Retrouvailles. Alain Et Brigitte Nous Font Découvrir Les Joies Du Libertinage

Depuis que Jules et Brigitte s’étaient séparés, je n’avais plus aucune nouvelle de Brigitte. De fait, à l’origine, nous connaissions Jules qui, un jour, nous avait présenté sa compagne.
Nous nous voyions deux à trois fois par an, vu l’éloignement de nos domiciles respectifs et nos vies très occupées. Nos relations étaient tout ce qu’il y a de banal et rien n’aurait laissé imaginer une forme quelconque d’aventure entre nous.
La dernière fois qu’ils étaient venus à la maison il était clair qu’il y avait de l’eau dans le gaz, mais rien ne laissait présager un dénouement aussi rapide. Elle nous avait confié que Jules était anormalement jaloux, qu’il ne supportait pas qu’elle aille en club, mais qu’elle y allait quand même.
Après leur séparation, j’avais envoyé un courriel à Brigitte pour lui dire que notre porte lui était toujours ouverte et que nous souhaitions continuer la relation avec elle, seule ou avec son nouveau compagnon, mais il était resté sans réponse jusqu’à ce jour, au-moins quatre ans après, où j’ai eu la surprise de recevoir un appel téléphonique.
- « Allo, Jean-Paul, c’est Brigitte »
- « Brigitte ! ! »
-« Oui, Brigitte. Je sais, je n’ai jamais répondu à tes courriels après ma séparation d’avec Jules, mais vous faisiez partie de ses amis et je voulais couper avec toutes ses relations, mais aujourd’hui j’avais envie de reprendre contact. »
- « Eh bien, je suis super content de t’avoir au téléphone et je serais encore plus content de te revoir. N’hésite pas à venir nous voir quand tu auras un moment, et ton nouveau compagnon sera le bienvenu. »
- « Oh, ça, je n’en suis pas sûre. Moi je m’entends super bien avec lui, mais c’est un sacré queutard qui ne peut pas se retenir de sauter sur tout ce qui bouge. Avec moi, c’est parfait, vu que j’aime ça aussi et nous formons vraiment un super couple libertin, mais je ne suis pas certaine que vous appréciez cette facette de sa personne, surtout Jeanne-Marie, qui m’a toujours semblé un peu prude.

»
- « Et c’est le seul point de discorde que tu vois ? »
- « Oui, mais c’est déjà pas mal »
- « Je t’accorde que Jeanne-Marie est très pudibonde, mais moi, j’ai parfois très envie d’ouverture dans ce domaine et je ne verrais pas d’un mauvais œil qu’un mec sympa et respectueux la dévergonde un peu. »
- « Tu sais, avec lui, ça ne sera pas un peu. J’ai seulement peur qu’il la choque sans ment arriver à la convaincre »
- « C’est un risque à courir, mais moi, j’ai très envie de te revoir, j’ai très envie d’essayer le libertinage et j’ai très envie que quelqu’un m’aide à y entraîner Jeanne-Marie.
- « Écoute, j’en parle à Alain et, s’il est d’accord, je te rappelle pour un petit week-end chez vous, si ça tient toujours. »
Nous avons discuté comme ça un bon moment, en vieux amis heureux de nous retrouver et surtout à la perspective de nous revoir.
Deux mois après, alors que je n’y croyais plus, elle m’appelle à nouveau , cette fois pour proposer de venir nous voir. Nous sommes convenus d’une date et j’attendais avec impatience ces retrouvailles, me demandant si, oui ou non, nous pourrions concrétiser. Jeanne-Marie aussi était heureuse de revoir Brigitte et de connaître son nouveau compagnon, mais je lui ai rien dit de nos petits complots avec Brigitte.
Ils ont arrivés le vendredi soir vers 19h00. Nous nous sommes embrassés, heureux de nous retrouver. Brigitte était toujours semblable à elle-même, très chaleureuse et Alain, peut-être intimidé, est resté très discret. Pendant la soirée, il s’est détendu mais, hormis quelques plaisanteries un peu osées, n’a rien dit ou fait de susceptible de gêner Jeanne-Marie.
Le lendemain, nous sommes allés à la mer, à notre plage préférée. Jeanne-Marie avait passé un maillot de bains, mais, voyant que nous nous mettions tous nus, elle aurait eu mauvaise grâce à en rester affublée. J’ai noté qu’il était bien fait de sa personne. Il a saisi le tube de crème solaire et s’est mis en devoir d’en tartiner copieusement Brigitte.
J’avais le sentiment qu’il en faisait peut-être beaucoup, insistant particulièrement sur les zones sensibles, tout en restant très correct, en accord avec les règles du naturisme. Il a demandé :
- « A qui le tour ? »
- « Je veux bien, puisque tu le proposes. »
J’ai regardé Jeanne-Marie, surpris, … agréablement surpris.
Alain a pris son temps, commençant par les zones neutres : le dos, les bras, les jambes. Quand il a attaqué les fesses, j’ai observé discrètement Jeanne-Marie qui s’efforçait de rester impassible, mais ses tétons trahissaient son excitation. Il est ensuite passé devant. Les épaules, le ventre, avant de remonter vers les seins qu’il a copieusement tartinés en insistant bien sur ces zones sensibles, en profitant même pour pincer les tétons entre ses doigts. Il est descendu vers le pubis, mais l’abondante toison de ma femme ne justifiait pas qu’il s’attarde sur son minou, contrairement à Brigitte, qui est totalement épilée.
Nous nous sommes allongés sagement. Quand Alain et Brigitte sont allés se baigner, je me suis attardé avec Jeanne-Marie. Je lui ai fait un discret bisou sur les lèvres et lui ai dit :
- « Alors, ça t’a fait quoi d’être caressée par Alain »
- « Pourquoi, ça t’a gêné de voir ses mains sur moi ? »
- « Un peu, ça m’a excité, et ma tenue sur la plage ôtait toute discrétion à ma queue bandée ».
- « En effet, j’ai remarqué ».
- « Sinon, j’ai beaucoup aimé, mais tu ne m’as pas dit si tu y avais pris plaisir »
- « Je mentirais si je te disais non. Tu sais comme mes seins sont sensibles quand tu les caresses »
Je n’ai pas voulu pousser les choses et je l’ai laissée se replonger dans son livre avant de rejoindre nos amis pour jouer dans les vagues.
La journée s’est passée simplement. Nous y avons pris le plaisir simple et naturel d’une journée à la plage par beau temps sans aucune connotation sexuelle.
Le soir, j’ai prétexté une urgence pour m’esquiver et les laisser tous les trois, espérant que nos amis en profiteraient pour essayer de dévergonder Jeanne Marie, mais je la laisse raconter ces moments où j’étais absent.

Brigitte et moi étions dans le séjour, cependant qu’Alain était monté prendre une douche et se changer.
Quand il est revenu, il avait passé un simple peignoir. Nous avions encore beaucoup de choses à raconter. Brigitte était assise sur un fauteuil, et moi debout face à elle. Je ne sais plus de quoi nous parlions exactement, sans doute des s, ou alors de nos dernières vacances. Il est tranquillement venu vers nous et a pris part à la conversation. A un moment, il est venu derrière moi et il a posé ses bras sur mes épaules, tout à fait amicalement, en conservant entre nos corps une distance convenable.
Nous parlions de la journée d’aujourd’hui et, alors que je disais y avoir pris grand plaisir, il m’a enlacée et a posé ses mains sur mes seins, entreprenant d’en pincer les pointes en me disant :
- « J’ai eu l’impression que tu appréciais quand je te caressais les seins, si j’en juge par tes réactions à ce moment-là »
. J’étais interloquée, mais je restais sans réaction. J’aurais voulu me défendre, mais j’étais comme paralysée et, déjà, ses mains me faisaient du bien. J’ai regardé Brigitte pour voir sa réaction. Elle regardait son homme me peloter et, quand elle a senti sur elle mon regard interrogateur, elle m’a dit :
- « Ne t’en fais pas, laisse-toi aller. Puisqu’il te fait du bien, profites-en. Ca me fait plaisir de le voir te caresser et je suis heureuse que tu y prenne plaisir ».
Elle s’est levée de son fauteuil pour s’approcher de nous. Elle a tendu les mains vers moi pour déboutonner mon chemisier qu’elle a fait glisser avant de s’attaquer à mon soutien-gorge. Désormais, plus aucun rempart importun ne séparait plus les mains d’Alain de mes seins et ce contact direct m’électrisait. Brigitte s’est alors attaquée à ma jupe puis à mon slip qui sont tombés sur le tapis. Comme un automate, j’ai levé les pieds l’un après l’autre pour me libérer de ces entraves sans réaliser l’incongruité de la situation. J’étais dans un état second.
J’avais l’impression de n’être plus que des seins tant les caresses d’Alain me faisaient du bien.
Brigitte s’est agenouillée devant moi. Elle s’est mise à me caresser les jambes, tout particulièrement l’intérieur, en poussant pour m’inciter à les écarter. Elle a passé un doigt fureteur dans ma moule qu’elle a dû trouver trempée avant d’avancer la bouche pour me lécher. Quel pied ! Je jouissais, je jouissais et lui envoyais ma mouille dans la bouche. C’était la première fois qu’une femme me touchait, mais elle me faisait un bien indiscible.
Elle m’a fait m’allonger sur le tapis. Ils ont échangé leurs places. Brigitte est venue s’occuper de mes seins avec ses mains, mais aussi avec sa bouche cependant qu’Alain s’installait entre mes jambes pour me faire une minette fabuleuse. La langue d’Alain sur mon clito et dans ma fente, la bouche de Brigitte sur mes seins. Je jouissais sans discontinuer, envoyant dans la bouche d’Alain des jets de mouille dont il semblait se délecter.
Quand ma jouissance s’est un peu calmée, Alain est venu m’embrasser pour me faire goûter ma mouille dans sa bouche. Brigitte s’est saisie de la queue de son homme pour la présenter devant ma moule béante. Alain n’a eu qu’à pousser pour glisser son paf dans le marécage de ma grotte. J’ai senti son membre s’introduire doucement, écartant mes parois. Mon mari a une belle queue, mais j’avais l’impression d’être encore plus remplie avec celle d’Alain. Quand il a commencé à bouger, j’ai senti un autre orgasme monter. J’ai noué mes jambes autour de lui pour accen la profondeur de sa pénétration dont il variait le rythme pour ne pas jouir trop vite et, surtout, pour laisser monter ma jouissance et la maintenir à la limite de l’explosion.
Brigitte m’embrassait et s’occupait de mes seins, regardant le sceptre de son homme qui me pistonnait maintenant à une cadence de plus en plus forte. Et là j’ai joui, comme peut-être je ne l’avais fait jusqu’à présent. Les contractions de mon vagin ont eu raison de la résistance d’Alain qui a lâché son flot de sperme au fond de ma grotte. Il s’est abattu sur moi, épuisé lui aussi. Ensuite, il s’est retiré et s’est allongé sur le dos à côté de moi.
Je l’ai embrassé en le remerciant du plaisir qu’il m’avait donné. Pendant ce temps, Brigitte suçait la queue de son homme, gluante de mes secrétions et du foutre d’Alain puis, comme si elle n’en avait pas eu assez, elle est venue lécher ma fente dégoulinante. Pendant ce temps là, Alain et moi nous embrassions tendrement, partageant un peu de douceur après la bonne tempête.
Brigitte est revenue à la queue d’Alain qu’elle aurait bien voulu ranimer pour en profiter à son tour, mais, visiblement, il avait besoin d’un peu de temps pour refaire ses forces avant de pouvoir bander à nouveau.
Brigitte, voyant qu’elle n’arriverait pas à ses fins avec la queue de son homme, est venue poser sa moule sur ma bouche. C’était la première fois que j’avais aussi près de mon visage des lèvres sexuelles béantes, avec un clito bien bandé qui émergeait et, hormis dans la bouche de mon mari (et aussi celle d’Alain, peu avant), c’était aussi la première fois que je goûtais au sexe féminin.
Je me suis appliquée à bien lécher la chatte de Brigitte en pensant à ce que j’aimais que mon homme me fasse en pareil cas, pour l’amener à jouir dans ma bouche. Alain m’aidait en s’occupant de ses seins. Elle a joui à son tour. Elle m’a embrassée pour me remercier. Nous nous sommes embrassés tous les trois. Mais il fallait nous rhabiller et nous rendre présentables pour le retour de Jean-Paul.
Comment réagirait-il s’il savait ce que nous avons fait ? Je me sentais un peu coupable. Coupable, mais tellement heureuse du plaisir partagé avec nos amis. Devais-je garder le secret ou lui avouer que je l’avais trompé ? Je me suis posé la question jusqu’à ce qu’il arrive. Certes, quand nous faisions l’amour, il avait parfois évoqué l’idée d’un autre homme, mais pour moi ça n’était que fantasmes et je n’étais pas sûre que Jean-Paul aurait vraiment accepté qu’un autre me prenne comme Alain venait de le faire. Quand il m’a embrassé à son retour, j’avais l’impression que ma bouche était encore pleine du goût et du parfum de la chatte de Jeanne-Marie et du foutre d’Alain et qu’il allait savoir instantanément ce que nous avions fait.
L’a-t-il découvert, senti, imaginé ? Il n’en a rien laissé paraître. Il a servi l’apéro et nous avons passé une excellente soirée entre amis comme si de rien n’était. Quand nous nous sommes couchés, il est venu vers moi, m’embrassant et me caressant. Visiblement, il avait envie. J’étais toujours indécise. Devais-je tout avouer ou vivre désormais avec ce secret et cette honte ? Je me sentais d’autant plus coupable que je n’avais qu’une envie : recommencer.
Je l’ai laissé s’occuper de mes seins en glissant une main vers ma moule à nouveau trempée. Il m’a dit :
- « Ben dis-donc, toi, j’ai l’impression que tu en as envie, ce soir. Est-ce l’effet des mains d’Alain sur tes seins ou la vue de sa queue sur la plage qui t’a excitée ainsi ? »
Sachant que, d’habitude, je n’aime pas parler de sexe, il a posé ses lèvres sur le miennes, comme pour clore le sujet avant de venir entre mes jambes. Il m’a sucée longuement, comme si les effluves de nos turpitudes de l’après-midi venaient inconsciemment accroître son excitation. J’ai joui dans sa bouche et il s’est délecté de ma mouille avant de venir m’embrasser.
Je sentais sa queue dure comme du bois contre mon ventre. Je m’en suis saisie et l’ai introduite dans ma fente. C’est à ce moment-là que, n’y tenant plus, et gardant en mémoire qu’il avait déjà évoqué plusieurs fois son désir de découvrir le libertinage avec moi et me souvenant aussi de son excitation sur la plage quand Alain m’avait peloté les seins, je l’ai retenu dans son élan pour tout lui avouer.
Au début, j’ai bafouillé, ne sachant pas comment lui avouer et puis, une fois lancée, je ne pouvais plus m’arrêter. Je lui racontais tout : les mains d’Alain sur mes seins, les caresses de Brigitte, leurs caresses conjuguées, le plaisir que j’avait pris à me faire tringler par Alain pendant que Brigitte lui suçait et lui caressait les seins.
J’avais à la fois honte d’avoir trompé mon mari, peur de le perdre et très envie de recommencer.
J’ai risqué un timide :
-« Dis-moi que tu me pardonneras, que tu ne me laisseras pas »
Il m’a regardé, ma embrassé et m’a dit :
-« Mais c’est formidable ! Depuis le temps que j’en avais envie. Je suis surtout très content que tu y aies pris plaisir. Promets-moi plutôt de recommencer ! »
- « Tu veux que je recommence …, tu n’es pas fâché …Moi qui avais tellement peur que tu ne m’aimes plus ! »
Je me suis précipité sur lui pour l’embrasser, le serrant dans mes bras. C’est alors qu’il m’a dit :
- « Attends un peu … j’y mets quand même une condition … »
L’inquiétude m’a à nouveau broyé la poitrine. J’ai demandé :
- « Et c’est quoi cette condition ? »
Il m’a sucé les seins, me laissant un peu mariner dans mon jus avant de répondre. Je l’ai saisi aux épaules pour l’écarter de moi.
- « Non, dis-moi maintenant, ne me fais pas languir. C’est trop inhumain ! »
Il m’a regardé et a seulement dit :
- « Tu ne devines pas ? »
- « Non, dis-le moi maintenant, ne me fais plus languir »
- « Eh bien, c’est tout simplement que tu ne m’oublies pas. Je veux participer moi aussi. Je veux que, essentiellement, quand il est question d’un autre partenaire (ou d’une autre partenaire), nous soyons ensemble et que cela soit vraiment une complicité entre nous. Je veux te voir jouir de la queue d’un autre, des caresses d’une autre et aider cet ou ces autres à te faire jouir et que tu partages aussi ma jouissance avec eux. Je veux que cela soit toujours une complicité entre nous et, si d’aventure, il t’arrive de baiser hors de ma présence, je veux que tu me racontes, que tu me fasse partager ton plaisir. Promis, si c’est à moi que cela arrive, je ferai de même, je te dirai tout. Alors, c’est d’accord ? »
Je l’ai serrai dans mes bras aussi fort que j’en étais capable.
- « Mon chéri, merci mon chéri. Oui, je te promets que cela sera toujours une complicité entre nous. D’ailleurs, tu le vois bien, j’étais incapable de te le cacher, malgré ma peur que tu ne m’aimes plus. Il fallait que je te le raconte.
Nous avons fait l’amour tendrement, nous sommes caressés, léchés, embrassés. J’ai pris sa queue en bouche et je l’ai sucée bien mieux que je ne l’avais jamais fait. Jusqu’à présent, je n’aimais pas ça, je le faisais juste un peu pour lui faire plaisir, mais, cette fois, j’y prenais vraiment plaisir, si bien que, lui qui n’avait pas encore joui aujourd’hui, s’est très vite vidé entre mes lèvres et j’ai tout gardé en bouche pour le partager avec lui dans un baiser sensuel. Ca aussi, c’était la première fois que nous le faisions.
J’avais besoin d’aller aux toilettes. Je me suis levée et j’ai tendu la main pour prendre mon peignoir. Jean-Paul m’a dit alors :
- « Crois-tu encore en avoir besoin ? Après ce que vous avez fait tous les trois, je serais surpris que, si d’aventure, tu rencontrais nos hôtes au détour d’un couloir, quelqu’un soit choqué de ta nudité. »
Je l’ai regardé.
- « Tu as raison. Pardonne-moi, je n’ai pas encore l’habitude »
Je suis sortie et, après m’être soulagée, je suis allée boire un verre d’eau à la cuisine. Brigitte qui avait entendu un bruit de portes s’était levée elle aussi. Voyant la lumière dans la cuisine elle est entrée.
- « Alors, tu lui as dit à ton mari ce que nous avons fait ? »
- « Oui »
- « Et quelle a été sa réaction ? »
- « Il veut que nous recommencions, mais il veut participer. »
- « Formidable ! Dis-moi, voudrais-tu que je vienne avec toi ? Toi, tu as baisé avec mon chéri, mais moi je n’ai encore jamais baisé avec Jean-Paul et j’en ai bien envie. Es-tu d’accord pour que nous le baisions à toutes les deux ? »
Je l’ai regardée, interloquée. Pour moi, tout cela allait trop vite, et puis j’ai repensé à ce que nous venions de vivre avec Jean-Paul. Je lui devais bien ça. J’ai alors décidé sur le champ de lui amener cette femelle toute chaude dans notre lit. Je me suis tournée vers Brigitte, l’ai enlacée, collant mes seins contre les siens, mon pubis contre le sien. Nous nous sommes embrassées très sensuellement puis je l’ai prise par la main.
- « Viens »
Elle ne s’est pas fait prier. Nous nous sommes séparées en entrant dans la chambre pour gagner chacun un côté du lit devant les yeux médusés de Jean-Paul qui ne s’attendait pas à profiter si vite de nos accords.
Chacune de notre côté nous nous sommes collées contre lui. Il nous embrasait alternativement pendant que nos mains se partageaient sa queue qui rebandait déjà. Brigitte a très vite abandonné la bouche de Jean-Paul pour s’occuper de sa queue. Elle l’a regardée avec envie, en a approché son visage pour faire un bisou discret, presque pudique sur le bout du gland, mais elle n’allait pas s’arrêter là. Elle a titillé le méat du bout de la langue avant de lécher le gland, puis toute la bite. Quand elle a eu terminé, elle a embouché le gland sur lequel elle a concentré la caresse de sa bouche, puis, n’y tenant plus, elle a englouti jusqu’à la garde la pine de mon homme. Je n’en revenais pas. Comment faisait-elle ? J’mais je n’aurais pu avaler ainsi un aussi gros morceau. D’accord, au début, la queue de Jean-Paul était un peu molle et n’avait pas atteint son développement maximal, mais je connais mon homme. Il n’a pas mis longtemps à bander et là, son bâton dur est tellement gros que je peine déjà à faire entrer le gland dans ma bouche, alors ne parlons pas de la saucisse toute entière.
Quoi qu’il en soit, Brigitte avait l’air de se régaler et, visiblement, mon homme appréciait. Quand elle l’a jugé à point, Brigitte a recraché le morceau pour venir s’empaler sur la trique de Jean-Paul et là, elle m’a invitée à venir la rejoindre.
- « Pose ta chatte sur sa bouche et viens m’embrasser. »
Je ne me suis pas fait prier. Jean-Paul a commencer à lécher ma fente gluante, sans oublier de faire coulisser sa queue dans la chatte de Brigitte. Elle s’est emparée de mes seins pour les peloter et je lui ai rendu ses caresses cependant que nos bouches se joignaient et que nos langues se mêlaient dans un ballet endiablé.
Brigitte a joui très vite, mais elle a continué à m’embrasser et à s’occuper de mes seins. Je n’ai pas tardé à la suivre, inondant la bouche de Jean-Paul qui, visiblement, se régalait. Je me suis retirée. Jean-Paul a retiré sa queue de la chatte Brigitte et m’a demandé de me coucher sur le dos. Brigitte est venue sur moi, tête bêche, pour me lécher la chatte, me présentant la sienne devant le visage. Ces lèvres odorantes, luisantes de cyprine, étaient décidément trop tentantes et je m’en suis délectée avec plaisir, d’autant qu’il fleurait bon les parfums de son excitation et de sa jouissance. Jean-Paul a présenta sa queue pour enfiler Brigitte en levrette. Il l’a pénétrée sans problème et ma langue glissait de la chatte de Brigitte au membre turgescent qui la perforait. Le va et vient de la queue de mon mari dans la moule de notre amie juste devant mes yeux m’excitait terriblement et je m’apprêtais à jouir à nouveau quand Brigitte a dit :
- « Non, Jean-Paul, ne jouis pas dans ma fente, s’il te plait, encule moi. J’ai très envie de ta queue dans mon cul. »
Jean-Paul, qui avait toujours eu envie de m’enculer sans jamais y parvenir, tant je me crispais à cette idée, ne s’est pas fait prier. Il s’est retirée de la chatte de Brigitte. Il a approché sa bouche pour lécher l’anus, le pénétrant du bout de la langue et par fois d’un doit, puis deux, … Quand il l’a jugé suffisamment ouvert, il a présenté sa queue devant l’orifice. Je l’ai saisie entre mes mains et l’ai présentée moi-même à l’entrée du boyau culier de celle qui continuait de me bouffer la chatte avec tant de talent. Il a poussé un peu et s’est enfoncé sans difficulté dans l’intestin de notre amante partagée tant celui-ci devait être accoutumé à recevoir des queues. Il était bien près de jouir et l’excitation de son premier enculage, la pression plus ferme de l’anus sur sa queue, l’ont très vite amené à exploser, immédiatement suivi par Brigitte. Il a continué à faire coulisser sa queue doucement avant de débander et le trop plein de foutre qui ressortait du cul de Brigitte s’écoulait le long de sa raie jusqu’à ma bouche.
C’en était trop, j’ai cru défaillir tant ma jouissance a été forte. Nous nous sommes endormis tous les trois enlacés, sans même penser à Alain qui se retrouvait seul dans l’autre chambre et, au matin, j’ai été réveillée par les mouvements du lit où Jean-Paul baisait à nouveau Brigitte en missionnaire cependant qu’Alain s’était faufilé entre mes jambes pour goûter à ma chatte gourmande.
Après ce réveil en douceur, nous avons pris le petit déjeuner sur la terrasse, nus tous les quatre. Ensuite, nous avons concocté un programme de visites et de promenade en devisant comme de vieux amis, sans aucune connotation sexuelle.
Ces quelques jours avec nos amis ont passé comme dans un rêve. Le jour, nous avions des activités classiques, et une grande complicité dans nos relations, et le soir, la nuit, le matin, nous baisions, dormant juste ce qu’il fallait pour reprendre des forces entre deux baises. Une fois, nous avons même fait une randonnue, dans le plus pur esprit naturiste auquel aucun esprit puriste n’aurait rien eu à reprocher. Nous mettions un point d’honneur à ne pas mélanger les genres, naturisme d’un côté et sexe de l’autre. Nous avons promis de nous revoir très vite, tant nous nous étions senti bien tous les quatre, même en-dehors des plaisirs de la baise, que je ne minimise pourtant pas. Rendez-vous est pris chez eux pour dans deux mois.
Quand ils ont été partis, nous avons parlé longuement avec Jeanne-Marie de ces bons moments passés avec nos amis, constatant l’un et l’autre que, contrairement à nos préjugés antérieurs, le fait d’avoir baisé avec d’autres n’avait en rien nui à l’amour que nous nous portions et au plaisir de faire l’amour à deux. Au contraire, nous baisons à nouveau beaucoup plus souvent tous les deux avec un plaisir renouvelé. Il nous arrive aussi de passer de bons moments avec des gens rencontrés par Internet, mais ça n’est jamais comme avec nos amis. Le plaisir du sexe y est toujours et il nous est arrivé de rencontrer des gens très agréables, mais, avec Alain et Brigitte, nous avons développé en plus une complicité qui va bien au-delà du plaisir partagé, une vraie amitié, quoi.

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