Katia La Première Fois
J'ai toujours trop aimé les femmes et leurs charmes pour être fidèle à mon épouse. A l'époque j'étais marié et entretenais quand même une autre liaison avec une collègue de travail.
Je vais vous raconter une aventure vécue avec une jeune fille prénommée Katia. J'avais alors 29 ans et Katia 19 ans. Elle venait d'avoir son bac et c'était sa première année en fac, première année aussi a vivre seul dans sa chambre.
Si mon épouse et ma maîtresse avaient la ligne, Katia était très jolie de visage mais plutôt bien en chair même obèse, elle n'était pas le genre de fille qu'un garçon aime généralement séduire. Elle e souffrait d'un dérèglement hormonal qui provoquait ce surpoids.
Au collège, j'étais déja sorti avec une fille un peu ronde et je me rappelle que c'était très agréable de passer ma main sous ses vêtements et de caresser ses petites rondeurs. J'ai été amené pour le travail à revoir à plusieurs reprises Katia. Je me suis vite aperçu qu'elle avait flashé sur moi. Sa jeunesse et son innocence excitait le pervers que je suis, et ce n'est pas son embonpoint qui allait me décourager.
Un jour, j'ai pu m'isoler au bureau avec Katia. Je l'ai alors prise par ses hanches boudinées et attirée tout contre moi pour lui voler un baiser. Elle n'opposa aucune résistance à cette étreinte et partagea volontiers ce baiser. Alors que j'étais plutôt satisfait de cet assaut réussi, elle me fit relâcher légèrement mon étreinte, pris un peu de recul, et me lança :
- Eh, dis donc tu n'es pas marié toi ? On dit aussi que tu couches avec ta collègue de bureau ?
Je tente alors de lui expliquer que la vie est courte et qu'il faut en profiter pour prendre du bon temps. Et à ma grande surprise elle accepta et nous reprîmes notre étreinte amoureuse. Elle me donne alors son adresse de sa chambre.
Nous étions à la veille des vacances de Noël. J'avais pu avancer mes congés pour être libre cet après-midi là, ainsi ma femme me croyais au boulot et ma maîtresse avec ma femme.
Nous étions chez elle, elle me laisser rentrer dans sa petite chambre et vint se blotir entre mes bras et m'offrit ses lèvres. Pas de préliminaires, visiblement nous savions tous deux pourquoi nous étions là.
Je m'assis sur son lit et l'invita à s'asseoir à coté de moi. Tout en l'embrassant je commençait à parcourir son corps de mes mains comme un aveugle. Après un rapide aperçu au-dessus des vêtements, mes mains approfondirent leur examen en se faufilant sous les vêtements de ma jeune partenaire.
Sa peau était chaude et douce. Elle avait des seins énormes enserrés dans un soutien gorge. Son ventre formait plusieurs bourrelets. Je ressortis une main pour prendre l'une des siennes et la placer sous mon tee-shirt, l'invitant ainsi à me caresser pour prendre contact avec mon corps.
Elle me fit une légère et rapide caresse avant de ramener sa main là où je l'avais posée. Mes mains continuèrent leur exploration en ressortant et en prenant contact avec ses grosses fesses au travers de son jean. Je commençais à vouloir la déshabiller lorsquelle m'arrêta :
- Attends, il faut que je te dise, j'ai jamais fait cela.
Rassurant, je lui répondis :
- N'est pas peur, je veux seulement te caresser, si tu le veux pas, nous ne fairons rien aujourd'hui.
J'avais quand même ma petite idée, et me faire une vierge ne me déplaiser pas. Je frotterais ma bite contre sa peau sur son ventre. Rassurée par mes paroles elle me laissa la déshabiller. Alors que je pensais découvrir des sous-vêtements de grand-mère, je découvris un soutien-gorge et une culotte en dentelle noire.
Je dégrafa son soutien gorge dégageant ainsi ses deux énormes mamelles qui s'affalaient de chaques côtés de son ventre. Je les ramassa et y plongea ma tête et les couvris de baisers.
Derrière les bourrelets de son ventre et de ses cuisses on distinguait à peine sa culotte. Tout en continuant à m'occuper de ses tétons, ma main se fraya un passage à travers les bourrelets pour atteindre sa culotte et son pubis couvert d'une épaisse toison.
J'envoya en éclaireur un doigt à l'ouverture de son intimité, il m'indiqua qu'elle était toute mouillée. Je quittais donc les tétons durs et gonflés de plaisir. Je descendis doucement vers son pubis en couvrant son ventre de baisers. Je caressa doucement son entre jambe pour qu'elle me laissant un libre accès.
J'humais sa petite culotte odorante puis la débarrassa de ce dernier morceau de tissu. Elle était à présent nue devant moi. Quant à moi, j'étais presque encore habillé. Malgré mes invitations ma partenaire n'osait aucun geste. Mais elle m'excitait énormément et mon sexe était tendu à mort et me faisait mal. J'entrepris donc de me déshabiller.
Lorsque je fût nu je pris ma jeune partenaire dans mes bras tout en l'embrassant et la caressant. C'était super bon de sentir son corps nu contre le mien. Mon sexe était dur contre son bas ventre mais Katia n'avait aucune réaction. Depuis que je la caressais elle n'avait eu aucune réaction, pas un souffle, pas un râle, pas un mot malgré mes invitations à partager son plaisir.
Seuls ses tétons durs et son sillon humide trahissait son plaisir. Je décidais de fourrager dans son épaisse toison pour lécher sa petite chatte rose. Puis je la retourna, embrassa ses fesses puis alla avec ma langue à la découverte de sa petite rondelle que je lécha abondamment avant de la caresser avec le pouce et de l'entrouvrir. Je pensais peu à mon propre plaisir, j'étais plus préoccupé par celui de ma jeune partenaire.
Je retourna vers sa chatte et lécha abondamment son petit clito gonflé tout en caressant le périnée, son anus que j'entrouvrais à peine sous l'action de mon doigt pour ne pas lui faire mal, puis j'osa un doigt dans son sexe chaud et humide.
- Si tu veux rentrer tu peux.
Je repris mes caresses. Je la sentais crispée.
- N'es pas peur Katia, lui dis-je.
Mais elle restait tendue. Je présentais à l'entrée de sa petite grotte chaude et humide mon sexe dur. Je m'enfonçais doucement par des tout petits va-et-vient au bord de son vagin. Puis de plus en plus profond mais elle était toute crispée et son vagin bien serré.
Enfin, mon sexe était au fond de son intimité. Après quelques va-et-vient mon excitation eut raison de moi et inonda son con de grandes giclées de sperme tout en me contrôlant pour ne pas lui donner de grands coups de reins qui auraient pu lui faire mal.
Je restais de longs moments planté dans son sexe affalé sur elle comme un cheval mort. Je me rendis compte alors que nos corps étaient en sueur.
Katia était devenue une femme cet après-midi là entre mes bras et elle ne l'oubliera jamais. Elle avait eu mal mais elle était heureuse d'avoir été aimée. Nous nous quittâmes après un dernier baiser.
Je repartis vers ma femme avec le souvenir de cet après-midi sur chaque centimètres de ma peau et dans ma tête. Je revis ensuite Katia à plusieurs reprises dans les mois qui suivirent.
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