Ma Petite Indienne Malbaraise (1)
(début dune longue histoire)
Comme beaucoup je suis voyeur et exhibitionniste occasionnel. Dès mon plus jeune âge, jaimais bien montrer mon sexe à mes surs puis à mes petites copines, le comparer à celui des autres garçons, faire des concours à celui qui urinerait le plus loin et, dès ladolescence, des concours de « branlettes » bien innocents. Ma vie sest déroulée sous le signe du sexe et jen ai saisi toutes les opportunités sans me poser de question, sans culpabiliser après coup. Dès ma naissance, je fus souvent confié à ma marraine qui a eu deux s, un fils né le même jour que moi et une fille de trois ans notre aînée. Ma marraine, pleine de douceur et de perversité, nous initia dès notre plus jeune âge aux plaisirs du sexe sans tabou ni contrainte. Elle avait su nous amener là où son plaisir la guidait. Nous avions choisi le plaisir contre linterdit avec comme priorité le secret et le silence. Ainsi mon existence a-t-elle été comblée de bienfaits sans que jamais mes proches naient eu le moindre doute à mon sujet. de la misère, ma vie a été comblée et le malheur ma jusqualors épargné.
Maintenant à la retraite, jai eu, au cours de mes pérégrinations de biens charmantes aventures (dont certaines ne passeraient pas la censure.) Voici lune delles survenue lors de ma dernière mutation dans un petite île de locéan Indien où je me suis retiré pour y couler des jours paisibles et un peu moins agités.
A lapproche de la quarantaine, jétais ce que lon appelle un bel homme, une belle prestance, des yeux couleur marron-verts avec des reflets dorés, les tempes argentées, un bel uniforme et une situation enviable : un vrai miroir aux alouettes.
Dans ce petit paradis (se transformant parfois en enfer lors de cyclones violents) aux multiples ethnies vivent les plus belles filles que jaie pu rencontrer. Les dieux ont veillé aux plus réussis des métissages. Imaginez ces créatures, rarement très grandes, au teint dun noir débène au blanc laiteux parfois taché de roux, en passant par toutes les nuances de caramel et de miel dorés, aux yeux de biche des indiennes à la longue chevelure dun noir de jais, tous ces délicieux mélanges de chinois, malgaches, européens, africains ?
Comment aurais-je pu résister ? Le plus sage était de se laisser séduire puisque jétais un homme facile.
La première fois où jétrennais ce petit nid damour, je me trouvais en compagnie de ma dernière conquête : un petit bout de femme ressemblant à une adolescente, la peau luisante et sombre des filles des comptoirs de lInde, des yeux noirs lui mangeant le visage, des dents dune blancheur éclatante, une tresse de cheveux de jais descendant au creux des reins, un mètre quarante neuf, pas plus de quarante kilos, légère comme une plume, souple comme un roseau. Après avoir étendu un grand drap sur les aiguilles de filaos. Sans plus attendre, javais débarrassé ma conquête de sa robe légère et une petite culotte de coton dun blanc immaculé. La vue de ses petits seins ronds libres de tout soutien mavait rendu fébrile. En un tournemain jétais nu devant elle. Je la pris dans mes bras.
-« arrête, cest sale, ça ne se fait pas ! » (par manque de connaissance et dinformation, les pratiques sexuelles étaient limitées, il nétait pas dans les habitudes locales de pratiquer le cunnilingus ou la fellation qui étaient considérés comme sale et réprouvés par la religion bien entendu.)
Elle sétait allongée sur le drap et agenouillé à son côté, le sexe érigé tel un sceptre duquel coulait un filet de liqueur, je lui expliquai tout le plaisir que lon pouvait retirer de cette façon et que ce nétait pas plus sale quun baiser avec la langue quand la femme était propre. Tout en lui parlant, je caressais ses petits seins, son ventre et sa chatte chaude et humide. A chaque passage de mon doigt sur son clitoris turgescent gros comme un pois chiche, elle poussait un gémissement en fermant les yeux. Elle me dit que jamais un homme ne lavait caressée là, que le père des ses deux s se contentait de la prendre pour son propre plaisir puis quil la laissait ensuite frustrée. Mes explications lavaient convaincue et elle était pressée de jouir maintenant. Allongé entre ses cuisses écartées, la bouche sur son sexe ruisselant, tout en léchant ses petites lèvres et son clitoris que jaspirais, jintroduisis deux doigts dans son vagin. La réaction fut immédiate, plaquant les mains sur ma tête, elle se déchaîna remuant son bassin avec violence. Elle eut une série dorgasmes bruyants. Elle ne me lâcha quune fois complètement vidée de toute énergie et resta inanimée, le sang semblait sêtre retiré de son visage. Une large tache humide sétalait sous ses fesses, un mélange de sa liqueur et de salive : pour la première fois de ma vie, je voyais une femme fontaine.
Ma maîtresse recouvrit doucement ses sens sous mes caresses. Je gobais pratiquement ses seins tant ils étaient menus puis je mallongeais avec précaution sur elle. Maintenant elle était impatiente de goûter à mon sexe dont la grosseur lui causait un peu dappréhension. Malgré sa bonne volonté, jeus quelques difficultés à la pénétrer malgré quelle eût déjà accouchée de deux s. Mon sexe bien que de bonne taille, nétait pas énorme mais elle était très étroite. Une fois à lintérieur de son petit corps accueillant et chaud, je la manipulais comme une poupée de chiffon lamenant rapidement dans un délire aussi expressif que précédemment, je ne la lâchais que quand jeus joui. Mon plaisir avait été tel que jétais resté quelques minutes sans réaction, ma petite maîtresse serrée contre mon corps. Je restai soudé à son ventre inondé attendant de renaître et quelle sorte de lespèce de coma où elle était plongée. Dès son réveil, lair égarée, elle mavait souri, elle avait les traits tirés, léclat de ses yeux enfiévré lui faisait un regard ensorceleur. Elle me fit une déclaration damour me disant quelle était à moi, que je pourrais tout lui demander. Je nen espérai pas tant mais la proposition mavait tentée.
Je lui refis lamour avec douceur, longuement et, quand elle senti que jéjaculai, elle se mit à hurler longuement, comme une chienne et retomba inconsciente, inanimée. Après lui avoir pris le pouls, je rabattis le drap sur son corps épuisé. Javais connu des femmes aux orgasmes bruyants mais jamais encore sévanouissant. Je me levai pour aller prendre de leau dans mon petit van quand japerçus un mouvement furtif derrière un fourré de tamarinier. Faisant semblant de ne rien remarquer, je métais dirigé nonchalamment dans cette direction et prenant mon sexe à moitié dressé, javais fait quelques mouvement de masturbation puis javais uriné face au voyeur que je venais dapercevoir tapi sous les branches basses.
Papyrun
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