Rêve...

Ce soir là restera gravé dans ma mémoire...

Après une tentative de suicide, je suis rétourné plusieur fois sur le lieu de mon passage à l'acte "raté". Un soir, j'avais besoin de réfléchir sur moi même et ce lieu était devenu mon paradis visuel et intellectuelle. Un endroit où les pensées sont soit balayé par le vent ou éclairé par la lune et les milliers d'étoiles qui l'accompagnent. Ici, je me sens vivant. La douceur de la nuit me console, les étoiles me font révés, la lune me fait voir plus loin en moi et le son des vagues transporte mes pensées.

Un jour après mettre un peu perdu, j'avais besoin de tranquilité pour penser à certaines choses. Après avoir finit ma journée à l'IUT, je suis allé dans ma tuture, cabossé par ma faute car je venais d'avoir mon permis. Je racompagne un ami chez lui et je pars vers ce paradis d'outre monde. Je dois prévenir ma mère, à qui je mens en lui disant que je dors chez un ami. Je fais cela pour qu'elle ne s'inquiète pas. Après une bonne demi-heure de route avec ma tuture, je m'arrête sur le parking fait d'herbe et d'arbre. Je ferme ma tuture, vérifie que tout est fermé. Je pars vers le petit chemin de gravier. Je descends lentement rien ne me presse, le soleil commence à ce coucher. J'avance en contemplant ce magnifique tableau avec un orange avec des nuances de bleu. J'avance encore pendant un bon quart d'heure et j'arrive en face d'une mer d'huile avec un soleil devenant timide face à cette magnifique lune. Je me suis toujours demandé si la lune et le soleil ne se courraient pas après sans jamais se voir. Première chose une fois arrivé, je regarde en hauteur pour admirer les gigantesques falaises qui me regardent. En suite je pars à droite et j’aperçois le trou dans la falaise que je dois rejoindre. J'avance d'un souffle libre et décontracté. Je grimpe cette falaise pour atteindre le passage situé à une dizaine de mètres de hauteur. J'ai du mal à arriver en haut, je n'ai pas les chaussures adéquat et donc mes pieds dént.

Au bout de 5 minutes, j'arrive dans ce passage creusé durant la guerre 39-45. Je le traverse pour atteindre mon lieu de paradis. Me voila enfin, après 20 min d'escalade, je surplomb une mer qui maintenant m'empêche de faire demi tour avant 3 bonnes heures. Le soleil s’enfuit, il me reste la lune les étoiles et leurs reflets pour m'éclairer. J'avance et commence à m'asseoir et là d'un sursaut je vois quelqu'un en face de moi, ou plutôt sa silhouette. J'ai dit bonjour et la silhouette à parti en courant de peur. Je l'ai attrapé de justesse puis elle s’est débattue. Je lui ai dit « stop » sur un ton froid et imposant. Elle c'est arrêté deux secondes et j'en ai profité pour essayé de la rassuré. Je lui dis que je me nommais Tito, je me suis excusé de lui avoir fait peur et de lui avoir fait mal en l'ayant retenu. Elle me demande pourquoi je l'ai retenu, je lui ai dit que je ne voulais pas qu'elle se noie. Elle n'a pas compris et j'ai vu des larmes perler sur ses magnifiques joues éclairé par la lune et elle m'a dit " j'ai l'air si conne que ça, j'ai pu venir je peux repartir" à partir de là a commencé un petit dialogue.
- Je n'ai jamais dit que tu étais conne, je ne te connais pas et je ne juge pas avant de connaitre.
- Tu verras, je suis capable de partir toute seule....(les larmes perlent encore, je ressens sa douleur)
- Stop!!! Maintenant tu te calme deux minutes s'il te plait. Je ne te prends pas pour une conne. C'est juste que la mer nous encercle et que la marée redescend dans trois heures. Maintenant, non je ne te laisserai pas partir, deuxièmement si tu veux que je te laisse seul le temps des ses trois heures, ok, pas de soucis choisis ton endroit et j'irais ailleurs.

A partir de ce moment, elle choisit mon endroit habituel, j'ai du y renoncer mais si ça peut l'aider à retrouver le sourire. Dix minutes plus tard, elle vient vers moi, me tend la main et me prend dans ses bras. Je lui dis "Il y a un souci ?" et elle me répondit "j'ai froid".
Je lui donne ma veste pour qu'elle la mette sur ses épaules. Mais je m’aperçois que mon épaule est humide, je regarde en haut, il ne pleut pas, ce n'est pas la mer car elle est calme. Et je prête l'oreille d'avantage, je mets le bruit environnant en deuxième plan et en premier plan j’entends des petites pleures. A ce moment là, j'ai arrêté de bouger, elle ma serré un peu plus fort dans ses bras. Moi j'avais les mains le long du corps car je n'y connaissais rien en tendresse. Je ne parlais plus, j'ai lentement glissé mes mains le long de sa taille et je lui ai murmuré "Dit moi stop quand ça te gène, je vais juste te serré fort contre moi pour que tu es moins froid". Elle ne me répondit pas, j'ai donc continué à glissé mes mains dans son dos et je l'ai lentement serré contre moi. Ce câlin dura 5 min avant de m’apercevoir qu'elle n'allait toujours pas mieux et qu'en faite, elle ne parlait pas car elle n'y arrivait pas. Je me devais de la rassuré et d'essayer d'arranger les choses alors je lui ai murmuré dans le creux de ses jolies oreilles "Pleure. Mes larges épaules sont là pour toi. Et ne t'inquiète pas je veille sur toi.". A ce moment précis, elle me serra très fort contre elle et se mit à pleurer à chaudes larmes. Mes mains la cageolent pour lui dire t'inquiète pas, même si tu m'empêches de respirer, continue, tant que tu vas mieux.
Au bout de dix minutes, elle relâche doucement la pression, sèche ses larmes sur mon t-shirt et me regarde droit dans les yeux et me dit merci. En me regardant plus longuement, elle mit ses mains sur mon visage et rapprocha ses lèvres des miennes et j'ai tourné la tête. Elle courra vers le bord de la falaise. Je me suis mis à marcher doucement vers elle, j'avais peur qu'elle fasse une bêtise. Je me rapproche d'elle, je lui dis laisse toi faire, je pose ma tête sur ses épaules, mes mains vont sur ses hanches. Et là, elle m'att les mains pour pas que je la prenne contre moi. Je lui dis doucement "laisse-moi te prendre dans mes bras".
Elle me dit en criant "Pourquoi je te laisserais faire ? Moi j'ai rien le droit de faire". Je lui ai répondu "Ecoute, si tu as envie d'avoir mes mains sur ton ventre, emmène moi sur celui ci, si tu ne veux pas je te laisse tranquille". Après un long moment d'hésitation, elle prit mes mains et les mets sur son très joli ventre. Je la serre contre moi et lui dit "Excuse moi pour tout à l'heure, tu es magnifique, même quand tu es triste et le fait d'avoir réussi à te réconforter m'a fait ressentir des choses qui me sont inconnu et ça me fait peur. De plus, je veux pas profiter de ce moment par principe, même si je vais le regretter." Elle me prend les mains, les pose sur sa taille, remet ses mains sur mon visage, je tourne la tête de nouveau et elle me dit "regarde moi s'il plait". Je tourne la tête, elle me dit "regarde-moi dans les yeux". Et elle me dit droit dans les yeux "j'ai compris pourquoi tu refuse, tu refuse car tu as peur de profiter d'un moment de faiblesse". Je baissai la tête, elle me releva la tête avec douceur et me dit "laisse moi faire, je veux profiter de toi". Je lui répondis « Ecoute moi, je suis entrain de ressentir des choses pour toi. Je voudrais t’embrasser mais ce baiser je veux pas que se soit le dernier ». Elle se rapprocha de mon oreille et me chuchote « Moi aussi je suis amoureuse de toi » et elle m’embrassa longuement. J’étais aux anges. Il nous restait un peu moins d’une heure avant de repartir. On passa la suite de la soirée à discuter, à ce découvrir. On s’embrassait souvent.
La mer s’écarta des falaises. Je lui dis « On doit y aller petit cœur, tu veux que je te ramène chez toi ? J’ai une tuture. ». Elle n’hésita pas et on fit le trajet pour arriver à ma tuture. Avant de prendre la route, elle me prit dans ses bras, elle était frigorifié et me dit « je veux dormir au près de toi dans ta tuture ». Je lui répondis qu’il faisait trop froid pour qu’elle dorme dans la voiture, elle me dit qu’elle voulait rester avec moi. Je lui promis de venir la chercher le lendemain matin.
Elle fit un peu la tête et je l’embrassai pour me faire pardonner. Je roulais très lentement pour profiter au maximum. Elle me demanda ou je dormirais, je lui dis dans ma tuture pour réveiller personne. Arrivé chez elle, elle me dit de venir dormir contre elle. Je lui dis que je ne pense pas que se soit une bonne idée car sa pourrait dériver car elle est vraiment magnifique. Elle me dit qu’elle sait que si elle ne veut pas je ferais rien et elle me chuchote « peut être que j’en aurais envie ». Je gare ma tuture dans son allez ses parents ne sont apparemment pas là. Elle me prend par la main et me câline et m’embrasse et me dit timidement « je suis bien avec toi ». Je la regarde et lui glisse un « je t’aime » étouffé par un bisou. Elle me propose de boire un verre, je lui demande un vers d’eau, elle me dit « pas d’alcool ?» Je lui réponds que non et elle me dit, tout les deux on va s’entendre car elle n’aime pas les gens qui boivent. Je fini mon verre d’une traite et je m’allonge dans le canapé pendant qu’elle part prendre une douche. Je me demande ce que je fais là, moi qui pensais ne jamais faire un câlin et dodo avec une fille que j’aime. En me remémorant cette soirée, je me suis dit que tout c’était passé comme je ne l’avais jamais prévu. Puis au moment ou je l’ai vu vêtu d’un pyjama léger je me suis dit « merde, profite des ses instants de bonheur ». Elle me demanda de retirer ma veste car je ne l’avais toujours pas enlevé et elle me dit en souriant « ne t'inquiète pas que vais pas te la volé, quoique ». Elle est tellement craquante quand elle sourit. Je retire ma veste et me rallonge sur le coté et lui demande de me rejoindre. Elle vient timidement et je me mis à rougir. Elle se colla contre moi et mit ma main droite sur son ventre et elle prit ma main gauche dans sa main. On discuta encore de chose et d’autre et on eut quelques fous rires. A un moment, elle faillit tomber et je la rattrapai en mettant ma main sur sa poitrine et là, je m’excusai pendant 5 minutes. Je lui expliquais que ce n’était pas ce que je voulais faire, j’étais devenu rouge comme une tomate et je ne savais plus où me mettre. Elle se mit a explosé de rire, se retourna et m’embrassa plusieurs fois. Elle me mit sur le dos et elle était sur moi et me dit « Mon bébé ce n’est pas grave. Je t’aime et même si ça ma fait bizarre, je suis toute à toi mon homme. Je t’ai rencontré se soir et je veux te garder pour moi. On se fit un gros câlin et elle c’est aperçut que mes mains restait bloqué sur ses hanches et elle prit mes mains et les mit sur ses jolies fesses et me dit « tu n’as pas compris ? Je suis à toi, je veux t’appartenir alors mon corps est à toi ». Je ne répondis pas. On continua à s’embrasser. Après quelques secondes, elle s’aperçu que j’avais la tête ailleurs.
- Qu’y a-t-il Tito ?
- Euh…. Rien. Pourquoi ?
- Tu es pensif. Tu ne t’occupes plus de moi…
- Pardonne-moi. Je ne sais pas si je t’aime réellement, tout vas trop vite, je perds mes repères. Je suis vraiment bien avec toi, je me sens bien. Mais j’ai peur, je ne sais pas ce que c’est d’être aimé pour ce que je suis. J’ai toujours agit dans ma vie comme quelqu’un qui veux voir les autres heureux et donc j’ai jamais été réellement moi. Avec toi, c’est différent, j’ai l’impression de te faire plaisir en étant juste moi.
- Ne change pas pour moi car je t’aime comme ça et je le pense sincèrement. Ne te pose pas plein de questions comme cela. Profite juste de ces bons moments et voyons où cela nous mènera. Et, s’il te plait, embrasse-moi.

Je l’ai prise dans mes bras et je l’ai embrassé de manière à lui faire ressentir à qu’elle point je m’attache à elle. Elle me regarde avec ses yeux qui brillent et m’embrasse langoureusement à son tour. Je me retrouve dans son dos et je repose ma main sur son ventre. Après quelques instants, ma main chercha à se glisser sous son t-shirt. J’ai entendu son souffle grandir, j’ai donc retiré ma main croyant que cela la dérangeait. Elle reprit ma main et la remit sous son t-shirt et me regarda d’un regard noir avant de m’embrasser. Je lui fis comprendre que j’étais désolé d’être maladroit. Elle me dit tout bas qu’elle aimait beaucoup cela. Après quelques minutes, je me levai, passant par-dessus une jolie demoiselle. Elle me regarda et ce demanda ce qui m’arriva. Puis d’un coup, je me suis mit à la porté et je lui demandais où ce trouvait sa chambre. Elle me dirigeait avec son magnifique sourire qui me fit louper une marche de son escalier. Elle ouvrit sa porte et je la jetai sur le lit puis me jeta sur elle pour l’embrasser. Elle me dit « T’es fou toi. » en rigolant et moi d’un ton calme et sérieux je lui répondis « Oui, fou de toi ». Je commençai à lui faire des petits bisous sur son ventre tout en remontant son t-shirt. Sa respiration et la mienne accéléraient à l’unisson. Mes mains passaient de ses hanches, à son dos pour revenir sur son ventre. Puis elle me dit en essayant de reprendre sa respiration, « tu n’as pas besoin de me faire tomber pour t’occuper de ma poitrine ». On explosa de rire tout les deux, la gène nous quittait tous les deux. Ma langue rejoignit la sienne pour un baiser très sensuel et délicieux. Je redescendais tout doucement vers son ventre tout en gardant mes yeux dans les siens. Je repris mes caresses et mes bisous. Ma langue joua un peu avec son nombril pendant que son corps oscillait sous mes douces caresses. Puis ma langue remonta de millimètre par millimètre vers sa jolie petite poitrine encore dissimulé sous son t-shirt. Mes mains se rejoignaient pour dévêtir la partie de son corps suivante. Je découvris ses seins. Après les avoir dévoré des yeux, ma langue repris son chemin partant de la base de l’un de ses seins et finissant sur le sommet de celui-ci. La demoiselle, à qui appartenait cette poitrine délicieuse, s’excusa pour sa petite taille. Je me mis à la regarder avec un regard noir et lui dit « Ne critique pas la magnifique poitrine de ma chérie » puis je l’embrassai fougueusement. Une partie de moi était humaines par la douceur et l’autre partie de moi était animal laissant échapper des gestes rapides, dominateurs et précis. Je ne pouvais plus regarder ma princesse dans les yeux car elle s’était abandonné au plaisir sensitif et auditif. Mes caresses devinrent de plus en plus intenses et mes bisous retapissaient son cou. D’un coup, ma déesse contracta son corps d’un coup et laissa échapper un long gémissement qui me donna une érection encore plus forte. J’étais réellement surpris, je ne pensais pas que l’orgasme existait réellement pour une femme. Je pensais que ce n’étais qu’une chose que les gars avec beaucoup d’expérience étaient capable de réaliser. Je remarquai aussi que l’entre-jambe de son pyjama était mouillé. Je lui proposai de se changer. En se moquant de moi, elle me dit « Je n’ai pas l’intention de le garder longtemps ».
Dans son regard, je voyais qu’elle devenait prédatrice. Elle prit à son tour les choses en main. Elle m’enleva mon t-shirt comme une tigresse m’enivrant de ses baisers. Elle me fit des bisous partout, me mordilla l’oreille. Elle vint souvent chercher ma langue. Ses mains me caressaient et des frissons apparaissaient sur tout mon corps. J’aimais terriblement ressentir ses mains douces dans mon dos. Elle m’embrassa longuement puis redescendit en bisous jusqu’à mon pantalon. Elle regarda la bosse de mon pantalon et me dit en souriant «Je te fais de l’effet ? ». Je lui répondis « Non…..pas du tout ». Elle déboutonna mon pantalon et le fit descendre. Il ne me restait plus que mon boxer. Elle me le retira rapidement laissant jaillir mon sexe en érection. Elle s’arrêta en le regardant. Je lui demandai ce qu’il se passait et elle me répondit qu’elle ne se sentait pas de le sucer. Je lui dis de ne pas s’inquiété, que ce n’était pas grave et que je comprenais. Elle le prit dans sa main et elle le sentit durcir encore plus. Elle m’avait tellement excité qu’après dix minutes, je jouis fortement. Elle me regarda et me sourit. Je parti dans la salle de bain m’essuyer avec l’essuies tout qu’elle me donna puis elle commença à ce laver les mains. Je me mis dans son dos mes mains sur ses hanches et la remercia. Elle m’embrassa en réponse. Après s’être séché les mains, elle se retourna et sauta dans mes bras entourant mes hanches avec ses jolies jambes. Mes mains se déposèrent sur ses fesses que j’aime tant. Une petite discussions commença.
-On va au dodo mon Tito n’a moi ?
-Tu es fatigué ?
-Non
- Pourquoi veux-tu dormir ?
-Bas tu as fini.
-Fini quoi ?
-De t’occupé de moi…
-Je ne crois pas non. A moins que tu ne veuille pas que je finisse par te dévorer toute cru.
- Bébé, dévore-moi toute cru, je t’en supplie.
Je l’amène au lit et l’allonge doucement dessus. Je l’embrasse et glisse ma langue le long de son corps suivi de mes caresses. Mes mains tout en caressant ses fesses font descendre son pyjama. Je le retire doucement et entièrement. Je caresse ses jambes si douces. Je fais des petit bisous sur l’intérieure de chaque cuisse. Tout doucement je me rapproche de son sexe encore mouillé. Je mis ses cuisses sur mes épaules, mes mains se promènent entre ses seins et son ventre. Puis je glisse ma langue entre les lèvres de son sexe. Ma langue se faufile dans son sexe. J’aime la dévoré, je trouve cela trop bon. Mes caresses sur son corps sont de plus en plus lourdes et intenses et suivent parfaitement les ondulations. Ma langue joue avec son clitoris. Elle le fait rouler, tourne autour, exerce une légère pression quand je le lèche. Ma princesse ondule de plus en plus et pousse de petit gémissement. Je mets mes mains sur ses fesses et l’empêche de trop onduler et ma langue s’enfonce d’avantage en elle. Elle met ses mains sur ma tête et pousse un cri violent et je reçois toute sa jouissance en pleine bouche.
Puis d’un coup elle se mit à pleurer à grande larme.
- Ma chérie qu’y à t’il ? Je t’ai fais du mal ? Tu vas bien ?
- Bébé….. merci..
- Dis-moi si tu vas bien ma chérie, je suis inquiet.
- Ne t’inquiète pas je suis follement heureuse. Je pleure mais je ne sais pas pourquoi.
- Je suis désolé mon amour…
- Ne le soit pas, tu me fais vivre d’inoubliable moment. Et…..Je t’aime.
- Moi aussi mon ange.
- Excuse-moi d’avoir retenu ta tête. Je ne sais pas ce qui m’a pris.
- Ne t’inquiète pas bébé, j’ai adoré ça.
Nous nous sommes câlinés puis on c’est embrassé. Ses parents sont rentrés. Nous nous sommes endormis nu, l’un contre l’autre.
Le lendemain matin, je la regardais dormir, je savais enfin ce que c’étais d’être amoureux. Je me collai contre elle pour un câlin. Une demi-heure après elle se réveilla. Elle me regarda avec ses cheveux en bataille, posa sa main sur ma joue et me dit « Tu n’ étais donc pas un rêve ». Je l’embrassai pour lui prouver que non. Après une heure, elle se leva prétextant qu’elle devait aller au toilette. Elle revint, toujours ma déesse nu avec ses jolies formes d’ange. Elle m’embrassa et revint se caler contre moi sous la couette. Je la caressais tendrement pendant qu’elle se blottissait contre moi. Une discussion démarra.
-Ti cœur, hier soir, je me sentais pas aller plus loin, avec mes parents à la maison.
-Pas de soucis namour, ce n’est pas grave. Je ne suis pas pressé, je veux passer ma vie avec toi.
- Bébé, moi aussi mais je dois t’avouer qu’il n’y a pas que ça.
-Je t’écoute mon ange.
-Je suis vierge et je suis inquiète. Je sais que tu feras doucement mais j’ai peur mon cœur.
-Ma puce, on le fera quand on sera près tout les deux, il n’y a pas de soucis. Et tu sais mon cœur, je ne l’ai jamais fait non plus.
-N’amour, je voudrais essayer.
-Mon cœur, tes parents doivent être dans le coin et je ne veux pas que tu te force.
-Mon namoureux, mes parents sont partis et j’ai vraiment envie de le faire avec toi.
-Bébé, si tu n’es pas prête, on attend.
-Tito, mon bébé, je suis prête pour le faire avec toi. Je veux le faire tout de suite et avec toi.
-D’accord mon bébé mais au moindre soucis, tu me le dis et on arrête.
-Merci mon bébé. En plus, tu m’excites avec tes caresses.
Je l’embrasse et continu de la caresser. Je passe parfois mon doigt sur son sexe pour regarder s’il est humide. Une fois que mes caresses ont humidifié son sexe. Ma main se pose sur son sexe et le caresse. Elle colle son jolie petit cul contre mon sexe ce qui à pour effet de me donner une belle érection. Elle met la main sur la mienne dans son entre jambe. Je glisse un doigt entre ses lèvres. Elle commence à avoir du plaisir, je lui rentre un deuxième doigt et elle ondule son corps ce qui fait frotter ses fesses contre mon sexe. Après quelques instants, elle pousse un long soupir et me dit « Prend moi bébé ». Je glisse mon sexe entre ses jambes jusqu’à l’entrée de son sexe. Elle lâche ma main et prend mon sexe pour le dirigé vers le sien. Je continu à caresser son sexe tout en faisant glisser doucement mon sexe en elle. Arriver à un moment, je sens sa petite barrière intérieure et je m’arrête. Au moment où j’allais lui demander si cela allait, elle mit ses mains sur mes fesses et a engouffré mon sexe au plus profond d’elle en poussant un petit cri de douleur. Je lui demandais si ça allait elle me répondit « Viens en moi ». J’y étais déjà. Je faisais des vas et viens rythmer par des caresses et des mots sensuels. La pénétration devenait plus intense, ma chérie ce débloquait totalement. Elle se mettait sur moi et faisais sortir mon sexe en entier puis elle le renfonçait entièrement pouvant lire sur mon visage le plaisir procuré par ses gestes. Je repassais au dessus d’elle entouré par ses cuisses et je la pénétrais intensément en me collant bien contre elle. J’accélérai le mouvement et après quelque va et viens elle poussa trois long cri de jouissance. Son sexe se contractais autour du mien ce qui m’offris beaucoup plus de plaisir et je me mis à jouir très fort. Nous sommes resté trois quart d’heure l’un contre l’autre sans parler, juste en ce câlinant. Cette amour indéfectible nous à réunis pour ne faire plus qu’un.

Cette histoire comporte quelques détails réels mais ce n’est qu’une histoire. Je ne l’ai personnellement pas vécu, malheureusement. Je suis toujours célibataire, je n’ai jamais fais l’amour. Je vis beaucoup l’amour dans mes rêves, d’où cette histoire qui peut paraitre parfois ine.

Il faut que j’arrête de rêver la vie et que je commence à vivre mes rêves
Merci
Tito

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