Je Suis Salaud

J'adore baiser, comme tout le monde. J'adore faire du mal à mes amantes. En réalité je les humilie le plus possible et la plus part en redemande. Je n'ai aucune moralité. J'ai plusieurs filles à la fois, séparément quand même sauf une fois que je vais vous narrer:
Odile était une fille de 20 ans qui aimait beaucoup se faire mettre dans n'importe quel trou à condition qu'ils y est des risques d'être vue. Nous faisions l'amour à peu près partout: ans un bistro, dans un train ou un bus s'il y avait du monde. Le fin du fin pour elle était de baiser dans un stade, sur les tribunes. Quelques fois des gens, hommes ou femmes nous
regardaient avec étonnement. Dans ces cas là, elle se mettait pratiquement nue, face au public et se faisait sodomiser. Je la sentais toujours jouir d'une façon remarquable. Et puis un jour je l'ai enfin humilié. C'était chez elle et nous devions baiser. Elle aimait me sucer et se faire mettre dans le cul. Elle m'attendait nue, m'embrassait dès mon entrée. Elle me
menait vers sa chambre. C'est à ce moment que je décidais de devenir un véritable salaud.
Elle me prenait la bite en main. Je la rejetais. Elle voulais de me sucer, comme elle aimait ça, je lui refusais. je lui demandais si elle ne possédait pas de bouteilles de bière vides. Si elle en avait. J'en prenais une et sans la préparer, je lui rentrais la bouteille pas le col dans
son cul. Je forçais pour que la bouteille presque entière disparaisse dans son anus. Elle criait qu'elle avait mal: je continuais quand même. Enfin elle se calmait et commençait à y prendre du plaisir. Elle était debout, penchée en avant et je la voyais porter une main vers son con pour se branler. Je lui prenait la main et lui interdisait de se donner du plaisir. Elle ne pouvait jouir que sur mon ordre. Finalement elle jouissait autant sinon plus qu'avant.

Je fréquentais également Nicole, fille de 30 ans, mal mariée qui ne pensais plus à rien avec une bite dans le con.

Elle n'aimait pas trop me sucer ou tout au moins avaler mon jus. Pour le reste pas de problème, devant derrière ça n'allait pas toujours. Je la forçait à avaler mon
sperme. Avec une certaine réticence au début, elle commençait à y prendre goût.
Poussant mon désir d'humilier, un jour je lui demandais de venir chez moi pratiquement nue, avec seulement un toute petite mini jupe et un foulard autour des seins: le tout posé de façon à ce que tut le monde profite des ses attraits. C'était ça ou je rompais. Elle arrivait toute rouge et confuse: certains lui avait mit la main au panier, dont une femme dans le bus, presque en face de chez moi. Je lui demandais pourquoi elle n'avait pas accepté les avance de cette femme et sa réponse me laissait pantois. Elle aurait aimé mais avait peur que je ne soit pas content d'elle.

A ce moment là je décidais que Odile et Nicole devait se faire l'amour devant moi, et chez moi. Je n'en parlais à aucune et un soir vers 22 heures Odile arrivait d'abord. Je lui demandais de se dévêtir seule et de cacher ses affaires ailleurs que dans le séjour. Enfin quelques minutes plus tard arrivait Nicole. Elle était surprise de voir une autre femme nue près de moi. Je lui intimais l'ordre de se mettre elle aussi toute nue. Elle obéissait. Je leur demandais se s'embrasser sur la bouche. Elles n'avaient pas l'air de vouloir le faire . Je les prenais toutes les deux et les forçais à échanger un long baiser.
Après un bon moment je leur dit que j'en avait marre d'elle et que je les mettrais dehors toutes nues si elle n'obeissaient pas.Mon courroux les mirent devant le fait qu'il fallait céder.
Elle s'enlaçaient et enfin échangeaient un long baiser qui devenait de plus en plus profond. Elles commençaient à apprécier. Je les faisait asseoir sur le divan et leur ordonnais de se branler,Odile commençait à se branler. Je l'arrêtais: non branle Nicole et toi Nicole branle Odile. Elles avaient en fin compris que j'étais leur maître et qu'il fallait obéir à mes ordre, sinon je les menaçais d'un bonne paire de gifles. Sous cette menace elles commençaient à donner du plaisir à l'autre et enfin elles se branlaient bien pour faire jouir l'autre. Je bandais et à mon tour je me mettais nu. Je leur montrais ma bite bien grosse et longue: elles la connaissaient toutes les deux. je me mettais à peu de distance et me branlais à mon tour.
Je ne le faisait jamais devant elles. Elles étaient surprises et à la fois excitées. elles se donnaient de plus en plus de plaisir: Nicole jouissait la première. Je lui ordonnais de sucer le con d'Odile. Cette fois, sans crainte elle venait entre les jambes d'Odile qui aimait beaucoup ce genre de caresses et se mettait à lécher le con. Odile jouissait et maintenant
je lui imposais d'aller sucer Nicole. Celle ci écartais les cuisses et quand Odile posait sa langue sur son con, elle passait ses jambes autour du cou d'Odile.
Elles avaient joui toutes les deux de leurs caresses. Il leur fallait me faire jouir à mon tour toutes les deux. J'étais très excité et je voulais enculer Nicole qui n'aimait pas trop. Avec l'aide d'Odile je la mettais en levrette. Odile écartait les fesses et lui crachait sur le cul pour
le mouiller. Je venait et c'est encore Odile qui guidait ma pine dans le cul de Nicole. Je rentrais brusquement dans cet anus bien ouvert et quand j'étais à fond je limais ce cul. pour qu'elle jouisse, Odile était venue sous Nicole et la suçait. Enfin et pour la première fois avec une bite au cul elle jouissait.
Je bandais toujours et cette fois c'est Nicole qui préparait Odile en la pelotant et lui embrassant les seins. Elle me demandait de l'enculer aussi. Je la baisais simplement.
Nicole lui mettait des doigts dans le cul. Enfin elle jouissait également.
J'avais transformé ces deux femmes en bisexuelles. Je savait qu'elles se rencontraient souvent chez l'une ou chez l'autre. Quand Nicole venait chez moins désormais elle était toujours peu vêtue.
En cas de manquement elles savaient l'une et l'autre que je n'hésitais pas à le leur faire payer.