Sa Chose
Valentine est très joueuse. Elle aime samuser de tout et en toute circonstance. Et ce quelle préfère le plus, cest jouer avec les hommes. Elle sait quelle a du charme. Elle na pas froid aux yeux. Alors, quand elle veut vraiment samuser, elle fait sa coquine. Elle aime aguicher, parler de sexe, traquer lhomme devenu sa proie, savoir ce quil pense, quil le dise, quil le montre ou encore mieux, quà son tour il entre dans le jeu
.
Beaucoup dhommes aiment ce genre de femmes, dominatrices, cochonnes, ça les excite. Dautres se le refusent mais en crèvent denvie et enfin, dautres estiment que ce sont de belles salopes. Et alors ! ! ! Valentine ne laisse pas indifférent, cest le principal.
Quimporte laire de jeu, dans la métro, au supermarché, encore même au boulot, son lieu de prédilection. Elle adore samuser avec ses collègues, certains rentrent dans le jeu facilement, ne cache pas leur désir. Savoir quelle plait, quelle donne envie, ça, Valentine adore. Cest très excitant.
Ce matin, Val décide de choisir une de ses robes favorites, une guêpière et son string. Elle enfile délicatement des bas noirs et chausse des hautes bottes en cuir noir. Le ton est donné ! Toute de noir vêtue, cette belle panthère va sortir ses griffes et il vaudrait mieux que les messieurs soient à la hauteur ! !
Arrivée dans son entreprise, Val fait le tour des bureaux pour dire bonjour à ses collègues et faire un petit repérage en bonne chasseresse quelle est. Max est là. « Tant mieux, je sens que ça va être sa fête
» pense-t-elle en sapprochant de lui. Il se retourne en lentendant arriver et avec un grand sourire lui demande :
« Salut Val, ça va ? Ouah, cette tenue, pas trop froid ? ?
- Non, je suis bien chaude rassure-toi, mais jai les doigts gelés.
- Te gènes pas, tu peux les réchauffer, répond-il du tac au tac, en écartant les cuisses.
- Je nen attendais pas moins de toi, je te remercie ».
« Cest très agréable, je me sens déjà mieux ».
Max est le collègue avec lequel elle joue le plus. Ils sont sur la même longueur dondes mais jusque là Val na jamais oser le toucher ainsi. Un pas est franchi.
Leurs bureaux sont face à face. Val regarde Max. Elle sourit. Elle imagine déjà la prochaine boutade quelle va lui sortir, la prochaine proposition malhonnête. Lui aussi la regarde aussi. Il pense quelle est magnifique, terriblement attirante, et son regard aguicheur, dun bleu profond, le trouble. Comme dirait son meilleur ami, Kévin : Elle a les yeux qui puent le cul !
A ce moment là, un ouvrier rentre dans la bureau.
« Excusez-moi, je dois regarder vos radiateurs et les purger. Ca ne sera pas long. »
Se penchant par dessus son bureau, Val chuchote à Max :
« Et toi, tu as besoin dêtre purger aussi ? ». Max ne répond pas, trop occupé à profiter de la vue de ce superbe décolleté. Huuuuumm comme il aimerait pouvoir mettre son nez entre cette paire de seins. Les masser, sucer les tétons et les sentir se raidir
Et voilà, cest lui qui est raide ! ! Val est décidément une experte quand il sagit de faire bander un homme.
Cest en sasseyant sur son siège, que Val saperçoit que le petit plombier est à quatre pattes devant le radiateur. Dans son jeu, elle en a oublié sa présence. Mais lui, na rien manqué. Il a pu, lui aussi tout comme Max, profiter des formes si sensuelles de Valentine. Penchée sur son bureau, elle lui offrait une vue de premier choix. Ses fesses charnues, la dentelle de ses bas et sa chatte quil devinait sous le tulle de son string. Huuummm comme il aimerait pouvoir y glisser sa main, caresser lentement ce sexe pour faire monter la chaleur et découvrir au centre de sa moiteur exquise, lentrée de son vagin
y entrer un doigt
.
« Et alors, ce radiateur ? Il est en état de chauffe ? ? » demande Val fauchant le plombier dans son rêve coquin.
« Val, sois sympa avec lui, tu le sais, ici tout chauffe sauf le radiateur. La tuyauterie va finir par exploser » rétorque Max en éclatant de rire.
« AAAhhh tout va exploser, alors je file aux abris, je ne veux pas être sous le déluge quand ça va jaillir ! ! Je risque dêtre prise entre 2 feux , plaisante-t-elle en regardant un à un les 2 beaux spécimens mâles de ce bureau.
- Max, je file aux archives, je dois y entreposer lannée 2009. Si tu ne sais pas quoi faire de mieux, tu peux venir me donner un coup de main. Je vais en profiter pour voir sil ny a pas de problème de radiateur, rajouta-t-elle en flinguant du regard le plombier.
Val arrive dans la pièce des archives. Petite pièce exiguë au bout du couloir, sans fenêtre. Elle fait plusieurs allers et retours les bras chargés de boîtes en cartons quelle entrepose à lentrée de la pièce. Puis, elle allume la lumière, entre dans la pièce et commence son rangement. Tout à coup, la porte claque, la lumière séteint, un bruit ? ?
« Ya quelquun ? Cest pas drôle Max, allume, je naime pas le noir ! ! Max, cest toi ? ? »
Pas de réponse et là, une main se pose sur sa bouche pour lempêcher de crier, un mot murmuré à son oreille « Chuuuuuut ». Un corps puissant la plaque contre létagère. La bouche toujours bâillonnée, elle sent la peur lenvahir. Elle voudrait crier mais ne le peut pas. Fuir, pas possible, elle est immobilisée. Une main se glisse sous sa robe et empoigne son string. Dune violence sans pareille, dun geste brusque, il est arraché. Val est à la merci de cet homme. Il lui glisse sans ménagement 2 doigts dans son vagin et fait des va et vient rapides. Elle sent son souffle haletant dans son cou. Il est excité. Il bande fort. Elle devine la forme de son pénis en érection à travers son pantalon, plaqué contre ses fesses.
Lhomme est ferme, déterminé, violent mais pas trop. Il garde sa main sur la bouche de Val et loblige à sasseoir sur le sol.
Lhomme dont elle ne sait rien, dont elle ne reconnaît par le parfum, dont elle na pu identifier la voix, commence à lui caresser les seins. Il les dégage rapidement des balconnets de la guêpière avec une habilité déconcertante dans une obscurité de la sorte. Il lui suce les tétons, les mord. Aïe ! ! Ses doigts sont de nouveau dans son vagin. Et malgré la peur, sa chatte sécrète une délicieuse cyprine. Linconnu qui sent cette moiteur ne peut résister et vient poser sa langue sur ce sexe dont il prend possession, quil sattribue de force, quil viole
Sa langue est audacieuse, énergique. Le clitoris de Val se gonfle. Les doigts à lintérieur du vagin cherche efficacement le point G. « Non, se reproche-t-elle secrètement, je ne peux pas jouir ! ! ! ».
Soudain, lhomme qui a deviné cette montée orgasmique se retire. Elle sent quil se lève
Que fait-il ? ? Un bruit, un ceinturon, une fermeture
il enlève son pantalon
et ?
Elle croit deviner quil se masturbe, oui cest cela, il se masturbe ! ! Il gémit, de petits râles séchappent par moment et puis rapidement lexplosion, Val est aspergée par la semence de linconnu.
Il saccroupit, colle sa joue contre celle de Val « Hummm ». Et en un éclair disparaît de la pièce. Eblouie par la luminosité du couloir, Val na aperçu quune silhouette fugace à contre jour sans pouvoir lidentifier avant même que la porte ne se referme.
Elle reprend peu à peu son souffle et trouve la force de retrouver à tâtons linterrupteur. Elle allume la pièce. Elle ramasse son string déchiré dont elle se sert pour ôter le sperme qui coule le long de sa cuisse.
Une quinzaine de minutes se sont écoulées, Val qui sest arrangée les cheveux et dépoussiérée la robe comme elle a pu, sort de la pièce. Elle se rend directement dans son bureau pour attr son sac à main et file remaquiller et faire un brin de toilette dans les WC. Pas une âme dans les bureaux, personne. Pas le plombier, ni Max.
De retour, elle le croise dans la hall dentrée.
« Tu viens doù Max?
- Je suis allé voir le Directeur pour lui soumettre lordre du jour de la réunion de demain. Et toi ? Fini ? Tu as besoin dun coup de main ?
- Non, tu es gentil, ajoute-t-elle dans un soupir, le coup de main, je lai déjà eu ! Je finirai tranquille demain. ».
Curieuse expérience. Val qui aime assurément être la maîtresse du jeu, est devenue le temps dun moment, pour cet inconnu, son jouet, sa chose
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