Retrouvailles. Alain Et Brigitte Nous Font Découvrir Les Joies Du Libertinage
Depuis que Jules et Brigitte sétaient séparés, je navais plus aucune nouvelle de Brigitte. De fait, à lorigine, nous connaissions Jules qui, un jour, nous avait présenté sa compagne.
Nous nous voyions deux à trois fois par an, vu léloignement de nos domiciles respectifs et nos vies très occupées. Nos relations étaient tout ce quil y a de banal et rien naurait laissé imaginer une forme quelconque daventure entre nous.
La dernière fois quils étaient venus à la maison il était clair quil y avait de leau dans le gaz, mais rien ne laissait présager un dénouement aussi rapide. Elle nous avait confié que Jules était anormalement jaloux, quil ne supportait pas quelle aille en club, mais quelle y allait quand même.
Après leur séparation, javais envoyé un courriel à Brigitte pour lui dire que notre porte lui était toujours ouverte et que nous souhaitions continuer la relation avec elle, seule ou avec son nouveau compagnon, mais il était resté sans réponse jusquà ce jour, au-moins quatre ans après, où jai eu la surprise de recevoir un appel téléphonique.
- « Allo, Jean-Paul, cest Brigitte »
- « Brigitte ! ! »
-« Oui, Brigitte. Je sais, je nai jamais répondu à tes courriels après ma séparation davec Jules, mais vous faisiez partie de ses amis et je voulais couper avec toutes ses relations, mais aujourdhui javais envie de reprendre contact. »
- « Eh bien, je suis super content de tavoir au téléphone et je serais encore plus content de te revoir. Nhésite pas à venir nous voir quand tu auras un moment, et ton nouveau compagnon sera le bienvenu. »
- « Oh, ça, je nen suis pas sûre. Moi je mentends super bien avec lui, mais cest un sacré queutard qui ne peut pas se retenir de sauter sur tout ce qui bouge. Avec moi, cest parfait, vu que jaime ça aussi et nous formons vraiment un super couple libertin, mais je ne suis pas certaine que vous appréciez cette facette de sa personne, surtout Jeanne-Marie, qui ma toujours semblé un peu prude.
- « Et cest le seul point de discorde que tu vois ? »
- « Oui, mais cest déjà pas mal »
- « Je taccorde que Jeanne-Marie est très pudibonde, mais moi, jai parfois très envie douverture dans ce domaine et je ne verrais pas dun mauvais il quun mec sympa et respectueux la dévergonde un peu. »
- « Tu sais, avec lui, ça ne sera pas un peu. Jai seulement peur quil la choque sans ment arriver à la convaincre »
- « Cest un risque à courir, mais moi, jai très envie de te revoir, jai très envie dessayer le libertinage et jai très envie que quelquun maide à y entraîner Jeanne-Marie.
- « Écoute, jen parle à Alain et, sil est daccord, je te rappelle pour un petit week-end chez vous, si ça tient toujours. »
Nous avons discuté comme ça un bon moment, en vieux amis heureux de nous retrouver et surtout à la perspective de nous revoir.
Deux mois après, alors que je ny croyais plus, elle mappelle à nouveau , cette fois pour proposer de venir nous voir. Nous sommes convenus dune date et jattendais avec impatience ces retrouvailles, me demandant si, oui ou non, nous pourrions concrétiser. Jeanne-Marie aussi était heureuse de revoir Brigitte et de connaître son nouveau compagnon, mais je lui ai rien dit de nos petits complots avec Brigitte.
Ils ont arrivés le vendredi soir vers 19h00. Nous nous sommes embrassés, heureux de nous retrouver. Brigitte était toujours semblable à elle-même, très chaleureuse et Alain, peut-être intimidé, est resté très discret. Pendant la soirée, il sest détendu mais, hormis quelques plaisanteries un peu osées, na rien dit ou fait de susceptible de gêner Jeanne-Marie.
Le lendemain, nous sommes allés à la mer, à notre plage préférée. Jeanne-Marie avait passé un maillot de bains, mais, voyant que nous nous mettions tous nus, elle aurait eu mauvaise grâce à en rester affublée. Jai noté quil était bien fait de sa personne. Il a saisi le tube de crème solaire et sest mis en devoir den tartiner copieusement Brigitte.
- « A qui le tour ? »
- « Je veux bien, puisque tu le proposes. »
Jai regardé Jeanne-Marie, surpris,
agréablement surpris.
Alain a pris son temps, commençant par les zones neutres : le dos, les bras, les jambes. Quand il a attaqué les fesses, jai observé discrètement Jeanne-Marie qui sefforçait de rester impassible, mais ses tétons trahissaient son excitation. Il est ensuite passé devant. Les épaules, le ventre, avant de remonter vers les seins quil a copieusement tartinés en insistant bien sur ces zones sensibles, en profitant même pour pincer les tétons entre ses doigts. Il est descendu vers le pubis, mais labondante toison de ma femme ne justifiait pas quil sattarde sur son minou, contrairement à Brigitte, qui est totalement épilée.
Nous nous sommes allongés sagement. Quand Alain et Brigitte sont allés se baigner, je me suis attardé avec Jeanne-Marie. Je lui ai fait un discret bisou sur les lèvres et lui ai dit :
- « Alors, ça ta fait quoi dêtre caressée par Alain »
- « Pourquoi, ça ta gêné de voir ses mains sur moi ? »
- « Un peu, ça ma excité, et ma tenue sur la plage ôtait toute discrétion à ma queue bandée ».
- « En effet, jai remarqué ».
- « Sinon, jai beaucoup aimé, mais tu ne mas pas dit si tu y avais pris plaisir »
- « Je mentirais si je te disais non. Tu sais comme mes seins sont sensibles quand tu les caresses »
Je nai pas voulu pousser les choses et je lai laissée se replonger dans son livre avant de rejoindre nos amis pour jouer dans les vagues.
La journée sest passée simplement. Nous y avons pris le plaisir simple et naturel dune journée à la plage par beau temps sans aucune connotation sexuelle.
Le soir, jai prétexté une urgence pour mesquiver et les laisser tous les trois, espérant que nos amis en profiteraient pour essayer de dévergonder Jeanne Marie, mais je la laisse raconter ces moments où jétais absent.
Brigitte et moi étions dans le séjour, cependant quAlain était monté prendre une douche et se changer.
Quand il est revenu, il avait passé un simple peignoir. Nous avions encore beaucoup de choses à raconter. Brigitte était assise sur un fauteuil, et moi debout face à elle. Je ne sais plus de quoi nous parlions exactement, sans doute des s, ou alors de nos dernières vacances. Il est tranquillement venu vers nous et a pris part à la conversation. A un moment, il est venu derrière moi et il a posé ses bras sur mes épaules, tout à fait amicalement, en conservant entre nos corps une distance convenable.
Nous parlions de la journée daujourdhui et, alors que je disais y avoir pris grand plaisir, il ma enlacée et a posé ses mains sur mes seins, entreprenant den pincer les pointes en me disant :
- « Jai eu limpression que tu appréciais quand je te caressais les seins, si jen juge par tes réactions à ce moment-là »
. Jétais interloquée, mais je restais sans réaction. Jaurais voulu me défendre, mais jétais comme paralysée et, déjà, ses mains me faisaient du bien. Jai regardé Brigitte pour voir sa réaction. Elle regardait son homme me peloter et, quand elle a senti sur elle mon regard interrogateur, elle ma dit :
- « Ne ten fais pas, laisse-toi aller. Puisquil te fait du bien, profites-en. Ca me fait plaisir de le voir te caresser et je suis heureuse que tu y prenne plaisir ».
Elle sest levée de son fauteuil pour sapprocher de nous. Elle a tendu les mains vers moi pour déboutonner mon chemisier quelle a fait glisser avant de sattaquer à mon soutien-gorge. Désormais, plus aucun rempart importun ne séparait plus les mains dAlain de mes seins et ce contact direct mélectrisait. Brigitte sest alors attaquée à ma jupe puis à mon slip qui sont tombés sur le tapis. Comme un automate, jai levé les pieds lun après lautre pour me libérer de ces entraves sans réaliser lincongruité de la situation. Jétais dans un état second.
Brigitte sest agenouillée devant moi. Elle sest mise à me caresser les jambes, tout particulièrement lintérieur, en poussant pour minciter à les écarter. Elle a passé un doigt fureteur dans ma moule quelle a dû trouver trempée avant davancer la bouche pour me lécher. Quel pied ! Je jouissais, je jouissais et lui envoyais ma mouille dans la bouche. Cétait la première fois quune femme me touchait, mais elle me faisait un bien indiscible.
Elle ma fait mallonger sur le tapis. Ils ont échangé leurs places. Brigitte est venue soccuper de mes seins avec ses mains, mais aussi avec sa bouche cependant quAlain sinstallait entre mes jambes pour me faire une minette fabuleuse. La langue dAlain sur mon clito et dans ma fente, la bouche de Brigitte sur mes seins. Je jouissais sans discontinuer, envoyant dans la bouche dAlain des jets de mouille dont il semblait se délecter.
Quand ma jouissance sest un peu calmée, Alain est venu membrasser pour me faire goûter ma mouille dans sa bouche. Brigitte sest saisie de la queue de son homme pour la présenter devant ma moule béante. Alain na eu quà pousser pour glisser son paf dans le marécage de ma grotte. Jai senti son membre sintroduire doucement, écartant mes parois. Mon mari a une belle queue, mais javais limpression dêtre encore plus remplie avec celle dAlain. Quand il a commencé à bouger, jai senti un autre orgasme monter. Jai noué mes jambes autour de lui pour accen la profondeur de sa pénétration dont il variait le rythme pour ne pas jouir trop vite et, surtout, pour laisser monter ma jouissance et la maintenir à la limite de lexplosion.
Brigitte membrassait et soccupait de mes seins, regardant le sceptre de son homme qui me pistonnait maintenant à une cadence de plus en plus forte. Et là jai joui, comme peut-être je ne lavais fait jusquà présent. Les contractions de mon vagin ont eu raison de la résistance dAlain qui a lâché son flot de sperme au fond de ma grotte. Il sest abattu sur moi, épuisé lui aussi. Ensuite, il sest retiré et sest allongé sur le dos à côté de moi.
Je lai embrassé en le remerciant du plaisir quil mavait donné. Pendant ce temps, Brigitte suçait la queue de son homme, gluante de mes secrétions et du foutre dAlain puis, comme si elle nen avait pas eu assez, elle est venue lécher ma fente dégoulinante. Pendant ce temps là, Alain et moi nous embrassions tendrement, partageant un peu de douceur après la bonne tempête.
Brigitte est revenue à la queue dAlain quelle aurait bien voulu ranimer pour en profiter à son tour, mais, visiblement, il avait besoin dun peu de temps pour refaire ses forces avant de pouvoir bander à nouveau.
Brigitte, voyant quelle narriverait pas à ses fins avec la queue de son homme, est venue poser sa moule sur ma bouche. Cétait la première fois que javais aussi près de mon visage des lèvres sexuelles béantes, avec un clito bien bandé qui émergeait et, hormis dans la bouche de mon mari (et aussi celle dAlain, peu avant), cétait aussi la première fois que je goûtais au sexe féminin.
Je me suis appliquée à bien lécher la chatte de Brigitte en pensant à ce que jaimais que mon homme me fasse en pareil cas, pour lamener à jouir dans ma bouche. Alain maidait en soccupant de ses seins. Elle a joui à son tour. Elle ma embrassée pour me remercier. Nous nous sommes embrassés tous les trois. Mais il fallait nous rhabiller et nous rendre présentables pour le retour de Jean-Paul.
Comment réagirait-il sil savait ce que nous avons fait ? Je me sentais un peu coupable. Coupable, mais tellement heureuse du plaisir partagé avec nos amis. Devais-je garder le secret ou lui avouer que je lavais trompé ? Je me suis posé la question jusquà ce quil arrive. Certes, quand nous faisions lamour, il avait parfois évoqué lidée dun autre homme, mais pour moi ça nétait que fantasmes et je nétais pas sûre que Jean-Paul aurait vraiment accepté quun autre me prenne comme Alain venait de le faire. Quand il ma embrassé à son retour, javais limpression que ma bouche était encore pleine du goût et du parfum de la chatte de Jeanne-Marie et du foutre dAlain et quil allait savoir instantanément ce que nous avions fait.
La-t-il découvert, senti, imaginé ? Il nen a rien laissé paraître. Il a servi lapéro et nous avons passé une excellente soirée entre amis comme si de rien nétait. Quand nous nous sommes couchés, il est venu vers moi, membrassant et me caressant. Visiblement, il avait envie. Jétais toujours indécise. Devais-je tout avouer ou vivre désormais avec ce secret et cette honte ? Je me sentais dautant plus coupable que je navais quune envie : recommencer.
Je lai laissé soccuper de mes seins en glissant une main vers ma moule à nouveau trempée. Il ma dit :
- « Ben dis-donc, toi, jai limpression que tu en as envie, ce soir. Est-ce leffet des mains dAlain sur tes seins ou la vue de sa queue sur la plage qui ta excitée ainsi ? »
Sachant que, dhabitude, je naime pas parler de sexe, il a posé ses lèvres sur le miennes, comme pour clore le sujet avant de venir entre mes jambes. Il ma sucée longuement, comme si les effluves de nos turpitudes de laprès-midi venaient inconsciemment accroître son excitation. Jai joui dans sa bouche et il sest délecté de ma mouille avant de venir membrasser.
Je sentais sa queue dure comme du bois contre mon ventre. Je men suis saisie et lai introduite dans ma fente. Cest à ce moment-là que, ny tenant plus, et gardant en mémoire quil avait déjà évoqué plusieurs fois son désir de découvrir le libertinage avec moi et me souvenant aussi de son excitation sur la plage quand Alain mavait peloté les seins, je lai retenu dans son élan pour tout lui avouer.
Au début, jai bafouillé, ne sachant pas comment lui avouer et puis, une fois lancée, je ne pouvais plus marrêter. Je lui racontais tout : les mains dAlain sur mes seins, les caresses de Brigitte, leurs caresses conjuguées, le plaisir que javait pris à me faire tringler par Alain pendant que Brigitte lui suçait et lui caressait les seins.
Javais à la fois honte davoir trompé mon mari, peur de le perdre et très envie de recommencer.
Jai risqué un timide :
-« Dis-moi que tu me pardonneras, que tu ne me laisseras pas »
Il ma regardé, ma embrassé et ma dit :
-« Mais cest formidable ! Depuis le temps que jen avais envie. Je suis surtout très content que tu y aies pris plaisir. Promets-moi plutôt de recommencer ! »
- « Tu veux que je recommence
, tu nes pas fâché
Moi qui avais tellement peur que tu ne maimes plus ! »
Je me suis précipité sur lui pour lembrasser, le serrant dans mes bras. Cest alors quil ma dit :
- « Attends un peu
jy mets quand même une condition
»
Linquiétude ma à nouveau broyé la poitrine. Jai demandé :
- « Et cest quoi cette condition ? »
Il ma sucé les seins, me laissant un peu mariner dans mon jus avant de répondre. Je lai saisi aux épaules pour lécarter de moi.
- « Non, dis-moi maintenant, ne me fais pas languir. Cest trop inhumain ! »
Il ma regardé et a seulement dit :
- « Tu ne devines pas ? »
- « Non, dis-le moi maintenant, ne me fais plus languir »
- « Eh bien, cest tout simplement que tu ne moublies pas. Je veux participer moi aussi. Je veux que, essentiellement, quand il est question dun autre partenaire (ou dune autre partenaire), nous soyons ensemble et que cela soit vraiment une complicité entre nous. Je veux te voir jouir de la queue dun autre, des caresses dune autre et aider cet ou ces autres à te faire jouir et que tu partages aussi ma jouissance avec eux. Je veux que cela soit toujours une complicité entre nous et, si daventure, il tarrive de baiser hors de ma présence, je veux que tu me racontes, que tu me fasse partager ton plaisir. Promis, si cest à moi que cela arrive, je ferai de même, je te dirai tout. Alors, cest daccord ? »
Je lai serrai dans mes bras aussi fort que jen étais capable.
- « Mon chéri, merci mon chéri. Oui, je te promets que cela sera toujours une complicité entre nous. Dailleurs, tu le vois bien, jétais incapable de te le cacher, malgré ma peur que tu ne maimes plus. Il fallait que je te le raconte.
Nous avons fait lamour tendrement, nous sommes caressés, léchés, embrassés. Jai pris sa queue en bouche et je lai sucée bien mieux que je ne lavais jamais fait. Jusquà présent, je naimais pas ça, je le faisais juste un peu pour lui faire plaisir, mais, cette fois, jy prenais vraiment plaisir, si bien que, lui qui navait pas encore joui aujourdhui, sest très vite vidé entre mes lèvres et jai tout gardé en bouche pour le partager avec lui dans un baiser sensuel. Ca aussi, cétait la première fois que nous le faisions.
Javais besoin daller aux toilettes. Je me suis levée et jai tendu la main pour prendre mon peignoir. Jean-Paul ma dit alors :
- « Crois-tu encore en avoir besoin ? Après ce que vous avez fait tous les trois, je serais surpris que, si daventure, tu rencontrais nos hôtes au détour dun couloir, quelquun soit choqué de ta nudité. »
Je lai regardé.
- « Tu as raison. Pardonne-moi, je nai pas encore lhabitude »
Je suis sortie et, après mêtre soulagée, je suis allée boire un verre deau à la cuisine. Brigitte qui avait entendu un bruit de portes sétait levée elle aussi. Voyant la lumière dans la cuisine elle est entrée.
- « Alors, tu lui as dit à ton mari ce que nous avons fait ? »
- « Oui »
- « Et quelle a été sa réaction ? »
- « Il veut que nous recommencions, mais il veut participer. »
- « Formidable ! Dis-moi, voudrais-tu que je vienne avec toi ? Toi, tu as baisé avec mon chéri, mais moi je nai encore jamais baisé avec Jean-Paul et jen ai bien envie. Es-tu daccord pour que nous le baisions à toutes les deux ? »
Je lai regardée, interloquée. Pour moi, tout cela allait trop vite, et puis jai repensé à ce que nous venions de vivre avec Jean-Paul. Je lui devais bien ça. Jai alors décidé sur le champ de lui amener cette femelle toute chaude dans notre lit. Je me suis tournée vers Brigitte, lai enlacée, collant mes seins contre les siens, mon pubis contre le sien. Nous nous sommes embrassées très sensuellement puis je lai prise par la main.
- « Viens »
Elle ne sest pas fait prier. Nous nous sommes séparées en entrant dans la chambre pour gagner chacun un côté du lit devant les yeux médusés de Jean-Paul qui ne sattendait pas à profiter si vite de nos accords.
Chacune de notre côté nous nous sommes collées contre lui. Il nous embrasait alternativement pendant que nos mains se partageaient sa queue qui rebandait déjà. Brigitte a très vite abandonné la bouche de Jean-Paul pour soccuper de sa queue. Elle la regardée avec envie, en a approché son visage pour faire un bisou discret, presque pudique sur le bout du gland, mais elle nallait pas sarrêter là. Elle a titillé le méat du bout de la langue avant de lécher le gland, puis toute la bite. Quand elle a eu terminé, elle a embouché le gland sur lequel elle a concentré la caresse de sa bouche, puis, ny tenant plus, elle a englouti jusquà la garde la pine de mon homme. Je nen revenais pas. Comment faisait-elle ? Jmais je naurais pu avaler ainsi un aussi gros morceau. Daccord, au début, la queue de Jean-Paul était un peu molle et navait pas atteint son développement maximal, mais je connais mon homme. Il na pas mis longtemps à bander et là, son bâton dur est tellement gros que je peine déjà à faire entrer le gland dans ma bouche, alors ne parlons pas de la saucisse toute entière.
Quoi quil en soit, Brigitte avait lair de se régaler et, visiblement, mon homme appréciait. Quand elle la jugé à point, Brigitte a recraché le morceau pour venir sempaler sur la trique de Jean-Paul et là, elle ma invitée à venir la rejoindre.
- « Pose ta chatte sur sa bouche et viens membrasser. »
Je ne me suis pas fait prier. Jean-Paul a commencer à lécher ma fente gluante, sans oublier de faire coulisser sa queue dans la chatte de Brigitte. Elle sest emparée de mes seins pour les peloter et je lui ai rendu ses caresses cependant que nos bouches se joignaient et que nos langues se mêlaient dans un ballet endiablé.
Brigitte a joui très vite, mais elle a continué à membrasser et à soccuper de mes seins. Je nai pas tardé à la suivre, inondant la bouche de Jean-Paul qui, visiblement, se régalait. Je me suis retirée. Jean-Paul a retiré sa queue de la chatte Brigitte et ma demandé de me coucher sur le dos. Brigitte est venue sur moi, tête bêche, pour me lécher la chatte, me présentant la sienne devant le visage. Ces lèvres odorantes, luisantes de cyprine, étaient décidément trop tentantes et je men suis délectée avec plaisir, dautant quil fleurait bon les parfums de son excitation et de sa jouissance. Jean-Paul a présenta sa queue pour enfiler Brigitte en levrette. Il la pénétrée sans problème et ma langue glissait de la chatte de Brigitte au membre turgescent qui la perforait. Le va et vient de la queue de mon mari dans la moule de notre amie juste devant mes yeux mexcitait terriblement et je mapprêtais à jouir à nouveau quand Brigitte a dit :
- « Non, Jean-Paul, ne jouis pas dans ma fente, sil te plait, encule moi. Jai très envie de ta queue dans mon cul. »
Jean-Paul, qui avait toujours eu envie de menculer sans jamais y parvenir, tant je me crispais à cette idée, ne sest pas fait prier. Il sest retirée de la chatte de Brigitte. Il a approché sa bouche pour lécher lanus, le pénétrant du bout de la langue et par fois dun doit, puis deux,
Quand il la jugé suffisamment ouvert, il a présenté sa queue devant lorifice. Je lai saisie entre mes mains et lai présentée moi-même à lentrée du boyau culier de celle qui continuait de me bouffer la chatte avec tant de talent. Il a poussé un peu et sest enfoncé sans difficulté dans lintestin de notre amante partagée tant celui-ci devait être accoutumé à recevoir des queues. Il était bien près de jouir et lexcitation de son premier enculage, la pression plus ferme de lanus sur sa queue, lont très vite amené à exploser, immédiatement suivi par Brigitte. Il a continué à faire coulisser sa queue doucement avant de débander et le trop plein de foutre qui ressortait du cul de Brigitte sécoulait le long de sa raie jusquà ma bouche.
Cen était trop, jai cru défaillir tant ma jouissance a été forte. Nous nous sommes endormis tous les trois enlacés, sans même penser à Alain qui se retrouvait seul dans lautre chambre et, au matin, jai été réveillée par les mouvements du lit où Jean-Paul baisait à nouveau Brigitte en missionnaire cependant quAlain sétait faufilé entre mes jambes pour goûter à ma chatte gourmande.
Après ce réveil en douceur, nous avons pris le petit déjeuner sur la terrasse, nus tous les quatre. Ensuite, nous avons concocté un programme de visites et de promenade en devisant comme de vieux amis, sans aucune connotation sexuelle.
Ces quelques jours avec nos amis ont passé comme dans un rêve. Le jour, nous avions des activités classiques, et une grande complicité dans nos relations, et le soir, la nuit, le matin, nous baisions, dormant juste ce quil fallait pour reprendre des forces entre deux baises. Une fois, nous avons même fait une randonnue, dans le plus pur esprit naturiste auquel aucun esprit puriste naurait rien eu à reprocher. Nous mettions un point dhonneur à ne pas mélanger les genres, naturisme dun côté et sexe de lautre. Nous avons promis de nous revoir très vite, tant nous nous étions senti bien tous les quatre, même en-dehors des plaisirs de la baise, que je ne minimise pourtant pas. Rendez-vous est pris chez eux pour dans deux mois.
Quand ils ont été partis, nous avons parlé longuement avec Jeanne-Marie de ces bons moments passés avec nos amis, constatant lun et lautre que, contrairement à nos préjugés antérieurs, le fait davoir baisé avec dautres navait en rien nui à lamour que nous nous portions et au plaisir de faire lamour à deux. Au contraire, nous baisons à nouveau beaucoup plus souvent tous les deux avec un plaisir renouvelé. Il nous arrive aussi de passer de bons moments avec des gens rencontrés par Internet, mais ça nest jamais comme avec nos amis. Le plaisir du sexe y est toujours et il nous est arrivé de rencontrer des gens très agréables, mais, avec Alain et Brigitte, nous avons développé en plus une complicité qui va bien au-delà du plaisir partagé, une vraie amitié, quoi.
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