Histoire De Soumise 3 (Extrait Du Livre Claire) Rendez-Vous Surprise
Son Inconnu lui avait donné rendez-vous devant la gare par cette chaude après-midi dété.
Jane conduisait sa petite voiture rapidement, tendue et excitée, elle se réjouissait de cette rencontre avec cet homme qui allait toute à lheure lui faire lamour et dautres choses
« inédites ». Ils avaient échangé quelques mails, il lui avait demandé une photo delle nue en bas noirs et hauts talons quelle avait aussitôt envoyée
Faire cette photo delle lavait beaucoup excitée, elle avait adoré enfiler ces sous-vêtements sexy, et avait essayé plusieurs poses devant lobjectif de son appareil qui se déclenchait ensuite avec un petit clic coquin. Elle avait testé de nombreuses poses plutôt impudiques ; puis elle avait contemplé son cul et ses fesses cambrées si bien mis en valeur par ses jambes gainées de soie foncée, ses cheveux sombres répandus ou retenus sur sa nuque, ses yeux foncés , ses lèvres gourmandes, sa peau mate et douce
Elle sétait trouvée belle et un peu choquante, elle navait pas gardé les photos les plus osées.
Elle avait encore testé la guêpière noire et son grand décolleté qui révélait ses seins et sublimait sa taille fine, le porte-jarretelles de dentelles qui sattachait aux bas, et sétait contemplée avec ravissement dans son miroir
Elle était devenue une femme terriblement sensuelle, féminine, coquine et sexy
Ses jambes allongées par les talons , sa taille mincie et ses seins aux tétons pointés au dessus des dentelles lui donnaient une séduction étonnante
Ensuite, elle dut constater que sa chatte était trempée, elle avait dû se coucher sur son lit et se faire jouir, sa main caressant sa vulve baignant dans un liquide soyeux qui jaillit par cascades de plaisir. Essoufflée et gémissante, elle était ensuite restée un long moment à se reposer à grands halètements essoufflés, stupéfaite de ses réactions face à ces essayages
Tout en doublant hardiment deux camions qui paressaient sur la route ensoleillée, Jane souriait en repensant à ces échanges de mails qui lavaient amenée ce jour-là à cette rencontre avec son Inconnu.
« Tu mattendras vêtue sexy, jupe courte et bas, je tembarquerai en voiture, tu me suceras sur mon siège pendant que je te ferai déjà jouir, puis je te conduirai en un endroit reculé ou je tattacherai et moccuperai bien de toi
OSE
»
Elle avait aimé ces mots, avait déjà eu des petits spasmes dexcitation en le relisant, puis sétait décidée. Elle avait répondu. Il avait donné ce rendez-vous avec des consignes brèves et claires. Elle devait lappeler Maître, le vousoyer, et la tenue à porter était détaillée précisément. Elle avait été acheter ce qui lui manquait et sétait trouvée fort excitée de ces préparatifs. Maintenant elle roulait enfin vers lui, elle tremblait dappréhension, mais elle navait pas vraiment peur, il lui avait donné quelques renseignements personnels pour la rassurer. Elle connaissait son nom, avait vu son certificat sanguin, et avait fourni le sien.
Tout en conduisant, elle remontait ses bas qui glissaient sur sa peau un peu moite, et essayait de redescendre sa jupe très courte quelle avait mise, ce qui laissait apparaître une partie de ses cuisses, à la peau si douce
Elle espérait ne pas devoir se montrer en public, sa tenue était tout à fait insolite et impudique. Ses pointes de seins apparaissaient sous les dentelles de la guêpière, elle avait troqué ses talons pour conduire pour des chaussures plus adéquates, son chignon laissait voleter quelques mèches autour de son visage
Elle se sentait belle, sexy, un peu folle
Mais heureuse
Impatiente
Jane parvint à lendroit précisé une petite gare de province, assoupie sous le grand soleil de laprès-midi.
Jane hésita à nouveau, puis passa hâtivement sa robe dété par-dessus sa guêpière, il lui était tout simplement impossible de se montrer ainsi en plein jour. Elle sortit rapidement de son véhicule très gênée, sachant que ses bas noirs et ses hauts talons sous une simple robe de coton, lui donneraient un air étrange par cette chaleur
Elle se hâta de parvenir près du lieu de rendez-vous et attendit
Nerveusement, elle regardait autour delle, espérant quil viendrait rapidement la chercher
Il lui sembla que le monde entier la regardait avec stupéfaction
Elle attendit jusquà enfin entendre la sonnerie de son portable quelle ouvrit aussitôt
- « Tu es trop habillée, chère soumise »
- Oui désolé, je ne pouvais pas me montrer ainsi, il y a des gens..»
Répondit-elle en regardant nerveusement autour delle. Elle comprit quil la voyait, mais ne lapercevait pas. Était-il dans une voiture ou à cette terrasse, elle commençait à paniquer sérieusement, la peur remplaçait son plaisir de toute à lheure
- « Comment mas-tu appelé, je nai pas bien compris
?
Son ton était un peu menaçant, Justine comprit son erreur
- Oui pardon Maître, je suis désolée, je ne peux pas me montrer ainsi
»
- - Pour ta punition, tu vas te tourner et ramasser quelque chose par terre maintenant, sans
plier les genoux
Jane hésita, il insista, elle comprit que plus elle attendrait, plus elle se ferait remarquer
Elle se baissa rapidement en gardant ses jambes droites, toucha le sol, se releva tout aussi rapidement.
Enfin une voiture sarrêta à ses côtés, elle espéra que cétait bien son Inconnu, ouvrit la portière et sauta quasiment à lintérieur, priant le ciel quil parte au plus vite. Il démarra très lentement, Justine haletait, oppressée, nosant pas regarder autour delle. Il souriait avec ironie, caressant sa cuisse avec douceur
Cétait un homme grand et fin, assez jeune, aux cheveux clairs retenus sur la nuque, aux yeux verts et moqueurs
- « Quelle épreuve pour ma soumise si sage, ce nest pourtant pas si grave
»
Jane répondit avec hésitation :
- « Oui
Maître »
- La main qui caressait sa jambe souleva sa jupe, il jeta un coup dil et la félicita
- -« Joli, très joli
Cest bien, tu as fait comme je te lavais ordonné
Tu es très belle, pourquoi te gêner ? Enlève cette robe
»
Son ton nacceptait pas de refus, elle le comprit. Il roulait toujours très lentement, elle devina quil le faisait exprès, ils étaient encore en plein centre au vu des regards des passants. Elle serra les dents et obéit, retirant par-dessus sa tête la robe dété et se retrouva en guêpière, string, et bas dans lhabitacle, se sentant si impudique et scandaleuse. Lhomme sembla prendre plaisir à musarder le long du chemin, roulant tranquillement jusquà la sortie de la ville, tandis que sa main la caressait entre les cuisses, repoussait le string mouillé, trouvait sa chatte totalement inondée par lexcitation et la peur
- « Ecarte les jambes
Encore
.Encore !!! Mhmmm ma soumise est mouillée, elle aime ça, se montrer
dis.moi oui
Jaime me montrer
»
- -« Oui
Maître, jaime
me montrer
», balbutia telle en perdant sa contenance.
Elle ne maîtrisait plus rien
Son toucher était si délicieux, ses doigts si adroits dans sa vulve, caressant doucement lintérieur de son vagin, elle se sentait si bien
Jane se retrouva une jambe relevée contre la portière, tandis quils roulaient sur la route ensoleillée, et quil la caressait de sa main libre, adroitement, titillant son bouton, tournant vers son étoile, doigtant sa vulve
Elle gémit et se détendit, quel délice, cet homme connaissait la Femme, il savait où trouver ses sensations intimes, elle se laissa faire
Sa main poursuivit longuement son manège, elle jouissait sans retenue, les yeux fermés, les ouvrant parfois lorsquil ralentissait avec un sursaut de peur, craignant dêtre vue dans cette position dévoilant toute son intimité, la jambe gauche ouverte au maximum, la droite relevée contre la portière.
Elle eut plusieurs orgasmes, inondant ses vêtements, sa jupe, jusquau siège, cet homme avait une adresse exquise, il flattait sa vulve puis son pubis, excitant son bouton de sa main droite tandis quil conduisait de lautre main au hasard des chemins de campagne.
Puis il eut comme un rictus, il la prit par la nuque, tenant ses cheveux, lattirant brusquement à lui avec force, elle se retrouva couchée la tête sur ses genoux. Il ouvrit rapidement sa braguette, en sortit son sexe raidi, et la reprenant derrière la tête il la dirigea vers lui
Elle comprit et ouvrit la bouche, il appuya fortement sur sa nuque en lui disant:
« -Au bout, avale, petite soumise, avale jusquau bout
»
Jane sentait le gland appuyer au fond de sa gorge, faillit avoir un haut-le-cur et se maîtrisa
-« Suce-moi, suce-moi, Montre.moi comment tu sais le faire
»
Elle le suça avec soin, excitée et révulsée en même temps, elle était choqué par ses mots, son ton devenu si agressif et méprisant, lodeur âcre de ce sexe inconnu, le chatouillis des poils pubiens dans son nez
En même temps, ce fantasme réalisé qui lattirait depuis toujours était enfin matérialisé, elle était complètement excitée, elle sentait des spasmes de plaisir agiter son bas-ventre au même rythme de ses succions, elle ne savait pas pourquoi, mais elle était proche de jouir à nouveau
Il lencourageait et la dirigeait, elle devait sucer plus ou moins fort, elle sentait la main sur sa nuque qui lui rythmait son action, elle aima cela
Il lâcha la nuque de Jane pour relever sa jupe et la claqua fortement sur la fesse, puis régulièrement, elle gémit avec son sexe toujours en sa bouche, et jouit alors, inondant à nouveau la main de son Inconnu ...
-« Tu aimes ça, petite pute, petite soumise, dis-le, tu aimes mes fessées, tu aimes sucer mon sexe
»
Elle refusa de répondre, cétait trop odieux de ladmettre, elle jouissait de tout cela. Une forte claque la fit sursauter et jouir en même temps, elle cria, une autre claque survint encore plus forte.
« Suce, ne crie pas, dis moi
Oui jaime vos claques sur mon cul, oui jaime votre sexe
!! »
Ce manège dura encore quelques minutes, jusquà ce quelle eut trop mal, elle leva un peu la tête et murmura à voix très basse, de manière hachée, honteuse delle-même
- « Oui jaime vos claques sur mon cul
Jaime votre sexe
»
Une forte claque la fit sursauter, elle commençait à sentir sa peau chauffer.
-« Comment me parles-tu, petite soumise ?
Jane surprise réfléchit et comprit, elle avait de la peine à le vousoyer et à lappeler Maître, cétait si éloigné de ses habitudes dans la vie normale, où elle aimait tutoyer chacun et nacceptait pas les titres
- Pardon, Maître, oui jaime votre sexe, oui jaime vos claques sur mon cul
»
Il flatta alors sa croupe comme à un animal docile, , lui caressant aussi les cheveux avec tendresse pendant quelle continuait à le sucer, envahie encore de plaisirs intenses qui la secouaient, sentant sa main caressante sur son corps, de sa tête à ses seins, puis à son cul quelle relevait pendant quelle sentait un doigt sinfiltrer dans son petit trou, se faire une place et y remuer en cadence, elle gémit encore de plaisir et poussa contre ce contact délicieux qui générait des frissons de jouissance dans tout son corps
-« Tu aimes ça, petite soumise, cest bien, empale.toi sur mon doigt
»
Jane ondulait sous les mots comme sous les caresses exquises, tout cela était si fort, intense, quelle avait tout oublié, elle ne savait plus qui elle était, ne pensait plus à rien quà ce plaisir grandiose
Elle était sa soumise, il décidait et la faisait jouir, elle acceptait tout et c était bien ainsi. Elle ne pensait plus à sa vie normale, et elle était sur le chemin de lobéissance, son Inconnu lavait compris
Le véhicule amorça quelques virages, elle sentait la voiture tourner, elle ressentit un changement de lumière et de fraiîcheur, ils devaient être en forêt
Lhomme arrêta la voiture, lui tint la tête à deux mains fortement contre lui, la faisant à nouveau avaler son sexe durci jusquà la garde, et éjacula avec un grand cri de plaisir, tandis quelle buvait son âcre sperme jailli dans sa bouche
.Il la maintint longtemps, jusquà ce quelle avale tout son jus, et que ses propres spasmes se soient calmés, Il lui releva la tête et lembrassa avec violence, aspirant sa langue, puis introduisant la sienne dans sa bouche, et ils mêlèrent ainsi leurs salives et le goût de son liquide masculin. Jane détesta ce moment, elle naimait pas cet homme, pourtant elle avait joui, elle en voulait encore, mais elle naima pas ce baiser. Elle ne dit rien, mais il devina ses pensées dans ses yeux
- « Tu aimes être avec moi ?» demanda til avec malice
- « Non
» Répondit-elle franchement
Jane reçut à nouveau une claque sur la fesse, le jeu recommença jusquà ce quelle cède et réponde par laffirmative. Elle reçut alors quelques caresses qui la firent à nouveau palpiter dextase
Elle ne laimait pas, elle détestait lembrasser, mais elle adorait tous ses gestes, y compris ces baisers s, tout cela était étrange, mais elle navait pas le temps de réfléchir
Lhomme la releva assise sur son siège, et lui ordonna dune voix impérieuse
-« Sors, et viens devant le capot
»
Jane sortit, hésitante et vacillant sur ses talons, sa guêpière à moitié détachée, son chignon presque défait, ses seins issus de leur dentelles, elle avait lair une apparence de scandale, elle le savait
Elle regarda autour delle, ils étaient si près de la route, elle nosait pas, il insistait, à nouveau elle comprit quelle ferait mieux dobéir rapidement
.Elle vint devant le capot, il lobservait avec un sourire admiratif, et lui fit prendre des poses pendant quil branlait son membre qui reprenait vigueur
Elle dut lui montrer ses seins, se tourner montrer ses fesses, plusieurs fois
Elle était affreusement gênée, tendue, elle surveillait les voitures et saccroupit mit une fois lorsque lune delles passa plus lentement, de peur dêtre vue. Il riait de la voir ainsi, elle en fut mortifiée. Enfin il la laissa rentrer dans la voiture, et reprit ses caresses, elle oublia tout, sous le plaisir de son corps qui sépanouissait dêtre si bien compris
Lhomme lui demanda ensuite de sortir et quitta aussi la voiture, se retourna pour prendre un sac sur le siège arrière et ferma les portières à clé. Justine frissonna malgré la chaleur, elle craignait la suite des événements tout en les attendant avec excitation
Il la poussa devant lui par lépaule en direction dun sentier de forêt, elle dut avancer toujours dans cette tenue impudique au grand jour et à découvert, elle lentendait marcher derrière elle, regardant son corps, ses fesses et ses jambes gainées de bas noirs perchés sur ses talons
il passa sa main sous sa jupe, infiltrant son doigt dans son cul et la fit avancer ainsi, tenue par son petit trou, le reste de la main crochant sa chatte de manière délicieusement excitante et dominante...Elle adora cette sensation et avança docilement, perchée sur ses escarpins et trébuchant parmi les branchages et feuilles parsemés au sol. Il la dirigea vers un arbre droit assez mince, la poussa face contre le tronc en sappuyant sur elle, il lui prit les mains et rapidement lui attacha une paire de menottes à ses poignets reliés par derrière le tronc
Jane se retrouva ainsi immobilisée, avec les bras entourant le fût de cet arbre, le visage appuyé de côté contre la dure écorce, la bouche contre son épaule, quelle lécha doucement pour se rassurer elle-même, dans un geste instinctif et sensuel
Lhomme la fessa alors longuement, régulièrement, une fesse après lautre, elle se mit à crier à pleine voix, de plaisir total
Elle coula dans son plaisir, comme une rivière, comme une fontaine, elle sentait le liquide ruisseler le long de ses jambes, elle lentendait couler comme dune source jusquau sol
Il la félicitait, la caressait doucement puis plus fortement, la claquant à nouveau, lobligeant à se cambrer, puis à écarter les jambes, perchées sur ses talons, ses fesses nues relevées, sa croupe cambrée
Il la complimenta:
«- Tu es belle, tu es une bonne soumise, cest bien » elle frémissait de plaisir sous les mots et les sensations extrêmes
Puis elle lentendit ouvrir son pantalon, Jane le sentit prendre ses fesses à pleines mains, les écartant, les claquant, il la traitait de chienne et de pute, elle gémissait en mordant sa propre épaule, éperdue dexcitation. Elle sentit son sexe dur et large entrer en elle et la combler, bien au fond, elle se cambra elle aimait cette sensation, elle sentait ses mains qui crochaient ses fesses, ses hanches, et son sexe qui la pénétrait si fort, qui lemplissait
Il grognait tout en la limant avec force, alternant avec des mouvements circulaires qui la faisant gémir de plaisir, toute sa chatte caressée dans cette sensation délicieuse. Elle gémissait ou criait à pleine voix dans cette forêt, insouciante à présent dêtre vue ou entendue, cétait si bon, si bon, elle était prise et remplie, tout son être exultait, elle existait si fortement, pleinement, si intense, elle était si vivante
enfin elle jouit en feulant sourdement, raidie, cambrée, tétanisée, puis se laissa aller contre le tronc, haletante, trempée de tout son corps, rassasiée
Puis lhomme mit un doigt dans son petit trou, le caressa en tournant avec assurance, allant toujours plus loin, Jane gémit, il introduisit un autre doigt, cétait large, elle eut mal, elle cria de surprise. Il lui donna quelques claques en lui ordonnant de se détendre et de se taire
. Puis il appuya sur ses reins de lautre main, pour quelle relève son cul, pour quelle offre sa croupe, et la complimenta à nouveau
-« Cest bien, cambre toi, fais-toi belle
»
Il mouilla ses doigts dans sa chatte trempée, puis revint à nouveau à son cul, elle sut et se raidit de peur
mais elle reçut à chaque crispation une claque ferme, elle comprit quelle devait se cambrer et détendre ses muscles
Quand elle fut à sa convenance, il la fit encore reculer, elle se retrouva perché jambes en arrière et écartées, instable sur ses hauts talons, le visage contre larbre, le cul relevé, e et inconfortable, frémissante et vibrante, chienne et soumise
-« Cest bien ma soumise, tu es belle, offre-moi ton cul
Dis-moi
Baisez-moi, Maître »
-« Baisez-moi, Maître, sil vous plait
»
-« Avec plaisir, ma chère » dit il avec ironie
Il releva et écarta ses deux fesses, puis sintroduit dun coup, appuyant lentement sans faiblir devant ses cris de douleur
Arrivé au fond de son cul, il remuai doucement, caressant son bouton et toute sa fente, ses cuisses et son pubis dune main, pinçant et serrant ses seins de lautre, elle sentit alors la douleur diminuer au profit du plaisir, elle comprit que ces deux sentiments sont liés, associés
Comme la peur et lexcitation
Comme la soumission et les délices
Tandis quil la baisait de nouveau avec forces, allant et venant dans son fourreau brûlant et étroit, il grognait et râlait de plaisir, elle-même commençait à sentir la jouissance déferler, depuis le fond de son ventre, accentuée par les caresses et pincements sur son corps
Jane fut alors secouée de spasmes sous louragan de plaisir qui lenvahit, envahissant de haut en bas tout son corps de vibrations et de secousses de sensations extrêmes
Lhomme éjacula au fond de son cul, râlant et grognant encore, linondant de son sperme brûlant qui lincendièrent, et de mots crus qui accentuaient ses sensations
Ils restèrent un moment, haletants et tremblants, lui appuyé contre elle, Jane accroché à ses liens, qui tiraient douloureusement sur la peau sensible de ses poignets.
Puis il se retira, se baissa et fouilla dans son sac pour y trouver une serviette, et essuya Jane avec soin, pour nettoyer les liquides mélangés qui maculaient ses fesses
Il finit par quelques caresses qui lui envoyèrent encore quelques émotions délicieuses, puis séloigna, reprit son sac et fit mine de sen aller
« -Adieu, chère soumise, tu appelleras ceux qui passeront sur ce chemin, ils viendront te délivrer
»
Jane frémit dangoisse, elle ne voulait pas rester ainsi, à moitié nue et croupe offerte, dans cette forêt perdue, sous le regard de passants inconnus
Elle abandonna son ultime reste de fierté et le supplia:
« -Non
Restez
Maitre, ne me laissez-pas
»
Elle avait les larmes aux yeux, elle le voyait séloigner, son ventre était crispé dangoisse. Il revint en souriant, les yeux plissés sous le soleil, elle comprit quil bluffait. Il vint tout près delle, devant son visage toujours plaqué au tronc, lui caressa les cheveux tendrement
Sans un mot, il ouvrit son pantalon, sortant son sexe moite et amolli ... . Elle naurait pas accepté en une autre situation, mais elle le prit en bouche sans regimber, fermant les yeux et peu motivée, rebutée par les odeurs de leurs deux sexes
Il cassa une petite branche à larbre au-dessus de sa tête et cingla sa cuisse
« -Allez, mieux que ça, petite pute, montre-moi comme tu sais le faire
»
Elle sursauta sous la douleur et la surprise. Il prit ses cheveux et la baisa avec force, envoyant son sexe en sa gorge avec des halètements rauques, cinglant régulièrement ses fesses dans le même rythme. Tenue et fouettée, prise et emplie, elle le reçut avec docilité, sentant à nouveau le plaisir monter, suscité par les sensations extrêmes quil avait fait naître chez elle, peur, colère, révolte, soumission
Elle jouissait de nouveau, toute fierté abolie, complètement à sa merci, heureuse de lêtre, oublieuse de toute autre chose que de ces sensations extrêmes qui lenvahissaient
Ils jouirent encore ensemble, lui dans sa bouche, avec peu de sève, il était au bout de ses réserves, elle en eau ruisselante à nouveau, épuisée et essoufflée. Il se retira, se rajusta tranquillement en la complimentant à voix douce
Puis il défit ses menottes, et laida à se relever, elle était ankylosée et incapable de bouger ses jambes, tétanisées par leffort de rester ainsi pendant de si longues minutes. Il lappuya dos au tronc de larbre, et lembrassa voracement, mordant sa langue et laspirant, dardant la sienne dans sa bouche. Jane répondit à ce baiser pervers, tiraillée entre des émotions contradictoires
Elle le détestait et laimait, elle avait eu du plaisir et de la peur, il l avait caressée et rudoyée, il avait été doux et brutal, tendre et brusque, toujours imprévisible et surprenant
Mais elle avait joui si intensément
Etonnant cocktail de sensations intenses et décuplées par lappréhension, la vulnérabilité et le risque. Mais en conclusion, elle se sentait bien et en paix dans son corps et son cur
Il la prit par la main et lentraîna vers la voiture, ils marchèrent en se souriant, en un mélange de connivence et de distance
, Ils repartirent vers leur lieu de rendez-vous, lui conduisant et posant encore sa main sur sa cuisse, elle se rhabillant dans la voiture. Il la débarqua près de son véhicule, décoiffée, à moitié dévêtue, ses affaires éparses dans son sac...Il la salua dun :
« -Au revoir chère soumise, tu auras un message prochainement
"
Attendant sa réponse avec un regard exigeant.
« -Oui Maître, au revoir
» Répondit-elle en lui souriant, sans être sûre ce quelle ferait vraiment par la suite, cette rencontre était si étonnante, perturbante, elle ne savait pas, mais ne le lui dit pas.
Il démarra en lui faisant un léger signe de la main, elle se retrouva seule dans cette rue, satisfaite et comblée, fière delle et de son courage, davoir osé réaliser ce défi, davoir affronté la souffrance et la jouissance, la peur et la frayeur, lhumiliation et la passion
Pour se sentir plus féminine et sensuelle. Elle avait gagné en ayant lair davoir perdu, elle était soumise et reine. Restait le secret complet, elle ne le raconterait jamais à personne.
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