Rêve...
Ce soir là restera gravé dans ma mémoire...
Après une tentative de suicide, je suis rétourné plusieur fois sur le lieu de mon passage à l'acte "raté". Un soir, j'avais besoin de réfléchir sur moi même et ce lieu était devenu mon paradis visuel et intellectuelle. Un endroit où les pensées sont soit balayé par le vent ou éclairé par la lune et les milliers d'étoiles qui l'accompagnent. Ici, je me sens vivant. La douceur de la nuit me console, les étoiles me font révés, la lune me fait voir plus loin en moi et le son des vagues transporte mes pensées.
Un jour après mettre un peu perdu, j'avais besoin de tranquilité pour penser à certaines choses. Après avoir finit ma journée à l'IUT, je suis allé dans ma tuture, cabossé par ma faute car je venais d'avoir mon permis. Je racompagne un ami chez lui et je pars vers ce paradis d'outre monde. Je dois prévenir ma mère, à qui je mens en lui disant que je dors chez un ami. Je fais cela pour qu'elle ne s'inquiète pas. Après une bonne demi-heure de route avec ma tuture, je m'arrête sur le parking fait d'herbe et d'arbre. Je ferme ma tuture, vérifie que tout est fermé. Je pars vers le petit chemin de gravier. Je descends lentement rien ne me presse, le soleil commence à ce coucher. J'avance en contemplant ce magnifique tableau avec un orange avec des nuances de bleu. J'avance encore pendant un bon quart d'heure et j'arrive en face d'une mer d'huile avec un soleil devenant timide face à cette magnifique lune. Je me suis toujours demandé si la lune et le soleil ne se courraient pas après sans jamais se voir. Première chose une fois arrivé, je regarde en hauteur pour admirer les gigantesques falaises qui me regardent. En suite je pars à droite et japerçois le trou dans la falaise que je dois rejoindre. J'avance d'un souffle libre et décontracté. Je grimpe cette falaise pour atteindre le passage situé à une dizaine de mètres de hauteur. J'ai du mal à arriver en haut, je n'ai pas les chaussures adéquat et donc mes pieds dént.
- Je n'ai jamais dit que tu étais conne, je ne te connais pas et je ne juge pas avant de connaitre.
- Tu verras, je suis capable de partir toute seule....(les larmes perlent encore, je ressens sa douleur)
- Stop!!! Maintenant tu te calme deux minutes s'il te plait. Je ne te prends pas pour une conne. C'est juste que la mer nous encercle et que la marée redescend dans trois heures. Maintenant, non je ne te laisserai pas partir, deuxièmement si tu veux que je te laisse seul le temps des ses trois heures, ok, pas de soucis choisis ton endroit et j'irais ailleurs.
A partir de ce moment, elle choisit mon endroit habituel, j'ai du y renoncer mais si ça peut l'aider à retrouver le sourire. Dix minutes plus tard, elle vient vers moi, me tend la main et me prend dans ses bras. Je lui dis "Il y a un souci ?" et elle me répondit "j'ai froid".
Au bout de dix minutes, elle relâche doucement la pression, sèche ses larmes sur mon t-shirt et me regarde droit dans les yeux et me dit merci. En me regardant plus longuement, elle mit ses mains sur mon visage et rapprocha ses lèvres des miennes et j'ai tourné la tête. Elle courra vers le bord de la falaise. Je me suis mis à marcher doucement vers elle, j'avais peur qu'elle fasse une bêtise. Je me rapproche d'elle, je lui dis laisse toi faire, je pose ma tête sur ses épaules, mes mains vont sur ses hanches. Et là, elle m'att les mains pour pas que je la prenne contre moi. Je lui dis doucement "laisse-moi te prendre dans mes bras".
La mer sécarta des falaises. Je lui dis « On doit y aller petit cur, tu veux que je te ramène chez toi ? Jai une tuture. ». Elle nhésita pas et on fit le trajet pour arriver à ma tuture. Avant de prendre la route, elle me prit dans ses bras, elle était frigorifié et me dit « je veux dormir au près de toi dans ta tuture ». Je lui répondis quil faisait trop froid pour quelle dorme dans la voiture, elle me dit quelle voulait rester avec moi. Je lui promis de venir la chercher le lendemain matin.
- Quy a-t-il Tito ?
- Euh
. Rien. Pourquoi ?
- Tu es pensif. Tu ne toccupes plus de moi
- Pardonne-moi. Je ne sais pas si je taime réellement, tout vas trop vite, je perds mes repères. Je suis vraiment bien avec toi, je me sens bien. Mais jai peur, je ne sais pas ce que cest dêtre aimé pour ce que je suis. Jai toujours agit dans ma vie comme quelquun qui veux voir les autres heureux et donc jai jamais été réellement moi. Avec toi, cest différent, jai limpression de te faire plaisir en étant juste moi.
- Ne change pas pour moi car je taime comme ça et je le pense sincèrement. Ne te pose pas plein de questions comme cela. Profite juste de ces bons moments et voyons où cela nous mènera. Et, sil te plait, embrasse-moi.
Je lai prise dans mes bras et je lai embrassé de manière à lui faire ressentir à quelle point je mattache à elle. Elle me regarde avec ses yeux qui brillent et membrasse langoureusement à son tour. Je me retrouve dans son dos et je repose ma main sur son ventre. Après quelques instants, ma main chercha à se glisser sous son t-shirt. Jai entendu son souffle grandir, jai donc retiré ma main croyant que cela la dérangeait. Elle reprit ma main et la remit sous son t-shirt et me regarda dun regard noir avant de membrasser. Je lui fis comprendre que jétais désolé dêtre maladroit. Elle me dit tout bas quelle aimait beaucoup cela. Après quelques minutes, je me levai, passant par-dessus une jolie demoiselle. Elle me regarda et ce demanda ce qui marriva. Puis dun coup, je me suis mit à la porté et je lui demandais où ce trouvait sa chambre. Elle me dirigeait avec son magnifique sourire qui me fit louper une marche de son escalier. Elle ouvrit sa porte et je la jetai sur le lit puis me jeta sur elle pour lembrasser. Elle me dit « Tes fou toi. » en rigolant et moi dun ton calme et sérieux je lui répondis « Oui, fou de toi ». Je commençai à lui faire des petits bisous sur son ventre tout en remontant son t-shirt. Sa respiration et la mienne accéléraient à lunisson. Mes mains passaient de ses hanches, à son dos pour revenir sur son ventre. Puis elle me dit en essayant de reprendre sa respiration, « tu nas pas besoin de me faire tomber pour toccuper de ma poitrine ». On explosa de rire tout les deux, la gène nous quittait tous les deux. Ma langue rejoignit la sienne pour un baiser très sensuel et délicieux. Je redescendais tout doucement vers son ventre tout en gardant mes yeux dans les siens. Je repris mes caresses et mes bisous. Ma langue joua un peu avec son nombril pendant que son corps oscillait sous mes douces caresses. Puis ma langue remonta de millimètre par millimètre vers sa jolie petite poitrine encore dissimulé sous son t-shirt. Mes mains se rejoignaient pour dévêtir la partie de son corps suivante. Je découvris ses seins. Après les avoir dévoré des yeux, ma langue repris son chemin partant de la base de lun de ses seins et finissant sur le sommet de celui-ci. La demoiselle, à qui appartenait cette poitrine délicieuse, sexcusa pour sa petite taille. Je me mis à la regarder avec un regard noir et lui dit « Ne critique pas la magnifique poitrine de ma chérie » puis je lembrassai fougueusement. Une partie de moi était humaines par la douceur et lautre partie de moi était animal laissant échapper des gestes rapides, dominateurs et précis. Je ne pouvais plus regarder ma princesse dans les yeux car elle sétait abandonné au plaisir sensitif et auditif. Mes caresses devinrent de plus en plus intenses et mes bisous retapissaient son cou. Dun coup, ma déesse contracta son corps dun coup et laissa échapper un long gémissement qui me donna une érection encore plus forte. Jétais réellement surpris, je ne pensais pas que lorgasme existait réellement pour une femme. Je pensais que ce nétais quune chose que les gars avec beaucoup dexpérience étaient capable de réaliser. Je remarquai aussi que lentre-jambe de son pyjama était mouillé. Je lui proposai de se changer. En se moquant de moi, elle me dit « Je nai pas lintention de le garder longtemps ».
Dans son regard, je voyais quelle devenait prédatrice. Elle prit à son tour les choses en main. Elle menleva mon t-shirt comme une tigresse menivrant de ses baisers. Elle me fit des bisous partout, me mordilla loreille. Elle vint souvent chercher ma langue. Ses mains me caressaient et des frissons apparaissaient sur tout mon corps. Jaimais terriblement ressentir ses mains douces dans mon dos. Elle membrassa longuement puis redescendit en bisous jusquà mon pantalon. Elle regarda la bosse de mon pantalon et me dit en souriant «Je te fais de leffet ? ». Je lui répondis « Non
..pas du tout ». Elle déboutonna mon pantalon et le fit descendre. Il ne me restait plus que mon boxer. Elle me le retira rapidement laissant jaillir mon sexe en érection. Elle sarrêta en le regardant. Je lui demandai ce quil se passait et elle me répondit quelle ne se sentait pas de le sucer. Je lui dis de ne pas sinquiété, que ce nétait pas grave et que je comprenais. Elle le prit dans sa main et elle le sentit durcir encore plus. Elle mavait tellement excité quaprès dix minutes, je jouis fortement. Elle me regarda et me sourit. Je parti dans la salle de bain messuyer avec lessuies tout quelle me donna puis elle commença à ce laver les mains. Je me mis dans son dos mes mains sur ses hanches et la remercia. Elle membrassa en réponse. Après sêtre séché les mains, elle se retourna et sauta dans mes bras entourant mes hanches avec ses jolies jambes. Mes mains se déposèrent sur ses fesses que jaime tant. Une petite discussions commença.
-On va au dodo mon Tito na moi ?
-Tu es fatigué ?
-Non
- Pourquoi veux-tu dormir ?
-Bas tu as fini.
-Fini quoi ?
-De toccupé de moi
-Je ne crois pas non. A moins que tu ne veuille pas que je finisse par te dévorer toute cru.
- Bébé, dévore-moi toute cru, je ten supplie.
Je lamène au lit et lallonge doucement dessus. Je lembrasse et glisse ma langue le long de son corps suivi de mes caresses. Mes mains tout en caressant ses fesses font descendre son pyjama. Je le retire doucement et entièrement. Je caresse ses jambes si douces. Je fais des petit bisous sur lintérieure de chaque cuisse. Tout doucement je me rapproche de son sexe encore mouillé. Je mis ses cuisses sur mes épaules, mes mains se promènent entre ses seins et son ventre. Puis je glisse ma langue entre les lèvres de son sexe. Ma langue se faufile dans son sexe. Jaime la dévoré, je trouve cela trop bon. Mes caresses sur son corps sont de plus en plus lourdes et intenses et suivent parfaitement les ondulations. Ma langue joue avec son clitoris. Elle le fait rouler, tourne autour, exerce une légère pression quand je le lèche. Ma princesse ondule de plus en plus et pousse de petit gémissement. Je mets mes mains sur ses fesses et lempêche de trop onduler et ma langue senfonce davantage en elle. Elle met ses mains sur ma tête et pousse un cri violent et je reçois toute sa jouissance en pleine bouche.
Puis dun coup elle se mit à pleurer à grande larme.
- Ma chérie quy à til ? Je tai fais du mal ? Tu vas bien ?
- Bébé
.. merci..
- Dis-moi si tu vas bien ma chérie, je suis inquiet.
- Ne tinquiète pas je suis follement heureuse. Je pleure mais je ne sais pas pourquoi.
- Je suis désolé mon amour
- Ne le soit pas, tu me fais vivre dinoubliable moment. Et
..Je taime.
- Moi aussi mon ange.
- Excuse-moi davoir retenu ta tête. Je ne sais pas ce qui ma pris.
- Ne tinquiète pas bébé, jai adoré ça.
Nous nous sommes câlinés puis on cest embrassé. Ses parents sont rentrés. Nous nous sommes endormis nu, lun contre lautre.
Le lendemain matin, je la regardais dormir, je savais enfin ce que cétais dêtre amoureux. Je me collai contre elle pour un câlin. Une demi-heure après elle se réveilla. Elle me regarda avec ses cheveux en bataille, posa sa main sur ma joue et me dit « Tu n étais donc pas un rêve ». Je lembrassai pour lui prouver que non. Après une heure, elle se leva prétextant quelle devait aller au toilette. Elle revint, toujours ma déesse nu avec ses jolies formes dange. Elle membrassa et revint se caler contre moi sous la couette. Je la caressais tendrement pendant quelle se blottissait contre moi. Une discussion démarra.
-Ti cur, hier soir, je me sentais pas aller plus loin, avec mes parents à la maison.
-Pas de soucis namour, ce nest pas grave. Je ne suis pas pressé, je veux passer ma vie avec toi.
- Bébé, moi aussi mais je dois tavouer quil ny a pas que ça.
-Je técoute mon ange.
-Je suis vierge et je suis inquiète. Je sais que tu feras doucement mais jai peur mon cur.
-Ma puce, on le fera quand on sera près tout les deux, il ny a pas de soucis. Et tu sais mon cur, je ne lai jamais fait non plus.
-Namour, je voudrais essayer.
-Mon cur, tes parents doivent être dans le coin et je ne veux pas que tu te force.
-Mon namoureux, mes parents sont partis et jai vraiment envie de le faire avec toi.
-Bébé, si tu nes pas prête, on attend.
-Tito, mon bébé, je suis prête pour le faire avec toi. Je veux le faire tout de suite et avec toi.
-Daccord mon bébé mais au moindre soucis, tu me le dis et on arrête.
-Merci mon bébé. En plus, tu mexcites avec tes caresses.
Je lembrasse et continu de la caresser. Je passe parfois mon doigt sur son sexe pour regarder sil est humide. Une fois que mes caresses ont humidifié son sexe. Ma main se pose sur son sexe et le caresse. Elle colle son jolie petit cul contre mon sexe ce qui à pour effet de me donner une belle érection. Elle met la main sur la mienne dans son entre jambe. Je glisse un doigt entre ses lèvres. Elle commence à avoir du plaisir, je lui rentre un deuxième doigt et elle ondule son corps ce qui fait frotter ses fesses contre mon sexe. Après quelques instants, elle pousse un long soupir et me dit « Prend moi bébé ». Je glisse mon sexe entre ses jambes jusquà lentrée de son sexe. Elle lâche ma main et prend mon sexe pour le dirigé vers le sien. Je continu à caresser son sexe tout en faisant glisser doucement mon sexe en elle. Arriver à un moment, je sens sa petite barrière intérieure et je marrête. Au moment où jallais lui demander si cela allait, elle mit ses mains sur mes fesses et a engouffré mon sexe au plus profond delle en poussant un petit cri de douleur. Je lui demandais si ça allait elle me répondit « Viens en moi ». Jy étais déjà. Je faisais des vas et viens rythmer par des caresses et des mots sensuels. La pénétration devenait plus intense, ma chérie ce débloquait totalement. Elle se mettait sur moi et faisais sortir mon sexe en entier puis elle le renfonçait entièrement pouvant lire sur mon visage le plaisir procuré par ses gestes. Je repassais au dessus delle entouré par ses cuisses et je la pénétrais intensément en me collant bien contre elle. Jaccélérai le mouvement et après quelque va et viens elle poussa trois long cri de jouissance. Son sexe se contractais autour du mien ce qui moffris beaucoup plus de plaisir et je me mis à jouir très fort. Nous sommes resté trois quart dheure lun contre lautre sans parler, juste en ce câlinant. Cette amour indéfectible nous à réunis pour ne faire plus quun.
Cette histoire comporte quelques détails réels mais ce nest quune histoire. Je ne lai personnellement pas vécu, malheureusement. Je suis toujours célibataire, je nai jamais fais lamour. Je vis beaucoup lamour dans mes rêves, doù cette histoire qui peut paraitre parfois ine.
Il faut que jarrête de rêver la vie et que je commence à vivre mes rêves
Merci
Tito
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!