Na Leslie Tr 87

Leslie à Paris – P88 – Sultane, suite.

J’emmène Sultane à la maison.
D’à peine un mètre soixante, brun aux yeux bleus, ce petit travesti mignon comme un cœur est mince, habillé ce soir d’une mini jupe qui laisse apparaitre des jambes fines, d’un petit haut laisse deviner une fausse poitrine dans petit soutien gorge blanc. L’ensemble, bien que légèrement filiforme est très agréable, nul doute qu’il est homosexuel dans le corps et le côté androgyne de Sultane laisse deviner qu’il pourrait être une jolie transexuelle.
Après avoir fait connaissance lors de la soirée chez une amie, Sultane m’a fait des confidences en me racontant sa vie, aujourd’hui triste d’être seul suite à une rupture elle m’a demandée de l’emmener chez moi.
Sultane à 19 ans à peine vient de larguer son copain à qui elle à offert son innocence, puis devenu jaloux Sultane l’a quitté le jour où son ami a commencé à le battre.
Avant de monter dans la voiture Sultane m’a embrassé, comme pour me remercier et nous sommes partis.

Arrivés à l’appartement nous avons bus avec Sultane en continuant d’échangés sur divers propos et plus particulièrement sur les façons de vivre en femme et de transformer son physique, il voulait savoir comment avoir de la poitrine et aussi comment je vivais dans mon physique de femme au membre d’homme, puis à un moment il s’est levé et m’a demandé :
- Comment me trouves-tu ?
- Très joli, lui ai-je répondue.
- Je te plais !
- Oui.
Il s’est alors approché de moi et m’a embrassé à pleine bouche en me disant :
- Aimes moi !
Je me suis levée et je l’ai pris dans mes bras pour lui rendre son baiser, lui caressant le dos et le pressant contre mon corps, Sultane frémissait dans mes bras mais ne tentait pas de se dérober. Doucement je l’ai déshabillé en commençant par le haut et découvrant son torse imberbe, puis la petite jupe tomba à terre et le petit string suivi la jupe, Sultane nu devant moi cachait son sexe des deux mains par pudeur.

Je le retournais pour avoir son dos contre moi et caresser sa poitrine et jouer du bout des doigts avec ses petits tétons qui durcirent sous l’action de mes doigts laissant Sultane émettre des gémissements de plaisir. Automatiquement ses mains quittèrent son pubis pour se joindrent aux miennes sur son torse.
Mes mais descendirent alors le long de son ventre pour aller chercher son sexe et le caresser.
Au contact de ma main sur son sexe Sultane frémit et gémit de plus belle, son sexe était petit et doux eu touché presque imberbe, le pubis de Sultane était recouvert d’un doux duvet juvénile.
Prenant son sexe en main je me suis mise à le branler doucement en lui prenant à nouveau les lèvres qu’il m’offrait tendrement. Sultane se mit à bander en poussant des petits :
- Ohhh !
Nous sommes restés ainsi pendant un long moment, branlant ce petit sexe juvénile et faisant se trémousser Sultane contre moi, je sentais Sultane au bord de la jouissance alors arrêtant mes caresse je le pris par la main pour le conduire dans ma chambre.
Sultane de dos m’offrait la vision de son corps frêle et mince, aux formes d’adolescent, ses petites fesses étroites et ses longues jambes minces lui donnaient un côté vulnérable et tendre à la fois.

C’est allongé sur le lit que Sultane me regarda me mettre nue, lentement je me déshabillais en prenant le temps qu’il découvre une à une le parties de mon corps, une fois nue devant lui il dit :
- Tu as un corps merveilleux.
Debout au pied du lit je lui ai dit :
- Caresses-toi et regardes moi.
Tandis qu’il commençait à se caresser je me mis à me branler, te peu de temps après Sultane dit :
- Ton sexe est magnifique !
Je me suis approché de lui et il à prit mon sexe entre ses lèvres, je dois avouer qu’il suçait bien et que sa petite bouche étroite me procurait beaucoup de plaisir, puis le laissant allongé sur le dos je me suis installée entre ses jambes sur le lit, j’ai ensuite relevée ses jambes en lui glissant u n oreiller sous les reins afin qu’il soit bien positionné pour m’offrir son intimité.
Sultane se laissait faire en fermant parfois les yeux.
J’ai écartée ses jambes afin de dévoiler son petit anneau. Lisse et imberbe de tout poil il était serré, j’ai enduit de gel mon sexe et le petit trou de Sultane et j’ai posé mon gland à l’orée de œillet.
Sultane à frémit sans rien dire attendant docilement la pénétration.
J’ai poussée mon sexe en Sultane et je fus surprise de la souplesse de son anneau qui s’ouvrit du premier coup de rein sans faire hurler mon amant.
Malgré l’étroitesse de l’intimité de Sultane je fus bientôt au fond de ses entrailles le faisant gémir de plaisir.
- Ohhh, comme tu me prend bien à fond, tout ton sexe est en moi.
J’ai sodomisée ce petit travesti pendant de longues minutes, le faisant hurler tandis qu’il se branlait d’une main, puis il à jouit sur son ventre en me disant :
- Jouit ma chérie, jouit.
Je lui ai alors remplit les entrailles de ma semence le faisant perdre, un instant, conscience.

Sultane s’est offert toute la nuit désirant être prit dans toutes les positions, et au petit matin les yeux cernés d’une nuit blanche il est sortit de ma vie heureux d’avoir été aimé.
Je ne l’ai jamais revue.

A suivre……