Mes Fantasmes Et L'Experte.
Comme bien des hommes, je fantasme sur ma condition de cocu. Le suis-je ou pas encore ? Certes, je lai déjà remarquée en train de minaudé, de se faire séductrice devant quelques beaux mâles lors dinvitations ou de réceptions. Mais a-t-elle déjà franchi le pas ? Son premier amant sera-t-il un collègue, un voisin, un ami, une vague connaissance ou un inconnu ? Est-ce que ce sera sans lendemain ou une histoire au long court ? En tout cas, je lobservais mais ny voyais aucun signe. Je lattendais, peut être lespérais-je même ?
Souvent je limaginais entre des bras inconnus alors que je la laissais seule faire du shopping, le samedi. Je me branlais en lisant des récits de cocus ou en regardant des pornos. Jen choisissais toujours avec une fille que ressemblait à Sophie. Brune, taille moyen, belle poitrine mais pas trop grosse. Je souhaitais toujours en choisir une avec de vrais seins, comme ma douce. Je prenais mon temps, javais tous mon samedi. Pas encore d et pas de famille à proximité. Puis une fois le film choisit, je me lisais un récit traitant dun cocu. Et enfin, je passais le film. Ma femme prenait la place de cette fille et le récit me donnait la matière pour parfaire mon fantasme. Ma femme se faisait donc baiser sur internet au moins une fois par mois. Je profitais également de cette solitude pour fouiller tout ce que lon peut fouiller dans un appartement, à la recherche dindice confirmant ou pas mes doutes. Mais en vain.
Nous étions sans doute trop jeune pour quelle sadonne à ce genre de sport, faut dire quà 27 ans chacun et marié depuis 1 ans seulement, elle aurait été vite en besogne. Mais moi je suis un fantasmeur, un rêveur, un pelleteux de nuage comme disent les québécois. Pour ce qui concerne le sexe en tous cas. Pour le reste je travail dans une tour de verre de la Défense, dans un sens je pellete aussi les nuages. Mais cest plutôt le rôle de la tour qui mabrite, elle pellete les nuages et gratte le ciel, enfin, y parait.
Je pense que jais beaucoup de temps pour ça, cest pour ça que jai les fantasmes dun homme de quarante ans. Ou peut être que je suis programmé pour être cocu, tous simplement. Va savoir. Javais pensé engager un détective privé pour la faire suivre, mais jaurais été trop déçu dapprendre que rien ne se passait. On baisait souvent avec ma Sophie, faut dire après des heures de fantasme, jen avis plein le caleçon. Toujours partante pour une partie de jambes en lair, cest ce que javais aimé en elle. Elle aussi avait des idées cochonnes. Cest elle qui à voulu quon inaugure notre toute nouvelle Megane doccasion dans le parking souterrain de notre immeuble. On est descendu vers une heure du matin, on avait choisi le lundi, il ny a pas beaucoup de fêtard de lundi, sans doute épuisés par le weekend de beuverie. Elle, en petite robe dété, facile à mettre et à enlever, pas de culotte, comme lors de notre première rencontre et pas de soutif, moi, un vieux short et une chemisette déjà largement ouverte.
Elle me tire sur la bite et me traine jusque sur le bord du capot.
- La voiture est baptisée maintenant. Je la prendrais pour aller au boulot demain ! Dit-elle en riant.
Nous sommes retournés à lappartement ou, avant de dormir, je lui fis lamour tout en tendresse.
Le lendemain. A ma grande surprise, elle revint le soir du boulot avec la voiture sans même lavoir nettoyé.
- Ben non ! Pourquoi tu veux que je la nettoie ? A chaque fois que je vois les tâches de ton jus, ça me fait mouiller !
Elle a toujours été assez directe pour le sexe. Cest ce que javais aimé en elle. Elle mavait tous de suite dit quelle avait eu pas mal dexpérience, connue beaucoup dhommes. Faut dire la première fois que je lai vu, elle était ivre. Elle faisait la fête dans un bar tabac avec des amies en pleine journée. Je suis entré pour acheter un ticket de jeu à gratter, je suis ressorti avec elle sous mon bras. Elle ma dit quelle avait envie dune bonne bite au fond de la chatte, elle riait et me provoquait. Je lui répondis que jhabitais juste à côté.
Elle mavait saisi le bras et suivi sans même faire un signe à ses amies.
- Moi, cest Sophie ! Rit-elle en ce serrant tendrement, lhaleine chargée dalcool.
- Moi, je suis puceau !
Elle me regarda avec un air très sérieux. Elle change vite dhumeur, quelques soit les circonstances cest ce que javais aimé en elle.
- Je crois quon va bien sentendre tous le deux ! me répondit-elle.
- Jespère ! Je laimais déjà.
Arrivé dans mon minuscule studio, elle me demanda un café. Pendant que je le préparais, elle sallongea sur le clic clac et sendormit. Moi, je bandais. Moi, jétais encore puceau à 24 ans.
Je la regardais dormir.
Puis mon cerveau se mit à bouillir. Et si elle ne se souvenait pas de ce quelle foutait ici à son réveil. Si lalcool lui effaçait les menus souvenir de notre rencontre. Serais-je encore puceau demain ? Les yeux fixés sur son jolie derrière et mes pensés perdues dans un tas de scénarii possible, je navais pas remarqué que la belle au clic clac dormant sétait réveillée. Ses mots me fient sursauter :
- Il est près mon café ?
- Euh ! Oui ! Pardon, je crois quil est même déjà froid.
- Je le préfère chaud, dit-elle en souriant.
- Oui, bien sûr, mais je ne voulais pas te réveiller, tu dormais si bien.
- Jai dormi longtemps ?
- Un peu plus de deux heures.
- Cest toi qui à relevé ma jupe, petit cochon ?
- Euh, Ba, cest que
. Jétais rouge pivoine. Elle ria très fort.
- Tes trop mignon quand tu rougis ! Cest vrai que tu es vierge ? Tu nas jamais couché avec une fille ?
- Oui, cest vrai ! répondis- je, gêné.
- Et bien moi, je nai jamais rencontré de garçon puceau, ce sera une première pour moi aussi.
En disant cela, elle mavait fait signe de mapproché, restant assise, elle me laissa debout. Dégrafa mon pantalon et en sortie mon sexe. Première main féminine. Mon organe était gluant des deux heures dobservation excitante passées, je me sentais un peu honteux. Pas elle. Elle essuya le gland et le reste avec ma chemise. Elle scrutait attentivement ma queue en la branlant doucement. Sa langue se posa sur le bout. Quelques soubresauts annonciateurs la firent diriger la colonne de chaire vers le canapé qui subit une éjaculation abondante. Elle lagita rapidement en experte pour en extraite le plus de jus possible.
- Maintenant, je crois que tu es prêt.
Elle retira sa jupe, sa veste et son soutien-gorge, sallongeant nue, les cuisses largement ouverte. Elle reprit ma queue et la guida vers son antre chaud et humide. Moment de plaisir intense et profond. Mempêchant de bouger, elle dirigea la manuvre, experte. Après dix minutes ou dix secondes, jenvoyais déjà une deuxième salve. Elle réagit immédiatement, sa chatte était animé de mouvement qui serait fortement mon sexe, je ne savais pas encore que je venais de faire jouir une femme. Plein de ressource, je ne débandais pas. Elle se mit sur moi, à genoux, glissa sur mon sexe et commença de lent va-et-vient, prit mes mains pour les mettre sur ses jolies seins, bien ronds avec de larges auréoles et des tétons qui dardaient durement, lun deux était orné dun piercing doré. Je pus tenir 57 secondes et 48 centièmes ou peut être moins, ou peut être plus. Cette fois, elle neu pas de contraction, elle continua de monté et de descendre. Cette fois je tiendrais. Jai tenu. Elle se mit à quatre pattes, offrant à ma vue le plus beau des spectacles. Elle se caressait le clitoris pendant que je la prenais. Ses ongles me griffèrent gentiment les couilles, sa chatte se serra de nouveau, nous jouîmes pour la première fois de concert. Elle était heureuse, moi aussi, jétais devenu un homme, un vrai, qui fait jouir les femmes, enfin une femme, cette femme. On ne sest plus quitté. Marié après deux ans de baise intensive. Javais du retard à rattr. Elle, elle avait juste envie de baiser.
Elle me raconta toute sa vie, seule la partie sexuelle mintéressait. Elle sen rendit compte, je bandais à chaque fois quelle me détaillait une de ses relations, ce qui lincitait à me donner toujours plus de détailles, puis après je la baisais comme elle lavait fait avec un autre. Et il y avait eu beaucoup dautres. Entre les officielles, les occasionnels, les coups dun soir ou dune fois, en boite, au bar, à la fac, en stage, au boulot, les inconnus, les amis, les collègues, les blancs, les noirs, les asiatiques, les arabes, les grosses bites, les petites, les longues, les larges, les bizarres, de seize à cinquante cinq ans, de deux minutes à deux ans, dans un lit, un champs, une voiture, un camion, les toilettes, la forêt, le bureau, une tente, lhôtel, des couloirs et des escaliers, des appart et des appart, des pipes, des missionnaires, des levrettes, debout par devant, debout par derrière, elle au-dessus, à deux, à trois, à quatre, des dizaines dhommes sont passés par là où je suis devenu un homme. Lexperte et le candide. Elle avait débuté sa vie sexuelle à seize ans, au lycée, huit ans avant la mienne. Elle en avait bien profité, abusé dirait certain, mais je dis profité. r, cest lorsquune activité devient préjudiciable à lune ou lautre des parties en cause. Elle avait prit beaucoup de plaisir, en avait donné à beaucoup dhommes. Cest une salope ? Oui et alors, cest pour ça que je laime. Ma salope a moi. Elle aime que je le lui dise. Elle men fait souvent la démonstration.
Jen étais là de mes réflexions sur mon état de cocu ou en devenir, lorsque je fus surpris par ma belle. A pas de loup, elle était entrée jusque dans le petit bureau de lappartement que nous occupions depuis huit mois. Celui là même ou ce trouve lordinateur. Cétait un samedi de shopping. Sauf, quelle était devant moi, penaud, la queue à la main devant un porno et un récit de femme infidèle. Pas de scandale, pas desclandre, pas son genre. Elle tire lautre chaise, sy pose. Sa main att ma virilité devenu molle. Elle se met à lire silencieusement le texte. Silence perturbé par les gémissements du film. Mon sexe est serré, griffé, agité, il reprend vie. A la fin de la lecture, elle clic sur le site, observe les textes signalés comme lus. En lit quelques extraits. En me jetant parfois un regard que je ne saurais décrypter.
- Pourquoi tu ne mas jamais dis que tu voulais être cocu ?
- Je
je sais pas trop ! Cest gênant !
- Oui ! Cest gênant, tu as raison. Mais je crois que nous allons rapidement remédier à cette gêne.
- C'est-à-dire ! On va faire quoi ?
- Toi rien ! Moi, je vais aller me faire baiser. Tu sais que jadore ça et jai envie de faire plaisir à mon petit mari. Tu sais aussi que je taime comme une folle ? De toute façon, je me doutais bien que tu étais comme ça. Je connais bien les hommes, tu le sais aussi, ça ! Depuis quon est ensemble, les fois où tu es le plus excité, cest quand je te raconte mes parties de cul avec dautres mecs ou quand on croise un de mes ex. Jen ai connu des mecs et des bites, donc un peu plus, un peu moins, si toi et moi on prend du plaisir, je suis ok. Je tai bien observé et jy pense depuis un certain temps, alors voilà comment je vois les choses. Je viens de me faire mettre deux nouveaux piercings, ils sont sur chacune de mes lèvres. Voici un petit cadenas, quand tu auras envie que je baise avec un autre mec, tu lenlèveras. Si tu ne veux pas, tu me le remets. Je choisi qui et où. Et ce nest pas parce que tu me lenlèves que je le ferais ment, il faut que jen ais envie et quun mec me plaise. Si tu es daccord, tu prends le cadenas, sinon, laisses le sur le bureau et passons à autre chose.
Pendant son long monologue, elle mavait exposé les deux anneaux dorés posés sur les grandes lèvres glabres de se chatte. Elles étaient gonflées par le traitement quelles venaient de subir. Il lui faudrait une à deux semaines pour sen remettre. Elle accrocha et décrocha le petit cadenas, pour montrer la manuvre. Je my essayais, faisant très attention de ne pas faire mal à ses lèvres endolories. Ce qui fut difficile. Elle me dit quelle était excitée. Que la douleur lui donnait envie de baiser, mais que le mec qui lui avait fait lui avait déconseillé de le faire pendant quelques jours. Javais le cadenas en main :
- Alors, tu me le mets, tu les gardes ou tu le reposes ?
- Je le garde !
Ses yeux brillaient dexcitation. Elle plongea sur ma bite et me suça comme une furie. Elle me fit jouir sur mon ventre.
- Je retourne voir le pierceur, tu sais, cest celui qui est à langle de la rue. Il a bandé pendant toute lopération. Il a du messuyer plusieurs fois le minou tellement je mouillais. Il a fait du bon travaille, il mérite bien une petite gâterie, tu crois pas. Tu seras bientôt cocu, mon chérie, plus quelques minutes. Ne te branles pas, je reviens tous de suite
Elle retira son soutien-gorge et quittait lappartement sans me laisser répondre. Mon je bandais de nouveau.
Effectivement, elle ne fut pas longue. Elle revenait un quart dheure plus tard. Elle me roula une grosse pelle qui sentait la bite. Elle-même, sentait le sperme. Elle ouvrit sa veste et je la découvris souillée de semence. Son décolleté en était recouvert. Elle le retira ainsi que mon t-shirt, se colla et se tortilla contre moi, comme pour me faire partager ce jus dhomme. Je bandais toujours. Elle minstalla dans le fauteuil du bureau entreprit de me faire ce quelle avait fait à lautre. Une bonne fellation, elle me mit entre ses seins pour me finir en branlette espagnole, comme lui, sauf que moi, je baignais dans sa semence. Jai joui entre les seins de ma femme, mélangeant nos gènes. Elle recueillit du liquide poisseux dans sa main et men badigeonna les couilles et lanus. Ma bite tressautait encore de se traitement.
Elle me tira dans le salon, retira sa jupe et sallongea impudiquement, jambes écartés. Elle était merveilleuse, jétais cocu. Je précipitais pour dévorer le bel abricot bien mûr. Stoppé dans mon élan, Sophie me rappela limpossibilité de toucher son minou, mais quelle avait besoin de plaisir, quil fallait que je moccupe de sa jolie poitrine. Je le fis avec beaucoup de tendresse. Je caressais ses seins, jen enduisais le moindre recoin de crème masculine. Jouant avec les tétons, les serrant lun contre lautre, les pressants, comme elle me lavait montré lorsquelle mavait guidé sur les chemins du plaisir.
- Tu sais que jaime quand tu me les lèches, que tu me les suces !
- Mais, je
Je la regardais, interrogatif. Ses seins étaient plein de sperme. Je nallais quand même pas
Elle ne me laissa pas le temps de finir ma pensée, quelle mattira par la nuque et écrasa mon visage contre son sein droit. Mon visage se barbouilla de cette substance. La bouche sur le téton dardé, je louvris et en gouta le goût. Le mauvais goût, mais qui mexcitait. Jentrepris de le lui lécher. Je faisais ce quelle ne faisait pas. Javalais. Elle aimait et se tordait en gémissant de désir sous mon corps. Je sentis sa main descendre sous mon ventre, caresser un peu mon chibre prêt à exploser, continuer sur mes bourses encore recouvertes de jus, les flatter, les soupeser, puis poser un doigt sur ma rondelle, elle aussi toujours crémeuse. Sophie aimait me taquiner la petite étoile, parfois avec la langue, parfois avec le doigt. Elle y aventurait ce dernier, mais jamais plus dun. Jaimais. Elle me disait alors quelle aimerait me baiser, quelle aimait mon cul, quelle aimerait avoir une bite pour menfiler. Moi je ne répondais pas, je rêvais à ce jour. Cette fois, elle dut sentir mon relâchement dut à lexcitation, le lubrifiant était déjà posé entre mes fesses, alors après quelques va-et vient de son doigt, un deuxième se fraya un chemin. Je fus étonné et je crois que Sophie aussi, de la facilité avec lequel il était entré. Elle se redressa et me demanda de mettre à genoux sur le canapé. Les bras sur le dossier, ses doigts toujours fichés en moi.
Ma femme menculait en me pétrissant les boules et la queue. Jadorais ça. Elle aussi. Elle me disait que le temps que ça chatte puisse recevoir de la bite, elle pourrait au moins jouer avec mon petit trou. Alors quelle tentait den insérer un autre, je me répandis en ajoutant de nouvelles tâches, déjà nombreuses sur le convertible.
Son sexe ne put rien supporter pendant dix jours. Je profitais de sa bouche, elle de mes fesses. Au bout de deux jours, elle était revenu avec un gode ceinture, heureusement pas bien gros. Elle ma baisé avec. Cétait divin. Je me faisais sodomiser, pas elle. Jétais lenculé de la maison, elle aimait me dire ça pendant quelle me prenait. Moi aussi, jaimais. Je ne lui ai pas remis le cadenas durant cette période, histoire quelle guérisse plus vite. Elle ne profita pas de sa liberté, trop occupée à r ma petite rondelle. Je pensais quelle sucerait bien un mec, mais non. Elle préférait attendre pour les recevoir en elle, comme elle me disant. « Les recevoir », me répétais-je sans cesse, en bandant.
Le soir du dixième jour, après la deuxième abstinence la plus longue de sa vie sexuelle, la précédente avait durée trois semaines, elle sétait concentrée à lépoque pour avoir son bac à dix-sept ans et demi, elle me fit une surprise. De retour dun journée de labeur, non au fait de sa nouvelle disponibilité sexuelle, elle me le signifia en maccueillant par un gémissement que lui procurait un grand type tatoué de partout. A quatre pattes derrière elle, il semblait lui pilonner très vigoureusement la chatte. Jestimais enfin être cocu pour de bon. Sucer nest pas trompé, selon un grand philosophe contemporain. Je bandais. Je mapprochais.
- Ton cocu est là, ma chérie !
Elle se redressa et me sourit :
- Regarde chérie, il a un nouveau tatouage sur le sexe ! Il est gentil, il a voulu que jen profite la première.
Il sortit une belle grosse queue bien lourde de lintimité de ma femme et me présenta son uvre. Effectivement, le pénis et même les couilles étaient couverts de tatouages. Il replongea la chose dans les profondeurs marécageuses féminines. Je navais pas touché son minou, ni baisé ma femme depuis dix jours, mais un autre profitait de ses charmes. Je savais la douceur, la chaleur. Jimaginais lexcitation et létroitesse, la jeunesse vaginale retrouvée, anéantis par un colosse à la bite multicolore. Jétais cocu. Je bandais.
Il était puissant ce gaillard. La sueur luisant sur les tatouages, le corps dépourvus de toutes pilosités, faisait ressortir une musculature imposante. Je voyais clairement les muscles du dos, des fesses, des cuisses ondulés sous la peau aux rythmes des coups de boutoir. Boutoir multicolore, boutoir épilé, mais boutoir quand même. Et pas des moindre. Détail anatomique quelle navait pas mentionné lors de leur premier ébat buccal. Elle voulait men faire la surprise ou peut être quelle ny accordait que peu dimportance. Peut importe, je suis cocu, je bande et je laime ma salope. Je regardais la chose imposante coulisser en elle. Elle en avait connu de bien plus grosse par la passé, elle lencaissait bien, en jouissait même bruyamment. Colonne coloré, luisante des saintes sécrétions, encadré par des lèvres gonflées dexcitation, ornés de dorure. Fasciné, par le spectacle, jattendais le dénouement. Le rythme saccéléra et les mouvements de désordonnèrent. Et le bâton tatoué disparut complètement dans les entrailles, je voyais juste les hanches du tatoueur collées aux fesses de Sophie. Forçant son vit les plus loin possible, éjaculant profondément en elle. Elle criait sa jouissance en une longue plainte continue et bruyante. Bien plus fort quavec moi, bien trop fort pensais-je. Jétais cocu. Je bandais.
Le gémissement sestompe progressivement pendant que lamant de couleur coulissait lentement, avec tendresse. Elle paraissait évanouie, endormie, fatiguée par létreinte. Lui se rhabilla sans quitter des yeux la croupe infidèle. Il semble hésiter, la baiser encore ou ne pas la baiser encore, là est la question. Un petit signe de la main et il nous quittait sur un « à la prochaine les amoureux, cest quand vous voulez ». Il était sympa lamant de ma femme, il lavait baisé, faite jouir et nous appelait les amoureux. Je laime bien, il pourra revenir quand il veut, ou plutôt quand elle veut. Si je devais donner un double des clés du cadenas, se serait à lui. Elle émergea doucement de sa torpeur. Toujours sur les genoux, la tête dans les coussins, laissant séchapper les preuves de son infidélité par la béance que me proposait cette vue. Les filets de sécrétions et de spermes venaient rejoindre dautres souvenirs sur le canapé.
- Prend-moi, chérie ! Vite !
Je tombe mon pantalon et présente ma queue. Elle me parait petite maintenant. Je pénètre avec une facilité déconcertante. Je la sens à peine autour de ma bite. Cest chaud, cest bouillant, mais je ne sens pas la pression habituelle. Celle que je connais si bien. Je ne bute pas non plus dans le fond, pourtant toute ma longueur y est, mais mon gland reste libre et sans contrainte. Je suis cocu, je le ressens physiquement. Elle se met à gémir. Ses organes sont sensibles, rougies, irrités davoir été pilonné par le colosse multicolore après dix jours dabstinence. Je regarde mon sexe aller et venir dans ce con si large. Jai du sperme jusquaux burnes. Elle a un orgasme, je la sens de nouveau, elle se serre autour de moi. Le jus de notre ami sen trouve expulsé, ça me coule le long des jambes. Je ne tiens plus et me laisse aller en elle. Nous nous écroulons, je reste fiché en elle. Alors que je meffondrais de sommeil :
- Tu ne vas pas me laisser dans cet état, mon chéri ?
- Comment ça ?
- Tu vas pas me laisser pleine de la semence dun autre ? Cest pas bien ! Ca pourrait me rendre amoureuse de lui. Et puis tu ne mas pas lécher depuis des siècles. Cest pas très gentil ça !
Comme dhabitude, ne prenant pas de décision, elle mattrapa par la nuque et me plaqua le visage contre sa chatte spermeuse. Elle me garda bloqué ainsi. Elle attendait que ma langue se mette en action. Jobtempérais. Je partie explorer cette chatte que je redécouvrais. Dilatée, rougie, ornée, spermée. Je la nettoyais consciencieusement, sa chatte, sa petite rosette, ses cuisses. Même ses seins, il avait joué assez longtemps ensemble, attendant, mon retour. Selon Sophie, je suis arrivé pour la troisième et dernière salve. Ses seins et deux fois son minou ont été honoré par le colosse multicolore. Deux heures et demie de baise intensive. Je comprends les irritations vaginales. Je suis cocu, je bande.
Je décide de lui remettre le cadenas afin que son vagin reprenne forme. Mais excité par cette première expérience, je rends, après deux jours, sa liberté à cette jolie petite chatte. Ce soir là, très excitée, ma femme court vers les bars du quartier, sans culotte, sans soutien-gorge, petit haut très moulant et jupe raz la touffe, si on peut dire. Je me suis caché dans le bureau et jattends. Une heure plus tard, elle revient avec un gars dune quarantaine dannée. Un costaud qui rit fort. Il ne fait pas dans la dentelle, elle la pousse sur laccoudoir du canapé, le visage enfouit dans lassise et le cul tendu. Il relève la jupe et admire la rondeur du fendu.
- Je vois que mes doigts ont déjà bien préparés le terrain. Tes toute trempée, petite salope.
- Oui, mon chéri, prend moi vite !
Il sort une belle queue et la frotte le long de la chatte ruisselante, titillant du gland les piercings dor. Impatient, il plonge sa tige bien au fond dans un seul mouvement et la bourre dans une cadence infernale pendant de longues minutes. Ses mains flattent ses fesses par de grandes claques. Son arrière-train rougit par le traitement mais ma petite femme hurle son plaisir, elle a orgasme sur orgasme. Décidément, elle sait les choisir. Au moment de jouir, il séchappe de la grotte brûlante et latt par les cheveux pour la mettre à genoux. Il lui fourre sa bite dans la bouche en allant le plus loin possible, lui imposant son rythme. Il lui maintient la tête pendant que son sperme fuse dans la gorge de ma petite femme. Bon sang, il a osé, il la fait. Il la obligé à le gardé et elle na même pas bronché. Elle a juste avalé en le regardant, un beau regard de salope gourmande. Moi, je bande à men faire mal.
A suivre.
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