Les Routiers Sont Vraiment Sympa
Je vous écris de Biarritz où je viens darriver après un voyage très agréable et rentable puisquil va me permettre de payer mes vacances. Voilà comment : je suis partie de Paris il y a quelques jours, sans un sou en poche, vu que je suis étudiante en comptabilité et que mes parents me donnent à peine de quoi payer ma chambre en cité U et la cantine. Du coup, javais le choix entre passer les vacances avec eux au Mans ou trouver du fric pour rejoindre mes copains à Biarritz. Cest là que jai eu une idée de génie.
Jai fait du stop porte dOrléans, en levant le pouce uniquement sur les poids lourds. Comme je suis assez bien gaulée avec mon jean déchiré et un T-shirt qui sarrête au nombril, jai pas attendu plus de dix minutes. Cétait un énorme camion qui roulait vers Bordeaux, donc dans ma direction. Avant de dire oui, jai regardé la marchandise. Un jeune gaillard blond avec des bras plus épais que mes cuisses, une belle mâchoire carrée et un cou de taureau. Pour le reste, je ne pouvais voir, mais je mimaginais. Je lui ai tendu mon sac, et il ma attrapé le bras pour me hisser dans la cabine. On aurait dit quil ne sentait même pas mes 52 kg.
Nous voilà partis sur lautoroute, la radio à fond. Uniquement de la techno. Ça tombait bien, jadore ça. On sest mis à se dandiner tous les deux, sans se parler. Lui avec son torse tellement large quil menaçait de faire péter son T-shirt à chaque mouvement. Mes deux petits seins sans soutif ballotaient en cadence, tellement que mon chauffeur narrêtait pas de jeter des coups dil. En réponse je louchais sur la braguette de son jean, bombée à souhait. A plusieurs reprises, sa grosse main est venue frôler ma cuisse, puis mes tétons. Je ne disais rien. Je lallumais, mais il ne fallait pas lui laisser penser que cétait dans la poche.
Au fil des kilomètres, on a commencé à échanger quelques mots entres les tubes qui défilaient à tue-tête. Jai insisté sur la difficultés de la vie étudiante, les problèmes dargent, et le fait quune ou deux fois je métais fait un mec pour le fric
À condition, bien sûr, quil me plaise.
Il ma annoncé 50, jai dit 125, il a tout de suite dit daccord. Jai fait glisser son jean et son slip pour libérer un manche digne des acteurs de porno. De sa main droite, il a attrapé mes cheveux courts et ma enfoui son dard dans la bouche. Il avait le goût de pisse, de celui qui roule depuis des heures et qui ne prend pas la peine de sessuyer. Ce nétait pas pour me déplaire ! Cest lui qui donnait le rythme, tout en conduisant. Son gland tendu frappait ma luette au fond de ma gorge et marrachait des larmes et des hoquets. Cen était presque désagréable, mais jaimais me faire dominer par cette montagne de muscles. Javais la bouche ouverte au maximum pour laisser entrer son diamètre royal. À un moment, pour me détendre la mâchoire, jai refermé un peu la bouche et mes dents se sont posées sur son sexe, ce qui la encore plus excité.
Jai senti que le camion ralentissait. Sa main droite a quitté ma tête pour se poser sur le manche de vitesses. On est entré dans une aire assez vaste ou il sest garé. Puis, dun mouvement du menton, il ma fait signe de passer dans sa cabine arrière. Il ma suivie en tirant les rideaux. La techno toujours à fond nous accompagnait. Jétais très excitée, mais javais un peu dappréhension en même temps, parce que ce colosse me faisait quatre fois et quun geste un peu brusque de sa part suffirait à me briser.
En deux temps trois mouvements, il a fait glisser son jean et son slip, ôté son T-shirt dévoilant une plaquette de chocolat comme jen avais jamais vue.
Sans crier gare, il ma descendue et a posé ma figue contre son épée. Javais les jambes dressées contre son torse en acier trempé, les mains autour de son cou de taureau. Jétais vraiment un jouet entre ses mains. Il ma descendue et ma moule a happé non sans mal cette énorme bite. A chaque résistance, il sarrêtait, reprenait avec des mouvements tout petits jusquà ce que je me détende. Jai fini par avaler tout son mât jusquaux burnes. On aurait dit comme une danse. Il me soulevait et me rabaissait au rythme de la techno, un peu comme si cest son membre et non mon corps quil branlait entre ses mains. Je me sentais délicieusement envahie par cette hampe virile, pleine comme sil ne restait plus un millimètre de libre.
Puis il ma retournée sur le dos, il sest mis à genoux et il ma soulevé les hanches jusqu'à sa matraque. Cette fois-ci, il ma pénétrée dun seul coup, jusquà la garde. Il me ramonait violemment, encouragé par mes gémissements de plaisir. Javais limpression que tout mon corps nétait plus quun cratère en feu, comme si je nétais plus quun sexe. Le mouvement devenait frénétique. Je sentais une onde monter en moi. Jai cru quon allait exploser très vite tous les deux.
Au moment où jallais partir, il sest retiré.
- 100 balles de plus et ma empalée sans plus de ménagement. Jai cru que jallais tourner de lil sous la brûlure qui ma déchiré les entrailles. Jai hurlé, mais avec la musique à fond, personne ne pouvait mentendre. Javoue que jai eu la trouille de ma vie. Mais cétait trop tard. Je me débattais, mais ses mains de fer me maintenaient le cul offert sans possibilité de me dégager. Il a continué son rythme endiablé comme si de rien nétait. Javais voulu jouer à la pute et il me traitait comme une pute !
Peu à peu, la douleur sest transformée en chaleur. Au lieu de le fuir, mon bassin venait à lui pour bien profiter du ramonage. Ma gorge émettait des sons rauques que seul moi je pouvais entendre. Jamais je navais été baisée aussi bestialement, et jaimais vraiment ça. Il ma pilonnée ainsi de longues minutes et moi je me déchaînais de plus en plus, jen voulais de plus en plus. Ma tête frappait contre la paroi du camion men apercevais même pas. De ses deux mains, il écartait encore plus mes fesses pour senfoncer bien au bout. A chaque coup, jéprouvais comme une douleur au fond de mes entrailles qui me déclenchait une onde de plaisir. Cest la première fois que je sentais que je jouissais du cul. Je navais même plus envie de me caresser le minou. Seul comptait mon fion et le plaisir quil me donnait. Il a fini par menvoyer la sauce dans les boyaux après un ultime coup de butoir qui ma empalée encore plus profondément. Jai crié comme une bête en me trémoussant. Je ne métais même pas aperçue que jétais en nage.
On a remis ça avant darriver à Bordeaux, moyennant un petit supplément, puis jai renouvelé lexpérience avec un autres routier qui ma amenée jusquà Biarritz. Voilà comment jai payé mes vacances
en me payant du bon temps !.
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