Vengeance D'Une Ex À Une Ex

Cette histoire est pure invention de ma part, c’est pourquoi je me permettrai de changer les noms des personnes de ce récit mais leurs relations entre elles existèrent.
Cette histoire comprendra deux parties : une tendre et douce et la vengeance à proprement parler qui sera un peu plus limite.

Bonjour à tous, je m’appelle Maxime, j’ai 20 ans et l’histoire que je vais vous raconter me vient d’un fantasme qui met en scène deux de mes ex-copines : Meg et Amélie.

J’étais sorti 3 ans avec Amélie, du même âge que moi, magnifique blonde aux yeux bleus, corps parfait, très timide en société et tigresse lorsque l’excitation la prend, et 2 ans après la rupture, j’avais toujours des sentiments forts pour elle alors que je sortais avec Meg, 2 ans de moins que moi, grande brune, un peu en chaire, joli visage in.
Ca énervait tellement Meg qu’elle conçut une petite vengeance afin de punir Amélie de me donner toujours de l’espoir et de ne pas me laisser vivre mon histoire avec elle.

Amélie ne connaissait pas Meg, ni personnellement, ni de vue ou quoi que ce soit d’autre…
Meg a donc voulu en jouer et commença donc à séduire Amélie qui avait quant à elle certains penchants bisexuels.
Au fur et à mesure qu’elles se fréquentaient, Amélie l’appréciait de plus en plus mais se gardait bien de m’en parler de peur de me perdre si je me rendais compte qu’elle flirtait avec quelqu’un d’autre.
Jusqu’au jour où Meg parvint à amener Amélie chez elle alors que ses parents étaient au travail et qu’elles n’avaient pas cours.

« Viens au sous-sol, on sera plus tranquille et il y a des matelas.
-Euh des matelas pourquoi faire ?
-T’inquiètes, viens, on ira doucement et on ne fera rien si tu ne veux pas, ça te rassure ?
-Un peu… »

Arrivées dans la chambre d’amis au sous-sol remplie de matelas afin de faire dormir le maximum de personnes les soirs de fête, Meg allongea Amélie sur le premier matelas venu et l’embrassa tendrement.


D’abord sur la bouche puis sur les joues, dans le cou, sur la clavicule et descendant le long de son épaule.
Meg défit petit à petit le chemisier d’Amélie afin de libérer son soutient-gorge (85B aux dernières nouvelles) puis continua à l’embrasser en descendant tout doucement le long de la poitrine, sur le ventre, le nombril, puis à la limite du jean.
Elle se délesta de son haut aussi et de son soutient-gorge par la même occasion (90B) et se coucha contre Amélie afin de se frotter à sa peau chaude.
Cette dernière commençait à avoir le souffle court et enleva d’elle-même son soutient-gorge et déboutonna le jean de Meg avec quelques difficultés.
Les deux jeunes filles s’humidifiaient à mesure que l’atmosphère s’électrifiait.
Bientôt, leur seul rempart fut leur culotte.
Meg eut alors une idée, elle proposa à Amélie de faire quelques photos ensemble, cette dernière accepta sous l’emprise de l’excitation et Meg n’eut plus qu’à ramener son appareil numérique.
Elle firent des photos d’elles deux, en culotte, en sous-vêtements, complètement nues, dans des positions tantôt coquines, tantôt timides ou bien artistiques.
Elles finirent par faire des photos d’elles deux en même temps et au bout de quelques photos, se mirent en 69 et expérimentèrent une nouvelle façon de prendre du plaisir.
Après plusieurs orgasmes plus ou moins violents, nos deux belles jeunes filles étaient exténuées côte à côte sur le lit et tentaient de reprendre leur souffle et de calmer leurs battements de cœur.
Amélie devait aller soulager un besoin naturel dans la salle de bain/toilettes et s’en alla en volant un léger baiser à sa nouvelle dulcinée.
Ainsi finit la partie douce, car Meg ne comptait pas en rester là et voulait par-dessus tout se venger de cette garce qui lui volait son petit ami.





Une fois Amélie dans les toilettes, Meg reprit son appareil et la suivit, entra dans la salle d’eau et ferma la porte à clef.


« Hey, tu fais quoi, ne me prend pas quand je fais pipi !
-C’est pas moi qui vais te prendre t’inquiètes… »

Sur ces mots, le rideau de douche s’écarta et 4 garçons sortirent de la baignoire.

« Meg, tu me fais peur là, tu peux m’expliquer ?
-Eh bien c’est simple, ça c’est des potes qui me doivent un service, et toi, tu es une gentille petite fille à qui on va apprendre à ne pas interférer dans les histoires des autres.
-Je ne comprends pas…
-Tu vas vite comprendre, regarde, eux, moi et mon appareil, pas difficile quand même.
-Tu vas pas faire ça ? le rouge lui montait aux joues et les larmes aux yeux.
-Je vais me gêner tiens, ça fait depuis que je suis avec Max que tu le chauffes, que tu le retiens, ça devient lourd… Maintenant, avec ce que j’ai comme photos, celles que je vais faire et ce que tu vas subir, je pense que tu vas nous laisser un peu tranquille et que je vais pouvoir encore m’amuser un peu après.
-Mais… Après ce qu’on a vécu… Je pensais… Je ne comprends pas…
-Tout était prévu ma grande, à part peut être la force de l’orgasme que tu m’as donné, tu m’as impressionnée, j’espère que tu sauras être aussi compétente avec ces messieurs, ils n’attendent plus que ça. »

Sans prévenir, Meg prit une photo de la miss sur le trône et comme s’il s’était agit du signal, les 4 mecs se ruèrent sur Amélie en la caressant de la poitrine aux jambes en passant par les cheveux, le dos, le ventre, l’entrejambe, les fesses…
Des doigts rentrèrent en elle alors qu’elle était impuissante, entrain d’uriner…
Un sexe entra de force dans sa bouche.
Des flash d’appareil venaient ponc ce rut grossier, ces 4 animaux se délectant de leur proie.
Une fois sa commission finie, Amélie fut portée par les hommes sur le lit où quelques instant auparavant, elle avait joui comme jamais (arf, je viens de me remballer moi-même) et commencèrent de la chauffer en la caressant partout, la léchant partout, lui introduisant des doigts.

Elle était tellement mouillée, du fait de ses jouissances récentes et de son besoin qu’elle n’avait pas eu le temps de nettoyer que les 4 garçons se précipitèrent sur elle et la pénétrèrent à tour de rôle, toujours sous les feux de l’appareil.
Amélie se sentait honteuse, humiliée, e, mais en même temps tellement excitée d’avoir 4 hommes qui s’occupent d’elle, elle qui n’a touché qu’un homme et une femme.
A chaque flash de l’appareil, une nouvelle vague de honte mêlée d’excitation la submergeait.
Elle s’imaginait ce à quoi les photos pourraient bien servir… Son école ? Ses parents ? Ses amis ? Max ? Internet ?
Peu importe, elle était partie dans le désir et s’abandonnait comme n’importe laquelle de ces filles qu’elle se plaisait à mépriser lorsqu’elle en croisait dans la rue ou en voyait sortir des boites de nuit.
Elle jouissait sous les assauts de ces mâles déchaînés, elle hurlait son plaisir (d’où l’importance du sous-sol), Meg était passé en mode vidéo car des cris pareils ne se rataient pas.
Bien entendu, les gars essayèrent de passer par derrière, Amélie s’y opposa fortement en criant qu’elle ne voulait pas, que ça lui ferait trop mal mais à 4 contre une, le combat n’était pas équilibré…
Pendant qu’un des garçons la tenait sur lui, un autre tentait de rentrer par derrière en inondant copieusement son sexe et l’anus de la jeune fille de sa salive.
Finalement, elle fut prise en double pénétration avec un des deux derniers dans sa bouche et le 4eme lui caressant tout le corps.
Elle jouit longuement quand les deux lui éjaculèrent à l’intérieur, et face à cette jouissance, les deux autres lui éjaculèrent sur le visage, dans les cheveux et sur la poitrine.

Après ces vidéos, et quelques dernières photos prises d’Amélie dans l’état où les mecs l’avaient laissé, Meg lui expliqua tout ce que cette nouvelle situation impliquait :

« Eh ben, on dirait que t’as pris ton pied… Comme tu ne vas pas pouvoir bouger beaucoup d’ici les prochaines minutes, écoute-moi.

Maintenant, tu sais de quoi je suis capable.
Si je te revois une seule fois autour de Max, ça sera bien pire.
De plus, s’il me prend l’envie de faire joujou avec toi, je veux que tu répondes à l’appel dès que je te téléphone, sinon, ces photos vont faire du chemin, c’est moi qui te le dis…
T’as bien compris ? Avale avant de me répondre !
-Mmmmmmmh oui…
-Bien, à bientôt »

Après lui avoir dit cet au revoir peu rassurant, Meg transporta Amélie jusqu’à sa porte d’entrée (les garçons étant partis rapidement), et intima à Amélie de ne pas remettre ses vêtements avant que tout le sperme sur son corps ait séché et celui à l’intérieur évacué.

Je suis en attente de vos commentaires, suggestions, critiques.
Je suis ouvert à toutes critiques afin de m’améliorer et dites-moi si cela mérite une suite ou si je dois en rester là (c'estmon premier).
Merci de m’avoir lu.

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