Repas Arrosé
Ce soir là, nous recevions quelques amis, dont Coliba, un copain de longue date. Fine cuisinière, Marina, mon épouse nous avait régalés, le repas avait été copieux et particulièrement arrosé.
Au digestif, les sujets étaient devenus plus grivois et nous en étions arrivés à parler tour de poitrine. Lune des convives, ayant optée pour des implants mammaires à cause de ses petits seins, avait lancé la conversation. Elle fit la remarque que, malgré lopération, sa poitrine était loin dêtre aussi avantageuse que celle de Marina. Timide, son visage sempourpra et déclencha quelques rires compatissants. Puis, aidés par lalcool, les hommes nous racontèrent leurs préférences. Petits, gros, ronds, en poire, tombants, grosses ou petite auréoles, tétons, tout y passait. Coliba dit simplement quil les aimait comme ceux de ma femme, gros et lourds, ce qui ajouta un peu de rouge à ses joues. Il faut dire que sachant que son amie nous parlerait de ses nouveaux seins, javais insisté pour quelle mette un profond décolleté, elle avait hésité, mais pas longtemps. Cétait un chemisier blanc qui semblait prêt à craquer sous le poids de la lourde poitrine et dont les boutons sarrêtaient juste au-dessus des coroles mammaires. Sous le fin tissu tendu se dessinait les dentelles du soutien-gorge, en y regardant attentivement, on y distinguait ses pointes très développés. Elle navait jamais osé le mettre et pourtant ce soir, elle emportait un réel succès. Depuis le début de soirée, je mamusais à surprendre les regards excitées et envieux de mes amis. Coliba était le plus assidu, les yeux toujours rivés sur la lourde poitrine. Je remarquais quil essayait régulièrement de replacer, en toute discrétion, quelque chose qui le gênait à lentrejambe. La situation mexcitait particulièrement.
Se faisant tard, nos convives nous quittèrent un à un. Comme dhabitude, Coliba restait un peu pour discuter et nous aider à ranger, mais cette fois, il parlait avec nous, mais ne se levait pas du canapé.
- Il est bizarre Coliba aujourdhui, dhabitude il nous aide et là, il reste dans le canapé. Tu crois quil a des soucis ?
- Je crois que son soucis se situ sous la ceinture !
- Comment ça ?
- Tu las excité toute la soirée en mettant tes gros seins sous son nez. Il bande et il ne veut pas quon le voit.
- Tu dis nimporte quoi. Et puis cest toi qui a insisté pour que je le mette ce décolleté.
- Oui, et moi aussi tu mexcites !
Je la plaquais contre lévier, collé à ses fesses et remontais sa jupe. Eméchée, elle se laissait faire. Quand mes doigts atteignirent le string, je fus surpris de le sentir très mouillé. Je le crochetai de lindex, le tirai à mi-cuisse et repris ma caresse :
- Mais cest quoi ça, ma chérie ?
- Cest une surprise pour toi, pour tout à lheure. Je me suis faite épiler intégralement ce matin, cest pour ça que je suis dans cet état.
Ny tenant, je relève compétemment la jupe au-dessus de ses fesses bien rondes pour le voir de mes propres yeux. Jai sous les yeux un magnifique abricot, lisse et luisant dexcitation. Accédant enfin à mes demandes répétées, elle avait rendu son si joli minou entièrement imberbe. Jadmirai le délicieux spectacle quelques instants. Elle était tellement mouillée, que lorsque ma main entra en contacte avec les douces lèvres, lun de mes doigts senfonça sans la moindre résistance. Je me ressaisi et jetai un coup dil vers lentrée de la cuisine, juste à ce moment là, je vis mon ami pénétré dans la pièce. Il sarrêta net, avec une expression de surprise sur le visage. Je létais au moins autant que lui. On resta quelques instants figés. Je me retournai vers Marina qui, face à lévier, navait rien remarqué. Elle était immobile, toujours la jupe sur les hanches et le string à mi-cuisses.
De retour dans le salon, Coliba avait mit de la musique douce. Un peu embuée par lalcool, Marina se posa dans le canapé. Emoustillé, je décidais de relancer la conversation sur les seins commencée avec nos amis :
- Alors comme ça, tu aimes les seins de Marina.
- Oui, si javais le choix, jaimerais avoir une femme avec une poitrine comme la sienne. Et ce soir avec ce chemisier, elle est vraiment belle.
- Belle ou excitante ?
- Belle et
excitante, pardon, mais nous sommes amis, cest gênant.
- Ce nest pas pour te gêner, mais Marina a parfois honte de ses seins.
- Tu ne dois pas en avoir honte, au contraire, il faut que tu sois fière. Ton mari a de la chance de pouvoir faire lamour avec une femme avec daussi jolis seins.
Trop timide, Marina ne répondit pas. Elle navait pas la volubilité légendaire des gens de son pays, lItalie. Affalée sur le canapé, mais attentive à la conversation, elle nous laissait parler delle, les joues rougies de gêne.
A cet instant, placé juste à coté delle, je déposais un baiser dans son cou. Grisé par lalcool et particulièrement excité, je décidais de frôler le sein gauche, en insistant sur le bout pour voir sa réaction. Elle ne réagit pas et se laissa faire. Instantanément, le téton se mit à durcir et à pointer au travers du tissu. Cela ne pouvait échapper à notre ami placé juste en face de nous. Une bosse significative déformait de nouveau son pantalon.
Echauffé par la situation, je continuai mes caresses légères et mes baisers, tout en me faisant plus pressant. Ma femme, habituellement si timide, au lieu de se dérober, bascula la tête en arrière et ferma les paupières.
Moi-même, je ne reconnaissais plus ma femme, dhabitude très réservée, elle se laissait peloter devant un autre homme. Les petits soupirs quelle poussait prouvaient le désir qui montait en elle et mencourageaient à aller plus loin. Jouant le tout pour le tout, je commençais à déboutonner son corsage et libérais sa poitrine garnit du joli soutien-gorge. Je le retroussais sous les lourds seins. La respiration de Marina se fit haletante et ses tétons pointaient comme jamais. Je me mis à les sucer à tour de rôle en les caressant dune main. Lautre partit explorer sous sa jupe, attirée par le minou nouvellement épilé. Je remontais le vêtement, exposant au regard excité de mon copain ses lèvres rasées et humides. Concentré à cajoler la lourde poitrine et la chatte poisseuse, je ne lavais pas vu se rapprocher. Il retira ma main de lantre chaude. Et je le vis se pencher entre les cuisses qui sécartèrent au contact de son visage. Elle ne pouvait ignorer que ce nétait pas moi. La timide Marina se donnait à mon ami. Je sus quil avait atteins son but lorsque elle se mit à gémir plus bruyamment. Son bassin venait à la rencontre de cette langue gourmande.
Malgré la peau mate de ma belle italienne, le crane noir et massif contrastait énormément avec les cuisses et le ventre de ma belle. Contraste qui sexerçait sur ses seins lorsque les mains puissantes de lafricain sen emparaient, sa langue toujours plongée dans les chaires roses. Quatre mains et deux bouches pour soccuper de son corps, elle ne fut pas longue à jouir, plaquant le visage de Coliba contre son intimité. Balançant ses hanches en avant comme mieux sentir la bouche travailleuse. Elle se frottait le minou contre lui, le barbouillant de sécrétion. Son corps fut parcouru de spasme significatif et des gémissements de plaisir séchappait de sa bouche pulpeuse.
Mon épouse était en train de se faire lécher et caresser les seins en poussant de petits râles plaintifs. Il sen donnait à cur joie en gobant tour à tour ses deux gros nichons. Ses mains noires la rudoyaient, malaxant, tirant, écrasant les globes mammaires. Sa bouche avide mordait et étirait exagérément les tétons de ma douce épouse. Je navais jamais osé la maltraiter ainsi, mais ses gémissements me prouvaient quelle aimait ça. Elle se tortillait sous ses caresses. Je glissais ma main sur son joli minou et commençais à lui triturer. Toujours aussi poisseux dexcitation, jintroduisis facilement deux doigts. Bien quelle soit habituellement étroite, ils coulissaient avec aisance. Elle si timide et si passive pendant nos ébats, sétait déjà emparée du sexe de son tourmenteur. Je le voyais pour la première fois et découvrait un pénis très noir, particulièrement long et large. Une fine main branlait la colonne sombre qui perlait dexcitation, de lautre elle soupesait les lourds testicules.
Il descendit sa main où la mienne se trouvait. Il me poussa et introduisit ses doigts à ma place, bien au chaud. Je me redressai et pris un peu de recule. La scène était dun érotisme torride. Marina avait le soutien-gorge et la jupe roulés sur le ventre, les bas à demi baissés. Elle navait plus quune de ses chaussures à hauts talons. Ses longs cheveux noirs éparpillés en bataille sur le canapé beige, ses yeux bruns plongé dans le vague, les ailettes de son nez fin tremblotantes, les traits délicats de son visage déformés, tout en elle trahissait le plaisir quelle prenait. Ses gros seins étaient rougis par le traitement de Coliba, toujours à son affaire. La main remplaçante sactivait rapidement entre les cuisses. Deux de ses gros doigts noirs coulissaient rapidement entre les plis mouillées et imberbes de ma femme. Un deuxième orgasme sempara delle. Le corps traversé de spasme, son bassin dansait sur la main qui lui faisait du bien. Il profita de ce moment dextase pour se mettre entre ses jambes et poser son gland ébène sur la petite chatte rose. Elle murmura un petit « non, pas ça » peu convaincant. Il la bâillonna par un profond baiser, elle aspira la langue offerte. Il poussa sur sa queue et elle entra sans la moindre difficulté.
Je voyais cette grosse tige noire pénétrer le vagin serré de ma femme et surtout se baiser amoureux qui nen finissait pas. Je nen revenais pas. Je ne pensais pas en arrivé là, je comprenais que la situation mavait échappé. Voir cet homme pénétrer lamour de ma vie, me dégrisa dun coup. Je navais rien planifié, ni imaginé, jétais juste excité et ivre. Maintenant je réalisais que javais offert ma femme à mon ami, sans vraiment le vouloir. Je voulais tout arrêter, mais ils étaient déjà dans un autre monde, celui des plaisirs et des jouissances. Penaud, je mécartai et me posai dans le fauteuil, face à eux. Le cur lourd, je les regardai comme on regarde un porno. Devenu spectateur de leur plaisir, je nexistais plus pour le couple qui naissait devant moi.
A peine était-il en elle, quelle avait un autre orgasme. Il finit alors de lui mettre sa queue profondément, lui arrachant un hurlement de plaisir que je ne lui connaissais pas. Il commença à la baiser en douceur tout en reprenant ses seins en mains. Tandis quil coulissait de plus en plus vite, elle souvrait à lui, encartant toujours plus les jambes, repliant les genoux pour mieux le sentir. Elle se donnait totalement, sans restriction. Ne quittant sa bouche que pour gémir.
- Oui, Cest bon mon chéri, je te sens bien. Fais-moi du bien.
- Elle est bonne ma bite. Tu laimes mon gros serpent noir ?
- Oh oui ! Je ladore. Elle est profonde en moi. Prends-moi fort !
- Je vais ten donner. Tes ma petite salope à la chatte bien serrée.
- Prends-moi encore ! Fais ce que tu veux de moi.
- Tes ma salope, dis le moi !
- Oui, je suis ta salope. Baises-moi plus fort.
Jamais ces mots nétait sortit de la bouche de ma femme. Elle attrapa les fesses musclées de son amant et tirait dessus pour le faire accélérer. Il augmenta le rythme et la pilonna comme un forcené. Je voyais ses muscles onduler aux rythmes des efforts quil faisait pour la baiser. Il attrapa ses seins et les serra très fort entre ses mains puissantes. Elle émit un crie rauque et puissant, nouveau pour moi. Il se crispa et je compris quil jouissait, profondément planté en elle, prolongeant lorgasme de Marina. Elle était dans un autre monde, elle était à lui, je nexistais plus.
Coliba la baisa encore lentement, profitant des douceurs de la chatte débordant de semence. Marina navait dyeux que pour lui. Il lallongea sur le canapé, toujours fiché en elle. Ils se regardaient, sembrassaient comme des amoureux. Elle le serrait fort contre son corps et semblait heureuse de plier sous son poids. Ils sassoupirent ainsi, lun dans lautre. Je les regardais, le cur vide.
Cest Marina qui émergea la première. Elle était souriante, rayonnante. Je la regardais toujours mais sans vraiment la voir, lesprit pollué par de vilaine pensée :
- Merci, mon chéri, cétait vraiment génial, je ne pensais pas que cétait possible de jouir comme ça
Chéri ! Chéri ! Je te parle ! Dit-elle en sadressant à moi.
- Quoi ? Cest à moi que tu parles ?
- Ben oui ! Y a pas dautre chéri ici que je sache ?
- Euh
cest que lui aussi tu lappelle chéri, alors
- Oui, mais cétait pendant lamour. Il est vraiment formidable. Je ne croyais pas que cétait possible de jouir autant, mais mon mari, mon chéri, cest toi.
Je mapprochai et lembrassai à pleine bouche.
- Tu mas un peu oublié !
- Oui, je sais, mais cétait tellement bon que jen ai perdu tout mes moyens. Donnes-moi ton zizi, je vais te sucer en attendant que notre ami se réveil.
Je baisais mon pantalon et présentais prestement ma queue encore molle à sa bouche, trop heureux quelle me propose ce quelle me refuse toujours. Elle lécha un peu le gland, puis elle le prit entièrement en bouche pour la première fois. Quel délice de sentir mon érection se développer sous la douceur et la chaleur de ses lèvres. Je fermais les yeux et savourais cette nouvelle sensation. Je croyais rêver tellement cétait puissant et jouissif. Je lentendis gémir, ce pouvait-il quelle prenne du plaisir à me sucer ? Je la regardais et vu quelle était agitée par de lent et ample mouvement. Notre ami sétait réveillé et de la voir ma queue à la bouche lavait excité. Il la baisait de nouveau. Elle me recracha et repoussa ses assauts.
- Mettez-vous debout, devant moi !
- Mais pourquoi chéri ?
- Parce que jen ai envie !
Elle sassit sur le canapé, nous, debout devant elle, en érection. Elle attrapa nos queues et nous branla. Elle les observait attentivement, comme pour en apprécier les différences. Je me rendais compte également de ce qui me séparait de mon ami. Je me sentais un peu ridicule à côté de lui. Il me dit alors :
- Elle est pas bien grosse ta zigounette, mais tu sais, la mienne, elle fait peur à beaucoup de filles, cest pas si souvent que jai loccasion de faire lamour.
- Ah bon ! dis-je en cur avec Marina, tout aussi étonnée que moi.
- Oui, cest une chance que Marina ne lai pas vu avant, sinon je crois quelle naurait pas voulu, de peur davoir mal.
- Oui, cest peut-être vrai.
- Cest sûr. Pour tout dire, ça fait trois mois que je nai pas fait lamour. Jai bien eu deux ou trois flirts, mais dès quelles ont vues mon sexe, jai dû me contenter de branlettes ou de petites fellations. Cest aussi pour ça que jaime les très gros seins, comme ça je peux toujours mettre mon truc entre les deux. Jadore les cravates de notaire !
- Les quoi ? Sinterrogea Marina.
- Les cravates de notaire, la branlette espagnole. Ma bite entre les seins.
- Ah oui ! Il adore ça aussi mon chéri.
- Pour tout dire, la dernière fois que jai fais lamour, cétait avec un couple. La femme fantasmait de se faire prendre par un noir avec une grosse bite. La plupart du temps, quand jai trop envie de sexe, je vais dans un club libertin. Mais je nen ai plus vraiment envie. Je voudrais une femme pour moi tout seul, pouvoir faire lamour sans préservatif.
- Oh mon pauvre petit. Viens, je vais moccuper de toi.
Elle avait continué de jouer avec nos sexes pendants les explications de Coliba. Elle sinstalla devant lui et posa ses seins autour de la verge noire encore gluante de semence et de sécrétions. Il se mit en branle toute en prenant les grosses mamelles en mains pour les serrer plus fort. Rassuré par les attentions de ma femme et de Coliba, je regardais fasciné la colonne débène entre les globes. Elle était si longue, quelle arrivait sous le menton de ma belle. Je passais ma main derrière la tête de Marina et lincitait à en prendre le bout encore couvert de jus entre les lèvres. Elle nhésita pas et pompa au rythme des coups de boutoir quimposait son amant. Sa bouche avait du mal le prendre mais elle forçait pour le faire aller vers sa gorge. Il augmenta la cadence, mais trop excité par la situation, il éjacula dans la bouche qui laccueillait. Ma femme ne se retira pas et avala le sperme sans en perdre une goutte. Elle goutait pour la première fois du jus dhomme. Je me branlais frénétiquement devant le spectacle offert. Marina lâcha le vit africain et me prit à mon tour entre ses lèvres. Elle neut pas de mal à me faire entrer en entier. Nayant pas jouit depuis le début de nos ébats, je ne mis pas longtemps à lui faire gouter mon sperme. Après avoir déglutie, Marina lança :
- Tu nas quà resté dormir sur le canapé si tu veux.
- Ouai, tu vas pas rentrer chez toi à cette heure.
- Ok, je reste. Cest avec plaisir.
Pendant quelle préparait son couchage, je me pris une bonne douche. En sortant, je les trouvais sur le convertible déplié, ma femme en levrette se faisait prendre vigoureusement. Je décidais de les laisser sébattre seuls et partis me coucher. Je lentendais jouir encore et encore. Je ne pus mempêcher de me masturber en les écoutants baisés. Lorsque je mendormi, je crois quil la pilonnait encore.
Au petit matin, Marina était à mes côtés et dormait profondément. Je me levais et remarquais que Cobila occupait toujours le canapée. Je décidais daller chercher des croissants. A mon retour, je ne fus pas vraiment étonné dentendre des gémissements venant de la chambre conjugale. Il était infatigable cet homme et Marina semblait insatiable. Je préparais le petit café et attendais quils finissent leurs ébats. Ses gémissements étaient toujours aussi intenses. Après trois quart dheure, ils quittèrent enfin le lit. Lui était nu, Marina portait un string.
- Pourquoi tu as mis un string, ma chérie ? On est entre nous, tu peux rester nue.
- Non, je ne peux pas, car sinon
ça coule.
- Ca coule ?
Ah oui ! Euh
Bon, jai fais le café.
- Merci, mais vite fait car jai un rendez-vous à 10h.
Café avalé et douche prise, notre ami nous laissa.
- Tu as bien profité de notre ami. Tu mas un peu délaissé !
- Oh ! Mon pauvre petit. Marina va soccuper de ta petite zigounette.
- Arrêtes, cest pas drôle.
- Fais pas ta mauvaise tête et viens me faire lamour. Jai besoin de tendresse.
Elle mattira sur le canapé et donna vigueur à mon sexe avec sa bouche. Puis elle retira son string et écarta impudiquement ses jambes. Javais une vue imprenable sur ses lèvres irritées par une nuit de sexe. Un filet blanchâtre sécoulait lentement. Ny tenant plus, je plongeais ma tige dans la cavité marécageuse. Je la sentais à peine, son minou avait été largement dilaté par le mandrin de son amant africain. Trop excité de pouvoir enfin prendre cette petite chatte épilée, jéjaculais en quelques secondes.
- Cest pas grave, mon chéri. Jai demandé à Coliba de revenir ce soir.
- Mais tu vas encore faire lamour avec lui ?
- Ben oui ! On va pas faire un scrabble ?
- Et moi alors ?
- Tu es mon mari, je taime, mais ce quil me fait vivre sexuellement est tellement fort que je ne crois pas que je pourrais men passer, en tout cas pas maintenant. Et puis, tu vois que toi tu nes pas vraiment à la hauteur.
Je navais donc pas mon mot à dire. Lamant de ma femme arriva donc le soir vers 19h. Ils sembrassèrent langoureusement. Ils se posèrent sur le canapé. Mon ami me fit signe de venir me mettre à côté de Marina. Il commença à pétrir la lourde poitrine et comme si cétais le signal du départ, elle commença à masser nos sexe à travers les pantalons, tout en écartant largement les cuisses. Coliba sagenouilla alors devant elle et fit glisser en même temps jupe et culotte. Il lui retira son haut, mettant à nue les seins dépourvus de sous-vêtement. Il ne lui laissa que ses bas et escarpins vernis.
- Faites-moi jouir, je suis toute à vous ! Nous dit alors Marina, dune voix tellement excitée que jeu du mal à la reconnaître.
- Tu as envie de nos sexes ? Tu veux quon te prenne comme une salope ?
- Oui, baisez- moi comme une salope. Je veux vos queues.
Décidément, que de chemin parcourut en vingt-quatre heures. Elle se mettait maintenant à dire des choses salaces. Jétais à la fois surpris et excité. Ne se le faisant pas dire deux fois, Coliba écarta ses jambes et lécha les grandes lèvres gorgées de désir. Il les aspirait, les mordillait, suçait le clitoris. Il savait y faire. Marina gémissait déjà son plaisir. Il enfonça sa langue entre les chaires ouvertes, ses grosses lèvres gobant celle de ma femme. Il lui bouffait consciencieusement la chatte. De mon côté, je caressait ses seins tout en lembrassant. Ses tétons pointaient comme des torpilles et elle avait les yeux mi-clos de plaisir. Elle replia alors les cuisses sur son ventre en écartant très largement les jambes afin quil puisse la fouiller au plus profond de son sexe. Je remarquais quil en profitait également pour lui soulever légèrement les reins afin de titiller son petit trou.
- Montre-moi ton cul? Ordonna-t-il alors, tout en sortant sa queue de son pantalon.
Elle sexécuta et se mit à quatre pattes. Il mavait de nombreuses fois complimenté sur le postérieur de mon épouse et je savais quil prenait plaisir à ladmirer dans cette posture. Se cambrant au maximum, elle présentait maintenant son cul dans toute sa splendeur à mon ami qui ne se fit pas prier pour élargir le champ de ses explorations buccales. Lui écartant les fesses à deux mains, il se mit à lui enfoncer la langue dans la rosette. Je me glissais sous Marina et commençais à lui lécher le con. Elle était tellement excitée de se faire ainsi bouffer les deux trous en même temps que son jus damour me dégoulinait par flot dans la bouche. Presque aussitôt, elle se mit à me pomper goulûment. Elle me suçait divinement bien, faisant disparaître à chaque mouvement une bonne partie de ma verge au fond de sa bouche, la langue sagitant le long de la hampe.
Ma queue fut bientôt rejointe par celle de notre ami qui venait se faire honorer à son tour. Son sexe était dur comme du béton, pratiquement à la verticale, lourd et battant de palpitation. Mon épouse se mit alors à nous sucer, nous distillant du plaisir à tour de rôle. Puis elle se concentra sur la bite la plus petite, lui faisant ainsi comprendre quil serait peut être temps pour notre ami de sen servir. Il se plaçait donc derrière elle. Toujours occupé à la lécher, je laissai louverture suintante libre et me concentrai sur le bouton de chaire. Sous mes yeux, il posa son gland entre les bourlets gonflés de désir et commençait à lenfiler lentement, appréciant les chaires sélargir sous la pression. La tige noire progressait sans faillir. Au première loge, je senti les grosses bourses de mon ami frotté mon front puis tapé contre mon nez. Voulant donner toujours plus de plaisir à ma femme, je décidai de ne pas échapper à ce contact masculin et mactivai de plus belle sur le clito bandé. Je voyais le liquide féminin séchapper de lantre dilaté et perler sur les couilles massives. A chaque mouvement de Coliba, mes cheveux et mon front recueillaient involontairement le jus sur les organes reproducteurs. Marina étouffait ses gémissements en me gardant en bouche.
Il la baisait en puissance, fouettant toujours un peu plus mon visage. Je sentais Marina jouir sous ma langue. Elle avait déjà eu trois orgasmes mais je ne diminuai pas mon activité malgré les coups de testicules et les crampes qui assaillaient ma langue. Concentrée sur sa jouissance, elle avait abandonné ma queue. Je compris que ma position allait devenir critique lorsque je perçu les mouvements du baiseur se désordonner et ses balloches de contracter. Il bloqua sa grosse queue le plus en profondeur possible et emplit le vagin de ma femme de semence. Marina avait un autre orgasme. Elle saffala sur moi pendant que notre ami coulissait en tendresse dans sa chatte. Je commençai à voir du sperme séchapper et pris la décision de sortir de là. Mais à ce moment, Ma femme me reprit en bouche pour une délicieuse fellation. Pris par le plaisir, je fermai les yeux pour me laissai aller vers la jouissance et je me rendis compte que notre ami se retirait que lorsque je reçu un flot de liquide poisseux sur le visage. Les paupières fermées, je ne vis pas que Marina basculait lentrée de son vagin vers moi. Comprenant son désir, bien quécuré par ce que jimaginai y recueillir, jy plongeai ma langue. Elle se redressa tout en continuant de me branler et je fus submergé par une grande quantité de foutre. La bouche plaquée contre la chatte, je neu dautre choix que den avaler une bonne partie, ce qui ne se fit pas sans haut-le-cur. Je continuai dagiter ma langue, la tournant pour essayer den toucher les bords. Je le savais si ouverte que je nétais pas sûr quelle me sente. Je fus rassuré lorsque ses chaires se contractèrent sous leffet dun nouvel orgasme. Trop heureux de lavoir faite jouir encore, je nesquivai pas un autre flot de jus dhomme expulsé par les spasmes. Je le laissai couler en moi, la bouche encore active.
Je tendais la main pour trouver de quoi essuyer mon visage et pouvoir ouvrir les yeux. Je trouvais un tissu et enlevai le plus gros avec ce qui était en fait ma chemise. Je sortais de dessous Marina et constatai que pendant que je mactivai dans sa chatte crémeuse, elle avait repris son amant en bouche.
- Tu es une sacrée coquine ! Tu te rends compte que tu mas fait avaler le jus de Coliba.
- Cétait tellement bon ce que tu me faisais, je nai pas pensé à ça du tout. Dit-elle en me regardant dun air malicieux.
- Mouai ! Bon, je vais me rincer la bouche et bien messuyer le visage !
- Fais pas autant de cinéma, ce nest que de lamour. Cest bien ce que tu me disais pour me convaincre davaler ton jus, avant que
- Oui, mais cest pas pareil
- Cest jamais pareil avec vous les mecs. Bon, cest pas grave, jai de quoi moccuper pendant tes ablutions ! Finit-elle par me dire en me faisant un clin dil et reprenant le bâton noir en bouche.
Lorsque je revenais dans le salon, Marina avait les lèvres accrochées aux belles balles noires de son amant, une main branlant la vigueur retrouvée.
- Tu es le seul à ne pas avoir joui, mon chéri, lancha-t-elle.
- Baises la pendant quelle me suce. Ajouta Coliba.
- A vos ordres, chers amis.
Marina ne put réprimer un éclat de rire et se positionna en levrette, mexposant les souillures de son amant. Linvitation était trop belle pour que je maventure à une remarque ou un avis. Je me plaçai contre ses jolies fesses rondes et poussai mon sexe qui navait pas débandé. La pénétration fut très rapide, trop à mon gout. Je retrouvai la sensation du matin, celle ou je la sentais à peine. Elle était déjà si large que décidai de la prendre tout de suite en force en faisant claquer rapidement mon ventre sur son cul. Les gros seins de ma femme se balançaient au rythme soutenu de mes coups de bite. Jamais, je navais connu sa chatte aussi trempée. Javais limpression denfiler une fontaine et mon sexe en ressortait luisant de sécrétions. Encouragé par cette vision, je la baisais comme un chien fou. Haletante, elle se dégagea brusquement, me fit mettre sur le dos et vint sempaler sur ma queue, tout en continuant à sucer lautre verge. Ses mouvements de bas en haut faisaient tressauter sa lourde poitrine que je mempressais de peloter, de pincer, de serrer comme javais vu Coliba le faire. De réaction, elle sactiva plus encore sur le vit. Placé comme je létais, je ne pouvais rater une miette et je voyais distinctement la grosse bite déformée les joues de ma femme. La voir se conduire comme la dernière des salopes mexcitait énormément et je devais faire dintenses efforts pour ne pas gicler prématurément. Précautionneusement, je me mis à lui caresser le trou du cul enduit par les liqueurs amoureuses. Etonné, cest sans grand effort que je pus faire pénétrer un doigt dans son anus inexploré. Notre ami mencourageait à lélargir en des termes peu raffinés :
- Vas-y, doigt lui le cul, elle aime ça ta femme.
- Oh oui ! Mon chéri ! Cest bon ce que tu me fais là.
- Tu aimes ça, petite salope ? Tu aimes que je te fore le cul ?
- Cest bon ! Je te sens mieux comme ça !
- Moi je te sens à peine, tellement il ta ouverte.
- Il est gros, jaime le sentir profond en moi.
Pris dans la folie sexuelle, je glissai un deuxième doigt qui entra aussi facilement. Soudain, entre deux râles de plaisir, Marina sexclama :
- Je vous veux tous les deux en même temps, enfilez-moi par les deux trous !
- Quoi ? Mais tu nas jamais voulu par derrière et dun coup, tu veux un sexe de chaque côté ? Tu ny arriveras jamais !
- En fait, mon chéri, je ne suis plus tout-à-fait innocente de ce côté-là. Ton copain ma prise les fesses cette nuit. Il a su si bien sy prendre que je nai eu quun petit peu mal la première fois, mais quand on a recommencé ce matin, je nai ressenti sur du plaisir.
- Tu las
enfin, Il ta
vous avez
- Oui, mon gars, je lui dépucelé lanus ! Cétait vraiment génial. Je ne pensais pas pouvoir lui mettre mon gros truc pour une première fois, mais elle en voulait tellement que je lui ai mis jusquaux couilles.
- Maintenant que tu sais tout, jaimerais vous avoir tout les deux en moi. Tu veux bien mon chéri ?
- Oui, bien sur ! Cest un peu déroutant. Il fait que je reconcentre et on va essayer de te faire jouir en même temps.
Elle se pencha en avant pour que son amant travail la petite rondelle avec du lubrifiant. Je sentais ses doigts caresser mon sexe à travers la fin membrane. Elle se tortilla de désir. Comprenant lappel, il senduit le pénis de gel et vint le présenter à son anus palpitant. Marina sempara de ma bouche et nos langues dansèrent dans un balai torride. Lorsquil la pénétra, lentement mais sans difficultés, je sentis distinctement sa bite prendre toute la place en elle. Il fallut que je maide de mes mains pour maintenir ma queue au chaud et ne pas me faire expulser par la pression quexerçait le gros calibre africain. Il progressait en douceur, par pallier, allant toujours un peu plus loin. Maintenant toujours un peu plus de pression sur ma tige. Il patienta, la laissant souvrir à la largeur de la colonne de chaire, puis il bougea, se retirant presque entièrement avant de replonger jusquaux couilles dans le cul de ma femme. Ses râles, même étouffés par mes baisers, étaient devenus puissants, elle jouissait comme une furie. Jessayai à mon tour dimprimer un mouvement, mais jétais sur le borde de lexclusion à chaque fois quil revenait à la charge. Après quelques ratés, je calais mon rythme sur celui de mon pote, je poussais quand lui sortait, je me laissais expulser quand il entrait. Marina nétait plus quun amas de plaisir sexuel entre nos mains. Nous la remplissions alternativement à tour de rôle, ne quittant son cul que pour mieux lui bourrer la chatte. Elle était en nage, déchaînée. Prise en sandwich, pilonnée en rythme par nos queues, déchirée comme la dernière des garces, elle eut plusieurs orgasmes successifs.
Brusquement, Coliba se retira, se leva et présenta son sexe devant le visage de ma femme. A ma grande surprise, elle entreprit immédiatement de sucer une bite qui sortait pourtant à peine de son cul. Très excité par ce que je voyais, je changeai de position et ma plaçai contre ses fesses. Je posai mon gland sur son anus, hésitant, attendant une réaction qui ne venait pas. Je poussai et y entrais comme dans du beurre fondu, il ressemblait à un cratère béant et je neu aucun mal à my enfoncer jusquà la garde. Heureux de pouvoir sodomiser ma femme pour la première fois, je me mis à lui limer le cul à mon tour. Coliba se plaça alors sous elle et se mit à lui bouffer la chatte pendant que continuais à lui défoncer les fesses. Une vague de jouissance emporta de nouveau ma belle sodomisée. Ses anneaux culiers compressant mon sexe délicieusement. Ne voulant pas subir le même sort que moi, mon copain se dégagea et vint se mettre derrière moi. Une de ses mains saisissait mes bourses, pendant quun doigt, lubrifié, se faufila dans mon fondement. Le plaisir me submergea et je lâchai la pression entre les fesses de lamour de ma vie.
Un doigt toujours en moi allant et venant, il lâcha mes bourses vides pour se branler. Il se posta à mes côtés et, lesprit embué par la jouissance, je regardais fasciné ce gros boudin noir qui se frottait sur ma hanche. Je neu aucune réaction lorsquil prit ma main pour que je le prenne. Mes doigts blancs sur la colonne ébène, je sentais la douceur et la chaleur de cette belle queue africaine. Imperceptiblement, je métais mis à le masturber. Cétait si agréable que je ne débandais pas. Marina, qui sétait rendu compte de ce quil se passait, se découpla. Elle remarqua vite que Coliba fourrageait mon arrière train. Elle senduisit les doigts de gel et remplaça le large doigt noir par deux des siens. De sa main enfin libre, il appuya sur ma tête et, tel une marionnette, je me laissai faire et embrassai le gland de mon ami. Moi qui nai jamais eu de tendance homosexuelle, je me surpris à aimer le contact doux et chaud de cette belle queue noire. Je le suçais de mon mieux, comme jaurais aimé être sucé. Le plaisir que Marina me donnait en jouant avec mon anus, mes couilles et ma petite bite, mencourageai à la prendre toujours plus loin dans ma gorge. Je le pris assez longuement, savourant cet instant magique. Je cessai de lui procurer de douces sensations quand jeu trop mal à la mâchoire. Je posai ma tête sur lassise du canapé, offrant un meilleur accès à Marina. Je ressentais quelle avait trois de ses doigts en moi qui allait et venait. Elle les retira et rampa sous moi, en soixante-neuf, prenant ma queue en bouche mais laissant une étrange sensation de vide entre mes fesses. Cela ne dura pas longtemps car quelque chose de chaud et de gluant empêcha mon anus de se refermer.
- Non, pas ça ! Murmurai-je.
- Je vais être très doux avec toi. Si tu as mal, tu me le dis et jirais plus doucement.
- Je sais pas
Je crois pas que
- Marina va soccuper de ta petite bite blanche, tu verras, tu vas aimer ça.
- Hummpff
Je sentais déjà lénormité progressé en moi. Lentement, mais surement, millimètre par millimètre, je me faisais enculer par mon ami. Ma femme sactivait toujours, sa bouche gourmande me pompait avidement. Elle devait profiter du spectacle. Ma tête entre ses cuisses, jouvrais les yeux et voyais son minou toujours aussi humide dexcitation. Tout à mon propre plaisir, je me reconcentrais sur les délices que chacun me faisait subir. Il était si gros, que lorsque ses couilles butèrent sur mes fesses, javais limpression de le sentir dans mon ventre. Il se retira presque entièrement, toujours en douceur, puis revenu en moi. Imperceptiblement, il me dilatait, augmentait la cadence progressivement. Je ressentais une chaleur des plus agréable irradier mon ventre, mes fesses, mon sexe. Après quelques minutes, il me baisait le cul, me prenant avec le même entrain que si cétait une chatte. Jaimais ce quil me faisait et au moment déjaculer, je fus pris de frisson et un gémissement séchappa de ma bouche. Mes cordes vocales ne me répondaient plus, il me faisait jouir comme il avait jouir ma femme. Je me répandais dans la bouche de ma suceuse en même temps quil noyait mon fondement de sa purée. Ils me laissèrent récupérer de mes émotions, Coliba en coulissant en douceur, Marina en ma gardant entre ses lèvres.
- Maintenant, tu vas tout nettoyer ! Lui dit mon amant en lui présentant de nouveau sa pine qui navait pas encore totalement débandée.
Immédiatement, cette petite chienne lécha chaque recoin de son sexes jusquà ce quil ne reste plus une trace. Il lui fît même nettoyer mon petit trou avec la langue, ce qui était vraiment divin.
Jamais, je naurai pensé me conduire de la sorte avec un homme. Jamais, je naurais pensé ça de Marina avant ce soir, mais il était évident quelle prenait un grand plaisir à se faire ainsi dominer par notre ami et davoir deux hommes pour soccuper delle. De plus, javoue que les changements qui sopéraient chez elle et chez moi nétaient pas pour me déplaire, me dévoilant des horizons nouveaux.
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