Abusé Et Pas Que Par Le Nom (Suite)
Me voilà donc ligoté, à la merci dun nouveau pervers, qui compte bien se faire rembourser le prix de la chambre comme il le souhaite.
Pas vraiment le mec sexy, la cinquantaine bedonnante, mal rasé, quelques cheveux éparses sur un crâne brillant
Une chemise froissée, à lair sale, légèrement ouverte laissant apparaître les poils du haut de sa poitrine dans lequel une chaîne en or (enfin, probablement du faux) brille.
Il ne dit rien, tourne doucement autour de moi, laissant glisser ses mains autour de mon corps nu. Ce contact mélectrise, mexcite, mais je ferme les yeux, concentré pour ne pas bander, ne pas montrer que jaime ça, que je suis un mec facile
Puis brusquement, il matt par les cheveux, me traîne dans la douche, dans laquelle il me jette sans ménagement. Il allume le jet, menduit de savon et continue à me caresser partout : le torse, les cuisses, les fesses, le cou, la gorge
Je sens ses mains glisser partout le long de mon corps
Un frisson me parcourt, jai la chair de poule et lérection commence
Voyant, cela, il commence à insister sur mon entrejambe, à la fois pour nettoyer le foutre de la baise précédente et pour continuer à me tendre
De sa main gauche, il caresse mon torse, pince mes tétons et de lautre, il caresse mes couilles, décalotte, recalotte doucement mon sexe, puis branle plus fortement ma queue , serra mon gland dans sa main puissante.
Je nen peux maintenant plus, je suis dur comme du bois et gémis même comme une petite pute
Le visage toujours de marbre, il continue son uvre, sa main droite glisse maintenant sous mes cuisses, il les soulève légèrement et enfonce un doigt dans mon anus qui se fait pénétrer facilement grâce au savon
Il en glisse donc un deuxième, puis même un troisième qui lui a déjà plus de mal à rentrer
Il force donc le passage, menfonçant doucement ses trois doigts dans mon petit trou
Il fait quelques allers retours rapides, les sors de mon cul et les enfonce dans ma bouche et me demandant de bien lécher ses trois doigts, un par un
Je mexécute, suçant doucement chacun de ses doigts, remontant doucement de la base jusquà longle, goutant le gout de mon propre cul.
Il sort ensuite sa main, la plaque sur ma gorge, me sort violement de la douche et me jette encore mouillé sur le lit. Cette alternance de calme et de violence accélère mon excitation.
Il me place sur le dos, laissant ma tête tombée dun côté du lit
Je le vois par le dessous déboutonné son jean, lenlever puis sapprocher de moi
Ses deux jambes entourent ma tête, ses couilles poilues pendent au dessus de son visage, son sexe est déjà dressé
Il se baisse approchant petit à petit ses couilles bien pendantes de mes lèvres, je me prépare à les prendre en bouche quand au dernier moment, il bascule légèrement vers lavant, offrant à ma bouche son anus plutôt que ses couilles
Il écarte ses fesses des deux mains, agrandissant laccès à son trou poilu
Je sais donc ce quil me reste à faire, je tire la langue et commence à lécher sa raie et autour de son cul
A chaque passage, des poils danus restent dans ma bouche. Essayant au début de les cracher avec difficulté, je décide finalement de les avaler
Puis, il mordonne daller plus loin, il déchire mes liens (comme sil savait que je ne voulais pas menfuir), il prend mes mains, me demandent de les utiliser pour écarter ses fesses. Je mexécute, il peut donc utiliser les siennes pour plaquer mon visage contre son cul
Jai la bouche maintenant en contact avec direct son trou. Jenfonce le bout de ma langue dans son anus, lodeur et le goût sont horribles, mais je dois mexécuter
Je continue donc à le pénétrer avec la langue, fermant les yeux en essayant doublier le fumet
Après plusieurs minutes de labeur, il sécarta légèrement, prend sa bite en main et commence à la tapoter sur mes joues
Sa bite sent fort, une odeur qui me rappelle des chiottes publiques (ce qui continue de mexciter
)
Il mexplique tendrement, que, comme chaque jour, il sest branlé plusieurs fois derrière son comptoir en mattant les aller retours des prostitués et quil est bien content de trouver une petite salope pour lui nettoyer la queue
.
Nettoyer est le mot : à peine il décalotta sa bite, quun épais jus, tombant directement dans ma bouche, je retiens un haut le cur. Il me sourit, me caresse le visage comme pour me rassurer
Et en me regardant, il enfonce doucement sa queue dans ma bouche, il mordonne de bien serrer les lèvres, puis la retire doucement
Et à chaque aller retour, il accélère la vitesse
Ce qui fait quaprès plusieurs secondes, il me baise violement la bouche de manière accélérée
Ses couilles tapant violemment mon visage
A cause du gout et de la profondeur, je suis à deux doigts de vomir
Heureusement, le supplice sarrête au bon moment. Sa queue a lair maintenant bien propre, seule ma salive coule de son gland, plus rien dautre
Il déboutonne sa chemise sans lenlever puis il sallonge maintenant sur moi
Il membrasse tendrement dans le cou, sur les épaules, sur le torse, lèche mes tétons tout en frottant délicatement son sexe contre le mien
Je sens sa tige frotter la mienne, ses couilles caresser les miennes, son ventre rond et poilu frotte le mien
Je recommence à gémir, je lui susurre à loreille de continuer
Sa réponse fut clair, il me mit une bonne claque, et me demande de la fermer
Cette alternance de délicatesse et de violence est particulière mais vraiment agréable.
Il sassit sur mes cuisses et me redresse. En mattrapant derrière la tête il dirige ma bouche vers son torse poilu. Ma bouche sattaque donc à ses tétons, les léchant, les aspirant, les mordillant. Jutilise une main pour caresser son torse poilu, lautre se dirige vers son entrejambe et prend son sexe en main. Cest maintenant lui qui commence à gémir
je continue mon travail fier de lentendre prendre plaisir.
Puis, subitement, il att mes deux poignets, me plaque contre le lit, me bloque dune main, et utilise son autre main pour lever mes cuisses. Je suis toujours sur le dos, son visage est à deux centimètres du mien, je le regarde
Jécarte les cuisses doucement, puis entoure jambes autour de son dos, laissant libre accès à mon cul
De son autre main, il dirige sa queue dans mon trou, et commence tout doucement à me pénétrer.
Quelques temps après, mon hôtelier sagrippa encore plus fort à mes cuisses, senfonça encore plus loin en moi et poussa un râle bestial.
Essoufflé, il reste quelques temps en moi (peut-être pour profiter de la vue sur mon cul). Puis il se retire, essuie rapidement sa queue avec les draps du lit et me dit que jai une minute pour dégager.
Je laisse les lambeaux de mon boxer, enfile rapidement mon pantalon et ma chemise et file la tête baisse vers la porte
Honteux davoir pris plaisir deux fois dans la même journée, plaisir davoir été considéré comme un vulgaire trou à bite
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