Ma Maitresse
Mon époux me comprend heureusement. Je lui laisse faire ce quil veut hors de la maison. Je sais quil fréquente une blonde assez grande, aux menus seins, et aux fesses rebondies. Normalement ils baisent dans un de ces hôtels qui existent aux abords des villes où les couples illégitimes se retrouvent pour passer un après midi ensemble. Comme nous ne sous cachons rien il me dit toujours avec qui il baise et comment. Je sais que ce quil aime chez cette blonde, cest outre son corps, les façons diverses de le sucer. Il mexplique très bien ce quelle lui fait: je peux lui en faire autant. Il aime la sodomiser et se faire sucer après. Jaime bien le sucer après une autre: il me semble reconnaitre le goût de la salive de lautre. Je ne le trompe jamais avec un autre: jai ce quil faut à la maison comme godemichet ou boules de geishas. Jaime me branler, jaime me branler beaucoup et jaime aussi les autres femmes. Je suis devenue bisexuelle:
Jai une amie Maria avec qui nous partageons de délicieux moment de détente. Nous nous retrouvons chez elle. Comme elle est divorcée, vivant seule, nous pouvons nous aimer souvent en paix, les jeudi après midi, cest une habitude que nous avons prises depuis notre première rencontre.
Cétait chez une amie commune, nous bavardions de tout, surtout, comme toutes les femmes de sexe. Si notre amie commune aimait se masturber, nous en disions autant. Cette amie nous avouait un jour quelle avait fait lamour avec une ancienne copine de classe. Elle sen était presque converti au lesbianisme, tellement leurs rapports avaient étés profonds. Mais la fois suivante, elle se faisait baiser par un autre ami commun et concluait que finalement elle préférait les hommes bien membrés. Javouais que je ne connaissais pas les rapports entre femmes et que si cétait possible jaimerai tenter lexpérience. Cest à cet instant que Maria me disait quelle préférait les femmes et quelle était capable de me faire aimer les femmes.
Nous avions pris rendez vous chez le pour le jeudi, doù notre choix de ce jour.
Quand jarrivait chez elle, un peu fébrile, je me demandais où jallais avec cette relation à venir.
Bon, jaime jouir, comme toutes les autres je crois. Jaime certaines pratiques courantes en couple, baises, sodomie que jaime bien, fellation, cunnilingus, annulingus que jadore, masturbation avec ou sans mon époux, Jaime me doucher avec le jet sur mon clitoris. Bref je crois être une femme sensuelle sans plus, jajoute que je suis très tolérante pur les incartades de mon mari: jaime quand il me raconte tout ce quil fait à une autre femme et ce quelle lui font. Par contre je ne lui ai pas dit que je venais faire un essai avec une autre femme: il ne men voudrait pas, il ne comprendrai pas, tout simplement, persuadé quil me donne tout ce que je veux. Je lui en parlerai après.
Je toque à la porte, Maria ouvre presque de suite. Elle ne me saute pas dessus: elle moffre un café et pour me faire patienter, elle minstalle sur le divan dans le séjour. Je suis de plus en plus nerveuse. Je me demande dans quelle embrouille je me suis mise. Enfin elle revient servir, avec un grand sourire. Elle moffre une tasse: je tremble un peu comme une jeune pucelle à qui on montre pour la première fois la queue de son futur.
Mari, aimable ne brusque rien. Nous bavardons: elle me dit pourquoi elle a divorcé, je lui parle de mon mari, des bons moments que nous passons tous les deux au lit. Elle sourit. Il me semble quelle va venir au moins membrasser. Elle reste toujours présente, mais lointaine avec moi.
Nos cafés terminés, elle me demande de laider pour laver les deux tasses. Pour deux tasses, elle pouvaient attendre. Je vais laider, puisquelle le demande. Cest dans la cuisine quelle sapproche de moi pour me donner un bisou qui se transforme en baiser: elle me prend dans ses bras. Me serre contre elle.
Je tremble comme une feuille, quand sa langue cherche à entrer dans ma bouche.
Nous sortons de la cuisine pour aller dans sa chambre. Elle me déshabille lentement. Je suis comme une jeune mariée, dans le temps quand son nouvel époux la mettait nue. Je nai pas honte, jai seulement envie quelle aille plus vite. Même si elle nst pas pressée, elle membrasse tout pouce de peau découverte. Je ne pense pas avoir été ainsi traitée. Quand je suis toute nue devant elle je ne sais que faire, elle se dévêt rapidement et me couche. Je commence à aimer ce traitement. Jaime encore plus quand elle embrasse mes seins et que se bouche descend dabord vers mon nombril et encore plus bas: elle embrasse avec sa langue sortie le pubis. Elle est presque tournée vers le bas quand avec une main elle écarte le haut de mes lèvres intimes et sa langue vient sur mon bouton. Elle ne le lèche quaprès une instant que je trouve très long. Quel bonheur davoir sa langue à cet endroit.
Je ne peux rien lui faire dagréable, je le regrette, jaimerai lui donner des caresses très chaudes.
Je ne sais combien de fois jai jouis, je ne sais combien de fois elle a joui. Nous sommes crevées. Nous cessons un moment. Nous sommes même trop fatiguées pour retrouver des positions normale. Nous échangeons des commentaires sur ce que nous venons de vivre: je suis plus que contente de ce que jai vécu. Elle est même étonnée de de que je lui ai fait pour notre première fois
Il est encore tôt: elle me demande si je veux un gode: elle peux me baiser si sinsiste. Je lui demande si elle aussi voudrai que je le lui fasse. Bien sur, même si elle préfère les femmes, elle aime aussi jouir avec une bite dans le con. Comme je suis daccord, même si je sais que quand je dirai à mon mari ce que je viens de faire, il me la mettra.
Elle a deux godemichets: elle me fait ouvrir les jambes, me fait sucer le gode comme un bite, le met juste çà lentrée du vagin. Cest à moi de pousser pour quil entre. Elle le tient et quand il est au fond, elle commence les allers et venues.
Je pars de chez elle avec la certitude de la revoir jeudi prochain. Je commence même à réfléchir sur les façons que je trouverai certainement pour la faire encore plus jouir.
Le soir, au lit, je décris dans les moindres détails mon après midi lesbien. Il est étonné comme je lai été de savoir quelle aimait aussi la sodomie. Mais après tout, nous sommes normales, même si nous aimons les femmes.
Je sais que je suis devenue bisexuelle, et alors où est le mal: jen parle librement avec mon mari, même sil voudrai participer à nos baise. Est-ce que je lui demande daller avec lui quand il baise sa blonde ?
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