Rencontre Au Parc
Les soirs d'été, après le travail, j'aime me promener dans un parc public, juste en face de chez moi. Cet endroit a la réputation d'être fréquenté pour le sexe. Personnellement, je n'y ai jamais rien vu. Jusqu'à hier soir.
Je faisais ma promenade habituelle, quand j'ai vu une femme assise sur un banc. Elle était vêtue d'une juppe sous laquelle un homme avait glissé sa tête. Vu l'extase sur son visage, le mec devait lui lècher la moule. Caché derrière un arbre, je contemplai la scène, quand un autre homme arriva derrière moi. Il me saisit par l'oreille et s'adressa à l'homme à genoux :
- Dédé ! Ce mec était en train de mater !
Le Dédé en question se releva et s'approcha de moi.
- Tu te branlais, au moins ! Me dit-il.
- Même pas ! répondis le deuxième.
Dédé tournait autour de moi. S'adressant à son compère, il dit :
- C'est un joli blondinet. Et tout jeune avec ça !
J'avais à peine 19 ans.
- Si on lui apprenait le sexe ? dit Dédé.
Me prenant par la main, il me traîna vers la femme. Appuyant sur mes épaules, il me fit mettre à genoux. Soulevant sa juppe, il me montra le sexe et dit :
- Voilà, lèche le plus profond possible.
Je glissai ma tête entre les cuisses de la femme qui posa ses mains sur mes oreilles.
Soudain, je sentis qu'on dégrafait mon pantalon. J'eus un sursaut mais la femme me retint par les oreilles. Mon pantalon glissa jusqu'au sol et des mains agrippèrent mon slip qui glissa sur mes cuisses.
- Tu vas devenir un vrai homme ! Gloussa Dédé dans mon dos. Continue de lècher !
Il prit ma bite dans sa main et commença à me branler.
- Allez ouvre !
Le deuxième mec posa ses mains sur ma tête et appuya jusqu'à ce que sa bite soit rentrée tout entière dans ma bouche. Il me prit par les cheveux etfit glisser mes lèvres le long de sa bite, de plus en plus vite.
Comme si ça devait être en rapport, Dédé avait accélèré le mouvement lui aussi. Maintenant, sa bite glissait dans mon cul avec la même vitesse que celle que j'avais dans la bouche. Sauf que la bite à Dédé s'enfonçait toujours plus loin. Quand il cracha son sperme dans mon cul,
Dédé s'écria :
- C'est bon, tu peux y aller !
Et soudain, son compagnon éjacula dans ma bouche. Il plaqua ma tête sur son pubis, me forçant à avaler sa semence.
- Qu'est-ce que tu dirais d'une double, chuchota Dédé dans mon cou.
La bite toujours dans ma bouche, je ne pouvais répondre.
Dédé me souleva. Son copain était encore raide. Il me fit l'enjamber et m'assit sur sa bite. Elle s'enfonça facilement dans mon cul, lubrifié par le sperme de Dédé. Le copain se mit au bord du banc, se pencha en arrière et m'attira vers lui.
- Encore une fois !
Cette fois, ils m'ont déshabillé entièrement. Ils ont entrouvert mes lèvres et ont fait glisser chacun leur bite, en longueur.
- Sens ce que tu vas prendre encore une fois dans ton joli cul !
Penché sur le banc, l'un tenait mon cul ouvert pendant que le deuxième collait sur ma raie. Le premier les resserrait pendant que le deuxième se branlait entre mes fesses. Il éjacula sur mon trou et ordonna :
- Allez, assieds-toi !
Je repris position et me prenant par les hanches, Dédé me força à m'asseoir d'un seul coup sur la bite qui s'enfonça d'une traite dans mon cul.
La deuxième bite une fois dans le cul, Dédé inventa une variante. Il commença à me bourrer puis, me prenant par les hanches, il me faisait glisser le long de la grosse bite de son copain. Quand j'ai pris le rythme, les deux bites entraient et sortaient de mon cul. Il n'a pas fallu longtemps pour qu'ils crachent à nouveau dans mon cul.
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