Fantasme Poivre Et Cannelle

Tanvi. C'est un prénom qui signifie "fille délicate". ça lui va à ravir, évidemment.

La jolie Tanvi! Rendez-vous était prit cet après-midi. Pas vraiment une amie. Peut être un coup de cœur. Nous nous étions accordé sur un après midi d'échanges de plaisirs mutuels, entre adultes consentants. J'y voyais une sexfriend exotique, j'avais hâte de découvrir si elle était un bon coup.

Elle est d'un naturel discrète. Rencontrée lors d'une fête chez un ami, il a fallu la moitié de la soirée avant de faire connaissance. Arrivée d'Inde, il y a quelques années, elle parle un français impeccable, et s'est occidentalisé dans ses manières: habillé en jean et petit haut, elle s'était révélé également assez fêtarde. Au moment de nous quitter, à mon grand dam, et au lieu de me donner son numéro, elle me tendait un papier avec son adresse, et un rencart quelques jours plus tard.

Aujourd'hui, il neige, je dois traverser Paris en métro, surchauffé, bondé. J'ai eu beau me préparer, choisir une tenue séduisante, et procéder à une toilette complète, je suis en nage, le choc thermique me tue littéralement en sortant du métro.

Ce que je sais de tanvi autrement? Pas grand chose! Elle est étudiante, en quoi, je ne sais pas. Elle semble assez discrète, elle est célibataire, mais ne montre pas de regrets à ce sujet là.

Physiquement, c'est une femme très jolie. Environ 25 ans, mince, la peau foncée, des yeux presque noirs. Sa poitrine semble être un 90b, je n'ai pas l'œil pour ça. Son visage est très beau aussi, ses traits sont fins, sa bouche est petite. Ses cheveux sont longs et bouclés.

J'arrive enfin à l'adresse indiqué, en plein cœur du 18ème. Je monte à l'étage, je sonne. Elle m'ouvre. Elle a le sourire aux lèvres, discret, amical. Elle me détaille des pieds à la tête, je suis frigorifié, je voudrais bien rentrer, mais elle n'ouvre aps encore la porte. je me suis peut être trompé sur ses intentions.

Elle ne dit pas un mot, puis finit au bout de quelques trop longues secondes, à me faire entrer.

L'entrée est sombre. Un sas est bricolé avec du tissu, je sens qu'il fait bon, assez chaud même, à l'intérieur de l'appartement, au delà du fin tissu qui laisse passer un peu de lumière. Nous sommes en fin d'après midi, et le soleil se couchait déjà. Tanvi est habillé d'un sari, très simple, beige ou sable, je ne distingue pas bien, avec des coutures rouges et dorées. Elle m'invite à enlever mon manteau, et à me mettre pied nue.

Je me sens de suite mal à l'aise alors que je m'exécute, troublé par la requête qui ne m'est pas familière. j'ai froid au visage et aux mains. Elle m'en prends une, soulève le tissu, et m'entraîne à l'intérieur. La déco est sommaire. Quelques livres posés par terre contre le mur, et au centre de la petite pièce, un rectangle de tissu, épais, constitué, de plusieurs étoffes empilées. Elle me fait la visite. 2 portes, cuisines et salle de bain... follement intéressant. Elle s'arrête au milieu de la pièce, au fond de celle-ci, une autre porte. Elle m'explique que celle-ci restera fermée, c'est sa chambre, elle seule y a accès. Comme elle voudra.

Je suis vraiment gêné, j'avais imaginé, qu'on se glisserait sous une couette ou dans le creu du canapé pour se faire un câlin devant un film, mais il n'y a pas de tv. Mal à l'aise, je la taquine sur son intérieur, elle m'explique qu'elle est en plein déménagement, puis me montrant le tissu au sol me dit:

"Nous allons faire l'amour ici."

C'est assez troublant, présenté comme ça. Je suis plutôt habitué aux faux semblant, ou au sexe gratuit, et bestiale. Là, rien de tout ça. Elle sait où elle veux en venir, je semble lui plaire, elle veux faire l'amour, et vraisemblablement, elle sait exactement comment ça doit se dérouler.

"tu ne diras pas un mot" me dit-elle.

Elle me fait assoir en tailleur d'un côté du rectangle du tissu. C'est plutôt moelleux. Sa voix est autoritaire, mais très douce, ce qui a pour effet d'accen mon trouble. Je ne sais pas vraiment où donner de la tête, il n'y a rien à regarder, si ce n'est la très belle femme qui vient se positionner en face de moi en tailleur. Elle me prends les mains, m'invite à me détendre. Facile à dire, j'étais venu pour chercher du sexe, et je me retrouve en pleine séance de méditation. Il est évident que mes doutes sont visibles, elle précise alors qu'il ne se passera rien, si je ne suis pas à la lettre ses instructions, toujours le sourire aux lèvres, et la voie douce, très douce.

Elle me fait enlever mon sweat, constate que mes mains sont très froides sans pour autant montrer une seconde la volonté de les réchauffer. Elle me caresse doucement, en me fixant. je ferme les yeux comme elle me l'indique, elle commence à caresser alors chaque partie de mon corps, lentement, pour les découvrir. Elle me fait alors enlever mon pantalon et mon t-shirt, puis je reprends ma position, elle se lève alors et caresse mon corps, du bout des doigts, chaque centimètre. Je ne tarde pas à sombrer dans une sorte d'état de transe. Chaque contact m'électrise, mon souffle se ralentit, je m'abandonne, elle a prit le contrôle dés le début de toute façon. Sa main chaude passe sur mon sexe, et travers du caleçon, ce qui a pour effet de me tirer de ma torpeur et de déclencher une érection. Érection qui ne change en rien son comportement.

tanvi semble bien loin des idées que j'avais pu me faire des indiennes. Son appartement a une odeur subtile de poivre et de cannelle je crois. Pas d'encens, quand je le lui ai fait remarquer, elle répondit que c'était mauvais pour la santé, et que je devais me taire.

Cela devait bien faire une heure que j'étais chez elle. Quasi nu, complètement détendu, abandonné à ses caresses. Elle me fit lever, j'ouvrais alors les yeux,et appréciait alors que les sources de lumières soient tamisées. Elle me prit par la main, ouvrit une des portes, et m'emmena dans la salle de bain. Je restait tout penaud sans savoir vraiment quel sort elle me réservait. Elle fit couler l'eau à la douche, et m'invita, une fois à température à m'y glisser. avant ça, elle fit glisser mon caleçon, et caressa mon sexe en érection. Elle était souriante. C'était un sourire naturel, pas contraint, ni un rictus, elle savourait le moment, chaque seconde.

j'entrais dans la douche, elle fixa la paume , et je me retrouvais, un peu bête, et surtout un peu vexé de devoir prendre une douche, moi qui m'était préparé. Elle ne disait rien, mais continuait les caresses, cette fois avec une éponge naturelle, et un savon qui moussait énormément. Son odeur était épicé, je soupçonnais un produit naturel, et peut être aux vertus aphrodisiaques. elle lava tout mon corps, frotta énergiquement mon dos, mes fesses, elle profita également pour nettoyer mon sexe, ce qu'elle fit avec beaucoup de délicatesse et de savoir faire.

Elle me fit sortir de la douche, et me sécha. Je restais les bras ballants, sans savoir si j'étais soumis à une femme dominatrice, si ej servais d'homme objet, si je réalisais un de ses fantasmes, si c'était ça faire l'amour ...

J'aurais pu la prendre là, contre le lavabo, cette pensée avait traversée mon esprit, et ne la quittait plus depuis qu'elle avait pratiqué ma toilette intime. Elle adorerait surement, tout du moins, moi j'aimerais. Mais non, ce n'était pas au programme. Une fois sec, toujours nue, nous sommes revenues sur la couche au milieu du séjour.

Pas d'horloge, les volets fermés, j'ai perdu la notion du temps. Je reste debout, Tanvi vient contre moi, et passe ses bras autour de mon cou. Elle ne dit rien, et m'embrasse langoureusement. Un baiser doux, profond, parfumé. Sa langue ne viole pas ma bouche, mais la découvre, elle ne force pas mes lèvres, elle sait très bien que je vais les ouvrir. Le contact de sa peau est doux, soyeux. Je m'abandonne à nouveau. Une main glisse sur mon ventre qu'elle caresse de mouvements circulaires, puis descends encore et me masturbe lentement, avec assurance.

Elle me repousse légèrement, et détache quelque chose sur le côté, ce qui a pour effet de faire tomber son sari. Elle était nue dessous. Elle me laisse la contempler, je prends gout à son petit manège. Ses seins sont petits et fermes, bien en place, son ventre est plat. Mes yeux tombent à la hauteur de son sexe, épilé, juste un petit carré de poil la sépare de l'apparence trop ine du rasage intégral. Elle a beaucoup de bijoux, aux chevilles, aux poignets, au cou, aux oreilles. Son maquillage est très subtil. C'est une vision divine. tanvi, est une fille, belle délicate, mais surtout à la féminité très sophistiquée. Elle s'agenouille devant moi, et continue ses caresses. Elle approche sa tête de mon sexe, puis commence à le lécher. Du bout de sa langue, le contacte est si subtile, si léger, que j'en frissonne. Elle commence alors une douce fellation, sans jamais serrer les lèvres, elle caresse mon entrejambe, mon anus. Je la laisse faire je suis en confiance. Je suis incapable de dire combien de temps dure cette caresse intime, mais le moment est tout simplement sublime. On dirait qu'elle fait des efforts pour ne pas me faire jouir, ce qui serait facile après m'avoir fait tant de bien.

Elle me fait alors assoir en face d'elle, les jambes écartées, sur les fesses. Elle prends ma main, qu'elle guide vers son sexe.Je commence alors à caresser la surface. Ses lèvres moelleuses commencent vite à s'écarter et révèle son intimité rosâtre. Je la sens excité, fébrile, humide.

Il fait chaud, nous sommes nues l'un en face de l'autre, dans la même position, elle me caresse doucement le sexe, pendant que je découvre le sien. Mon majeur la pénètre, elle soupire et étouffe malgré elle un gémissement. Son souffle s'accélère petit à petit. Je la sens prendre alors un plaisir tant attendue, elle se laisse aller, et cesse de me caresser pour s'appuyer sur les mains. Elle relèves son bassin pour me faciliter l'accès. Son excitation est évidente. je cherche cette zone du plaisir juste à l'entrée de son sexe, elle me guide. Quelques minutes de caresses sur ce point, et elle se crispe légèrement avant de retomber sur le dos.

Elle me fait alors allonger sur le ventre, et saisit quelque chose sous le tissu. Je sens une huile tiède et douce, pendant qu'elle entame un massage vigoureux. Tout mon dos y passe, les épaules, puis elle descend sur les reins, les fesses. Elle risque la main entre mes fesses, je suis sous son contrôle, elle glisse un doigt en moi, l'huile permet une introduction facile.

Elle continue son massage jusqu'au pied, puis me fait me mettre sur le dos. Elle prends alors une capote de dessous le tissu, qu'elle m'enfile avec une certaine dextérité. Elle s'approche de mon visage et s'accroupit au dessus de ma bouche. Le message est clair, je commence à lécher son intimité, elle me guide selon son envie, seconde après seconde. Je titille sa rondelle, alors qu'elle se cambre, et qu'elle juge qu'elle en a eu assez, elle écrase sa vulve contre ma bouche. Son odeur intime est suave, indescriptible. Quand elle en eu assez, elle se mit dos à moi, et s'assit sur mon sexe. Elle commence alors à guida le va et vient, elle même. Elle se fit jouir ainsi sur mon sexe, se donnant des coups violents, et en alternant des mouvement lents et profonds.

Quand elle eu jouit, je me retrouvait alors prêt à exploser, très frustré quand elle se leva d'un coup après avoir récupéré. Elle avait le regard un peu vague, et moi l'air bête. Elle eu un large sourire de satisfaction, puis m'enleva le préservatif. Elle plaqua mes mains au sol m'interdisant alors de la toucher. Elle prit mon sexe en bouche, et commença alors à ma sucer pour me faire jouir. Elle faisait rentrer ce qu'elle pouvait de mon sexe en bouche, et entama le mouvement inverse en aspirant le plus fort qu'elle pouvait. De son autre main, elle caressait mes couilles, mon entrejambe, mon anus. Elle accéléra le mouvement, si bien que je du la prévenir de l'imminence de mon orgasme.

je finis de jouir dans sa bouche, et elle continua à sucer ainsi pendant quelques minutes, jusqu'à ce que mon sexe commence à ramollir. Elle vint s'allonger contre moi, et nous avons dormis quelques heures. Je repartais dans la nuit un peu plus tard, pour ne plus jamais la revoir.