Masturbation : Première Expérience

Bonjour à Vous !

En préambule, je vous félicite de la création de ce site fantastique. Il y a fort longtemps que je souhaitais pouvoir raconter mes expériences – innombrables ! – en matière de masturbation. Je dois dire que c’est une pratique que j’adore et que, bien que n’étant absolument pas gay, j’éprouve aussi un intense plaisir à voir un autre homme se masturber et jouir.

Chapitre 1 : Première expérience

Ma première expérience remonte à ma onzième ou douzième année. Je prenais un bain deux fois par semaine et passais environ deux heures dans la salle de bain. Mes parents ne m’ont jamais demandé la raison pour laquelle j’y séjournais si longtemps et je pense qu’ils s’en doutaient. Il faut dire que mon père m’avait surpris un jour dans la baignoire, mon pénis dressé parce que j’avais accumulé de la mousse de bain sur mon sexe qui s’était mis à gonfler pour sortir de l’eau en me procurant des sensations merveilleuses.

J’avais entendu des « grands » parler de « se branler » et je me dis que, la curiosité s’étant réveillée, je devais – et j’en avais envie – essayer la chose à mon tour.

Lors du prochain bain, excité par cette idée – mes bains avaient lieu après le repas du soir – j’avais hâte de rejoindre la salle de bain car je pensais à mon plaisir depuis la fin de l’après-midi et je me réjouissais vivement de ce moment.

Vint enfin l’heure merveilleuse…

Je commençai, pendant que mon bain coulait, par admirer mon sexe dans le miroir, en le flattant et le faisant gonfler petit à petit. Je ne remplis par trop la baignoire afin de voir tout mon pénis pendant que j’entreprenais « l’exercice ». Ne sachant pas trop bien comment m’y prendre, je trouvai une solution qu’il m’arrive encore de pratiquer aujourd’hui, parmi d’autres : je pris deux savons que je mouillai puis appliquai l’un sous mon sexe, l’autre dessus. Je commençai alors un mouvement de va-et-vient, très lent, en mouillant régulièrement les savons.

Les sensations que je ressentais alors étaient indescriptibles. J’avais réellement l’impression que ma vie prenait un tournant absolument radical et s’embellissait incroyablement plus le plaisir montait en moi.

Je vivais alors un moment tout simplement fabuleux, espérant que cela ne s’arrêterait jamais.

Les savons allaient et venait, montant jusqu’au frein, puis le dépassant pour redescendre alors sur le gland qui était magnifiquement turgescent. Alors le mouvement se poursuivait jusqu’au bas de ma verge, puis reprenait.

Il me fallut quelque dix à quinze minutes, à cause de la lenteur de mon mouvement, pour que je ressente un sentiment ignoré jusque là. Mon ventre était inondé d’une délicieuse sensation qui, parallèlement, envahissait mon esprit. Le plaisir enflait, enflait, tut comme mon sexe. Je m’arquais peu à peu, tendant le pénis vers le ciel, puis l’explosion m’envahit tout entier.

Je regardais, émerveillé, le sperme jaillir.

Je me souviendrai toujours du premier jet comme de quelque chose d’absolument inouï. Voir ce liquide blanc monter vers le ciel m’excitait au plus haut point. Les jets suivant semblaient ne pas vouloir se tarir.

Lorsque cette première expérience prit fin, je regardai, extasié, ce sperme décorant mon ventre, mon pénis et mon pubis. J’étais incroyablement fier que mon corps ait pu m’offrir ce plaisir merveilleux et qu’il soit capable de créer un liquide qui ne demandait qu’à se former à nouveau pour me donner, lors de mon prochain bain, une joie aussi intense.

Je suis aujourd’hui âgé de 63 ans – eh oui !-, je me sens toujours très jeune d’esprit et je pratique toujours avec passion la masturbation. J’ai été marié, j’ai eu plusieurs amies mais je n’ai jamais abandonné mon plaisir solitaire. Depuis plus de 20 ans, je n’ai plus aucune relation sexuelle avec des femmes – sauf pour des séances de masturbation réciproques ou, de temps à autre, pour des séances d’exhibitionnisme en privé, ce qui m’excite aussi au plus au point. J’ai développé mes fantasmes onanistes, notamment afin de prolonger le plaisir des préliminaires. Je parle de fantasmes qui en sont réellement et me procurent aussi un bonheur qui s’achève, bien sûr, par une masturbation en règle.

Ce sera le sujet d’un prochain chapitre.

Merci de m’avoir lu ! J’espère vous avoir donné des idées et vous recommande, si vous ne l’avez jamais pratiquée, d’essayer la « technique des savons ».

Vous m’en direz des nouvelles !