je séduise ta femme ?
- Oui, cest ça ! Mais cest pour que tu maides à la rendre plus sensible aux choses du sexe, tu comprends ?
- En gros, tu voudrais que je la drague et que jen fasse une salope, cest ça ?
- Oui, cest sûr que dit comme ça
- Si je te le dis comme ça, cest pour que tu sois bien conscient quune fois quelle sera ouverte aux choses du sexe, comme tu dis, il ny a pas de retour en arrière et ce nest pas sûr que tu en profites toi-même !
- Oui, jai bien réfléchi à la situation. Je sais que cest un jeu dangereux pour mon couple, mais je crois que je ne peux pas supporter de vivre comme ça plus longtemps.
- Bon, je marrange pour être dans ta région la semaine prochaine. On verra si ta femme se laisse séduire, ce nest pas gagné non plus tu sais.
- Oui, je crains que se soit la partie la plus difficile de mon plan.
- Ah ! Parce que tu as un plan ?
- Non, je veux dire du projet.
- Ok, envois moi quelques photos pour que je la reconnaisse ainsi que son planning que je puisse la rencontrer. Si tu peux me donner quelques détails sur son boulot, sa boîte ou elle mange le midi, ce serait parfait.
Le soir même, je lui envoi par courriel quelques photos de Cécile ainsi que le programme que je connais de sa semaine prochaine. Je bande comme un âne en effectuant ma tâche. Excité, je tente une approche un peu coquine, mais madame reste impassible. On baise à la papa et je jouis en limaginant sous le joug de David, mon nouvel ami.
Je ne pense quà lui et à ma femme tout le weekend et une partie de la semaine, je bande sans arrêt. Enfin il me contact et me donne rendez-vous à son hôtel jeudi matin pour me donner des nouvelles. Je me rends dans sa chambre ou il sest fait livrer deux cafés.
- Je lai rencontré ta femme, elle est vraiment jolie, jai hâte de la prendre en main.
- Tu crois que ça va être possible alors ?
- Cest plutôt bien partie.
- Tu las vu où ?
- Son patron me la présenté. Jai eu du mal à ne pas bander. Je la voyais déjà à poils.
- Tes vraiment un obsédé sexuel toi ! Haha.
- Oui, regard, jen bande encore.
Effectivement, je voyais bien la bosse que faisait son pantalon. Jétais gêné, jamais je navais vu un mec bander devant moi. Je bandais aussi. Il me surprit en mattrapant par le paquet :
- Tu bandes aussi, petit cochon.
- Oui, jai bandé tout le weekend.
Il ne me lâchait pas et avait commencé à me masser le sexe. Javais le rouge aux joues mais ne savais pas quoi faire.
- Jai pensé au cul de ta femme toute la nuit ! dit-il en sortant sa queue de sa main libre.
- Regarde comme je bande !
Il prit ma main et la posa sur la tige chaude et douce. Je nosais rien. Je me laissais faire. Je regardais, fasciné, ce gros sexe dans ma main. Il appliqua un mouvement. Il se branlait, je le branlais.
- Oui, cest bon ! Soulages moi, en attendant que je me soulage dans ta femme. Je vais en faire une salope de ta femme.
Il appuyait sur ma nuque, je magenouillais, excité par ses mots, par son sexe que jadmirais à quelques centimètres de mon visage. Il posa son gland sur mes lèvres :
- Tu vois, je vais faire comme ça avec ta femme. Elle va me sucer et elle va aimer ça. Tous comme toi ! Aller, ouvre.
Jobtempérais, machinalement, comme envouté par cet homme. Je sentais le gland chaud, doux et malodorant possédé ma bouche. Je me mis à le sucer. Je le suçais comme jaurais aimé être sucé. Il avait raison, ce salaud, jaimais ça, lavoir en bouche.
- Cest bien ! Tu suce bien pour une première fois. Tes doué. Prends la bien au fond.
Je lécoutais et le laissais me baiser la bouche. Je lui malaxais les couilles, lui léchais. Il utilisa ma bouche jusquà ce quil jouisse.
- Tes une bonne suceuse ! Jespère que ta femme sera à ta hauteur.
- Merci.
- Tes trop toi, tu me remercies en plus. Je crois quon va vraiment samuser tous les trois. Bon, laisse-moi maintenant, il faut que jélabore un plan pour ta femme.
Je quittais lhôtel avec des sentiments étranges. Je me sentais parfois humilié, parfois fier de ce que javais fais avec David. En tous cas, je bandais toujours. Naturellement, il fut difficile de travailler dans un état pareil. Il a fallut que je cache mon érection toute la journée.
Cécile me téléphona pour me dire quelle devait travailler tard ce soir car elle devait préparer un dossier de formation que son patron jugeait urgent. Elle devait être formée avec quelques unes de ses collègues la semaine prochaine. Je nen croyais pas mes oreilles, ce mec avait réussi à convaincre le patron de ma femme de faire cette formation en urgence et en plus sétait arrangé pour que ma femme laide dans la préparation. Il était vraiment trop fort. Je ne doutais plus de la réussite de cette entreprise, même si cela me serrait le cur. Il allait baiser ma femme, il allait en faire une salope.
Je reçu un message de David me disant quil passait la soirée avec ma femme et quil allait faire durer le plus longtemps possible. Il me demandait de ne pas appeler ma femme pour évité de raccourcir le temps passé avec.
Jattendu donc patiemment devant la télévision, mais avec une érection énorme. Je prévoyais de faire semblant de mêtre endormis sur le canapé lorsquelle rentrera pour ne pas quelle se pose des questions sur le fait que je ne lavais pas appelé. Elle est rentrée à une heure du matin et je métais vraiment endormi. Elle fut surprise de me voir là, moi aussi, je devais faire semblant de dormir mais je me suis réveillé en sursaut quand elle a fait tombé les clés au sol. Mal rhabillée, les cheveux décoiffés, le maquillage disparu, je savais quil avait réussi son plan, notre plan. Je me levais et me serrais contre elle. Je déposais un baiser sur sa bouche et essayais de forcer ma langue. Elle résista un peu puis se laissa faire. La garce, sa bouche avait un goût que je connaissais, celui du sperme de David. Ce mec était mon héro, il avait réussi en quelques heures là où javais échoué en dix ans. Elle me regarda, comme pour voir ma réaction, je souriais :
- Mais tu rentres tard, je navais pas vu quil était déjà cette heure-ci ?
- Oui, on a fini le dossier assez tard puis on est allé boire un verre avec mes collègues, je nai pas vu le temps passé.
- Ce nest pas grave, lessentiel est que tu sois avec moi maintenant.
- Je vais prendre un douche et puis dodo, je suis fatiguée moi.
- Je tattends au lit !
Je prends mon portable pour régler le réveil et me rend compte que jai un message écris de David :
- Elle est venue dans ma chambre. Cest une bonne salope, mais manque de formation. Lol. Lorsquelle sera à la maison, regardes sous la jupe, elle na pas de culotte. Je lai dans la main. Bonne soirée.
Je me précipite vers la salle de bain. La porte est mal fermée, je jette un il discret. Elle finit seulement denlever son haut et son soutien-gorge. Elle caresse ses seins en les regardants dun air satisfaite dans le miroir. Elle baisse sa jupe et je découvre queffectivement, elle na plus de culotte. Elle passe ses doigts entre ses cuisses et ramène sa main en pleine lumière. Ma femme contemple en souriant une substance qui luit sous les ampoules. La salope a encore la chatte pleine. Je bande comme un fou. Je ne tiens plus en entre dans la salle de bain.
- Chérie, jai envie de te faire lamour.
- Mais tu ny pense pas, je suis fatiguée, ce nest pas le moment.
- Tu préfère te faire baiser par un autre mec, cest ça ?
- Ne sois pas grossier, tu divagues complètement, tu as bu ou quoi ?
- Moi non, mais toi je crois que tu as bu une bonne ration de sperme. Et ça, cest quoi ?
En disant cela, je plaque ma main sur sa chatte poisseuse, en recueille une bonne quantité de semence et le lui montre. Ses joues sont dun rouge écarlate. Elle bégaie, ne sait plus quoi dire. Une larme coule sur sa joue. Je la prends par la main et lemmène dans la chambre. Je lallonge, me déshabille et me couche sur elle. Sentant mon érection, elle écarte ses cuisses, prend mon sexe et le dirige vers son antre chaud et ruisselant dun autre. Pendant que mon sexe progresse, elle membrasse dun baiser torride que je ne lui connais pas. Je la baise directement, je la pilonne dentré.
- Floc, floc, floc. Ma queue coulisse dans sa chatte marécageuse.
Je ne la ressens pas aussi bien que dhabitude autour de mon sexe mais elle jouit rapidement. Elle a un orgasme, un vrai, un puissant. Là, je sens ses muscles vaginaux se contracter autour de ma queue, jamais elle navait fais ça, jamais elle navait eu un orgasme comme celui-ci. Je me répands en elle, mélangeant ma semence à celle déjà présente. Notre étreinte a été brève mais intense. Elle pleur, davoir jouie, de mavoir trompé, davoir prit son pied avec un autre. Elle me promet de ne plus jamais me tromper. Je lui dis que si cest pour le bien de notre couple, elle peut recommencer quand elle veut. Elle se tourne sur le côté, je me colle à elle et la serre dans mes bras pendant quelle sanglote. Epuisés, nous nous endormons rapidement.
Le lendemain matin, Cécile menvoi un message. Elle mécrit quelle a bien réfléchi à ma proposition et quelle va rentrer tard pour le bien de notre couple. Je comprends lallusion, elle me signale quelle va se faire baiser. Elle est devenue salope en même pas 24 heures. David mappelle et je lui raconte la séance dhier soir.
- Bien joué mon gars. Cest pour ça quelle na pas été facile à convaincre pour ce soir. Ok, on va changer de programme. Elle doit venir dans ma chambre vers 18h, juste après le bureau. Si tu peux passer deux heure avant, je te raconterais tranquillement ce que jai fais avec elle.
- Je serais là.
Jai un mal fou à me concentrer sur mon travail de la journée. Mais pas de problème pour être à lheure du rendez-vous. Je frappe à la porte de la chambre dhôtel, il mouvre habillé dun peignoir. On sinstalle sur le petit canapé et il me raconte la journée dhier :
- Je suis allé directement à sa boite hier matin après la gâterie que tu mas faite. Je devais préparer le dossier de demande de subvention pour la formation avec son patron. Après quelques minutes, je lui ai suggéré quil avait sans doute mieux à faire et quil valait mieux quune employée maide pour cette tâche. Je lui ai glissé le nom de Cécile, en lui faisant comprendre que jaimerais la draguer, il ma souri en me disant un « bon chance » peu convaincu que je réussisse à la séduire. On sest retrouvé tous les deux dans une petite salle de réunion. Javais plein de document administratif à préparer, la plupart nayant rien à voir avec cette formation, mais je gagnais du temps pour la garder avec moi. Je linvitais à déjeuné, non sans avoir demandé à son patron discrètement si on pouvait « trainer un peu ». Comme je crois que cest un queutard comme moi, on sest comprit depuis le début. Il ma juste répondu « Cest un déjeuné de travail ! Donc si Cécile travail, ça peu durer un peu ! ». Je lai emmené dans un bon restaurant. Je lai dragué en douceur. Puis retour au bureau, ou jai encore fais durer les choses. Si bien quon a du travaillé tard, doù le message que tu as reçu. Je me suis arrangé pour finir vers 20h. Elle a accepté de diner avec moi si je lui payais le taxi pour le retour. Jai choisi le restaurant de lhôtel. Jen ai profité pour la faire boire un peu. A la fin du repas, on sest embrassé sur la bouche, assez chastement. Je lui ai dis quil fallait que jaille dans ma chambre pour aller chercher de largent en liquide pour le taxi. Elle ma accompagné. Un fois arrivé, je lai embrassé à pleine bouche, elle a hésité mais finalement sa langue sest mise à danser avec la mienne. Je peloté ses seins, son cul, elle se laissait faire en émettant de petit gémissements. Je lai déshabillé en douceur. Je lai mise sur le lit. Jai sucé ses seins, parcourut son ventre, son cou, ses fesses. Je me suis régalé.
- Mais ça a été vite ?
- Oui, elle était en chaleur la garce. Je sentais son odeur de femelle en chaleur avant même de lui avoir ôté son string. Regarde, jen bande encore. Tiens, branle moi pendant que je te raconte. Tu bandes aussi ?
- Oui.
- Petit pédé ! Allé branle moi si tu veux connaître la suite. Oh ! Cest bon, tas les mains bien chaudes. Donc jai commencé à lui léché la chatte, elle nen avait pas vraiment besoin tellement elle mouillait.
- Ah bon ? Avec moi, il faut que je lui bouffe je ne sais pas combien de temps avant que ça vienne !
- Bref ! Je lui bouffe bien profondément, je la doigte, lui fourre ma langue dans le cul, jusquà ce quelle ait un belle orgasme. Jen ai profité pour me déshabiller pendant quelle planait et je me suis installé entre ses cuisses. Je lai pénétré avant quelle reprenne ses esprits. Je lai baisé doucement, mais bien en profondeur, pour la maintenir dans lorgasme. Elle a vraiment une chatte étroite ta femme, je la sentais vraiment bien. A propos de ça, montre-moi ta bite, car je tai un peu touché hier mais je ne sais pas comment elle est.
Je sors ma queue bandé et lui montre. Il se lève et jen fais autant. Il présente son sexe à côté du mien :
- Ah ok ! Je comprends mieux maintenant. Elle nest pas bien gros ta zigounette.
Effectivement, javais bien remarqué que son sexe avait lair plus gros que le mien, mais je pensais au fameux effet doptique. Il attrapa sa mallette et en sortie une règle gradué.
- On va mesurer nos bites. Je suis curieux de savoir combien tu fais.
Il me saisie par les couilles et me mesure.
- Treize centimètres en érection, tu es dans la petite moyenne. 3,5 centimètres de diamètre. A moi maintenant, alors ça fait
Pratiquement 18, un peu en dessous, mais on ne va pas chipoter pour 2 ou 3 millimètres et environ
je dirais entre 4,5 et 4,7 de diamètre. Bon ce nest pas très précis, mais cétait juste pour voir la différence. Je comprends donc mieux pourquoi elle était aussi étroite et pourquoi elle a autant joui et eu autant dorgasme. Je continu donc
Ou en étais-je ?
- Tu la baisais.
- Oui, et toi, branle moi. Voilà comme ça cest bien. Je la baisais bien. Je sentais bien sa chatte me serrer la bite. Elle gémissait. Jaime bien les femmes à la jouissance discrète. Comme son orgasme semblait se prolonger sans cesse, je me suis laissé aller et jai balancé la purée bien au fond de sa chatte !
- Tavais pas mit de capote ?
- Non, ta femme navait pas lair daller se faire baiser à droite et à gauche, donc pas besoin.
- Oui, mais toi ? Tu vas bien tirer dans tous le coin ?
- Je ne vais pas tirer dans tous les coins, jai juste trois ou quatre maitresses par-ci, par-là. De toute façon, jai fais un test lundi, il est dans mon sac. Javais prévu le coup. Dailleurs, ta femme ne sest même pas posé la question. Elle sest prit ma bite sans réfléchir, je crois quelle avait envie dun amant depuis pas mal de temps. Après avoir juté en elle, je suis resté dedans en coulissant doucement, le temps quelle profite de sa jouissance et quelle revienne sur terre. Elle avait un sourire jusquaux oreilles. Et elle ma dit « Merci, cétait vraiment super ! Je croyais avoir déjà eu un orgasme avant, mais maintenant je sais que cest toi qui mas fait avoir le premier. » Elle ma roulé une grosse pelle bien chaude. Elle ma fait mallonger sur le lit et elle ma fait une pipe denfer. Si bien que je lai baisé encore une fois. En faite, je lai baisé quatre fois en tout. Je lui ai fais toute les positions, missionnaire, levrette, debout, elle sur moi, une vrai furie du cul. Elle en voulait toujours plus. Cest moi qui ai fini par lui dire quil fallait quelle rentre car son mari allait se douté de quelque chose.
- A ce point là ?
- Oui ! Elle ma même offert une gâterie jusquau bout avant de partir. Et je peux te garantir quelle na pas laissé une goutte tombé. Elle a tout avalé.
- Je sais, elle puait le sperme quand elle est rentré.
- Et ce matin, elle ma dit quon avait passé une bonne soirée mais quelle ne voulait plus quon se voit. Je lai un peu baratiné, elle a un peu résisté, puis elle ma dit « Ok pour ce soir, mais ce sera la dernière ». Si elle vient ce soir, ce sera que le début. Jai prévu de lui déflorer sa petite pastille, je sens que je vais bien me régaler avec ta femme.
- Tu ny arriveras jamais. Je pense que cest trop tôt pour ce genre de chose.
- Tu ne connais pas Cécile comme moi je la connais. Quand elle est avec moi, cest une autre femme. En plus, vu ce qui cest passé entre vous hier soir, tu lui a plus ou moins donné lautorisation de se faire baiser ailleurs. Tu naurais peut être pas dû, mais cest ton problème, moi je vais bien en profiter. Je suis trop excité rien que dy penser. Suce-moi que je me détende un peu.
Je me penchais sur le sexe que javais toujours en main et le prit entre mes lèvres. Il avait sans doute raison, je naurais pas dû lui dire quelle pouvait aller voir ailleurs si cétait pour le bien de notre couple. Si cest David qui en profite, après tout, cest grâce à lui quelle devient plus chaude, mais si elle commence à aller se faire baiser à tous le coin de rue, je serais pris à mon propre piège. Je savais que le jeu était déjà dangereux, trop enthousiaste, javais ajouté des risques supplémentaires. Je suçais la belle queue de lamant de ma femme, mais je nétais pas très concentré.
- Arrête de penser à ta femme, tu vas te r pour rien, pour linstant elle est a moi. Jessaierais que ça reste comme ça. Je vais rattr tes conneries.
- Merci, tes vraiment un ami. Je ne sais pas comment te remercier pour ce que tu fais pour moi.
- Moi je sais. Tu aimerais maider à réaliser un de mes fantasmes.
- Oui, naturellement, cest quoi ce fantasme ?
- Je rêve de pouvoir un jour enculer un mari cocu. Je nai jamais sodomisé un mec et jaimerais essayer.
- Ah oui ! Cest un peu délicat ce que tu me demandes, je ne pensais pas que
- Tu te dégonfles ? Après tous, tu mas bien sucé deux fois. Et puis comme ça tu verras ce que ressentira ta femme quand je lui ferais. Je serais doux avec toi, je suis sûr que je peux te faire prendre ton pied.
- Tu crois ? Je ne sais pas, jhésite.
- Si tu as mal, tinquiètes pas, tu me le dis et on arrête tout. Jai du lubrifiant, je vais bien te préparer, tu verras, ça ira tous seul.
- Je te fais confiance. Je suis à toi.
Après mavoir mit nu, il me fit mettre en levrette sur le lit. Il frotta son gland sur mes couilles et sur mon anus. La sensation était vraiment agréable. Son doigt massait ma rondelle pendant que son autre main caressait mon sexe. De temps en temps, il serrait sa tige entre mes testicules et ma cuisse et se branlait en douceur. Un gel coula entre mes fesses et son index commença à progresser lentement en moi. Cétait une sensation étrange et délicieuse à la fois. Alors quil mavait pénétré que de deux phalanges, jeu le besoin de le sentir plus profond et surtout plus en largeur dans mon fondement. Je me suis reculé pour lui faire comprendre. Il finit de plongé son doigt et un deuxième dilata en douceur ma rondelle. Puis tout est allé très vite. Il a retiré ses doigts. Son gland est venu se plaquer et il la poussé en moi. Je me suis ouvert en douceur, il avait raison, je sentais un tiraillement, mais pas vraiment une douleur. Il stoppa un fois le gland passé. Il ajoutait un peu de gel. Et reprit mon dépucelage anal. Il savait y faire. Je commençais vraiment à aimer ça. Me sentant bien, je suis venu à la rencontre de sa queue, finissant dans un mouvement de recule lent la pénétration. Je me fixais, respirant lentement. Je laissais mon fondement shabi à cette grosseur. Jétais bien, apaisé, calme et serein. Il reprit du mouvement et me sodomisa cette fois en cadence. Comme tout allait bien, il me baisait le cul de plus en plus vite. Plus il accélérait plus jamais ça. Il me claqua le cul :
- Tes une bonne salope, putain, je ne pensais pas pouvoir tenculer aussi facilement. Taime ça petite pute.
- Oh oui ! Cest bon !
- Je veux que tu me dises « encules-moi fort mon chéri » !
- Encules-moi fort mon chéri, baises moi le cul, mon David chéri. Eclates moi le fion.
- Tes une bonne lopette, je vais lui faire la même chose à ta petite femme. Tu crois quelle va aimer ?
- Oh oui ! Elle va aimer ! Elle va adorer ta queue dans son cul.
Nen pouvant plus, il éjacula au fond de mon cul. Jeu moi-même une sorte dorgasme, mais sans éjaculer. Il venait de me procurer la plus belle jouissance de ma vie.
- Ce nest pas tout, mais moi jai une femme à enculer. Après ta douche, si tu veux en prendre une, tu sortiras avec la clé de la chambre. Tu reviendras quand je tenverrais un sms. Je te préviens que jusquà maintenant, tu sais que ta femme sest faite baiser, mais aujourdhui, tu vas la voir. Ca risque de te faire un choque de la voir se faire baiser et sodomiser par moi. Si tu penses ne pas le supporter, ne viens pas. Cest daccord.
- Cest bon. Jai compris.
Je quittais la chambre et lhôtel pour me rendre dans un café en face. Après 10 minutes dattente, Céline franchit la réception. Je navais pas cessé de bander depuis que jétais entré dans la chambre de David, depuis deux heures. Javais mal à la bite. Javais aussi létrange impression davoir comme de la mousse dans le fondement, sans doute la semence de mon amant. Je mimpatientais de recevoir un message. Je le reçu plus dune demi-heure plus tard. « Fait vite, mais soit le plus silencieux possible ».
Je me précipitais dans lhôtel. Montant les marches quatre-à-quatre. Jarrivais devant la porte essoufflé. Je repris mon souffle quelques minutes pour être sûr dêtre assez discret. Je glissais la clé le plus lentement possible et ouvrait la porte. La lumière était allumée en grand dans la chambre. Je parcourais le petit sasse resté éteins à pas de loup et tombait sur ma femme, nue sur le lit, en levrette. Les fesses vers moi, la tête enfouie dans les draps. Elle ne pouvait me voir. Je restais à langle, me faisant le plus discret possible. Sa chatte dégorgeait déjà du sperme de David qui me regardait en souriant. En regardant plus attentivement, je remarquais quelle tremblait. Elle devait être encore en pleine jouissance. Il remit son sexe dans son minou et le ressortit pour enduire la raie des fesses du jus de leur amour. Il répéta lopération plusieurs fois tout en massant le petite orifice vierge du pouce. Il le poussa entre les chaires qui sécartèrent avec une facilité déconcertante. Il la baisa un peu en gardant le pouce profondément fiché en elle. Il badigeonna de nouveau la zone, cette fois en faisant entrer deux doigts. Il faisait tourner doucement le majeur et lindex dans la cavité, il avait remit sa queue au chaud et la limait en douceur. Après quelques minutes de ce traitement, il sortit sa colonne de chaire ainsi que ses doigts et posa le gland sur lanneau. Il poussa et les portes inviolées de ma petite femme souvrir sur son passage. Il mit un peu de lubrifiant sur sa tige encore à lair libre et reprit sa progression. Il se retirait, puis lui remettait. Quant il eut la moitié dedans, il commença un va-et-vient. Allant toujours de plus en plus loin. Elle restait silencieuse, mais son bassin sanimait de plus en plus. Il attrapa la main de Cécile et la posa sur la chatte pour quelle se caresse. Je ne lavais jamais vu faire ça. Elle tritura son bouton rose pendant quil continuait de lui travailler lanus.
Un fois bien au fond, il lencula plus vigoureusement. Elle gémissait de plaisir, je nen croyais ni mes yeux, ni mes oreilles. Son cul bougeait et venait comme pour sempaler encore plus profond. Il accéléra encore et la pilonna jusquà ce quun orgasme lemporte. Il choisit se moment pour se retirer et reprendre sa chatte, qui de nouveau, lima à grands coup. Il alternait sans cesse le rythme ou la profondeur. Quand ma femme fut prit dun autre orgasme, il repointa sa queue dans sa rondelle sombre et pilonna encore. Il changea plusieurs fois allant du vagin à lanus à chaque nouvel orgasme. Je ne pensais même pas quon puisse faire ce genre de chose. Japprenais bien des choses. Ma bite était sur le point dexploser quand enfin il décida de marquer son territoire de sa semence. Il jouit abondement dans son anus dilaté. Jentendis me femme émettre un gémissement rauque, javais limpression quun autre personne quelle faisait ce son. Cétait surréaliste.
Ils se sont écroulés sur le lit, David toujours encastré au fond de son cul. Il ma fait signe de partie. Je les ai laissés à regret et je suis rentré à la maison.
Jai reçu un message de David vers 1 heure du matin, me disant quil lavait baisé et sodomisé encore deux fois et que maintenant elle dormait. Il allait la garder et soccuper delle toute la nuit. Cécile menvoya un message une heure plus tard pour me demander si elle pouvait aller en boite avec ses collègues et rentrer que dans la matinée. Elle voulait rester prude dans ses propos, mais nous savions tous les deux ce que cela voulait dire.
Elle est rentrée à 10h le lendemain matin. Elle était peignée et maquillée mais avait de larges cernes sous les yeux. Elle membrassa à pleine bouche, me faisant goûter une odeur de sperme frais dans sa bouche.
- Je suis fatiguée mon chéri. Je te ferais une surprise ce soir, mais là je suis nase.
- Ok ! Repose-toi bien mon amour !
Il se déshabilla et se coucha nue. Elle dormait au bout de quelques minutes seulement. Pendant que je la regardais dormir, je reçu un message de mon ami : «Cest devenue une belle salope, elle devait avoir ça dans le sang. Si tu peux, regarde son petit trou, il est tous boursouflé tellement je lai prise par-là. Il doit être crémeux aussi car je lui en ai remit une couche après la douche. Pour finir elle ma pompé la queue devant chez toi. Elle devait encore avoir la bouche pleine de jus quand tu las embrassé. Je vous embrasse mes deux petites salopes et à la semaine prochaine.
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