Je L'Ai Trompé

Après avoir vécu avec lui pendant plus de 3 ans, nous nous sommes mariés. Depuis maintenant 6 ans, nous vivons une vie de couple très uni tant spirituellement que physiquement. Il a été le premier à me faire jouir. Il a été le premier à me faire l'amour de façon différentes. Je ne savais que me branler seule dans mon coin, je le fais sans honte devant lui le plus souvent. J'aime aussi le voir se masturber devant moi: j'en suis toujours
excitée, c'est tellement beau une main d'homme qui monte et descend le long de sa queue.
J'aime le voir éjaculer quand je le branle: son sperme vient sur moi et quand il la met dans mon con et qu'il me suce le clitoris ou qu'elle me caresse le pourtour de mon cul avant de l'y mettre. J'aime faire des 69 et qu'il jouit en moi. Et les délices de son pieux, devant ou derrière, peu
importe et il me fait toujours jouir.
Hier j'ai commis une faute dont je ne me vanterai pas. Je l'ai trompé. Ce n'est pas totalement de ma faute: en faisant les vitrines cet après midi j'ai rencontré une ancienne amie de classe et nous n'avons pas pu nous empêcher d'évoquer le passé. C'est avec elle que l'ai connu mes premier émois sexuels: je la faisait jouir en la branlant comme elle le
voulait et elle essayer de me faire jouir de la même façon. J'avais comme un blocage et je n'ai jamais pu jouir. Donc nous bavardions et nous sommes allé chez moi pour prendre un thé. En buvant dans le salon elle commence à me rappeler nos "aventures". Elle insiste sur le fait que je la faisais toujours jouir et que moi je restais en rade. Je lui dis qu'à présent je
jouis normalement depuis que je suis avec mon mari.
Pour elle le problème est inverse elle ne jouit pratiquement jamais avec son mari: il baise trop mal et surtout trop vite. C'est un éjaculateur précoce. Elle est obligée de se branler souvent et pour ce là elle a un godemiché toujours dans son sac. Elle le sort et me montre un objet phallique imitant à la perfection une bite humaine.

Elle regrette le temps où je la branlais et que je la faisais jouir. C'était bien à deux. Elle m'explique comment elle se masturbe avec son gode et les courtes préparations qu'elle se fait. Et elle me décrit surtout ses jouissances. Plus elle parle et plus je suis excitée. Il doit
en être de même pour elle: ses joues rosissent légèrement et son regard devient plus pénétrant. Je ne sais si je manifeste aussi un quelconque désir dans mon attitude, toujours est-il qu'elle vient vers moi et se penche pour m'embrasser comme nous faisions avant. Je ne refuse pas le baiser et le rend: nos langues vont d'une bouche à l'autre. Je me lève et
elle continu son baiser. J'en ai envie et même je sens que mon corps demande ses caresses. J'ai envie d'elle aussi: j'aimerai que nous jouissions ensemble. Serrées nos corps semblent s'accorder pour une suite chaude entre nous, deux femmes. Elle me pose une main sur ma fesse et à mon tour je lui caresse les fesses. Enfin nous nous lâchons. Je ne veux pas que nous nous aimions ici ans le salon. Je préfère ma chambre où je l'y conduit. Nous nous déshabillons rapidement et nous examinons: nos corps sont comme si nous nous étions quitter la veille. Nous nous couchons et nous caressons les seins de l'autre. Je sais comment elle aime être sucée: je dois lui téter les tétons en les lui léchant. Elle sait que je préfère être pelotée. Enfin nous allons jusqu'à nos cons. elle commence à
me branler, comme avant et je le lui rend bien. Cette fois je la surprends: je jouis sous ses caresses sur mon clitoris. Je continu ma masturbation sur elle et comme avant elle jouit aussi. Nous nous embrassons encore.
Il ne faut pas oublier que nous n'avons jamais fait l'amour ensemble avant. C'est donc une première pour nous. Nous ne sommes quand même pas des cruches et nous savons comment font les femmes entre elles.
Je lui demande si elle aime les 69: c'est pour moi une de mes position préférée avec mon homme. Je ne sais ce que ça peut donner avec une autre fille. Nous nous mettons en position et je me retrouve sur elle. Je sens qu'elle lève sa tête et sa langue venir sur mon bouton. Je suis obligée de bien baisser la tête pour à mon tour lui mettre ma langue dans son con. Le goût de son con ressemble au mien terriblement bon. Nous jouissons plusieurs fois et ne nous arrêtons pas, ou à peine. Soudain elle se souvient qu'elle a son gode dans le sac: c'est lui qui a déclenché notre coucherie. Elle le sort et me dit de l'essayer. Je me cale confortablement sur le lit, j'écarte les cuisses et me branle un peu pour être bien
excitée, quoique la présence de ma copine soit déjà en elle même un facteur d'excitation supplémentaire. Elle me donne son gode et devant elle je m'enfile à fond ce plastique dans le vagin. Je ne pensais pas y trouver autant de plaisir. Je fais aller et venir cette engin dans mon sexe, il me comble totalement. Je reste bouche ouverte avant de jouir. Elle vient
m'embrasser et me caresser les l'intérieur de mes cuisses. Je jouit 3 ou 4 fois. A son tour elle se le met et je l'embrasse aussi.
Nous baisons comme de véritables amants. Il manque juste une chose: la sodomie. Je lui en parle et à ma grande surprise elle est vierge de ce coté. Je la fait coucher sur le dos, commence à la sucer et lui pose le bout du gode à l'entrée bien mouillée de son cul. Elle écarte les fesses avec ses mains. Je me souviens de ma première fois et j'agis de la même façon. J'enfonce très lentement le gode dans son anus et une fois la barrière du sphincter franchie je sais qu'elle acceptera le reste. Au début elle me dit qu'elle a mal et au bout d'un petit moment elle me demande d'aller plus vite. J'accélère ma cadence et m'étonne de la voir prendre autant de plaisir avec son cul. Elle jouit en criant presque. Enfin elle s'écroule complètement vidée. Je suis obligée de me le mettre dans le cul: j'en avait envie depuis longtemps. Pour finir je jouis à mon tour une dernière fois.
Nous nous rhabillons et je vais l'accompagner jusqu'à la porte. Elle me donne son gode et nous nous embrassons. C'est la première et dernière fois que nous baisons ensemble. Le lit est toujours défait quand mon mari rentre. Il le voit et me demande si je me suis bien branlée. La réponse ne pouvait être que oui, et que j'avais très bien jouit en pensant à lui,
alors que mon esprit était plutôt vers les jouissances de mon amie.