Un Sacre Safari
Souvenirs dun safari
Pour fêter ma retraite, nous avons fait organiser une joyeuse soirée et en cadeau, nos amis m ont offert un voyage. Javais envie depuis longtemps de faire un safari et notre choix sest fixé sur une organisation effectuant un séjour en 4/4 avec un guide pour tout le séjour ; cette formule nous a plu car nous ne sommes pas trop pour les voyages en groupe et elle permettait une plus grande liberté de visite du monde animal. Et cest ainsi que nous sommes parti en Tanzanie, en route vers les parcs et le Kilimandjaro.
En arrivant à Dodoma, notre guide nous attendait, un grand noir sec, longiligne, assez sympa au premier contact, mais manifestement très fier. Nous saurons plus tard que cest un Masaï ; après une courte route, il nous dépose à notre hôtel et nous donne rendez-vous le lendemain à 4 h du matin ; pour des vacances, cela fait de bonne heure, mais il nous explique quil y a beaucoup de route à faire et que de toute façon, presque tout le séjour est basé sur des horaires décalés afin de mieux profiter des animaux. Cest clair et précis et sur ce nous prenons notre chambre pour une nuit de repos avant « la galère ». 4h, nous sommes près à partir, et notre guide nous attend, laconique « tu vas avoir trop chaud » dit-il à Mico ; je commence à apprécier cet homme.
Une rapide présentation : jai donc 60 ans, 1.80m, 85kgs, sportif, pas trop mal de ma personne à en croire nos amis, Mico a 8 ans de moins que moi, 1,68 m, 52 kg, très jolie, une jolie poitrine (85b) qui malgré deux s se tient fermement, un jolie petit fessier qui retient vite les regards ;aujourdhui elle a mis un pantalon de toile et un pull ; très amoureux lun et lautre, nous nen menons pas moins une vie agrémentée de petites virées, selon le terme consacré, nous sommes tous les deux candaulistes. Pour ce voyage routier, je monte devant et Mico à larrière ; la voiture est confortable (pour linstant) et lors de nos visites, Moa (son vrai nom est imprononçable) nous conseille de nous mettre tous les deux devant ; durant le trajet Mico dort et moi jessaye dentretenir la conversation ; mais il nest pas bavard, et il cantonne aux explications du parcours ; enfin la savane nous accueille et ses premiers animaux ; hébergement dans une case sur pilotis, très confortable , près dun point deau et dissimulée par la nature, car cest un lieu où la nuit les animaux viennent boire ;soirée très agréable, mico a revetu un corsage en voile qui laisse voir son soutien gorge en dentelle et un short très court ; notre guide semble apprécier car pendant le repas ses yeux noirs ont souvent fleureté avec le décolleté du corsage, laissant apparaitre le début du sillon de ses seins ; cela mamuse et cela excite Mico qui narrête pas de croiser ses jambes alors que nous prenons le café au grand air ; la nuit descend et les cris de la savane commence à prendre une dimension sonore et frissonnante, Mico se rapproche de moi ; je lentoure de mon bras et je caresse son épaule , puis son sein à travers le voile ; elle frémit et le short de Moa se tend ; il reste de marbre , mais son regard nest plus le même, et en bordure de son short apparait le bord dun gland rosé ; il ne porte donc pas de slip et son sexe doit être de taille pour ressortir ainsi ; il se retire en nous donnant rendez-vous vers 4h du matin, pour voir les animaux au lever du jour , puis pour un départ en brousse ;
Cest lodeur du café qui nous réveille ; souriant Moa nous accueille, après une courte nuit perturbée par les cris des animaux proches ; Mico a enfilé ma chemisette pour se lever rapidement et chaque mouvement permet de découvrir ses seins nus et quand elle se penche un peu, Moa peut voir son string ; je crois que Mico a commencé son jeu de séduction et cela marche car Moa est beaucoup plus empressé auprès delle.
Ce soir, nous sommes en attente de larrivée des lions qui viennent boire et serrés dans notre observatoire, nous écoutons les bruits révélateurs de leur arrivée ; Mico bien calée entre nous deux semble distante, énervée sans doute par les rugissements des deux lionnes près de nous ; je la prends par les épaules pour la rassurer et ce faisant, je maperçois que la main de Moa nest plus à sa place ; avec la pénombre, il a pris de lassurance et il a investi son postérieur , ses doigts me semblent carrément dans la chatte ; je ne bronche pas, comme si je navais rien vu ; rapidement elle tremble et ce nest pas de peur ; il doit bien sy prendre car cest maintenant des gémissements qui sortent de sa bouche et ses lèvres sont pincées, signe de son plaisir quelle contient ; je ressens les mouvements de la main qui branle et du corps de ma douce qui réclame sa possession ; et brutalement elle explose son plaisir dans un cri et ses lèvres viennent se coller comme les miennes pour l et me témoigner sa jouissance ; ils séchangèrent quelques mots que je ne pus entendre et Moa, semblant surpris de la réponse , séloigna, mais je le sentais à laffut sans doute derrière nous .
« Il voulait que je sois sa femme ce soir, et je lui ai répondu que cest toi mon maitre et quil devait te demander la permission » Je comprenais mieux sa réaction ; excité par la situation , je baissais le short et écartait le string ,tout trempé du plaisir de tout à lheure et je plantais ma queue raide depuis le début et sachant quil nous voyait sans doute, je baissais ma femme avec énergie , tout en lui parlant de la présence de notre guide ; »sil nous voit il va comprendre combien je jouis bien sous ta bite et que je suis ta lionne, prend moi fort, fait moi jouir comme une chienne » les paroles devaient sentendre car dites assez fort , en tout cas elles nous amenèrent rapidement à notre plaisir et cest de concert que nous explosèrent et ma semence se rependit dans son ventre ; sortant de labri, nous sommes tombés sur Moa qui nous attendait pour retourner au campement ; et je dois dire que jétais comptant de sa présence, car la savane me paraissait pleine danimaux , autour de nous.
Les deux jours qui suivirent ne nous laissèrent que peu le temps de batifoler, car le programme avec en autre une ballade sur le Kilimandjaro, a accaparé toute notre énergie et les périodes de repos étaient les bienvenues ; puis nous eûmes droit à notre oasis, un lounge tout confort, en pleine brousse, petit bungalow avec patio personnel, séparé du reste du campement par un écran de verdure ; un vrai paradis ; en début de soirée, jinvitais Moa à prendre un apéro et cest dans le patio que nous nous installons ; nous discutons de notre périple et je le remercie de nos découvertes ; cela manifestement lui a plu et tout en discutant de reste du séjour (3 jours),je constate quil suis du regard tous les mouvements de Mico ; il faut dire que sa tenue sy prête, à savoir corsage en voile qui ne cache rien de sa poitrine nue, et mini short, qui quand elle bouge, découvre le départ de sa chatte ; je constate alors quelle na pas de slip et de sa place, il doit souvent découvrir quelques merveilles ; provocante ,elle nous quitte en voulant prendre une douche et délaissant la salle de bain , elle se dirige vers la douche extérieure sachant que de notre place, nous pourrons la voir surtout si elle ne ferme pas le rideau ; nonchalante, elle fait sauter son short et quitte son corsage, dévoilant son entière nudité ; tournant sur elle-même, elle laisse apparaitre sa toison taillée et ses seins, dont les pointes sont tendues ; leau coule sur son corps et elle se caresse une main pinçant son téton, lautre caressant son bouton et pénétrant entre ses lèvres ; maintenant elle se branle et le tableau est très chaud ; le sexe de mon voisin déborde du short et le mien est tout aussi tendu ; ses yeux ne la quittent pas un instant et je le sens prêt à bondir.
« Donne-moi ta femme » ; enfin il se décide à la demander
« Non je ne te la donne pas, mais tu vas avoir droit de la prendre, mais en ma présence, sinon rien » il est près à tout et ma présence ne compte plus, il ne veut que la baisser
« tas une capote, car les miennes ne doivent pas être assez grande » sans répondre, il en sort une de sa poche et quittant son short, il se chausse de la protection ; jai eu raison, je ne fais pas le poids, car si je suis membré fort (22 cm), la sienne fait au moins 30 cm et son diamètre est énorme ; comme un fou ,il se précipite sur Mico, qui les cuisses écartées se branle de plus en plus à la vue du mandrin ; sans ménagement, il la retourne, la courbe en avant et dun jet ,se propulse dans la chatte, ouverte, mais qui à du mal à enfourner le chibre ; elle essaie de résister mais il la bloque aux haches et dune poussée, il senfonce jusquà la garde ; sous le douleur, elle crie et se défend, mais rien ny fait et maintenant tel un fauve , il la pistonne sans retenue ; le passage doit sélargir car maintenant elle gémit sous la possession animale de Moa ; le primitif a repris ses droits car il ne tient pas compte de sa partenaire, seul son envie compte, il est le male dominant la femme et il lui laboure le ventre , pour lui elle ne compte pas mais il ne sait pas que pour Mico, ce nest que du plaisir ; elle hurle sa jouissance, elle se débat sur la queue, non pas pour la fuir, mais au contraire pour aller au devant ; le bassin de Moa tape avec violence sur ses fesses et elle en veut encore plus, et quand il se retire après avoir éjaculer dans la capote , elle lui dit » encore, jai encore envie dune bite » mais pour linstant il est satisfait, il la prise comme un guerrier, rien que pour lui.
« Donne la moi pour la nuit, je veux la prendre encore je la veux pour moi ! »
« non, tu ne lauras pas pour toi tout seul ; cest ma femme, et si elle a encore envie, ce sera avec moi, il ny a pas dautre alternative » ; le guerrier naime pas subir, il se tait près à partir, quand elle revient ; elle a enfilé une de mes chemises et un slip blanc ; terriblement érotique ; à nouveau la chaleur monte dans mon ventre, et je rebande ; je ne suis pas le seul et cela se voit ; elle vient se blottir dans mon fauteuil et ses doigts me caressent la nuque ; ma main sengage sous les pans de la chemise et lui caresse le ventre ; je sens ses envies, je sais quelle aspire à cette queue dans le ventre ;doucement, jécarte les pans de la chemise et ses seins jaillissent, les tétons turgescents. Ma main vient lui écraser le sein, le pressant sous ma paume, ou lui pincer le téton, je sais quelle apprécie cette douleur et que je vais lui déclencher une chaleur bienfaisante dans le ventre ; puis faisant glisser le slip, je dévoile à nouveau son sexe ; elle se calle sur mon ventre et écarte ses cuisses, mes doigts écartent ses lèvres et mao peut découvrir lintérieur rosé de sa chatte ; je triture ses petites lèvres et elle réclame : « prend moi, baisse moi, mao viens me mettre ta queue » ; je remonte ses jambes et je les maintiens écartées, et je fais signe quil peut venir ; sa réaction est immédiate et la queue haute ( cest vrai quelle est énorme ), il vient se planter, toujours en seigneur entre les cuisses ouvertes ; elle rentre cette foi sans difficulté et il se met à lui limer la chatte béante avec énergie ; Mico part au quart de tour et je sens la se crisper sous le plaisir, ce nest que vague de vibrations et son regard me remercie ; mais je ne souhaite pas que mao reste en possesseur, et je les sépare et le fais étendre sur le tapis ; jai envie quil subisse la saillie et que Mico commande le rythme ; elle a compris et viens se planter sur le dard dressé ; son bassin encaisse les coups , mais mao est obligé de subir ; cela ne lui convient pas, il veut la position dominante mais je maintiens mica sur lui, et ainsi, elle moffre la vision de son vagin rempli ; je viens lui caresser le sillon et je frotte mon gland sur lanneau qui ne tarde pas à sentrouvrir ; petit à petit , il force le passage et je sens maintenant lautre sexe qui coulisse de lautre coté de la paroi ; Moa en donnant un coup de rein, propulse le cul vers moi et du coup ma queue senfonce dun coup ; Mico maintenant prise des deux trous encaissent la possession et elle ne peut contenir son plaisir, elle coule de partout « pince moi les seins » mao est déconcerté, il subit et ne bouge plus la queue plantée ; je prends alors la pointe de son sein et lui triture le mamelon ; je me vide dans son cul ; la réaction est immédiate, sous la douleur et la double pénétration, elle explose son plaisir et après un long cri de jouissance ,elle sécroule sur mao ; je me retire, près la prendre, mais il na pas joui et il lui faut finir en maitre , et se retirant , il retourne Mico et sans ménagement, il lui laboure le ventre, il domine, il la baise à sa façon sauvage, sans aucune attention pour sa partenaire ; Mico est soumise, brisée par cette possession, mais cette soumission est aussi pour elle une forme de plaisir et elle râle sous les coups de butoirs ; enfin il rugit en remplissant sa capote ; vainqueur, il se retire, le chibre encore tendu, fier de sa force .
La fin du séjour a été plus tendu, car il aurait bien voulu la prendre ; mais dun commun accord, nous avions décidé den rester là, nous réservant nos moments de liberté pour baiser en nous rappelant ces moments, et je dois dire que cela valait le coup.
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