Puni Par Mon Prof De Terminale

18 ans. Je suis en terminale au lycée Montaigne et je viens d'insulter mon professeur. Celui-ci m'ordonne de l'attendre à la fin du cours. Il m'emmène dans son bureau et ferme la porte à clé. Il s'approche de moi et me demande ce qui se passerait s'il mettait mon père au courant de l'incident.
- Il dirait d'aller vous faire enculer ! Répondis-je.
- Et si c'était l'inverse ? Demanda-t-il.
- Je comprends pas !
- Si c'était toi qui devait y aller ? Je t'ai vu l'autre jour avec Kevin dans les toilettes !
- Et alors ? Ca vous a plu ?
- J'avoue que j'ai été troublé. Mais je ne suis pas le seul à t'avoir vu. Pour l'instant, personne ne peut rien dire parce qu'on ne m'a pas vu. Donc, pas de témoin pour confirmer ce qu'un autre pourrait dire. Toujours est-il que j'ai apprécié la performance. Ici, on est tranquille, dit-il en s'approchant. Lève-toi maintenant !
Il releva mon t-shirt.
- Qu'est-ce que vous faites ? Demandais-je, inquiet.
- J'ai beaucoup aimé ton petit cul, l'autre jour. Aujourd'hui, je vais me le faire.
Il m'enleva le t-shirt et me caressa le torse.
- Ta peau est douce comme celle d'une fille...Murmura-t-il.
Il ôta mes chaussures puis dégraffa mon pantalon. Je relevai les bras pour lui montrer que je me laisserai faire. Il le baissa jusque sur mes pieds que je relevai l'un après l'autre pour me débarrasser du vêtement. A ce moment, j'étais en slip.
- C'est vrai que tu ressembles à une fille. T'as vraiment un joli cul !
Il passa derrière moi et me pressa contre lui. Je sentai sa queue raide contre mon cul.

- Et ferme en plus !
Ses mains se dirigèrent vers mon sexe qu'il empoigna à travers le tissu. J'étais déjà raide depuis un moment.
- T'as l'air d'apprécier, on dirait.
Il se baissa et embrassa mon cul. Il promena son nez sur ma raie, tandis que ses mains, saisissant le slip aux hanches, le firent glisser le long de mes cuisses. Il passa sa langue sur mes fesses et le long de la raie pendant qu'il enlevait le dernier rempart de ma nudité.
Il se releva et me retourna. Pesant sur mes épaules, il m'agenouilla. Il ouvrit sa braguette et sortit sa queue. Sans attendre d'instruction, j'ouvris la bouche et pris sa bite entre mes lèvres. Il posa ses mains sur ma tête pour m'immobiliser. D'un mouvement de hanches, il fit glisser sa queue dans ma bouche, toujours plus loin, jusqu'à ce que mes lèvres touchent ses poils.
Alors, il me releva et me poussa vers la chaise. On y était. Il me pencha et posa ma tête sur le siège. Il prit mes mains et les posa sur mes fesses. J'ai compris qu'il voulait que je les écarte. Il posa sa queue sur mes reins et la fit glisser le long de ma raie, jusqu'à ce que le gland touche mon petit trou. Il s'arrêta et poussa lentement. Millimètre par millimètre, je sentais le membre pénêtrer en moi. Je pris la main du prof et la dirigeais vers ma bite pour qu'il me branle. Le gland était déjà à l'intérieur. Quand il sentit que j'étais au bord de l'orgasme, d'un seul coup de reins, il s'enfonça tout entier dans mon cul. J'éjaculais furieusement quand je sentis ses couilles s'écraser sur mon cul. Alors, il me saisit par les hanches et, à grands coups de reins, il essayait d'aller encore plus profond dans mon cul. Quand il se retira, il me regarda et, un sourire aux lèvres, il dit :
- La prochaîne fois, si tu as besoin d'être puni, tu sais comment faire !