La Fille Du Fermier
Jen ai assez de la vie en ville. Il me faut un peu dair. Je nai pas à aller bien loin, ma grand-mère ma laissé une propriété familiale que jai donné en fermage, mes connaissances agricoles sarrête à celle de la culture dun géranium dans son pot. Le fermier est un homme de la cinquantaine qui aidé dun ouvrier fait fructifier mon bien. Jaime aller chez moi de temps en temps, pas seulement pour maérée mais depuis quelques mois pour rencontrer la fille du fermier. Jai eu un choc, ma première fois que je lai vue; une belle brune de 18 ans, aux yeux bleus avec une poitrine comme je les aime, pas très grosse, juste ce quil me faut. Elle est en train de cuisiner pour son père quand je suis entrée. Elle est mal fagotée, mais je devine dessous des trésors cachés. Je les veux pour en profiter.
Vous lavez déjà compris, jaime les filles: elles ont la peau douce, elles sont fragiles: les hommes, au moins la plus part, les traitent mal. Alors que je suis toujours câlines avec elles, je préfère embrasser une fille quun homme: jai horreur de leur façons de faire, depuis quun deux ma plutôt mal, même très mal baisée. Il était un peu pompette quand il ma à me donner à lui. Au début, la pénétration était normale, je commençais à sentir mon plaisir monter quand je ne sais pourquoi, brusquement il a voulu me sodomiser, comme ça, à sec. Il y est arrivé: javais beau me débattre il tenait absolument à ce que je lui dise quil me faisait du bien alors que sa bite était au fond de mon cul. Javais beau hurler quil me faisait mal, quil sorte: il a jouit en moi. Depuis, je ne me suis plus jamais offerte à une bite. Même si parfois jen ai besoin. Jai pour ça le remède, un bon gode vibrant
En attendant jai envie de la fille de mon fermier, Jeanne, elle sappelle ainsi me met sans le savoir dans des états invraisemblables. Il marrive de me masturber en ayant des fantasmes sur son corps. Jai décidé aujourdhui de franchir le pas.
Jeanne est les bras nus, me permettant déjà de la féliciter pour la beauté réelle de ses bras. Pour donner plus de poids à mes mots, je lui caresse le bras gauche, celui dont elle ne se sert pas. Elle me regarde en souriant. Je monte petit à petit jusquà son épaule. Il mest facile de poser mes lèvres à cet endroit: elle en parait un peu étonnée et me laisse faire. Je lui caresse le cou, elle se laisse faire. En passant derrière elle, je maintiens ma bouche sur son épaules et ensuite je la met sur son cou. Je la tiens par derrière. Petit à petit je lui prend la taille et mes mains montent jusquà sa poitrine. Je ne fait rien de particulier sinon de tenir ses seins sans bouger. Elle nest pas sotte, elle doit bien savoir où je veux en venir. Lexpérience doit la tenter puisque dès que je caresse un peu la poitrine, elle la tend vers moi. Je sens ses tétons durcir: la partie est gagnée: je laisse une seule main et descend lautre vers son pubis. Je serre mon bas ventre contre ses fesses. Ma main arrive sur le haut de son sexe: je le caresse aussi. Pour je ne sais quelle raison elle tourne sa tête vers moi. Jen profite pour poser mes lèvres sur les siennes. Ma langue entre dans sa bouche: le baiser est rendu. Je me tourne complètement vient contre elle, sein contre sein. Ma bouche est encore sur la sienne. Nos langues se mélangent dans nos bouches.
Jusquà présent nous navons pratiquement pas parler, sinon quand je lui disais quelle avait de beau bras.
- Tu veux ?
Sans ajouter un mot de plus. Si elle dit oui, je sais que nous baiserons.
- Oui, je veux ?
- Tu veux quoi ?
- Faire lamour avec toi !!!!
Cest net et précis. Pourtant il me manquez des renseignements:
- As-tu un petit, ami ?
- Bien sur à mon âge cest normal, non ?
Et malgré ton ami, tu acceptes que nous baisions ensemble ?
- Une femme cest pas pareil.
- Tu le lui dira ?
- Plus tard sans doute.
- Es-tu vierge ?
- Non heureusement depuis longtemps; il ma fait lamour plusieurs fois.
- Et cétait comment ?
- Très bon.
- Tu as jouis avec lui ,
- Bien sur et même seule, il marrive de me masturber.
- Il tas déjà sodomisée
- Oui, cest arrivé, même que cétait bon.
- Nous pouvons au moins baiser une fois ensemble maintenant.
- Cest pas possible, mon père ne va pas tarder à venir manger. Quand il partira, là oui, nous irons dans ma chambre.
- Tu minvite à manger ?
- Bien sur.
Elle a raison son père arrive un instant plus tard. Nous échangeons des politesses, il me décrit le travail quil fait. Pour moi cest toujours bien du moment quil verse le fermage. Le repas est rapide: il doit continuer je ne sais trop quelle urgence. Sa fille lave en vitesse la vaisselle et elle me prend la main pour que nous montions dans sa chambre. Nous sommes à peine entrée que je la prends dans mes bras, ma bouche part à la recherche de la sienne. Nous nous embrassons longuement. Mon Dieu que cest bon une langue de femme dans ma bouche. Jarrive à cesser de lembrasser pour la déshabiller lentement. Quel corps splendide, avec ses petits seins à la pointe bien dressée. Que son ventre plat attire mes main et ces quelques poils follets sur son bas ventre. Jai eu raison de la vouloir. Je suis nue plus vite quelle. Je ne mattendais pas à une telle chose de sa part, elle mentraine sur le lit. Nous sommes bien serrées encore, nos lèvres encore jointes. Je lui caresse les seins: elle adore, veut me rendre la pareille. Elle me touche à peine la poitrine: jai tellement envie quelle pourrait me faire jouir rien quand me caressant. Je la met en levrette, elle se demande pourquoi. Jai trop envie de lui faire du bien que je ne peux pas la laisser seulement avec son sexe offert comme elle le fait avec son ami. Je commence par lui lécher un peu les clitoris, le plus bas placé pour linstant.
Elle se met seule sur le dos, me regarde en mendiant encore un baiser. Nos langues sont sorties des bouches elle se caressent dehors. Cest très excitant ainsi. Elle ne connaissait pas encore ce genre dexercice.
Maintenant je décide de baiser complètement avec elle. Je lenjambe pour mettre en 69. Je commence par pose mon corps sur le siens, mes seins contre son ventre. Je commence par baisser un tout petit peu la tête pour que ma bouche soit à la hauteur de sa chatte. Je commence par lui lécher toute sa fente, depuis lanus jusquau clitoris. Je mattarde beaucoup sur son bouton.
Je sens quelle aussi pose sa bouche sur mon sexe. Si les débuts sont laborieux, elle prend vite la cadence pour lécher mon vagin et ensuite revenir sur mon bouton. Delle-même elle me rentre deux doigts dans le cul. Je lui en fait autant. Linventeur du plaisir féminin soit béni: nous jouissons longtemps toutes les deux.
Arrive hélas le moment où nous devenons fatiguées. Nous restons couchées bien blotties en nous embrassant souvent. Au moment de nous lever, elle tient à me montrer comment elle se branle. Elle écarte à peine ses jambes, passe seulement un doigt vers le bouton, écarte avec deux autre doigts de lautre main ses lèvres et lentement fait aller et venir son doigt. Elle accélère peu à peu. Je la regarde un instant et pour quelle jouisse encore plus, je lembrasse sur la bouche.
Elle dois venir la semaine prochaine en ville: elle viendra chez moi: nous pourrons baiser cette fois avec le gode vibrant: je sais quelle en deviendra folle au point de demander à son ami de mieux la baiser.
En attendant elle me dit que je lui ai donné un très grand plaisir quelle voudrait encore faire avec moi ou même une autre fille. Jespère ne pas lavoir pervertie à ce point: qu'elle apprenne à aimer les garçon dabord. Mais après tout, moi-même jai bien commencé comme elle.
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