Carmen
Jai un amant, plutôt pour que les autres hommes me fiche la paix que pour autre chose: il nest pas très porté sur la baise: un ou deux fois par semaine, cest largement suffisant si je le masturbe un peu, même sil me demande de la sucer, ce que je refuse, jai horreur du goût du sperme: une seule fois ma dégoutée.
Par contre je fréquente mon amie de toujours, Carmen, une espagnole dorigine, établie depuis son enfance en face de chez moi. Nous avons joué à la poupée, avant daller dans les mêmes clases depuis le primaire jusquen fac. Nous étions au collège, en 3° quand pour la première fois nous avons parlé de plaisir: pour nous qui nous caressons nous le connaissions. Cétait même par accident, quand nous sommes tombées amoureuse du même garçon. Ca na pas duré longtemps quand nous devenions consciente que faire lamour avec un garçon impliquait absolument quil entre dans notre entre jambes.
Petit à petit nous nous racontions les façons que nous avions de nous masturber (à lépoque nous ne savions pas trop de que cela voulait dire).
Un après midi, fatalement, nous étions dans sa chambre à bavarder encore de ce plaisir: elle soulevait sa jupe, enlevait sa culotte et me montrai sa chatte. Entre ses jambes elle mettait une main pour la poser sur son bouton. Carmen était sans pudeur. Je la regardai se faire du bien et je commençais moi aussi à avoir une envie: je faisais comme elle et ensemble nous nous sommes masturbées, en cadence, même.
Grandissant et prenant lhabitude de nous caresser mutuellement, nous arrivions à nous embrasser comme de véritables amoureux, ce que nous étions.
Cest en entrant en fac quil est arrivé un malheur: Au cours dune fête particulièrement arrosée, nous nous sommes données à deux garçons: ils nont même pas eu à nous forcer: nous étions consentantes. Il nous ont dépucelées. Le résultat de cette affaire est que depuis ni elle ni moi naimons les hommes. Avec Carmen nous nous donnions des plaisirs plus fort: nous aimions faire des 69.
Cest ainsi que jai pris un amant dont je me moque totalement de son plaisir. Carmen a préféré resté seule. Nous vivons porte à porte: cest très commode pour nous: nous sommes souvent ensemble. Nous avons de sérieux problème de désir. Si nous nous écoutions nous nous ferions lamour continuellement. Disons que nous sommes des nymphomanes lesbiennes.
Nous avons fait des achats en communs: entre autre deux godemichets destinés à nos culs que nous savons bien faire jouir.
En principe nous baisons dans laprès midi, et souvent le soir. Quand je vais chez elle je sais quil ny aura aucun problème, surtout dhabillement: je traverse le palier, nue, elle mouvre nue. Nous nous embrassons bien mieux quau cinéma: nos baisers sont des bonjours, et surtout des entrées me matière. Carmen aime particulièrement lodeur de ma chatte. Elle commence par me passer vite fait sa main sur tout mon sexe qui davance mouille. Ensuite elle lèche sa main. Nous entrons dans la chambre en nous tenant par la taille, en pensant déjà à notre plaisir.
Nous nous couchons au début cote à coté, nous tenant pas la main. Nous nous penchons encore pour réunir nos lèvres. Et enfin nous nous caressons les seins. Nous sommes presque ventre à ventre. Cest si bon de caresser un ventre de femme: cest doux et en plus ça mène au bonheur de sa chatte. Nous nous branlons avant daller plus loin. Et notre plus loin cest simplement notre position préférée en 69. Personne ne peux imaginer ce quun sexe de femmes mouillé pas le désir est agréable à regarder. Personne ne peut imaginer ce quune langue sur la chatte dune autre est délectable avec ce bon goût de cyprine. Et la douceur de lintérieur du sexe quand la langue entre. Il nous arrive souvent de nous servir de nos godemichets: pendant que nous sommes tête au con, nous nous en servons pour nous enculer avec. Cest sans doute bizarre pour des lesbiennes, mais nous aimons nous sodomiser, pas nous baiser. Cest plus fort que nous, aucune bite ne peut venir en nous.
Dernièrement nous avons fait une folie. Dans un café nous étions assises à coté de charmante jeunes personnes qui tenaient des propos qui semblaient être ceux de deux créatures comme nous. Carmen les a carrément levées. Nous nous sommes retrouvées chez Carmen, deux couples de bonnes lesbiennes en proie à une envie de partage. Carmen voulait me voir dans les bras dune autre. Nous sommes restées à quatre filles nues: elles étaient plus jeunes que nous,, mais semble-t-il au moins aussi à laise dans les baises. Les préliminaires étaient rapides: nous étions toutes excitées déjà de savoir ce que nous allions faire. Cest bien sur Carmen qui a commencé à asticoter une des deux. Elle choisissait celle qui lui plaisait le plus. Elle ma laissait justement celle que jaurai choisi à causes de ses seins. Quand nous avons commencée, Carmen sest déchaînée. Elle branlait sa compagne et lui caressait lanus. Sa compagne appréciait tellement quelle lui demandais de mettre trois doigts dans son cul. Je ne raconte pas le 69 qui a suivi: les langues léchaient et les doigts étaient dans le cul de lautre.
Pour moi cétait plus classique,: après les baisers profonds nous nous sommes bien peloter: je ne le regrette pas: elle faisait cette chose très bien; jétais toute mouillée. Pendant quelle soccupait de mes seins, je moccupais de sa chatte: elle était plus douce que celle de Carmen, et de la mienne, je crois. Javais deux doigts sur son clitoris et javais du plaisir en lui donner. Ce nest quaprè lavoir faite jouir ainsi que nus nous sommes mises aussi en 69
Je ne sais quel spectacle pouvait donner deux couples en 69.
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