C'Est Ainsi Que Ma Transformation Débuta

J’ai eu beaucoup de mal à m’endormir. Je les entendais rire, gémir, chuchoter et s’embrasser.

Je suis incapable de dire ce qui, ce soir la m’excitait le plus. Était-ce de savoir qu’à coté de moi, ma femme faisait l’amour avec une autre femme ou bien était ce le ton qu’elle avait employé, pour parler de moi : Cette salope…

Je suis sur qu’il aimerait être enculé… en tous les cas, j’avais envie de jouir et me masturbais plusieurs fois dans la nuit.

Au matin, je fus réveillé par des caresses. Geneviève, nue , à genou sur le lit, cuisses ouvertes, s’employait à faire grossir ma verge. Ce lui fut très facile. Alors, elle fit demi-tour, s’installa tête bêche, m’offrant sa chatte rose. J’y fis glisser ma langue en la tenant par les fesses. Mon index caressait son anus. Elle prit mon poignet et appuya dessus pour que mon doigt glisse entre ses fesses et pénètre son cul.

Tu vois dit elle, en arrêtant de pomper ma queue : je suis comme toi, une cochonne qui aime être enculée.

Sa remarque eut pour effet de me faire jouir instantanément et elle avala tout puis fit demi-tour et se colla à moi.

- Mais je ne sais pas si j’aimerai cela.

- Moi, je suis certaine que si. La preuve ça t’a fait immédiatement éjaculer.

- C’est vrai que d’y penser ne me déplaît pas.

- Ta femme m’a parlé de ses projets pour toi.

- Ah oui ? Lesquels ?

- C’est un secret encore et ce n’est pas à moi de le révéler.


Et elle m’embrassa à pleine bouche. Elle avait encore le goût du sperme dans la bouche.


Il est temps de retourner voir Hélène dit-elle. Tu devrais nous apporter le petit déjeuner au lit. Elle fila.


Je m’employais à préparer un plateau avec le café, le lait, les toasts, le beurre et la confiture avant de rejoindre mes deux gouines dans la chambre.


Hélène, sur le dos, cuisses grandes ouvertes, me regardait en caressant les seins de Geneviève.

Mon regard était attiré par le suçon laissé la veille, juste au dessus de se chatte épilée. Qu’elle était belle ! De sa chatte toute rose dépassait un tout petit bout de dentelle blanche. C'était un string arachnéen qu'elle avait introduit dans son vagin et elles attendaient que je vienne pour m'offrir le spectacle que j'avais espéré. Je posais le plateau sur la coiffeuse et me mis à genou sur la moquette en caressant mon sexe. Hélène se mit debout, cuisses écartées et tendit son ventre. Geneviève, à quatre pattes commença par lécher le minou de ma femme et enfin, avec les incisives se saisit du petit bout de dentelle. Au fur et à mesure qu'elle le tirait de la chatte de ma femme, il disparaissait dans sa bouche. Quand se fut terminé, Geneviève vint me frotter le visage avec en me disant: Tu vois ce qu'elle est devenue maintenant? Elle est à moi et elle suspendit le string sur ma queue en érection.

Elles grimpèrent sur le lit, s'embrassèrent en se caressant. Je les observais dans le miroir. Elles commencèrent à se chuchoter à l'oreille et je compris que c’est de moi qu’il était question.


Laisses nous seules pour l’instant. Je t’appellerai plus tard. Fais ce que tu veux, mais restes tout nu.


Après avoir fait ma toilette, je m’installais sur le divan du salon et me caressais en attendant qu’Hélène m’appelle.


Quand elle m'ordonna de venir, au bout d'une trentaine de minutes, elle me tendit une feuille de papier.
- signes ce document


Je prie connaissance du papier. Il était rédigé comme un contrat : Je, soussigné Alain S… accepte sans aucune réserve d’obéir à ma femme et de réaliser ses désirs les plus fous et osés. Elle pourra disposer de moi à sa guise, faire de moi ce qu’elle veut et m’offrir à qui elle veut. Elle seule pourra choisir mes partenaires et je n’aurai pas le droit de les refuser.


J’hésitais un peu mais en même temps, ma queue grossissait.


Je pris le stylo tendu, écrivis : lu et approuvé et je signais.



Elle vérifia le document, le montra à sa maîtresse et m’annonça : maintenant, tu vas devenir un vrai pédé. Tu vas apprendre à faire l’amour avec des hommes, seulement des hommes.

Nous allons commencer ta préparation tout de suite. Tu as voulu que ma chatte soit rasée. Maintenant c’est moi qui veut qu’il n’y ait plus un poil sur ton ventre, sur ta queue, tes bras, tes jambes, sous tes aisselles. Je veux que tu fasses envie aux mâles bien montés.

Allons dans la salle de bain et grimpes dans la baignoire.


D’abord, avec des ciseaux puis avec mon rasoir à main, j’enlevais l' essentiel des poils sur mon ventre, mes testicules et ma queue. Elles observaient attentivement toutes les deux.

Ensuite, avec une spatule elles étalèrent la crème dépilatoire partout où était passé le rasoir. L’odeur de feuilles mortes du produit m’excitait.

Il faudra aussi s’occuper de ses fesses. Elles doivent être attirantes car elles vont lui servir de plus en plus à cette salope dit ma femme.


Au bout de 5 à 6 minutes, je fus rincé à l’eau froide avec la douche et me retrouvais avec la peau lisse. C’était extraordinaire, cette sensation de nudité totale…ou presque.


Tu vas maintenant te retourner et nous offrir ton cul pour continuer ta transformation. Le travail fut le même :

Rasoir, crème et douche.

Geneviève vérifia à la main le travail d’Hélène et en profita pour introduire un doigt dans mon anus. Tu sais que tu as un beau cul, ma cochonne dit elle ?


Il nous reste les jambes et les bras annonça Hélène. Dans moins de trente minutes, tu commenceras enfin à ressembler à une pute. Geneviève, tu fais le coté droit et moi le gauche.


Trente minutes plus tard, j’étais intégralement rasé et elles m’avaient massé avec une crème adoucissante pour que je ne souffre d’aucune irritation.


Hélène alla chercher l’appareil photo numérique et revint en me disant : nous allons commencer ton presse book maintenant.
Il va falloir être sexy pour attirer les mâles.


Il faut aussi qu’il apprenne à sucer correctement les queues d’hommes dit Geneviève en prenant dans son sac à main un godemiché rose, magnifique, copie parfaite d’un beau sexe.


C’est une bonne idée.


Viens ici, prends le gode, tiens le en posant ta langue dessus, écartes tes jambes et avec ta main gauche, caresses toi.

Je pris le sexe factice dans ma bouche et l'aspirai goulûment, en le suçant, Hélène pris les photos. Celle que je préférai était celle où j'étais à quatre pattes, genoux écartés. Elles m'avaient planté le jouet de Geneviève entre les fesses après m'avoir mis de la vaseline et l'avait planté assez profond pour qu'il tienne tout seul.

Je ne me fis pas prier pour dire que c’était bon, que j’adorais, que j’acceptais l'obéissance et la soumission.

Il faudra refaire d’autre photos avec des sous vêtements féminins. Il y a des mecs qui aime ça souffla Geneviève.

Bonne idée dit ma femme. Je lui trouverai des sous vêtements de putain.

Elle m’avertit qu’elle allait faire en sorte que j'ai tellement mal au cul que je ne puisse plus m'assoir, pour m'habi à de me faire prendre et elle me dit aussi que plus tard, elle m’offrirait à trois hommes en même temps : un pour ma bouche, un pour mon sexe et le dernier pour mon fessier.

Tout cela m'excitait au plus haut point et j’ai jouis plusieurs fois devant elles, j’étais couvert de sperme, j’ai léché mes doigts et j’ai gardé le godemiché, retenu par une cordelette, entre mes fesses, pendant plus d’une heure. J’ai même du les servir et me promener dans le jardin en ayant le cul défoncé. Ca me plaisait et j’ai même commencé à marcher en ondulant de la croupe, pour être plus désirable.


Je me suis mis à espérer les hommes qu'elle me faisaient choisir sur un site Internet.

J’ai du affirmer mes goûts, dire qui j’aimerai sucer, par qui je voulais être enculé.
J’ai du dire que je voulais bien porter un collier de chienne, que je voulais bien être offert nu, pour une journée ou un week end.

J’ai aussi du dire que j'aimerai porter des bas, un porte-jarretelles, des chaussures à hauts talons, des sous vêtements transparents : nuisette, caraco.


Ma femme me félicita pour ma transformation et me promit des moments de plaisir intense.

Elle m’affirma qu’elle mettrait dans notre chambre des photos de son pédé et que ces photos seraient visibles par tous ces amants et amantes.

Elle allait, sur catalogue me choisir des plugs, des godemichés, des films et des magazines pour stimuler mes vices.

Peut être même m’offrirait elle à un ou une maîtresse qui pourrait me dominer et m’humilier.

Mon cul allait, affirma t’elle être le plus hospitalier des culs et j’allais devenir un très bon goûteur de sperme. Tout cela me faisait déjà envie.


Geneviève demanda une dernière faveur; Elle voulait revenir demain, avec un godemiché à ceinture et elle voulait, avant que je sois laissé aux hommes être la première à m'enculer.

Hélène lui accorda cette faveur et je n'eus. rien à dire.


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