Gisèle 13
Fabrice m'avait dit en partant "À bientôt !". Ce fut le cas
dès le mercredi en suivant
à peine remise
.
Il me téléphona sur mon lieu de travail en fin de matinée, me fixant rendez-vous devant un petit hôtel discret. Je le rejoignis et nous gagnâmes une chambre où Fabrice me fit l'amour avec une douceur et une tendresse qui me mit les larmes aux yeux. En fait pratiquement une fois par semaine je le rencontrais comme le font les couples adultères. Nous eûmes même notre chambre "habituelle". Ces rencontres continuèrent quelques temps. Pour les résumer, je vous dirais simplement que je quittais le lycée en ayant pris soins de me débarrasser de mes sous-vêtements, allais à l'hôtel, montait jusqu'à la chambre et y était heureuse. L'après-midi était plus morose, puis de retour au lycée et au travail. Une fois Fabrice m'attendais avec un inconnu
qui ne le fut plus très longtemps
. Je revis cet homme la semaine suivante. Il m'attendait seul cette fois. Une fois notre petite affaire terminée, Fabrice fit éruption dans la chambre avec l'air d'un gamin ayant fait une bonne plaisanterie. Il me félicita du show. Je ne comprenais rien. Il m'emmena jusqu'à la chambre voisine. Celle-ci était occupée par quatre hommes qui venaient de se repaître du spectacle que j'avais fourni à mon insu, car cette chambre était pourvue d'une glace sans tain et donnait sur celle que je venais de quitter. Fabrice m'informa que ce petit jeu durait depuis un certain temps
. Je dus sucer mes "admirateurs" et je crois que je gardais ce goût sur ma langue tout le reste de la journée.
P La situation devenait de plus en plus compliquée. D'une part je n'avais plus beaucoup de pulsion pour la gente féminine. Mes petits moyens, mes expériences homosexuelles, en étaient sûrement la cause. Je me voyais devenir un spectateur des la dégradation de mon épouse qui se jetait dans la débauche avec délectation. Elle auparavant si douce, si prude. C'était à ne rien y comprendre.
"Ha Philippe ! Tu diras à Gisèle que demain elle m'accorde sa journée. Je l'appellerais demains à neuf heures. Qu'elle soit prête, habillée et maquillée tout juste comme lorsqu'elle va travailler. Compris ?"
Quand elle rentra je lui rapportais ces propos. Elle sembla ne rien comprendre
moi non plus
.
G Après une mauvaise nuit pleine d'interrogation à l'heure dite j'étais donc prête. Mon portable sonna.
"Allo Gisèle ! Tu es prête ? Tu vas te rendre au supermarché. Tu as une demie heure pour t'y rendre. Je t'appelle là bas. Ah oui, prends avec toi de quoi te faire belle ce soir et ta tenue de réception. Je veux dire celle que tu portes quand on vient te voir ! Prévient ton jules, tu ne rentreras pas de bonne heure !"
Q'est ce que tout cela signifiait. La tenue, je voyais
mais le reste ? Je raflais une paire de bas résille, un porte jarretelle, mes talons aiguilles et de quoi me maquiller et filais.
J'eus juste le temps de me garer que mon portable sonnais.
"Rentres dans le magasin et vas acheter une paire de gants en de ménage en caoutchouc rose. A la caisse tu prendras aussi un cabas. Je te rappelle !"
Pourquoi des gants ? Pourquoi rose ? Je fis comme il voulait et je me retrouvais à l'extérieur des caisses, un grand cabas de plastique ne contenant que la paire de gants. Je patientais un peu en regardant au dehors la pluie qui tombait.
"Qu'est ce tu portes ?"
Je décrivis ma tenue.
"Bien ! Tu vas aller aux toilettes du supermarché, te déshabiller complètement, fourrer tes fringues dans ton sac. Mettre les gants que tu as achetés et renfiler ton imper. Tu mettras le sac dans ton coffre et tu viendras chez moi. En bas, dans le hall, tu attends mes instructions."
Mais qu'est ce que tout cela pouvait bien signifier. Quoiqu'il en soit le mélange inquiétude/excitation commençait à refaire son apparition. Je poireautais un bon quart d'heure dans le hall d'entrée avec la détestable impression que personne n'ignorais se qui se cachait sous mon imperméable que je serrais frileusement contre moi. Malgré moi je tressaillis quand le téléphone sonna. Fabrice me demanda de retourner chercher mes affaires pour le soir puis de prendre non pas l'ascenseur mais l'escalier. Pendant mon ascension je devait déboutonner intégralement le vêtement pour sonner chez lui imperméable grand ouvert sur ma nudité et comme il le précisa "et tant pis pour toi si tu rencontres un voisin !". Je fis tout comme indiqué et je sonnais en prenant bien soin de maintenir ouverts les pans de mon unique vêtement. Le sadique me laissa mariner un moment et ouvrit enfin. Satisfait, il me fit entrer et me demanda mon vêtement qu'il rangea soigneusement. J'étais intégralement nue mis à part ces gants de caoutchouc. Il me tendit un tissu. En fait il s'agissait d'une blouse d'un bleu clair vraiment moche comme celle que porte les femmes de ménages ou les femmes de service. Celle-ci était plus un vêtement de protection d'ailleurs. Sans manche, très échancrée sous les aisselles, ne fermant qu'au niveau des seins et très courte (elle s'avèrera m'arriver à mi cuisse
et encore). L'ordre fut bref :
"Mets çà ! Je t'ai fait venir pour faire mon ménage ! Si tu fais çà bien, ma grosse, ce soir nous nous amuserons !
Surprise autant que l'on l'être, je ne pensais même pas à regimber. Je me mis à faire les tâches qu'il m'indiqua.
Il m'envoya prendre un bon bain dans lequel je séjournais un bon moment en essayant d'analyser mes sensations, mes angoisses, mes désirs. Il entra plus tard dans la salle de bains et me fit me laver devant lui. Avec une minutie singulière je dus me laver les seins, les fesses, leur sillon ainsi que mon entre jambe. Jamais en vérité ces endroits n'avaient été aussi rutilants
.
Il me laissa ensuite à mon maquillage et mon habillage
. Comme à mon habitude je mis un soin particulier à me rendre désirable prenant bien soin de souligner yeux et lèvres afin de les agrandir. Je ne savais pas à qui, mais un fait était certain : je voulais plaire. C'est donc vêtue, si l'on peut dire, de bas bien tendus par mes jarretelles que je rejoignis Fabrice. A sa mine je vis que mon but était atteint. Il me complimenta :
"De jour en jour tu es de plus en plus belle Pupute ! Cela te vas très bien de maquiller ainsi, vraiment !"
Je lui indiquais que je prenais comme modèle des actrices de films pornos. Il rétorqua :
"Quelle bonne inspiration! Tu me donnes une idée ! Si je trouvais trois ou quatre type vraiment très bien montés, accepterais-tu de tourner avec eux ?"
"Ais-je le choix ?"
"Tu sais bien que non ! De toute façon, je suis sûr que cela te plairait ! Imagines un peu
une belle salope
un beau film
que je pourrais montrer à des tas de gens
avant de leur présenter l'artiste
."
Mon avis fut qu'une carrière d'actrice commencerait peut être sous peu.
Il me fit asseoir sur le canapé du salon en me demandant d'avoir les jambes très ouvertes pour pouvoir contempler mon intimité que je sentais très, mais très humides d'envie.
Il me questionna ensuite pour savoir comment j'avais trouvé ma matinée, comment j'avais ressentis le fait d'être ainsi observée humiliée. En toute franchise je lui répondis avoir eu honte d'être ainsi exposée et dégradée, mais que cette honte avait, petit à petit laissée sa place à des sensations d'excitation perverse. Cela l'amusa et il déclara qu'il s'y attendait. Il me demanda aussi, dans l'hypothèse ou il aurait trouvé des fautes (vraies ou imaginaires) dans mes activités de femme de ménage si j'aurais acceptée d'être punie. Devant mes yeux ronds il précisa :
"Oui, je veux dire par une bonne fessée ou mieux encore à l'aide d'un martinet
."
Encore une fois je lui répondis que je n'avais toujours pas la latitude d'échapper à ses désirs vicieux et que de toutes façons lui et ses comparses ne s'étaient pas gênés pour m'infliger de solides fessées d'une part et que d'autre part j'avais déjà connu une séance initiatique douteuse en compagnie de Nadine. Je fis sûrement une erreur en racontant cela car il voulut tout savoir
. La relation que j'en fis, provoqua l'apparition d'une bosse imposante sous son pantalon.
Soudain la sonnette retentit. D'instinct, je serrais les jambes. Il me l'interdit. Je les rouvrais.
Il se leva pour aller accueillir son ou ses invités. Je tendis l'oreille pour tenter percevoir quelques indications mais non, rien ! Je dus avoir l'air d'une idiote, bouche bée avec au surplus les jambes écartées. C'est une femme qui se tenait devant moi dans l'embrasure de la porte. Une femme
et dans la même tenue que moi
. Mais de plus, je crus rêver, je crus que c'était vraiment elle, puis en fait à quelques léger détails, non ! Sa ressemblance avec la journaliste qui présentait le JT en week-end était tout simplement fabuleuse. Fabrice s'adressa à moi puis à elle pour les présentations :
"Gisèle, je te présente Isabelle ! Isabelle, voici Gisèle
mais elle aime autant qu'on l'appelle Pupute !"
Elle eut un regard amusé. Il la fit asseoir sur le même canapé que moi et nous servit un verre. Quand ce fut fait il se cala confortablement dans le fauteuil qui nous faisait face. Nous dévisageant à tour de rôle il lança :
"Alors ? Qu'est ce que vous attendez ? Allez les filles ! Vous êtes là pour ça ! Si vous flirtiez une peu !"
Elle se rapprocha de moi et la main de cette magnifique blonde se posa sur mon bras. J'étais paralysée, non pas qu'elle me déplut mais je me sentais toute intimidée par sa ressemblance. Elle s'avança encore et son visage se rapprocha du mien, presque à le toucher. Ses yeux brillaient d'envie, elle me susurra :
"J'ai envie de toi !"
"Moi aussi !" fut ma réponse.
Tout près de mes lèvres sa bouche parfaitement maquillée était prête à se poser sur la mienne. Qui de nous deux avança le visage vers l'autre. Impossible de le dire, mais nos bouches se joignirent pour un doux baiser effleuré, puis pour un deuxième et un troisième
. A partir de là nos lèvres s'"écrasèrent les unes contre les autres et enfin nos langues s'unirent. Nos mains se posèrent très vite sur les seins de l'autre pour de subtiles caresses. Pendant ce temps, Fabrice mis ce temps de latence pour se mettre nu. La main d'Isabelle s'était glissée entre mes cuisses que je lui ouvris bien volontiers. Deux doigts délicats s'immiscèrent dans mon sexe surchauffé. Je gémis d'aise
. Fabrice s'approche queue tendue et nous apostropha :
"Hé les filles ! Vous m'oubliez ?"
Ce fut deux gosiers voraces qui se goinfrèrent de la belle bite de mon amant que je partageais bien volontiers. Quatre lèvres qui le happèrent, deux langues qui dansèrent un sensuel ballet improvisé sur le gland gonflé. Deux bouches qui gobèrent chacune une belle couille épilée. Il n'empêche que de temps à autre, nous nous embrassions passionnément Isabelle et moi, histoire de laisser un répit à Fabrice. Par contre nos mains n'étaient pas inactives et celle qui ne servait à masturber notre homme s'était glissée entre les jambes de l'autre.
Fabrice nous fit rompre nos activités buccales. Il fit asseoir Isabelle sur le canapé et me demanda de "lui bouffer la chatte". Dois-je préciser que je me précipitais et que ma langue se faufila dans les replis de son intimité. Me faisant me cambrer afin d'être en meilleure position, il m'enfila d'un seul coup. Je râlais de plaisir d'être enfin investie après toute cette journée de servilité si excitante. Il s'amusa à passer de ma chatte à la bouche d'Isabelle pendant un temps, enfin jusqu'à temps que je jouisse et cela ne tarda pas. Il se soulagea ensuite dans la belle bouche de ma nouvelle amante. Bouches rivées l'une à l'autre, nous partageâmes ce nectar. Le temps d'un rafraîchissement, et comme à son habitude, Fabrice était de nouveau "en forme". Il me demanda de m'allonger sur sa table de salle à manger. Puis dans le rôle de la convive il choisit Isabelle et lui demanda autoritairement :
"Allez, à ton tour, bouffes-la !"
Assise sur une chaise, elle approcha son visage du compas grand ouvert de mes cuisses et elle se mit à exécuter avec ferveur l'injonction qui lui avait été faite précédemment. Elle le fit avec beaucoup de lascivité lé chant ma vulve, aspirant ou suçotant mon bourgeon ou bien encore glissant sa langue dans ma chatte en feu. Et ça
j'adorais
. Fabrice pendant ce temps ne sa contenta pas du rôle de spectateur. Il s'occupa de la partie haute de ma personne en me roulant des pelles bien goulues et en me caressant les seins. Enfin quand je dis caresser le terme est assez impropre. Ses mains, en fait, étaient aussi goulues que sa bouche. J'aurais du dire pétrir, malaxer, triturer, manipuler
et ce, tant les globes que les mamelons. Les doigts d'Isabelle se mirent de la partie et elle m'enfonça deux doigts dans mon intimité. Ils furent bientôt trois
. J'avais, pendant ce temps tendu la main pour me saisir des attributs de Fabrice. Il fit glisser ma tête plus près du bord de la table pour m'enfourner sa bite dans le gosier. En permanence, j'avais ou sa langue ou sa queue dans la bouche, au choix
à son choix ! Isabelle avait réussi à joindre son auriculaire aux autres doigts et dès lors elle ne cessa de me branler pendant que bouche se consacrait exclusivement à mon clitoris. Inutile de préciser, je crois, que je me tordais sur cette table et que j'inondais la main qui me doigtait de plus en plus profond. Elle avait rassemblé ses doigts comme un petit sexe. Je ne pris conscience de ses intentions finales que tardivement
très ou trop tardivement
juste quand elle glissa son pouce au milieu de ses doigts joints et qu'elle attaqua des mouvements de rotation. Je voulus crier un "Noooonnn" de protestations. Comment voulez-vous que j'y arrive avec plus de vingt centimètres de chibre enfilé jusqu'aux couilles. De plus Fabrice avait plaqué ses mains sur mon thorax, m'empêchant toute rébellions. Il accompagna mon immobilisation de ses habituelles invectives du genre "Laisses-toi faire salope, tu vas aimer
" ou "Estimes-toi heureuse que pour une première fois, ce soit une femme qui te fasse çà !" ou encore "De toutes façon, tu n'as pas le choix!". Choix
non, je n'en avais plus
sinon de me laisser fister par la diabolique Isabelle. A force de pousser, la main finit par glisser en moi jusqu'au poignet. Fabrice daigna me libérer quelque instant la bouche que je puisse reprendre mon souffle et geindre tout mon saoul. La distension de mon vagin n'était pourtant pas achevée. Cette salope d'Isabelle, lentement ramena ses doigts pour fermer le poing en moi augmentant encore une le volume occupé. Le vision de son poignet et du début de son avant-bras, me pénétrant faillit me faire défaillir. Puis, petit à petit, me détendant le peur disparut peu à peu pour laisser la place à du plaisir, puis plus de plaisir, puis beaucoup de plaisir un peu contrarié par mon amant qui me pinçait le bout des seins, me faisant ainsi goûter les affres des deux sensations opposée mais pas ment contradictoires que sont douleur et plaisir. Ce fut la jouissance qui l'emporta. Brutale, inouïe, d'une intensité inconnue arquée sur la table je crois que cette fois j'ai vraiment crié
ou plutôt hurlé mon orgasme. Si bien que j'en restais "dans les vaps" et qu'à peine je sentis Isabelle retirer précautionneusement sa main. Ce furent des gémissements et des râles animaux qui me tirèrent de ma torpeur. Sans doute pour la remercier pour l'ensemble de son uvre, Fabrice enculait férocement Isabelle qui une main passée sous elle se manualisait frénétiquement. J'admirais cette étreinte et le plaisir qu'ils en reçurent tous les deux.
Isabelle nous quitta peu après et mon Fabrice me garda toute la nuit mais sagement vu ce que j'avais enduré il y eut juste une petite fellation le lendemain matin avant que nous nous séparions.
Fabrice tint quand même à me préciser :
"La prochaine fois c'est sûrement un main d'homme que tu vas prendre
il se pourrait bien aussi que ce soit ton petit cul qui soit fisté
."
Heureusement ou malheureusement pour moi ce n'était pas le genre de promesse que Fabrice faisait en l'air
.
Le lendemain Philippe bien sûr fut bougon. Le fait que j'avais découché ne lui avait pas plut.
P Je n'eus pas beaucoup le loisir de ronchonner. Dès le dimanche Fabrice téléphona pour demander d'une part des nouvelles de l'intimité de Gisèle (qui fut bien obligée de m'avouer ce qui s'était passé) et d'autre part pour m'avertir que "comme au bon vieux temps", ils seraient là le prochain samedi en début d'après midi pour, tous les dix, "se taper ma salope de femme". Elle fut ravie et ne pensa qu'à cela toute la semaine
.
G C'est vrai ! Toutes mes pensées étaient fixées vers cette date. À nouveau j'allais à nouveau me livrer à eux, enfin être le jouets de ces vicieux, à nouveau j'allais pendant des heures faire la pute de ses six jeunes pervers et subir tous leur caprices, leur envies, leurs vices et leurs travers en espérant qu'ils soient particulièrement imaginatifs pour satisfaire mes envies de débauche et de soumission. Je fus exaucée
au-delà de mes espérances
.
Toute la semaine je ne pensais qu'au sexe avec un grand S. Je repensais à toutes mes expériences récentes même au plus hard avec mon unique expérience sado-maso avec Nadine, mes débuts dans le rôle passager d'une prostituée en compagnie de Katherina et aussi celle plus récente de la main d'Isabelle me fistant. Je crois qu'en fait, je ne regrettais rien et je crois (et même j'en suis sure) que si de telles occasions se représentaient, j'y souscrirais bien, bien volontiers. Je repensais aussi à tout mon parcours initiatique sous la férule de mon Fabrice en souhaitant que cela ne s'arrête jamais. Il est vrai que l'avenir était plein de promesses. Je me souvins qu'entre autres, il avait parlé de me trouver des "consoeurs" de luxure. Où en étaient-ils ? Est-ce qu'Isabelle faisait partie de ce projet ? A l'occasion il faudrait que je questionne Fabrice.
La semaine qui s'écoula vit les mêmes habitudes se reproduire, sauf que là, ce fut dès le mercredi que je me privais et de slip et de string. Le vendredi après-midi, ayant profité de la pause méridienne, je fus aussi sans soutien-gorge en essayant d'éviter (pas trop) de déambuler dans les couloirs en affichant un balancement témoin de la liberté de mes appâts. J'y parvins presque pour la plus grande joie de quelques lycéens qui le remarquèrent. Le samedi matin me vit prête à passer à la casserole. Un coup de sonnette troubla mes préparatifs. Un livreur se présenta, voulant remettre à Monsieur B, un colis en main propre. Je hélais Philippe qui vint prendre livraison. Le petit paquet contenait un petit bristol et un objet enveloppé qui s'avéra être une paire de menotte. J'eus brusquement un coup de chaud
.
Le bristol contenait ces instructions adressées à mon époux :
1°) Pupute doit être en tenue à douze heures trente. 2°) A cette heure tu lui menotteras les poignets dans le dos. 3°) Tu lui enfilera ensuite le plug dans le cul (tu dois bien savoir faire çà !). Ensuite se sera sa fête
.
J'en tremblais
.
M'habiller, ce fut vite fait : talons aiguilles et dim-up résille. Je mis plus de temps à me coiffer et à ma maquiller. Cette fois je me fit un teint plus clair, plus poudré, pas gothique loin de là (mais il faudrait que j'y repense) pas de façon à ce que mes yeux, mes paupières et mes lèvres fardées fasse bien contraste. Immanquablement, je serais traitée de " grande salope" ou de " grosse pute"
alors
pourquoi me priver de leur faire plaisir pour qu'ensuite il puisse me faire ce qu'ils voulaient.
A l'heure dite Pupute remplissait les prescriptions de l'instruction numéro un. Un double claquement résonna dans ma tête : celui de la fermeture des menottes. C'est seulement à ce moment là que Philippe et moi réalisâmes. Le paquet ne recelait pas la clé de ces entraves. J'allais demeurer attachée et au bon vouloir exclusif de Fabrice. Mon ventre s'embrasa immédiatement. Pour le numéro trois; Philippe me conduit vers la table de salle à manger ou courbée, je posait mon buste. Des doigts et de la salive mon mari prépara mon anus dans lequel il inséra le plug. Je m'aperçus qu'en fait il faisait ça bien
ment
. D'habitude, en attendant mes amants, je ne pouvais m'empêcher de me caresser un peu, effleurant mes seins, ou mon clitoris ou encore ma vulve. Cette fois je pouvais rien faire pour calmer mon attente. Elle fut longue, une bonne heure pendant laquelle, je ne cessais de penser que dans quelques longues heures je serais couverte de sueur, de salive et de foutre gluant, que mon corps serait marqué par les étreintes des six hommes, que mes orifices seraient béants et dévastés par les multiples pénétrations que l'allais endurer. Ces pensées me faisaient mouiller comme une folle. Je suppliais Philippe de me toucher. Il refusa. Je n'eus que comme maigre consolation, le loisir de me contracter els fesses autour du plug et de les relâcher dans un simulacre de sodomies que je souhaitais profondes et très viriles. Cette attente qui faisait certainement partie du programme me rendit dingue d'envie.
Le coup de sonnette libérateur retentit enfin. Enfin ils étaient là, tous les six, l'il lubrique. Fabrice attaqua :
"Alors ma grosse, t'es chaude ?"
"Oh oui ! Je n'en peux plus ! Baisez moi vite ! Léchez moi ! Branlez-moi ! Enculez-moi je vous en prie
."
"Minute, minute, bien sûr qu'on va te faire tout ça, mais calmos, on a notre temps !"
J'ai trop envie, détaches-moi vite !""
"Te détacher ? Mais tu rêves ! Ce soir on a décidé d'r d'une faible femme sans défense !"
"Mais autrement aussi vous pourrez r, tu le sais bien !"
"Ouais
mais comme çà; ce sera pire ! Monsieur le Photographe est prêt ? Alors les gars on y va en tenue !"
La séance était partie avec quelques épisodes très hard. Il commencèrent à se dévêtir et comme désormais, traditionnellement, je dus commencer par "une tournée de pipes"
mais cette fois sans les mains. Et ce fut vrai, déjà à cet instant, ce fut pire
. Je ne pouvais pas, privée de mes mains, imprimer un quelconque rythme à mes succions. Donc eux s'en chargeaient en m'attirant la tête, en appuyant sur ma nuque, en me tirant par les cheveux aussi moi qui avait pris soin de me bien coiffer tout en sachant fort bien que tout finirait ruiné. Parfois même, ils me prenaient par les oreilles et le plus souvent c'était pour me baiser la bouche et m'enfiler leurs sexes dans la gorge. J'avais du mal à reprendre mon souffle tant la successions des six bites était effrénée. Bien évidemment, je ne pus réprimer quelque hauts le cur qui les réjouis. A un moment donné l'un d'eux se retourna pour me présenter ses fesses. Je fus un peu hésitante. Un autre me maintint la tête et je n'eus pas d'autre solution que de lécher la raie ou mon nez était enfoncé. Finalement, toujours partante en définitive pour de nouveaux caprices je léchais avec ferveur toutes les raies qui se présentèrent tout à tour et ma langue se faufila avec empressement dans les six anus de mes amants.
Ils décidèrent de changer d'activité. Toujours tirée par les cheveux, je dus avancer à genoux jusqu'à ma table de salon sur laquelle je posais mon buste. M'ayant fait bien relever mon arrière-train et écarter les jambes, je sentis le premier se présenter derrière moi. Immédiatement son sexe me pénétra. Après un "Ah la vache ! Elle est trempée !" qui renseigna les autres sur mon état, il se mit à me besogner. Presque simultanément un autre proposa sa trique à mes lèvres qui s'ouvrirent bien volontiers. Ainsi débuta, j'allais dire classiquement, une levrette synchronisée avec une fellation si ce n'est que j'étais toujours entravée et que mon fondement était toujours garni de son sex-toy. Très excité mon baiseur grogna vite sa jouissance et à peine eut-il terminé qu'un autre prit immédiatement sa place. Voilà, c'était exactement cela que j'aimais une queue partait, une autre arrivait, j'en avais toujours une en bouche et les autres attendait patiemment leur tour. Cette fois ce fut moi parti vers le plaisir. Ce que voyant, l'homme se retira de ma fente, retira mon plug, et
entreprit de le remplacer par sa pine. Mes couinements de femme enculée activèrent sans doute la montée de semence de Kevin qui me la lâcha dans la bouche. Avec délectation j'avalais le tout et de nouveau j'ouvrit l bouche pour accueillir Sébastien cette fois. Après s'$être vidés aux eux aussi il laissèrent la place à Alexis et Fabrice. Le premier en bouche et le second dans l'anus s'ingénièrent à varier les orifices : bouche, con et cul dans les lesquels il se relayèrent.
Ensuite
les premiers m'entreprirent à nouveau. Kevin s'allongea sur la moquette et on me plaça au-dessus de lui. Il glissa sa queue dans mon sexe. Sans attendre je fus poussée en avant et promptement sodomisée. J'eus qu'une ressource, ouvrir la bouche à la queue qui se pressait tout contre. La triple pénétration est déjà un exercice qui demande un peu d'entraînement tout en étant super excitante et hyper jouissive. Mais là
menottée j'était vraiment livrée aux garçons qui me malmenèrent comme une poupée de chiffon jusqu'à ce nous jouissions tous quatre. Les trois derniers me prirent de la même façon en me bourrant méthodiquement par tous les trous en même temps.
Puis ils eurent faim et soif. Ils m'aidèrent (en me tenant par les seins) à me relever et tous le monde passa à la cuisine y compris Philippe qui fut invité à continuer ses prises de vue. J'avais très soif, vous l'imaginez sans peine. Je demandais donc à être libérée. La réponse fut :
"Et puis quoi encore ?"
En fait ils me firent boire, ce que je fis maladroitement car du liquide me coula de la commissure des lèvres jusque sur les seins qui furent consciencieusement léchés. Comme les autres fois je passais de genoux en genoux pour qu'ils me fassent manger tout en continuant à me peloter. Pendant cette pose, ils me mirent au courant de leurs activités. A priori leur sex-shop marchait bien et ils avaient pris une part des clients d'Hassan. Pour augmenter cette clientèle, je fus prévenue "de mes débuts d'animatrice". Assez surpris de la soumission imprudente dont je faisais démonstration qui les excitait beaucoup et de ma naïveté dont ils profitaient insolemment, je fus avertie que moi et les autres allaient contribuer à faire marcher leurs affaires. La disponibilité de mon emploi du temps et ma disponibilité physique allait être mise à l'épreuve sans doute. Sans ambiguïté, je pensais que mon entrée dans le monde de la pornographie était imminente (à moins qu'elle n'ait déjà commencé). Quand je tentais de m'informer sur l'identité des "autres". Je fus vite remise en place par un :
"Tu verras bien le moment venu ! Surtout quand tu auras le nez dedans !"
Je me le tins pour dit et ne pipais (
) mot. D'ailleurs, j'eus bientôt la bouche assez occupée. D'abord pour supplier, puis me plaindre, puis gémir, puis sucer. J'en vis trois qui tenaient un petit conciliabule. Visiblement à leur rire et leur coup d'il à mon endroit j'étais le sujet de leur discussion. Ils débarrassèrent une partie de la table de cuisine, me firent lever et m'allongèrent de dos sur cette table dans le sens de la largeur. La position, tête pendant en arrière, le corps reposant sur mes bras et mes poignets entravés, était assez pénible. Pourtant j'allais y rester un bon moment. Deux d'entre eux me prirent chacun une jambe et me la maintint repliée contre ma poitrine. Dans cette position obscène j'offrais, sans pouvoir exercer aucun recours, mes orifices à leur convoitise. Fabrice mit le reste de la bande au courant de leurs projets.
"Vous vous rappelez, les mecs, l'autre fois ? Elle ne voulait pas prendre une canette dans le fion ! Aujourd'hui attachée, elle ne peut rien faire
elle va être très coopérative avec cette jolie bouteille
et plus si affinité
."
J'eus beau supplier, implorer prier n'y fit et je sentis le froid du goulot contre mon anus. Ce dernier ayant été quand même bien distendu par les multiples pénétrations la bouteille finit par rentrer sans trop de mal. Pendant ce temps encore une fois ma tête fut maintenue de façon à ce mon visage soit collé à une raie odorante. Ma langue fut exigée
. Le jeu de la bouteille les lassa. Enfin, le jeu de CETTE bouteille car avec un sourire sadique, ils me firent contempler la suite du programme qui n'était autre qu'une des bouteilles de Bordeaux qui avait été vidée pendant la collation. Sans aucune pitié le goulot me fut introduit et il pesèrent sur la bouteille avec de petit mouvement de vrille. J'avais une peur bleue. Le verre s'avéra solide et mon cul aussi
. ils réussirent leur entreprise et la bouteille me fut bien enfoncée (une petite digression, pour vous dire que je devins dans les semaines et mois qui suivirent une spécialiste en alcool et vins. En fin plus exactement en bouteille et encore plus précisément en diamètres de bouteilles qui visitèrent mon boyau. Cela alla des cinq ou six centimètres de la bouteille de bière au neuf centimètre de la bouteille de champagne en pas par les Alsace, Bordeaux et Bourgogne. Mais ce n'est même pas là mon record, je vous raconterais
.). Ils me branlèrent un bon moment puis me la réintroduirent de l'autre coté. Celles qui ont "pratiqué" et sans doute aussi des lectrices ont du remarquer que les hommes ont tendance à commencer toujours par le goulot, mais il y a toujours un moment ou ils veulent l'engager par l'autre coté. Pendant cette masturbation oenologique, on me tendit des sexes que je me mis à sucer avidement. Finalement la bouteille me fut retirer ma laissant un vide incommensurable. Ne dit-on pas que la nature à horreur du vide ? J'entendis Fabrice dire :
"Chose promise
."
Ses doigts avaient déjà franchis les bords boursouflés de ma rondelle. J'avais compris et aurait voulu crier. Je fus, en fait, fistée analement par Fabrice puis par un autre avec de m'évanouir sous la jouissance qui fut terrible. Jamais encore, je n'avais connue une telle chose, ni physiquement, ni cérébralement. Dire que certaine font toute une histoire quand on leur met la main au cul
moi ce fut DANS le cul
. Et encore, je n'avis pas tout vu
.
Devant mon état d'hébétude, ils décidèrent d'arrêter là et partirent non sans avoir donné la clé des menottes à Philippe qui me délivra vite.
P Cela ne pouvait plus durer ainsi. Trop c'était trop j'en avais vu assez et tout cela commençais à me dégoûter. Je le dis à Gisèle qui ne fut pas d'accord avec moi. Elle y trouvais on compte, elle
. Elle s'empressa d'en parler à son amant. Qui lui tint à peu près ce discours une bonne huitaine après :
"Tu as bien fait de me parler de tout ça ! Ton mari mérite une petite punition et puis toi aussi après tout ! Je vais vous prêter à quelqu'un pour une soirée. Vous devrez obéir au doigt et à l'il sinon, je dévoile les photos. Vous avez intérêt à être bien docile et tous les deux compris
. Quelqu'un vous contactera avec une photo en guise de preuve. À partir de là, soyez très obéissants toi et ton petit mari, c'est votre intérêt. L'attente commença elle dura une quinzaine pendant laquelle nos relations se tendirent avec Gisèle.
G De sa faute, j'allais être punie moi aussi. Qu'avais-je fait pour mériter cela. Vraiment il devenait impossible avec sa jalousie ridicule, lui que je ne faisais même plus bander sauf quand je me faisais sodomiser attifée en pouffiasse. Pendant quinze jours j'eus la frousse sans arrêt de voir venir quelqu'un vers moi en m'exposant ses ordres. Ce fut inattendu. Je me trouvais à la cantine du lycée à une table seule comme souvent à l'habitude que j'avais pour rêvasser. Deux enseignants vinrent s'asseoir à mes côtés un prof d'histoire et une prof de math. Ils me saluèrent et commencèrent leur repas. Le prof mangea vite et à près s'être excusé auprès de sa collègue quitta la table. La prof qui se trouvait en diagonale par rapport à moi attira mon attention. Elle me proposa :
"Voulez-vous que nous allions prendre le café ?"
En prononçant ses paroles elle ouvrit discrètement son sac à main en m'en montra l'intérieur. Je ne vis qu'une seule chose : une photo
de moi
en gros plan
avec deux sexes dans la bouche
.
Je baissais le nez piteusement. Elle me pria fermement :
"Allez venez !"
Je la suivis au troquet d'en face. Nathalie S. professeur de mathématiques à la réputation (à tort ou à raison) sulfureuse me dit :
"Je vais organiser une petite soirée pour les vingt ans d'une ancienne élève. J'avais besoin d'un couple d'esclave. Fabrice m'assuré que ton mari et toi feriez particulièrement l'affaire et que vous ne sauriez rien me refuser, vrai ?"
"Oui
oui, cest vrai
."
"Il parait qu'il détient des documents compromettant qui assurent votre discipline, vrai ?
"Oui
oui, cest exact
."
"Bien compte sur moi pour en profiter alors, chez moi, samedi prochain vingt et une heure ! Compris ?"
"Oui, oui c'est compris. Faut-il
faut-il une tenue spéciale ?"
"Après tout pourquoi pas
ton mari, non ! Mais toi
oui
il me semble qu'en pute
de plus il parait que cela te vas fort bien."
Et voilà
coincé
encore une fois. Mais le samedi suivant, bas résille, talons aiguille acier, semelle un peu compensées, la mini de "l'ère Roger", un bustier moulant qui cachait juste mes tétons, maquillée comme il se doit, je partis en compagnie de Philippe. Après avoir garé la voiture nous fîmes le reste du petit trajet à pied. Les rares passant se retournaient sur mon passage
évidemment ! Philippe lui, se tenait un peu à l'écart de moi, comme s'il voulait marquer la distance. C'était bien de sa faute si nous en étions là et je ne pus m'empêcher cette vacherie :
"Si tu me faisait bien l'amour, on pourrais croire que tu es un mac qui m'emmène travailler ! Loin s'en faut mon pauvre !"
Je crus entendre une insulte. Nous sonnâmes, Nathalie nous ouvrit. Peut être faisais-je pute
mais elle alors. Autant sinon plus maquillée que moi guêpière, en cuir souple violet, seins nus, bas noir et mules à talon haut, nous aurions pu faire une concours. La troisième aussi aurait pu concourir, blonde aux cheveux long, chaussures, porte jarretelles et bas rouges, l'air d'une vraie petite salope
. Elle nous présenta Alice, qui venait d'avoir vingt ans en rappelant "que la valeur n'attends pas le nombre des années". En la voyant c'était certain. Elle nous dévisagea avec une moue une peu dédaigneuse, surtout envers Philippe. Elle demanda :
"C'est aux mon cadeau ?"
Cela fit rire Nathalie qui lui répondit :
"Non, non rassures-toi ! Eux ce sont nos jouets. Un ami me les a confié pour égayer notre soirée. D'ailleurs nous allons tester leur docilité qui parait-il nous est toute acquise."
Elle se dirigea vers une petite table, et revint munie d'une paire de menottes (hé oui, encore !) et d'une cravache. Elle vint vers moi et me demanda de mettre les mains derrière mon dos. Elle me mit les menottes. Elle baissa ensuite mon bustier mettant mes seins nus. Elle commença à me toucher les seins invitant la gamine à faire de même. Elles me les pétrirent un moment, malaxant mes globes, les secouant, les giflant même légèrement, étirant douloureusement mes tétons ou me le pinçant. Malgré tout cela commença à bien me faire mouiller. Nathalie m'envoya ensuite dans un coin de la pièce ou je dus me mettre à genoux et rester ainsi. Elle me dit "de rester sage" sous la menace de sa cravache.
"Bon ! Maintenant on va s'occuper de toi mon chéri !"
C'était destiné à Philippe. Enlacées toutes les deux elles prirent place sur un canapé et demandèrent à mon mari de venir devant elles. Nathalie lui ordonna de se déshabiller. Je vis mon époux très gêné; mais bien d'obéir, se mettre nu. Elles se moquèrent bien sur de lui et de son "ridicule vermicelle". Elles me prirent à témoin et je fus obligée de confirmer que "Monsieur était mou de la bite", qu'il "était incapable de satisfaire une femme" et que "à cause de lui je me faisais enfiler comme une roulure". Elle lui demanda enduite d'aller cher une boite, genre boite à chaussure, posée sur la table.
"C'est pour toit dit-elle !"
Philippe ouvrit la boite. Je le vis se raidir et bafouiller :
"Ah non ! Il est hors de question que
."
"Tais-toi, tarlouse ! Veux tu que j'appelle immédiatement notre ami Fabrice ?"
Piteusement Philippe baissa pavillon. Il sorti de la boite un pochette et une paire de mule à hauts talons.
"Allez presses-toi !"
De la pochette il extirpa une paire de bas qu'il passa maladroitement, puis il se jucha sur les mules. Il fut ensuite menotté comme moi. Les lazzis et quolibet fusèrent de nouveau. Elle le firent arpenter l'appartement comme un mannequin en l'encourageant :
"Regardez moi cette petite lopette ! Allez ma jolie tortille ton joli petit cul ! Approches petite salope !"
Je dois dire que, quand même, je trouvais un certain sel à la situation. Philippe était rouge de honte et absolument ridicule dans cette tenue.
Nathalie envoya Alice chercher son père. Elle revint d'un autre pièce en compagnie d'un homme nu, lui aussi et également menotté dans le dos. De plus il portait un genre d'étui pénien qui devait comprimer son sexe et ses testicules. En tout cas cela devait l'empêcher douloureusement de bander. Pour l'exciter les deux femmes se collèrent à lui, le caressant partout, lui murmurant des obscénités. Sa fille prenait même un certain plaisir à lui doigter l'anus et à lui faire lécher ses doigts. Nathalie annonça :
"Mon cher François, vous allez pouvoir admirer votre fille chérie se faire bouffer par la pédale !"
Ladite fille s'assis et ouvrit les jambes. Philippe fut contraint de s'agenouiller et de lui faire un cunnilingus. Elle le trouva peu doué
. Ce que voyant Nathalie proposa :
"Attends on va changer, viens ici la pute, tu vas le remplacer! Et toi, viens me faire voir ce que tu sait faire et appliques toi ou sinon !
Toujours à genoux je m'approchais et collais ma bouche à la fente d'Alice. Celle-ci me trouva bien plus performante, et Nadine confirma que Philippe n'était pas bon à grand-chose. La sonnette interrompit nos activités buccales.
"Ah voilà ton cadeau !" renseigna Nathalie.
Elle revint accompagné d'un black dont on avait l'impression qui était aussi large que haut.
"Je vous présente Honoré !"
Il salua tout le monde d'un air distrait puis à vitesse grand V se déshabilla. Se postant en face d'Alice, il désigna son sexe et lui souhaita "joyeux anniversaire !".
Si je puis dire le cadeau était de taille
. Déjà au repos l'engin battait entre ses cuisse mais la bête se redressa sous sa main la proportion devint hallucinante. On devait atteindre ou même dépasser les trente centimètres sur un diamètre à l'avenant. Nathalie indiqua à Alice qu'elle pouvait "s'amuser" avec honoré autant qu'elle le souhaitait et que celui-ci était d'un contrôle absolu qui lui permettait de baiser des heures s'il le souhaitait avant d'éjaculer. Hypnotisée la jeune Alice s'agenouilla pour goûter ce fruit insensé. Nathalie pendant ce temps me demanda de la gouiner. Elle aussi trouva que j'étais une bonne petite lécheuse. S'adressant au père d'Alice, elle demanda suavement :
"Alors mon cher François, le spectacle vous plait ? Regardez votre chère petite fille comme elle suce bien notre ami ! Ma j'y songe peut-être voudriez bander un peu ?"
Effectivement l'homme mal à l'aise se tortillait. Elle le fit approcher et lui ôta l'étui. Immédiatement il fut en érection.
"Toi qui ne fait rien
suce le !"
L'ordre était pour Philippe. Il ne rechigna pas et se mit à l'ouvrage. Visiblement, il avait déjà pratiqué
. À l'opposé du canapé, Alice avait fait asseoir Honoré et se mit délicatement à se laisser glisser sur le tronc d'ébène. Vu la taille elle y allait très posément. Nathalie me fit remarquer que "mon mari aussi était une bonne petite pute, vu comment il taillais des pipes il n'avait sûrement rien à m'envier!". Je dois dire
. Elle fut encore plus perverse. Faisant s'approcher le père d'Alice elle le délivra et lui dit :
"Allez y cher François, je sens que vous en mourez d'envie, enculez-le !"
Que voulez-vous que fasse Philippe ? Obéir, autant que moi, quand mes amants me plongeaient dans la débauche. Philippe fut placé entre Nathalie et Honoré, a genoux, buste posé sur le canapé. Pendant qu'Alice chevauchait son amant et que je broutais la maîtresse des lieux, François, se positionna derrière mon mari et lentement s'introduisit entre ses fesses. A la façon dont mon
mari se positionnait et se cambrait, je notais que vraisemblablement, il était (lui aussi) habitué de cette pratique. Il se plaignit à peine de l'intromission.
Le dénommé François se mit à l'encule avec vigueur et j'enviais presque Philippe d'autant que je devais continuer de lécher Nathalie. Je crois que celle-ci compris ma frustration.
"Regarde ta petite lope de mari, comme elle se fait bien mettre ! Allez petite tante, donnes bien ton cul ! Et vous François, ne vous retenez pas, foutez le bien à fonds !"
Dans l'ordre, Alice, François, Alice (encore), Nathalie jouirent bruyamment. Alice "finit" Honoré en le suçant et ce fut un véritable jet de sperme qui lui baigna le visage.
Nathalie invita ses hôtes à boire une coupe de champagne. Le couple "d'esclave" que nous formions resta à genoux et entravé sans boire. Pendant cet intermède, Nathalie proposa à Alice de faire sodomiser par Honoré sous les yeux de son père. Elle refusa de peur déchirée par l'énorme trique précisant "qu'elle s'était déjà fait ruiner la chatte ". Honoré proposa donc ses services à la belle Nathalie. Elle eut une mine gourmande en acceptant la proposition. Toute fois elle déclara :
"Attendez, je reviens !"
Elle revint munie d'un assez gros godemiché à lanière qu'elle s'assujetti. Se dirigeant vers Philippe et moi elle sembla (ou fit semblant) d'hésiter et s'interrogea :
"Laquelle des deux va prendre ça dans son petit derrière ?"
J'espérait vraiment que ce fut moi l'élue. Malheureusement, elle eut un sourire sadique en me regardant et en disant :
"Finalement non
je crois que je vais choisir ce joli petit mâle
tu vas vois petite fiotte, je vais m'occuper de ton cul pendant qu'Honoré s'occupera du miens."
Philippe fut détaché et dut se mette à quatre pattes en levrette. Nathalie vint se placer et lui introduisit le sexe factice dans l'anus. Philippe grimaça, l'engin était plus gros que membre de François. Honoré, s'installa à son tour et entreprit lentement de sodomiser Nathalie. Dantesque
voir ce dard s'enfiler dans les reins de Nathalie était impressionnant. Elle devait avoir (elle aussi) une sacré habitude de prendre du rond. Pourtant Honoré finit par rentrer un bon morceau de sa pine dans le fondement dilaté et le trio se mit en mouvement. Chaque coup de rein du black était transmis à Philippe par l'intermédiaire de Nathalie. Pour "faire bonne mesure", Nathalie invita François à venir se faire sucer par Philippe. J'aurais espéré qu'il me fut destiné, mais non ! Toujours de ma langue je dus aller cajoler la vulve d'Alice qui', un peu plus tard m'inonda le visage de sa jouissance. Dans un grand cri, Nathalie prit son pied et demanda à ce que son enculeur se délivre dans ses boyaux. Il le fit, bien entendu, et pratiquement au même moment François éjacula dans la bouche de mon époux. Et moi
sur ma faim
encore
toujours
. Avisant une petite flaque ou Philippe se tenait agenouillé, Nathalie m'ordonna, en temps que sa femme, de nettoyer les cochonneries de mon mari, évidemment avec la langue
.
Nathalie nous congédia ensuite tous deux. C'est là que tout dérapa. Je me plaignis de ma frustration. Philippe méchamment me proposa de me déposer sur un trottoir "vu mon accoutrement". Je rétorquais : "Qu'avec des bas et entrain de se faire enculer, il n'était pas mal comme pute lui aussi".
Arrivé à la maison, les invectives fusèrent, le portes claquèrent, se ré ouvrirent, les insultes jaillirent. Chacun dormit de son coté. Le matin ne fut pas plus serein. Cette fois tout était dit, le divorce était en route. Philippe prit quelques affaires et claqua la porte. Bon débarras
impuissant va !
Fabrice me téléphona dès ce lendemain. Il dit avoir eu les félicitations de Nathalie pour son choix et m'avertit qu'elle pensait me retenir pour une prochaine séance. Je la revis les jours suivant. Elle s'excusa presque du rôle qu'elle m'avait fait tenir et me parla de ses futurs projets auxquels elle m'associerait. Elle voulait une classe de garçons (surchargée bien sûr) à laquelle elle ferait faire des dictées de textes pornographiques. Et quand tout le monde serait chaud
elle se laisserait saillir par la trentaine d'élèves. Dans le cadre d'échanges scolaire, elle me réservait le rôle d'une prof d'un autre lycée justement présente ce jour là
. Bien que chargée la perspective me réjouit. Elle était à la recherche d'une "salle de classe". Naturellement, si ce projet avait lieu, je vous en conterais les détails.
Mais revenons à ce coup de fil échangé avec Fabrice. Je lui annonçais que sans tarder les procédures de séparations allaient s'engager. Il fut ravi :
"Enfin tu vas être à moi tout seul
enfin quand je dis à moi tout seul
.."
Tout de suite il voulut que j'habite avec lui. Je demandais un temps de réflexion. Il avait, me dit-il, beaucoup de projet pour moi et il souhaitait que je cesse mon travail. Pour, comme il dit en plaisantant, qu'il me fasse devenir une des plus grande putain de la ville. Mais je m'interrogeais, plaisantait-il vraiment ? Là aussi je demandais un temps de réflexion.
Je résolus donc de m'accorder quelques vacances pour faire le point.
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