Le Jeu 3

Mon Maitre me proposa aimablement de choisir entre deux histoires érotiques, et je fus heureuse de découvrir un thème qui m’intéressait, soit l’initiation amoureuse d’une femme mariée, qui découvre les délices du libertinage. J’allai me rafraichir un peu en salle de bain pour me redonner une apparence normale, découvrant dans le miroir une femme échevelée l'air un peu ahurie de ce qui lui était arrivé.

Puis je le rejoignis au salon ou il m’invita à le rejoindre sur notre brave canapé, vaillant témoin de toutes nos aventures de ce week-end… Mon maitre me fit allonger près de lui et commença à me caresser pendant le film. Son grand corps contre moi me donnait une impression de bien-être et de sécurité, sa main habile se frayait un passage entre mes cuisses et se mit à me caresser la chatte avec subtilité. Des baisers doux ou quelques morsures à mes épaules me donnaient encore plus de sensations délicieuses. J’eus le bonheur d’être ainsi caressée et emmenée en une série ininterrompue de d’orgasmes concentriques, comme montant sur une volute progressive, tandis que nous regardions la jeune femme apprendre à donner du plaisir et à en recevoir ...Ce fut un bonheur des yeux et du corps, je jouis à de nombreuses reprises, inondant la main de mon maitre attentif à mon plaisir de manière très attentionnée qui me surprit et m’enchanta…Cette parenthèse superbe pour moi dura tout le temps du film, autant dire que le canapé se retrouva bien inondé !

Puis mon Maitre changea de registre et passa aux choses sérieuses à nouveau. Il devint à nouveau exigeant et impérieux.

« A genoux, ma chienne, à ta place devant ton Maitre… Mains au dos, suce moi la bite, comme c’est ton devoir, avec soin… »

Je suivis ses consignes avec la meilleure volonté possible, après une telle séance dédiée à mes plaisirs, je ne pouvais qu’essayer de le satisfaire. Je dus reprendre ma place à genoux devant Lui assis sur le siège, la bouche à son sexe, et suivre ses ordres très directifs, pour le sucer à sa convenance, accueillir au fond de ma gorge ses coups de reins qui me laissaient sans air, la tête pressée contre son bas-ventre par ses grandes mains me saisissant aux cheveux comme sa pouliche… Je souffris moins que la fois précédente, commençant à m’habi, mais surtout désirant lui rendre un peu du plaisir si intense qu’il m’avait donné sans compter juste avant.

Il me fit me déplacer à côté de lui sur le canapé, son sexe encore en ma bouche, mes fesses à portée de sa main, et me caressa en même temps, ce qui était un plaisir et une difficulté pour moi. Il s’agissait de ne pas jouir avant son ordre en étant envahie de plaisir, tout en le suçant à sa convenance. Et jouir sans serrer les dents dans l’orgasme, il m’avait bien avertie de cette exigence !

Nous avions parlé de ce fantasme d’être sa jument à chevaucher, et le Jeu devint celui de la pouliche, moi-même, à dresser. J’adorais cette idée, sans savoir pourquoi, j’adorai ses ordres et ses claques à mes fesses pour que je suive ses directives, et me sentir tenue à la crinière, et conduite par mon maitre, et j’adorai le sentir enfin me relever pour me placer sur le canapé en lui présentant ma croupe offerte, fesses bombées et reins cambrés, pour recevoir enfin son sexe en moi. Mon ventre l’attendait avec impatience et je gémissais d’impatience, tandis qu’il me corrigeait pour me faire tenir tranquille.

« Ne bouge pas ma pouliche, tiens-toi immobile, donne-moi ta croupe, mieux que ça, cambre –toi… ! »

Et ses mains me mettaient en place, claquant mes fesses devant mes mouvements incontrôlés, je voulais être prise tout de suite, et il me faisait attendre, pour me dresser… Et enfin son sexe me pénétra, fort et puissant, trop violent au début si bien que je criais, puis rythmé et vigoureux comme j’aimais tant, mon corps était projeté contre le dossier du siège, je tentais d’ mes cris de plaisir dans mes mains en me retenant à chaque poussée de mon étalon. Qui me chevauchait avec vigueur, me tirant la tête en arrière et pressant mes reins pour me faire me donner entièrement.

Cela dura longtemps, toujours plus intensément, jusqu’à ce que la jouissance déferle en moi, crispant mon vagin en contractions de plaisirs, et m’entrainant à crier de jouissance, tandis que mon Maitre prenait appui sur le siège avec le pied à côté de moi, pour me prendre encore plus profondément. Plaisir extrême, il me donna le maximum pour me laisser jouir en spasmes de bonheur sur son ordre…

« Jouis, soumise, maintenant…. »

Ce que je fis en criant encore plus fortement, tandis qu’il retenait son plaisir, son sexe fiché en moi, me poussant à la limite de mes spasmes…Puis il me fit mettre à genoux devant lui et me tenant fermement par les cheveux , il mit son sexe en ma bouche et en ordres brefs me commanda d’accueillir sa semence, qu’il me donna en de grands coups de reins, perdant mon visage contre son bas-ventre. Je fis de mon mieux, goutant à nos saveurs mélangées, secouée par de nouveaux spasmes des derniers plaisirs de ce Jeu. Soumise, chienne et pouliche, j'étais prise et comblée.