A Force De Le Quémander, Elle Le Fait. Me Voila Cocu, Bien Comme Il Faut

Après quelques jours de récupération de notre retour de vacances et vu le peu d’énergie qui nous habitait et le temps maussade à l’extérieur, je propose simplement :
- Et si nous allions visiter au cinéma ?
A environ 10 mn de notre maison, existe un grand complexe cinématographique et je suis friand de cette ambiance et de passer 2 heures bien assis au chaud
- Bonne idée chéri
….. Arrivés, tout s’enchaine très vite …….
Garés sur le parking, il pleut des cordes et il fait froid, nous courons vite à l’intérieur et Stéphanie, prend la file d’attente pour choisir et acheter les billets. Moi je reste à l’écart pour aller chercher les boissons et le pop cornet je distingue, juste derrière elle un gars qui détaille son anatomie de façon peu discrète et courtoise, mais j’ai l’œil.
Il faut dire que cette robe pourtant très sage, la met en valeur de façon presque indécente. Elle est plus que belle et je suis fier d’être à ses côtés. Là je vois l’homme précèdent qui vient poser sa main sur son épaule. Stéphanie se retourne d’un bloc prête à invectiver l’intrus. Mais elle se ravise ….. Il est très grand et elle a juste le nez à hauteur du médaillon qui pend à son cou, sur un torse rasé et musclé. Elle lève les yeux et là un large sourire illumine son visage, car l’homme est beau et charismatique et il fût doux dans son attitude. Immédiatement une boule commence à se former dans mon ventre ….
C’est un homme d’une belle carrure, cheveux ondulés, tempes légèrement argentées, une gueule d’acteur de cinéma, il est plus âgé qu’elle, d’une dizaine d’années je dirais, cela saute aux yeux. Son regarde descend vers ses mains et je comprends qu’elle met à profit ce qu’elle me dit depuis fort longtemps ; Les mains le nez et la taille, définissent la virilité d’un hommes …. Ses mains ? De véritables battoirs, un rapide coup d’œil sur le nez …. Puis elle redescend inconsciemment et discrètement vers le pantalon pour voir si quelque chose peut confirmer sa première impression sous la toile fine
Stéphanie regarde dans ma direction avec un sourire que je connais bien ….

Elle joue déjà de son charme et se trouve déjà sous le sien. Je reconnais que si je devais faire quelque chose de sexuel avec un homme j’aimerais le faire avec un tel type de mâle, On dirait l’acteur de 365. Une belle bête ma foi.
Il lui tapote à nouveau sur l’épaule, pour lui signaler que la file a avancé, elle ne s’en était même pas rendue compte, la voilà comme hypnotisée. Une fois les billets d’entrée en mains elle reste là à attendre le type en lui souriant. Une sourde fureur monte en moi, je l’interpelle de façon plutôt musclée
- Alors qu’est-ce que tu fais ? Tu as vu comment tu te comportes avec ce mec ? Tu attends quoi ? Qu’il te prenne là ?
- Là tu exagère chéri ! Qu’est ce qui te prend ? Te voilà jaloux maintenant ? Toi qui n’arrête pas de me parler de ton fantasme de me voir te faire cocu avec un autre homme, toi qui veux me trainer dans un club échangiste pour me regarder me faire ramoner devant toi ?
- Oui, mais là ce n’est pas pareil.
- Pas pareil ? Ah oui, monsieur veux choisir lui-même celui qui pourra m’honorer !
- Tu as raison mais ce type ne me plait pas du tout, il est trop beau et puis tu à vus son âge ? Il ne bande peut-être plus !
- Hé bien ça devrait te rassurer ! Mais figure toi qu’il me plait énormément et je crois que c’est réciproque. Et franchement si tu veux que je satisfasse à ton fantasme, ce sera quand, ou et avec qui JE veux. Et lui je te le dis, est le style de mec qui pourrait me baiser sans aucunes angoisses ou appréhension de ma part
- Pardonne moi je me suis emporté, tu as raison, je suis jaloux pour rien
- Bon, on va le voir ce film grand fou que j’aime !
Nous commençons à nous diriger vers la salle et l’homme suit, pas à pas Stéphanie et la renseigne sur le numéro de la salle et un tas d’autres trucs, ça papote… Ma boule au ventre ne me quitte pas, un mélange entre la joie, la jalousie et l’excitation. Le fait de ne pas le choisir me perturbe, il faut que j’ai le cœur net de ses intentions.

- Chérie, je dois vite aller au WC, je te retrouve tout de suite à nos places, je te rejoins.
Je pars d’un pas décidé, j’attends quelques secondes, puis discrètement je fais demi -tour pour les surveiller ……Stéphanie s’est mise un peu à l’écart des autres usagés cherchant leurs places, appuyée contre la balustrade …l’homme la rejoint et se colle derrière elle, une main sur l’épaule qui descend lentement vers la poitrine, puis carrément vers le bas ventre ma femme ne se laisse faire, le repousse un peu et se retourne. Je vois déjà la gifle partir.
Mais non, leurs lèvres se retrouvent à dix centimètres, mais telle une anguille elle se glisse hors des bras qui l’emprisonnent et s’éloigne. Un bouton de son décolleté a sauté dans la manœuvre. Je la vois agir et je la trouve trop calme…
Et si c’était l’occasion.. Passer de mon fantasme a la réalité ? Ma femme adultère rentrant toute souillée du sperme d’un autre… Je suis au pied du mur, vais-je me dégonfler ? Mon sentiment de jalousie fait soudain place à une excitation délirante, je bande !
Mais Stéphanie esquive le baiser et se libère de l’étreinte du mâle, je dois intervenir…Me voyant arriver elle vient se jeter discrètement dans mes bras
- Chéri ouf ! Tu sais que je t’aime !
- Oui je le sais, tu es différente, Tu pourrais vraiment avoir envie de coucher avec lui ?
- Oui, je crois. Cet homme m’envoute et m’attire, mais …. Toi, je ne peux pas ?
- Moi ? écoute si ce n’est que purement sexuel, je suis partant, tu le sais. A toi de manœuvrer.
Nos langues se sont emmêlées suite à ce petit moment. Voyant cela l’homme hésite à s’approcher de nous et pense que je vais le frapper
- Va le rejoindre chérie si tu le souhaite, et je resterais derrière ou plus loin si tu le souhaite
- Chéri ? Merci, tu assures …. Mon dieu je suis déjà toute excitées !
Ils se sont parlé un bon moment côte à côte avant le film, leurs regards fusent sur moi de temps autre, car elle m’a demandé de me mettre plus loin derrière afin de ne pas lui faire ressentir de pressions.
Il a glissé son bras autour des épaules et mon rival la rassure en caressant la joue de mon épouse.
Déjà j’imagine son sexe fouillant celui de mon épouse, je dois avoir dix-huit de tension seul sur mon siège. Ils continuent de discuter en se tenant par la main. Les gens qui nous avaient vus ensemble tout a l’heure me jettent des regards incrédules !
Le film commence et de temps à autre dans la pénombre, je devine des mains baladeuses, elle doit être excitée et humide, je la connais. Et lui une trique d’enfer, car là aussi je la connais ! Et moi si ça continue, je vais jouir dans mon pantalon !
Un jeune couple fait semblant de s’intéresser au film mais en réalité ils sont intrigués par cette femme qui fait des mouvements artistiques durant une toile. Peut-être a-t-ont fait naitre chez eux un fantasme, car l’homme enlace la fille les lèvres jointes tout en lui caressant les fesses la fille rie nerveusement
Il faut trouver une solution pour me rapprocher car nous ne passons pas inaperçus, petit à petit. L’entracte arrive. Stéphanie se sépare de lui et vient me voir discrètement. Je suis fou de curiosité
- Est-il d’accord pour te baiser ?
- Oui, mais il y a un problème …
- Ah, lequel ?
- Il ne peut pas recevoir
- Alors laisse tomber !
- Ah non ! Pas au point où nous en somme ! … Il va rentrer avec nous s’il te plait !
- tu es vraiment décidée ?
- J’ai très envie de lui ….
Alors nous verrons à la fin du film. Je me remets dans mon siège, tout comme eux et le film reprends. Après mois de 10 minutes de film, ma femme se lève et part en direction de la sortie, laissant l’homme seul. Puis l’homme la suit très rapidement. N’y tenant plus, je me lève, les gens me regardent quittant mon siège pour suivre cette homme.
Arrivé dehors je ne vois personne, rien… Juste la porte des toilettes pour femme à quelques mètres de moi. Je n’ose y pénétrer de peur de me faire prendre, mais la curiosité est plus forte et j’ouvre délicatement la porte afin de ne pas me faire surprendre si une femme devait s’y trouver et me croiser dans les lieux qui me sont interdit.

Je n’entends rien du tout, mais je vois une cabine fermée et en m’abaissant, je vois 4 jambes, dont les baskets de ma chérie. Lentement je m’installe sans bruit dans la cabine adjacente et la referme. J’entends à ce moment-là quelques respirations fortes et je comprends pourquoi ils n’ont pas entendu le moindre bruit.
Je reste quelques minutes à les écouter sans bouger. C’est presque inaudible et leur respiration est forte et accentuée et je ne reçois que quelques brides.

- Oui…Chut …doucement. Retires là. Waouh. Belle. Baisse toi… Mhhhh… grosse… bonne… aie…

Subtilement, je passe ma tête au-dessus de la cloison et découvre le spectacle. Stéphanie est assise sur les toilettes devant lui avec son chibre en main ä le pomper énergiquement. Sa langue lampe toute la longueur de sa verge et s’attarde ensuite à lui gober le gland de façon très intense. Ses mains caressent ses grosses testicules rasées. Sa bouche s’active sur cette queue qui continue de grossir en émettant des sons de soupir et de plaisir de l’avoir en bouche.

Après seulement quelques minutes, il la relève en lui disant qu’il ne tiendra pas longtemps si elle continue et qu’il a trop envie d’elle. Il la retourne et lui fait mettre une jambe sur la cuvette, puis s’agenouille derrière elle et comme un affamé, lui dévore son minou en passant sa langue de son anus a ses lèvres. Ses doigts la fouille et sa bouche mordille et sa langue déguste ses lèvres gonflées et son nectar dégoulinant. Elle se colle le visage conte le mur tellement elle prend son pied. Sa main va a la rencontre de son crane pour le forcer à se plaquer encore plus intensément contre sa vulve. Elle sent venir l’orgasme…

Il se relève, avec une queue grosse et dure comme un cheval, puis après lui avoir susurré au creux de l’oreille un « Je vais te baiser comme chienne, tu m’excites trop là » Il ne prend aucunes précautions et enfile sa tige d’un coup jusqu’au fin fond de ses entrailles en s’agrippant à ses hanches. Elle crie de plaisir et halète comme je l’ai rarement entendue aussi rapidement. Elle est vraiment heureuse de ce qu’elle reçoit, je la connais.

Il la besogne si intensément et si bestialement, qu’il réussit à la faire remonter sur la cuvette. Ses deux genoux posés sur cette dernière et les cuisses serrées, j’aperçois la queue de mon rival sortir et disparaitre complétement à l’intérieur du con de ma salope de femme que je découvre devant moi.

Il lui claque les fesses, lui malaxe les seins et la tien par les épaules afin d’aller encore plus profondément en elle, alors qu’elle le supplie de la ressortir pour la lui fourrer dans le cul. Sur ces mots il lui dit « Espèce de salope à me dire des trucs pareils, je vais jouir, fais chier, retournes toi »

A cet instant, il ressort de son antre, la retourne et la colle au sol sans ménagement, bien que ma femme le fasse si naturellement. Il se retrouve avec sa verge gonflée à bloc devant le visage de Stéphanie, il émet des petits cris qui indique qu’il va jouir. Il n’a même pas besoin de demander quoi que ce soit, ma femme est là à attendre en face de lui, la bouche ouverte la semence de son nouvel amant.

A ce moment ce que je découvre est tout simplement hallucinant. Il décharge deux premières salves, qui vont aller recouvrir le front et arroser la moitié du bas du visage et la bouche de ma chérie qui ne l’es plus à ce moment. Il continue ensuite avec au moins 8 autres éjections. Il lui remplit la bouche avec une telle quantité que c’est pour elle un supplice, en temps normal, car elle n’aime pas ça.
Mais là je la vois ne rien recracher et tout déglutir avec un regard dans sa direction qui dit « Donne ne moi encore »

Elle est recouverte de jus, comme je n’ai jamais même vu cela dans un film porno.
Et elle, encore recouverte de son foutre, qui est réjouie de l’avoir autant excité et excité de ne jamais avoir réussi à faire extraire autant de jus de la queue d’un homme.

C’est à cet instant que je réalise que j’étais avec ma queue en main, et que moi aussi j’ai joui contre la paroi, mais dans une moindre mesure que mon rival. Je reste un petit joueur et cocu de surcroit maintenant. Je me ravise et je quitte avant eux ce lieu afin de rejoindre mon siège, alors que je les entends se rhabiller et se caresser encore un peu.

Lors de leur retour en salle, les deux m’ont regardé avec un regard qui en disait long sur la situation de cocu qui désormais m’habitait. Un mélange entre des remerciements et de la pitié d’être devenu son cocu. Tous les trois avons terminés de voir le film, heureux, détendus et vidés.

Lors de la sortie de la salle, l’amant était plus entreprenant et n’est pas resté en retrait lorsque j’ai récupéré mon épouse, afin de discuter du film avec elle. Nous avons donc pris contact. Je leur demandais ce qu’ils avaient bien fait durant plus de 20 mn. Après s’être regardés avec son amant, elle m’a juste dit que mon fantasme avait été exaucé et qu’elle avait été honoré par cet étalon dans les WC durant 15 bonnes minutes, mais qu’elle ne souhaitait pas m’en dire plus, car la façon ou la manière ne me regardait pas et que ça resterait entre eux. Si elle savait !!!!!
- Alors présente-moi.
- Merci mon amour, vient …. Chéri je te présente Lucas, Lucas, mon mari Antoine.
Lucas vient avec nous boire un verre à la maison !
- Très bien partons
- Lucas, vous montez à l’avant ?
- Non chéri Lucas monte à l’arrière avec moi nous avons à causer ….

Il ne me reste plus qu’à régler le rétroviseur sur le couple adultère et me concentrer sur la conduite jusqu’ä notre demeure. Stéphanie s’assied au milieu et passe une jambe sur celle de Lucas, l’angle de vue qu’elle m’offre est volontaire. Son amant passe un bras derrière et leurs lèvres s’unissent ä nouveau. De l’autre main, il descend sur la poitrine et empaume un sein, puis les malaxe. Il lui dit qu’il n’a malheureusement pas eu grands loisir tout à l’heure de s’impliquer davantage sur ces magnifiques seins rond et fermes.
Il entame donc dans les règles, un déshabillage du haut et se retrouve avec deux gros seins qu’il passe quasiment tout le voyage a téter, a peloter et à caresser. Ma chérie n’est pas en reste, elle lui caresse le torse et la verge au travers de son pantalon. Dans le rétro je vois ma femme commencer à se perdre à nouveau dans des contrées nouvelles pour elle. Elle me demande de me concentrer sur la route. Dès lors j’entends des bruits de baisers, des bruits de sucions s’échappent des lèvres, j’imagine les langues tournoyer échangeant les salives
Les gémissements qui me parviennent prouvent que le traitement de l’un et l’autre est à son paroxysme. J’entends ma femme lui dire de continuer ä triturer ses seins, pendant qu’elle s’occupera de sa queue, de lui redonner de la vigueur, sans le faire jouir, car bientôt nous serons à la maison.

Enfin nous arrivons. Mais ceci sera pour une autre fois.

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