L'Amour C'Est Ma Vie, L'Amour Avec Mon Mari, L'Amour Avec D'Autres, J'Aime.

Avec Alain, mon merveilleux mari, nous sommes un jeune couple de vingt-trois ans, enfin moi, j’en ai vingt-deux. Côté situation, il en a une très bonne et je reste à la maison. Pour nous, le triolisme est devenu incontournable. Mais mon mari dit que ce n’est pas du triolisme parce que c’est plutôt un amant autorisé. Nous le faisons depuis trois mois. Je sais que mon mari ressent un véritable plaisir visuel et intellectuel à me voir faire l’amour avec notre partenaire. Je crois qu’il est aussi un peu masochiste, ça lui plait de souffrir un peu. J’ai la chance d’être jolie, très féminine, il est un peu candauliste, il aime me montrer, et voyeur aussi, je crois qu’il pourrait jouir rien qu’en regardant, c’est un merveilleux voyeur! Mais je l’aime comme ça et ça ne l’empêche pas de me faire très bien l’amour, et qu’on soit de plus en plus heureux, à deux ou à trois.
Ça me plait bien qu’Alain me regarde jouir avec mon amant, ça me fait des sensations partout, je suis au paradis. L’acte lui-même me fait beaucoup jouir, mon mari me l’a fait aimer encore plus, le sexe, le plaisir, même les autres hommes. Moi, je reconnais que je suis très accroc au sperme, ça me trouble, rien que d’en voir, ou l’odeur. Mais avec ce qui se passe, on est obligé d’être raisonnable, sinon mon mari me verrait avec beaucoup de partenaires. J’adore sentir l’homme venir en moi, c’est chaud, c’est bon, l’éjaculation me rend folle. J’imagine les jets de sperme, les couilles, je suis de plus en plus salope pour ça ! J’en veux. Je sais que j’ai un problème avec l’appareil de l’homme, j’aime la bitte, bien sûr, mais surtout j’adore les belles glandes, leur forme, leur chaleur, et ce qu’il y a dedans surtout, je suis folle de ça, je ne sais pas pourquoi. Et puis, Alain me regarde, je sais qu’il voit que l’homme me remplit, j’imagine qu’il va regarder ma petite chatte rose toute gluante. C’est le bonheur, comme une drogue qu’on m’injecterait, surtout avec une belle seringue.

Il faut faire attention avec ça! C’est pour ça que nous sommes excessivement prudents pour nos partenaires. Pour éviter les risques, nous avions décidé de nous cantonner le plus possible à des hommes 'sûrs'. Je ne me voyais pas baiser avec un préservatif. Je peux le faire, il y a des fois, où c’est obligatoire, mais ça me coupe mon plaisir. En plus, le véritable plaisir d’Alain ce n'est pas seulement de me voir faire l'amour avec un autre, voir comment l'homme me fait ça, c'est aussi ce qu’il m’a mis.
Évidemment, notre complicité pour le sexe, pour ‘mes partenaires d’amour’, a été progressive. Alain, mon chéri a été mon premier, j’ai été très heureuse avec lui, dès la première fois, quand il m’a dépucelée, j'avais dix-sept ans. Je jouis beaucoup, je crie, ça le faisait fantasmer, déjà bien avant notre mariage, il y a un peu plus d’un an. En me faisant l’amour il m’expliquait tout ce qu’il laisserait faire à d’autres, et comment j’aimerais ça. Ça me chauffait bien, j’étais chaude, bouillante, j’en suis devenue dingue, j’avais des folies, des orgasmes géants. Il avait toujours des scénarios, après, j’en ai fait aussi. Alain aimait bien. De toute façon, arrivait toujours le moment qui nous plaisait, un autre homme vidait ses couilles dans ma chatte. C’est devenu si fort, que je lui ai demandé pour le faire vraiment. Cela faisait presque cinq ans qu’on jouissait en l’imaginant. Moi, je voulais essayer, c’était à lui de décider, pour que notre couple n’en souffre pas.
Choisir un partenaire n’a pas été trop difficile, Alain m’a demandé si je voyais quelqu’un avec qui je pourrais coucher. Lui, il imaginait bien son frère, je n’étais pas contre, mais la famille c’était un peu gênant. Et puis tant qu’à coucher pour jouir, je voulais un vrai mâle, si possible. Ça ne pouvait pas être des anciens flirts, je me suis souvenue de Daniel, mon prof de sport. Il me mattait toujours au lycée. Ça faisait quelques années, mais, je savais qu’il vivait seul, et qu’il avait encore le béguin pour moi, je le rencontrais au marché, parfois, et ses yeux me disaient toujours la même chose.
C’était parfait physiquement aussi, assez beau, la quarantaine, très viril, je me voyais très bien avec lui. Physiquement Alain allait être surclassé, mais il me plaisait bien. En plus, avec lui, on était sûr de sa discrétion ou que ça puisse durer. Avec Alain on avait tout envisagé, continuer longtemps, vivre à trois, nous avions même pensé aux s, puisqu’on voulait le sperme, il y avait le risque que je sois enceinte. Pour ceux que ça intéresse, toute cette période de recherche de partenaire est très excitante, pour le mari comme pour la femme. On n’arrête pas de se demander si on peut coucher avec untel, ou un autre, on les imagine, c’est fou.
Après il y a eu l’excitation de la décision. Avec Alain, on a invité mon ancien prof à venir un soir à la maison. Quand il est arrivé, on a discuté, pris un verre, j’avais mis une tenue très sexy, une jupe fendue très courte, ma culotte était en soie noire très fine, elle mettait plutôt en valeur mes petites lèvres que les cacher. J’ai de très jolies jambes et tout ça avait l’air de bien échauffer notre invité. Ensuite, j’ai laissé les hommes s’expliquer. Je suis jeune, grande, assez mince, on me dit très belle, désirable, j’ai de très beaux seins, enfin tout. Je suppose que si l’on dit à un homme qu’il peut me faire ce qu’il veut avec l’accord de mon mari, ça doit l’intéresser. Alain a mis de la musique, des slows, j’ai dansé avec Daniel, on s’est embrassé, je lui ai montré qu’il pouvait glisser ses mains sous mon chemisier. Il m’a pelotée longuement, moi je l’ai caressé, d’abord sous sa chemise, son dos musclé. Quand il a glissé sa main entre mes jambes, Alain m’a retiré ma culotte, j’ai aimé ses caresses. J’ai entré ma main à l’intérieur de son pantalon, ce que j’ai trouvé m’a énormément intéressée. Je n’avais pourtant, jamais eu que celui de mon mari, comme sexe à caresser, mais là, j’ai fait ça simplement comme si c'était normal. J’étais un peu surprise que ça se passe aussi facilement avec mon ancien prof; j’avais senti qu’il bandait fort et on en avait tellement parlé avec Alain, que cela m’a semblé naturel.
De nature un peu timide, autrefois, je me suis sentie fière d’avoir sa bitte dans la main.
On ne savait pas si la première fois serait une réussite, aussi ce soir là, je n’avais pas prévu qu’il y ait pénétration. Ça a été un moment très sensuel, Daniel m’a beaucoup embrassé, vraiment partout, la bouche, le cou, le ventre, les seins, sucé mes mamelons. Il rêvait de me toucher depuis si longtemps, c’était bien. Depuis qu’Alain avait retiré ma culotte, tout était permis. Daniel jouait avec mes lèvres, mon clitoris, j’ai aimé ça. Quand il a embrassé ma chatte, j’étais bien, j’ai serré son visage dessus, je savais que je coucherais avec lui. Moi, je voulais tout voir. J’ai baissé son pantalon, son caleçon. C’était super, une bitte bien plus forte que celle d’Alain, et belle, chaude. J’ai aimé ses testicules, très gros comme des citrons, et doux. On s’est caressé longtemps, mon mari regardait, il n’avait pas l’air jaloux, mais je n’étais pas sûre. Alors j’ai juste bien masturbé Daniel, dans mes mains, puis entre mes seins. Mais, j’en avais tellement envie, le gland était si beau, j’ai pris son gros morceau dans ma bouche, une vraie fellation. Je n’en fais pas souvent à mon mari, mais là, j’en avais besoin. Pour la première fois, j’avais une autre paire de couilles dans mes mains, comme dans nos scénarios, je n’arrêtais pas de les embrasser. Et lui a recommencé à me lécher mon minou, on a fait un soixante-neuf. J’aurais tant voulu que sa jolie verge soit déjà dans ma chatte, à la place de sa langue, alors je l’ai bien caressée, masturbée, serrée dans ma bouche, massée avec la langue, jusqu’à recevoir son nectar. Il n’arrêtait pas, des gros jets dans ma bouche et dans ma gorge, c’était bon sur ma langue, j’ai dégusté en fermant les yeux, presque j’aurais joui aussi, j’ai tout avalé, c’était bon. Quand il est parti, on a fait l’amour avec Alain, il était très excité que ma bouche sente le sperme, il bandait tellement qu’on l’a refait trois fois dans la nuit.
J’ai regretté de ne pas avoir voulu la première fois.
Daniel était un peu frustré, moi aussi, j’aurais aimé sentir son merveilleux sexe dans ma chatte, qu’il me donne tout, au fond, avant mon mari, il m’aurait fait l’amour dedans. Mais j’avais été heureuse de le sucer, caresser ses couilles, et goûter son sperme. J’ai dit à Alain que l'homme était super, que les organes de Daniel me plaisaient, que la bitte était belle, avec une belle forme avec un beau gland presque rose. C’était le fantasme de mon mari, il n’arrêtait pas de me faire parler du sexe de l’autre homme, comment j’avais aimé son sperme. J’avais trouvé sa bitte douce et chaude. Alain était très excité que je lui dise adorer les couilles de Daniel, et le sentir éjaculer dans ma bouche, surtout une grande quantité comme ça. Je lui ai demandé s’il n’avait été trop jaloux, parce que la prochaine fois, il serait vraiment cocu et qu'il allait voir Daniel me baiser, me remplir, que je jouirais avec lui, qu’il y aurait beaucoup de jus qui coulerait de ma chatte. Il était encore temps d’arrêter, même si je savais bien que mon prof était l’homme idéal pour ça, dans notre couple.
Daniel m’a téléphoné deux fois le lendemain, il m’a demandé si ça m’avait plu, si j’avais aimé sa queue, tout, j’ai dit oui, bien sûr, alors il a ajouté qu’il mourrait d’envie de me baiser, me baiser à fond, je lui ai dit que j'étais plutôt pour, mais que c'était mon mari qui avait la décision. Quand Alain est rentré, je lui ai raconté, c’était à lui de choisir, et il l’a invité pour le lendemain, samedi. Alain m’avait déjà vu sucer sa bitte, la caresser, avaler son sperme, il ne pouvait pas y avoir de problème à faire plus. Quand je lui ai ouvert la porte, on s’est regardé, ses yeux m’ont dit ce qu’il m’avait dit au téléphone, les miens lui ont dit oui, il s’est jeté sur moi, m’a retiré ma robe. J'étais très belle avec ma guêpière, mes porte-jarretelles, mes bas. Il m’a admirée, j’avais mis ma culotte par-dessus, il a pu l’enlever rapidement et il m’a emportée dans le salon. Mes deux hommes m’ont embrassée, caressée très longtemps, j’étais liquide, j’avais envie de Daniel, à un point! C’est incroyable qu’on puisse aimer comme j’aime mon mari et quand même avoir autant envie d’un autre homme.
Daniel a commencé par embrasser ma petite chatte, moi j’avais sa bitte dans les mains, elle était tendue comme du bois. Je me suis allongée sur la moquette pour qu’il puisse mieux m’embrasser la chatte, et pour qu’Alain voie bien, mais Daniel me désirait tellement ! Il m’a écarté les jambes pour me pénétrer, Alain l’a compris et il m’a embrassée lorsque Daniel est entré en moi. Alain m’embrassait, et la grosse verge m’écartelait, c’était géant comme sensation. Daniel n’avait rien demandé, il m’avait prise avec autorité, en vrai mâle qu’il est, j’ai adoré ça ! Je l’ai senti loin, c’était bon, je le voulais au fond ! Je me suis offerte, J’ai gémi, j’ai crié. Gentil, Alain a pensé à moi, il a apporté des coussins pour mettre sous mes reins et là Daniel a pu me pénétrer encore plus profondément. C’était le bonheur absolu, j’étais heureuse, avec cette montagne de muscles magnifique. Cette bitte qui me faisait jouir comme une folle. Daniel était déchaîné, il me défonçait et Alain nous mattait, il avait les yeux fixés sur le sexe de Daniel qui me baisait fort. Je sentais le gland qui voyageait, qui m’écartait, c’était le bonheur absolu, j’ai joui je ne sais pas combien de fois. Je n’avais pas l’habitude d’un engin pareil ! Sa bitte me déformait, il sortait son gland et se renfonçait en martyrisant ma petite chatte, j’adorais ça. J’ai crié de plaisir, je sentais bien ses grosses couilles sur moi, je les caressais Je les ai prises dans mes mains, je ne les aurai plus lâchées. Je savais ce qu’elles allaient me faire, et j’attendais ça, impatiemment. Ce serait vraiment le moment où mon mari serait cocu, je redoutais ça et je l’espérais en même temps ! Je voulais jouir longtemps avec lui et pourtant qu’il me remplisse vite. J’étais folle comme une gamine amoureuse.
Cette première fois avec Daniel est restée gravée dans ma mémoire. Maintenant je sais qu’avec lui, c’est toujours aussi bien, à chaque fois. C’était le premier homme avec qui je couchais, en dehors de mon mari. C’était mon vrai dépucelage, je le voulais tellement, je n’avais pas assez de mains, pour parcourir ses muscles, sa peau, appuyer sur ses reins pour qu’il me défonce encore plus. Puis quand j’ai tenu ses couilles, si chaudes, si douces, je ne les ai plus quittées, je caressais même la bitte entre mes jambes. Je lui ai dit des tas de choses, tellement j’étais excitée, je me suis ouverte vraiment à me faire féconder avec la plus grande joie. Évidemment ça a excité mon partenaire, qui m’a expédiée au ciel. Sa grosse branche magique m’a pénétrée par saccades, plus profondément, et je l’ai bien senti jouir. Il m’a dit de merveilleux mots crus, des choses incroyables, qui me faisaient plaisir, ma chatte devait être collée à sa bitte, je sentais bien les contractions, j’imaginais les jets puissants dans le fond de ma chatte, comme j’avais eu dans ma bouche. J’étais heureuse et comblée. Je crois que je suis devenue folle, le bonheur était partout. Il m’a donné son nectar longtemps. Moi, je le serrais dans mes bras, entre mes cuisses, c’était mon homme, mon mâle. Quand il me remplit, il donne longtemps des petits coups de reins très forts, ça me fait jouir encore plus, j’aime ça. Mon mari nous regardait, mais à son oreille, tout bas, je lui ai dit tout ce que je ressentais, des tas de folies, qu’il était merveilleux, que j’écarterais toujours les cuisses pour lui, que j’étais à lui, qu’il était mon mâle, et je le pensais en le disant. J’ai été aussi heureuse qu’on l’imaginait avec mon mari dans nos fantasmes.
Nous sommes restés un long moment comme ça, accouplés, sans bouger. Daniel m’a embrassée, et j’avais la main qui pétrissait ses glandes. On s’est regardé dans les yeux, ils me disaient : je t’aime, je te veux, et les miens : vas-y, je suis grande ouverte pour toi ! C’était tellement fort!
Ensuite, il s’est relevé et m’a présenté sa merveilleuse verge, j’ai léché le sperme avec gourmandise, j’ai pris sa bitte dans la bouche, j’ai fermé les yeux, j’étais bien. Je lui ai longuement embrassé ses glandes, je les aimais. Mais j’avais oublié Alain, il avait un désir phénoménal, il est venu sur moi, et là j’ai oublié complètement Daniel. On s’est embrassé et quand sa bitte fraîche s’est enfoncée dans ma chatte gluante, c’était mon rêve, je suis partie au ciel. Nous réalisions notre fantasme. Nous étions fous de désir, et j’ai joui encore plus, des orgasmes géants, à répétition, qui me secouaient, ça ne m’était jamais arrivé ! Il y avait un bruit de clapotis, mon mari glissait dans le jus de Daniel, j’ai perdu l’esprit, il m’a pistonnée comme jamais, et quand il a mélangé son sperme avec l’autre, j’ai ressenti un amour immense pour lui, j’étais détachée du sol. Je l’ai serré dans mes bras, je voyais sa bitte dans le jus de Daniel, je voulais qu’il la laisse dedans, je lui ai dit, lui aussi ça le troublait. On est resté au moins cinq minutes comme ça, emboités, sans bouger que s’embrasser. C’était un moment magique d'amour total.
On ne pouvait pas se quitter comme ça, nous trois, c’était trop bien, je voulais que Daniel reste toute la nuit avec nous, il ne demandait pas mieux, Alain a été d’accord. Ce qui devait être une soirée s’est transformé en nuit complète. C’est un amant puissant et dans la chambre, il m’a fait l’amour de nombreuses fois, toute la nuit, Alain a préféré que je le suce, c’était bien, Daniel me baisait en levrette et je suçais mon mari, et je l’ai fait pendant une sodomie aussi. Ensuite Alain s’est endormi et nous a laissés. Daniel m’a fait grimper aux rideaux, septième, huitième ciel, j’avais le corps enveloppé de bien-être, au comble du bonheur, c’était comme une deuxième nuit de noces. Je me suis endormie, épuisée, la tête dans les étoiles.
C’est l’odeur du café qui m’a réveillée. L’homme nu, magnifique qui dormait à côté de moi n’était pas mon mari. Il faisait presque jour dans la chambre et j’ai pu l’admirer. J’étais fière d’avoir satisfait cet homme-là, ce colosse. Je suis allée retrouver mon mari, il avait préparé le petit déjeuner, on a beaucoup discuté. J’étais vraiment heureuse de la nuit, heureuse de mon mari, de Daniel. Il dormait toujours. Alain et moi, on s’est beaucoup embrassé, comme de jeunes amoureux, de jeunes mariés, mais c’était Daniel qui avait accompli la nuit de noces, je lui ai montré les traces de mes activités coupables. Alain s’est moqué de moi parce que j’avais mal à mon deuxième trou, comme il l’appelle. Mais ma chatte était encore gluante de sperme, j’en avais entre les jambes, il m’a caressée et fait sucer ses doigts. Quand Daniel s’est levé, magnifique, sans rien sur lui, très super mec, il voulait certainement impressionner Alain et il a réussi. C’était clair pour moi, il y avait mon amour, et mon mâle. J’ai ouvert ma nuisette et je me suis collée à lui, on s’est embrassé, il bandait déjà.
Ensuite il m’a portée jusqu’au divan du salon et il m’a pénétrée. J’avais mon regard dans celui de mon mari quand la bitte est entrée, et ça, ça m’a fouetté le sang. Je me suis déchaînée, je faisais le spectacle pour Alain qui filmait. Mais, le plaisir est venu, j’ai embrassé Daniel, on a vraiment fait l’amour, je voulais qu’il jouisse autant que moi et je l’ai bien pompé avec les reins, quand il a joui. Je voulais qu’il soit très heureux. Daniel était sur moi, et moi je regardais Alain en bougeant bien mon ventre et mes reins avec application jusqu’à la fin de l’éjaculation. C’était presque une communion avec Daniel et avec mon mari, qui voyait bien mes mouvements pour mieux recevoir le jus de mon amant. Sur le film on voit que je jouis, et Alain a merveilleusement filmé le jus blanc qui ressort. On a fait plein de tâches sur le tissu. Malheureusement après le petit-déj, Daniel a dû partir. Je n’ai pas pu prendre de douche, mon mari voulait admirer la gélatine épaisse qui coulait sans cesse de ma chatte. Toute la matinée, il m’a caressée avec le sperme de Daniel, je sentais l’homme, c’était excitant. On a fait l’amour toute l’après-midi en y pensant. Alain me rendait folle en parlant de ce que j’avais fait avec Daniel. Il n’avait pas besoin, on était dans les draps qui sentaient son odeur, son merveilleux produit.
Avant de recommencer avec Daniel, nous avons aussi ‘essayé’ avec un mec de notre âge, un militaire qui faisait du stop. Il m’a fait l'amour d’abord dans la voiture, puis nous sommes allés sur l’herbe. Il m’a fait jouir plusieurs fois, c’était plutôt pas mal et Alain a apprécié aussi. Mais comme il y avait des risques, il fallait mettre à chaque fois un préservatif. C’était un très beau garçon, ça aurait pu être super, mais ça ne correspondait pas vraiment à notre fantasme. C’est dommage, car il était aussi performant que Daniel et ça aurait pu varier les plaisirs, éviter de n’avoir qu’un seul partenaire.
Mais tout de suite avec Daniel, il y a eu deux semaines enflammées. En quelques jours, nous avons été pris d’une boulimie, une passion sexuelle torride, Daniel et moi, presque tous les soirs, toutes les nuits. Je baisais avec lui sans arrêter, parfois avec Alain aussi. Daniel courrait chez nous à chaque intercours, même quand Alain n’était pas là, il me gorgeait, certains jours je ne m’habillais même plus. Il me prenait partout, dans l’entrée, sur la table, sur la moquette, et surtout toutes les nuits, des jours et des nuits de passion sexuelle endiablée avec un homme infatigable.
C’était trop, au début, je voulais faire l’amour avec lui, puis avec mon mari, c’était ça le fantasme, mais là, ce n’était plus qu’avec lui. Alain ne disait rien, mais j’ai décidé de calmer un peu le jeu. Évidemment, c’était un peu dur pour Daniel, mais j’aime mon mari et ça devenait impossible. Pour beaucoup de raisons, je ne voulais pas arrêter complètement, on ne pouvait pas tomber d’un excès dans l’autre. Je ne voulais pas qu’il puisse aller voir une autre femme. Nous avons eu une explication à trois, et nous nous sommes entendus sur une solution intermédiaire qui nous convient bien à tous. Daniel ne vient plus que deux fois par semaine, et le samedi soir pour la nuit jusqu’au dimanche. Comme c’est toujours chaud quand même, on peut déborder sur la journée du dimanche. Je suis un peu avec mon mari. Je l’aime, on est heureux ensemble.
Daniel est vraiment le compagnon idéal pour nous. Nous sommes très jeunes, lui, plus âgé, plus puissant. C’est un peu le mâle dominant, et Alain, mon mari amoureux. Pour l’instant on fonctionne comme ça. À trois, il faut trouver un équilibre, on partira ensemble, en vacances, cet hiver, en janvier, et aux vacances d’été. Si ça se passe bien, nous essayerons de vivre ensemble par période, ou définitivement.

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