Je Me Suis Livré Au Plus Offrant...

J'étais tranquillement allongé à poil au bord de ce torrent de montagne, lorsque des mecs à poil eux-aussi ou en
maillot de bain, s'approchèrent subrepticement de moi, me relookant à chacun de leurs passages. L'endroit est
connu comme étant un repère de gays en quête de sexe facile. Il faisait beau et chaud en cette belle journée
d'été, et je m'étirais de tout mon long en remuant sensuellement mes bras et mes cuisses tout en déplaçant
mon cul, afin de présenter à leurs regards la belle courbure de mes reins.
Cela faisait trop longtemps que je ne m'étais pas fait de mec, et j'avais une envie irraisonnée de culs, de bites et
de couilles. J'aurais baisé n'importe quoi, tant j'étais en manque...
Je pouvais tranquillement observer sans être vu, car je portais une paire de lunettes de soleil, le seul accessoire
qui m'habillait. Quand un mec s'approchait de très près, je ne pouvais retenir une légère érection de mon sexe
fébrile, indispensable pour ferrer une proie éventuelle, puis ma queue retombait dans la torpeur jusqu'au mâle
suivant. Mais désormais, même au repos, le gland était de sortie et il frémissait à chaque regard ainsi qu'à la
douce chaleur du soleil qui l'échauffait. Tout cela était très bon, j'étais bien et particulièrement disponible.
Je pense que cela devait se sentir, car certains hommes m'observèrent bientôt en se masturbant ouvertement.
Ils étaient beaucoup plus âgés que moi, certains auraient pu être mon père, mais qu'importe, les voir s'exciter
m'excita à mon tour. Mon sexe frémit encore, se durcit et s'étala rapidement en tapotant sur mon nombril. J'étais
à point et je ne pus m'empêcher de soupirer, le soupir d'un mec impatient de s'envoyer en l'air. Un homme, puis
un deuxième, puis un troisième s'accroupirent autour de moi. Ils osèrent une main, puis une deuxième et
bientôt c'était Shiva qui tripota ma peau glabre de post-adolescent.

Chacun se disputait une partie de mon corps, et moi, je me laissais faire en soupirant. Tout mon être fut palpé,
malaxé, sucé, deux doigts forcèrent même l'entrée de mon anus, mais bien vite, l'un des mâles imposa sa
présence en écartant les rivaux. Ce n'était pas le plus beau, mais certainement le plus âgé. Il arborait une
épaisse chevelure blanche et un visage fripé... je fis contre mauvaise fortune bon cœur, en me disant qu'après
tout, les vieux aussi avaient le droit de prendre leur pied... Mon instinct ne m'égara pas... le vieux me caressa
comme un dieu, doucement, tendrement, avec une sensualité jamais connue jusque là. Je faillis jouir plusieurs
fois à chacun de ses assauts. Il me dit des mots doux, gentils, comme pour me remercier de lui offrir ainsi mon
corps d'éphèbe. Il me suça diaboliquement et moi j'ébouriffais sa chevelure blanche en tirant dessus à chaque
pointe de plaisir incommensurable. Je lui souris en caressant son visage ridé. J'enveloppais de ma main son sexe
tout fin qui n'arrivait pas à bander. Les autres hommes restèrent sur le bord en astiquant frénétiquement leurs
queues. Je reçus sur le visage plusieurs rasades de sperme, ce qui m'excita encore plus. Je sentais d'autres
gouttes, gicler lourdement sur mon torse et mon bas-ventre. Je finis par jouir moi aussi dans un long râle,
particulièrement bruyant. Mon premier sperme m'arrosa violemment le bout du nez, tandis que les autres
éjaculats se perdirent dans le jus épais des dizaines de mecs qui avaient arrosé mon corps. Je me mis assis et
constatai plutôt surpris la quantité de semence qui ruisselait désormais de partout. Les hommes s'éloignèrent
les uns après les autres, mon vieillard m'embrassa sur la bouche en y faisant rentrer malgré lui, des coulées de
sperme salé, puis, il me remercia. J'étais gluant, reposé, apaisé jusqu'à la prochaine baise. L'après-midi ne faisait
que commencer.
Remis de mes émotions, je fis trempette dans le torrent frisquet pour stopper mon érection encore vaillante
malgré ma jouissance, et pour me débarrasser des coulées blanchâtres qui recouvraient mon corps. Ah les
salauds, me dis-je, ils s'y sont donnés à cœur joie!