On Peut Toujours Compter Sur Ses Potes Quand Ça Va Mal !
Vers l'âge de 19 ans, alors que j'étais en première année de fac, je sortais avec une jolie brune qui s'appelait Arianne et avait pour qualité principale de cumuler un corps parfait et un grand sens de l'humour. C'était en outre une déesse au pieu qui n'avait peur de rien à part que je m'écroule de fatigue après les "traitements" qu'elle me faisait endurer. Mes potes étaient tous jaloux de moi, d'autant plus que je ne me privais pas pour leur détailler toutes nos histoires de cul. Fellation, sodomie, éjac faciale, Arianne n'avait peur de rien et moi non plus. Malheureusement toutes ces qualités fort appréciables s'accompagnaient d'un caractère de feu qui m'en faisait (aussi) voir de toutes les couleurs. Nos engueulades aussi faisaient aussi partie du menu de mes conversations entre potes.
On est resté ensemble assez longtemps tant et si bien que bien souvent, les autres nous considéraient comme une seule personne et c'est un peu à cause de ça que, quand mon pote Lucas a décidé d'organiser un week end chez lui il nous a invité tout les deux.
Il a aussi invité Yann et Antoine, nos deux inséparables acolytes et leurs copines respectives. Le week end prenait déjà l'air d'une sortie entre couples avant même d'avoir commencé.
A peine deux heures avant le départ, Arianne et moi étions en train de nous prendre le choux ce qui arrivait inévitablement quand elle avait ses règles et qu'elle devait endurer l'abstinence e. Sur un coup de tête elle m'a annoncé qu'elle ne viendrait pas et je me suis retrouvé comme un con à rouler tout seul vers ce qui devenait de plus en plus à mes yeux un piège plus qu'un week end de détente.
Arrivé là bas je me suis retrouvé en face de trois jolis petits couples, souriant jusqu'aux oreilles, les filles savaient déjà (par Arianne) que je viendrais seul et l'avait répété à qui voulait bien l'entendre. Salutations, politesses, invention de fausses excuses plus tard, j'étais assis sur un lit trop grand, dans une chambre trop grande.
Le lendemain, je ne l'ai pas non plus allumé, après un petit déjeuner assez copieux, je me suis dit qu'il était temps de (tenter de) s'amuser et comme je n'avais jamais visité Bordeaux, nous sommes tous les 7 allés y faire un tour. La maison se trouvait à une demie heure de route de la ville. On a fait un peu de shopping, on s'est baladé et le soir venu, alors que nous étions en train de dîner en terrasse, nous avons décidé de rester en ville pour sortir en boîte.
La règle c'est que celui qui conduit c'est celui qui ne boit pas. Apparemment, avec mes amis, c'est plutôt : celui qui est seul, c'est celui qui ne boit pas et conduit. J'ai passé la soirée au jus de fruit et quand il fut temps de rentré, j'ai ramené tout ce beau monde dans sa chambre. En rentrant dans la mienne, j'ai vu mon portable sur la table de chevet, je l'ai allumé, il était inondé de messages d'Arianne qui m'annonçait notre rupture.
J'étais pas très bien alors je suis allé toquer à la première porte, celle de Lucas. Quand je suis entré, celui ci était en train de limer l'anus de sa copine, à quatre pattes sur le sol mais le haut du corps posé sur le lit, elle mordait un coussin en gémissant de plaisir et manifestement aussi de douleur vu la taille de l'engin de Lucas que j'avais déjà vu des tas de fois dans les vestiaires de la natation.
En entrant, je suis tombé nez à nez avec cette scène, je suis immédiatement ressorti. Sa copine ne m'avait pas vu car il y avait un meuble entre elle et moi. Lucas a du sentir que quelque chose se passait puisqu'à travers la porte il m'a demandé si quelque chose n'allait pas. Moi je lui ai répondu que ça pouvait attendre demain mais il m'a demandé d'entrer. Quand je suis entré il était en train de se retirer de l'anus de sa partenaire qui écartait ses fesses avec ses mains en même temps qu'elle soufflait profondément. Lucas m'a regardé, il s'est dirigé vers moi, nu, alors qu'il enlevait la capote de sa queue encore complètement raide.
- C'est Arianne, t'inquiètes je suis au courant...
Il s'est retourné vers sa copine, que je ne voyais plus du tout car elle se cachait au fond du lit et lui a dit qu'il revenait dans pas longtemps.
Sans même se rhabiller, il est sorti dans le couloir et s'est dirigé vers la salle de bain, je l'ai suivit tout en continuant à discuter avec lui, lui expliquant les détails de l'histoire. Dans la salle de bain il s'est lavé les mains et la queue, se les ai séché. Il avait à peu près débandé mais son gros machin restait impressionnant alors qu'il ballotait entre une grosse paire de couilles pendantes. Je lui ai alors demandé :
- Dis moi, t'arrives à lui mettre tout dans le cul à Lucie?
Il m'a répondu machinalement, en séchant le gland :
- Oh tu sais, elle crie un peu pendant que j'enfonce la première moitié mais après elle doit pas trop souffrir, sinon elle en redemanderait pas! Hier soir aussi on l'a fait que par derrière.
- Combien de fois ?
- Deux fois, après chaque sodo je lui fait un cuni, sans mentir, elle joui a chaque fois au bout de 2 minutes. En plus elle se touche le clito pendant que je la prend, je sais pas combien d'orgasmes elle a mais elle y trouve son compte.
- Ouais j'ai cru comprendre !
- Viens on va voir ce que font les autres !
Il était un peu saoul, il ne s'est même pas mis une serviette autour de la taille, moi j'étais en boxer et on est descendu à l'étage d'en dessous. Antoine n'était pas dans sa chambre, sa copine ronflait seule dans le lit. Quand nous sommes entrés dans la chambre de Yann, il était sur la chaise du bureau, face à nous, sa meuf nue, assise sur le sol était entre ses jambes et lui pompait le dard en lui doigtant l'anus. On voyait son bras remuer doucement pendant qu'elle utilisait l'autre main pour le branler. Il a sourit en nous voyant mais n'a rien dit. Elle s'est retournée et nous a vu tous les deux, dont Lucas, 1m9O tout en muscles fins, blond, nu, laissant pendre une queue de 15 cm au repos, le gland découvert et encore rouge d'avoir enculer une bonne partie de la nuit.
Lucas, un peu saoul, m'a glissé :
- Tu vois, lui il doit avoir plus de problèmes que moi à la rentrer dans son cul. Tu vois, c'est pas la longueur qui compte !
Sans penser à ce que je disais, j'ai rétorqué du tac au tac :
- Je me demande déjà comment elle fait pour prendre juste son gland dans sa bouche ...
Yann a chuchoté à sa partenaire d'aller se mettre dans le lit et il est sorti de la chambre avec nous, sans se rhabiller non plus, comme si on était toujours dans le vestiaire de notre club de natation.
On est allé dans la salle de bain pour que Yann puisse se débarbouiller et Lucas lui a alors demandé si sa copine était avaleuse de sabre dans le civil.
Yann nous a alors demandé pourquoi on était venu, je lui ai expliqué la situation en descendant au salon ou nous avons trouvé Antoine en train de se branler devant son ordinateur portable. Quand il nous a vu, deux à poil et un en boxer, il a dit :
- Pas la peine de me raconter ce que vous venez de faire, je ne veux pas l'entendre, je suis en chien, Amélie avait encore " mal à la tête".
Lucas s''est approché de lui et lui a pris l'ordinateur en disant :
- Montre moi ce que t'es en train de regarder !
C'était une histoire d'asiatiques et de blacks bien membrés pas très originale qui servait de compensation à Antoine. Il nous a expliqué que ça n'allait pas pour le mieux avec sa meuf et que ça faisait maintenant près de deux semaines qu'ils n'avaient pas baisé. Pour ma part, ça faisait déjà plus d'une semaine et je commençais à ressentir le manque. J'ai alors parlé de ma situation et du fait que " je vendrais père et mère rien que pour une pipe". Lucas a alors lancé :
- Je savais qu'on avait mal fait de pas le laisser boire!
Il est allé chercher une bouteille de wiskey et un verre. Il a posé le verre devant moi, y a mis quelque glaçons, l'a rempli de sky et m'a dit :
- Il te plait le porno là? Je lui répondu que ça allait.
Matte ton porno, moi je m'occupe de toi. Je vais te remonter le moral, je te dois bien ça. Il s'est mis entre mes jambes, a baissé mon boxer et a commencé à me sucer.
On avait jamais reparlé de la fois où, lors d'une branlette collective dans les vestiaires du club de natation, je l'avais sucé. (voir ma première histoire). Pas parce qu'on en avait honte, au contraire, ça ne nous a pas empêché de nous branler à nouveau tous ensemble des tas de fois par la suite, mais par pudeur certainement. J'ai pensé que c'était à cet épisode qu'il pensait quand il a ajouté "je te dois bien ça" et j'avais raison puisqu'il allait le confirmer quelques minutes plus tard.
Je buvais mon verre de Wiskey en mattant un bon porno pendant qu'il me suçait, tous mes problèmes s'envolais. D'un côté de moi Yann se branlait et de l'autre Antoine en faisait de même. Je les regardait et leur ai dit :
- J'espère que je vous ai pas gâché vôtre soirée, se retrouver là à se pogner alors que vous étiez en train de baiser des filles trop bonnes...
Lucas a sorti ma queue de sa bouche et m'a dit :
- Tu sais cette fille je l'ai niquée tellement de fois...et puis toi je te dois une pipe !
Yann m'a alors demandé :
- Il fait ça bien ? On dit que les mecs sucent mieux que les nanas...
- Ouais, il fait ça trop bien, lui ai je répondu en posant la main sur la tête de Lucas.
- N'empêche se faire sucer par un gars tu dois quand même être un peu pédé ...
Ca c'était du Yann tout craché, pour coller à son apparence de mec fort, viril, poilu et macho il sortait ce genre de réflexions.
Lucas a alors détourné son attention de ma queue et a commencé à lécher celle de Yann qui s'est mis a gémir de sa voix rauque ...
- Putain c'est vrai que tu fais ça bien, vas y mets en plus dans ta bouche.... Ahh putain c'est bon...
Lucas a arrêté tout net ce qu'il faisait et est revenu vers moi. Yann a lancé :
- Reviens Lucas, désolé, aller reviens...
- Non, c'était juste pour que tu la fermes, je suis pas vôtre pute non plus, j'essaye juste de remonter le moral de Jerem.
J'ai ajouté :
- J'ai bien vu que t'as kiffé qu'elle te mette un doigt dans le cul quand elle te suçait !
Antoine lui a alors demandé si ça faisait pas un peu "pédé" de se faire doigter comme une fille, Yann a défendu que c'était trop bon, qu'il y connaissait rien.
C'est à ce moment là que Lucas s'est relevé en disant :
- Je suis désolé, j'en peux plus là ! Putain, t'es toujours trop long à gicler toi !
Yann l'a regardé et a dit :
- Bon, tu vas voir, moi je te le fais gicler en deux secondes...mais je vous jure, si yen a un qui en reparle un jour, je le tue !
Il s'est mis entre mes jambes et m'a pompé le gland en me branlant très vivement. Il a en suite glissé un de ses gros doigts dans mon cul, puis deux. Je n'avais vraiment pas l'habitude d'être doigté, ça me faisait mal puis, petit à petit ça m'a fait du bien. Antoine s'est posté derrière Yann et a commencé à le doigter, il s'est mis a gémir comme une pucelle, il a agrippé la main d'Antoine pour le faire aller plus profond. Un, puis deux, puis trois doigts, ma bite dans sa bouche il prenait son pied en se branlant en même temps. Lucas a écarté sa main de son gros manche et l'a branlé. Yann ne l'a pas remarqué, mais j'ai vu Antoine approcher sa bite du trou de son trou. Il avait un beau membre qui devait mesurer dans les 17 centimètres, profilé et racé, avec une hampe droite recouverte d'une peau tendue, blanche laiteuse sur deux tiers et du revers rosé de son prépuce sur le dernier tiers. Un filet de liquide transparent coulait déjà de son gland rose, il l'étala sur le l'anus de Yann qui, occupé à m'aspirer la queue, ne prêtait pas attention à ce qui allait lui arriver. Antoine a alors enfoncé une partie de son gland, puis le gland en entier, Yann gémissait de plus en plus et quand Antoine a réussi à lui enfoncer la moitié de sa queue, il s'est retourné, a essayé de se débattre, mais, dans la position où il était Antoine pouvait le maintenir fermement à la taille. Lucas lui tenais la queue, moi je lui ai tenu la tête pour qu'il ne se déconcentre pas de mon dard et Antoine a commencé à le ramoner sérieusement. Il prenait de plus en plus de plaisir, sa queue était dressée en dessous de lui, il poussait de petits soupirs en chuchotant des insanités du genre "putain c'est trop bon". Moi j'attendais avec impatience le moment où Antoine allait gicler ses deux semaines d'abstinence. Pour m'être déjà branlé des tas de fois avec lui je savais que c'était de loin celui qui giclait le plus d'entre nous, sa queue était déjà en train de lubrifier l'intérieur de Yann, des gouttes coulaient de son anus et parcouraient les boules d'Antoine avant de tomber sur le sol. Je savais qu'il était capable d'en remplir des verres entiers avant même de commencer à jouir pour de bon. C'était un petit gars d'1m75 qui ne payait pas de mine à première vue. Derrière sa mèche de cheveux on lui donnait le bon Dieu sans confession mais déjà son t shirt enlevé on voyait sa musculature sèche de nageur, un tatouage sur le bras gauche qui se détachait sur sa peau blanche, des abdos en acier, une belle queue assorties de boules pendantes et un beau petit cul. Plus que nous tous, peut être même plus que nous tous réunis, il avait un appétit sexuel gigantesque. Capable de se branler pendant des heures, de bander coup sur coup 5 ou 6 fois, il en avait essoufflé plus d'une. Nous étions les seuls à savoir qu'il trompait sa copine parfois plus de trois fois par semaine et c'était presque toujours lui qui proposait la branlette quand nous étions tous les quatre réunis. Devant nous il avait déjà rempli un demi verre de sperme en une fois, constamment en chaleur, il imposait son rythme à Yann qui beuglait tout ce qu'il pouvait. Antoine était de ce type de mec qui, quand il avait besoin d'une satisfaction sexuelle, pouvait la chercher aussi bien chez un homme que chez une femme, nous le savions. Pour nous c'était surtout quelqu'un de très discret qui était un peu notre héros et que nous avions beaucoup de plaisir à interroger sur ses histoires de cul. Il s'était déjà probablement branlé une ou deux fois avant qu'on l'interrompe... Au bout d'un quart d'heure de ce traitement il commença a émettre des sons rauques qu'on aurait jamais pensé entendre de lui, presque des grognements, frappant de façon virulente les fesses de Yann il lui ordonna de serrer les fesses, Yann lui a répondu :
- T'es fou, je veux pas que tu me remplisse comme ton verre sale pédé...
Antoine lui a répondu du tac au tac :
- Serre le cul, je sais que tu préfères ma queue aux doigts de ta copine, alors c'est pas la peine de te la péter.
Il l'a alors agrippé par les cheveux en lui disant :
- Pas vrai ?
Tout en l'enculant de plus en plus fort. On entendait son pubis claquer contre le cul de Yann qui avançait un peu à chaque fois
- Dis le ! Allez dis le !
Il continuais à le fesser, lui faisant de grosses marques rouges, Yann se laissait faire mais ne disait rien et se contentait de gémir. Et puis tout d'un coup il a chuchoté :
- Oh putain ça vient...
...Et a posé sa main sur les fesses d'Antoine pour l'encourager à le défoncer encore plus. On voyait ses fesses musclées se contracter sur la bite d'Antoine qui rugissait encore plus.
Je me branlais devant cette scène en compagnie de Lucas, assis à côté de moi, qui tripotait son énorme machin. Yann avait toujours la queue tendue malgré que personne ne la touchait et d'un seul coup son gros cylindre commença à tressaillir et à cracher des flots de sperme sur le tapis et le canapé. Antoine lui remplissait le cul en même temps, des flots de semence s'en écoulait et ruisselait sur leurs boules.
Antoine s'est retiré, à gifler Yann avec sa queue redevenue flasque avant de lui rouler une énorme pelle. Il s'est assis à côté de nous et a recommencé à se branler.
Au bout de trente secondes sa queue était redevenue raide et recommençait à suinter de liquide séminal. Il a alors commencé à me toucher, la queue, puis les boules, puis l'anus, et à me doigter.
J'avais envie qu'il m'encule, juste pour voir si il était capable de baiser encore une fois. Je l'ai regardé et lui ai dit :
- Je te préviens, moi je suis pas aussi facile à faire jouir que Yann...
Ce dernier tentait de reprendre ses esprits sur le tapis en face de nous, Lucas lui caressait le cul, il en avait envie mais n'osait pas. Transformé, Yann a levé la tête vers Lucas et lui a dit :
- Je crois que je suis prêt pour ta bite !
Et quelle bitte... de loin la plus longue et la plus impressionnante de la bande. Au bas mot 21 cm de chaire recouvert d'une peau tendue à l'extrême, tellement tendue qu'elle miroitait. Un bon gland au bout d'une hampe interminable qui s'achevait par une grosse paire de couilles de cheval pendantes qui allaient bientôt claquer contre celle de Yann.
Je me suis mis à quatre pattes sur Yann, en 69, il m'a sucé la bite pendant qu'Antoine rentrait la sienne en moi. La bouche pleine, ma queue étouffait ses cris de douleur alors que Lucas lui mettait son gros machin sans ménagement. On s'est fait enculer comme ça tous les deux, ma bite dans sa bouche et une partie de son énorme gland dans la mienne.
Antoine était une bête, il me pilonnait comme si c'était la première fois qu'il baisait ce soir là, il m'a défoncé pendant au moins un quart d'heure jusqu'à ce que ses coups de butoir et les caresses bucales de Yann sur ma queue commencent à faire leur effet. Je sentais son machin entrer et sortir de moi, ma prostate gonfler, Yann suçait admirablement bien et me tripotait les boules en même temps. J'allais jouir quand Antoine est sorti de moi, m'a éjaculé une énorme dose de sperme sur le dos et a re rentrer sa queue immédiatement en moi. Toujours raide, il était infatigable, sa queue ne faiblissait pas, il continuait à me niker en me tapant sur les fesses comme si j'était la dernière des salopes avec lesquelles il trompait sa copine.
Alors que je suçait Yann, Lucas, dont la bite faisait des aller retours dans ses fesses juste en face de mes yeux depuis un moment, a sorti son gros manche sur trou dégoulinant de Yann, et se branla devant mon visage. Antoine, visiblement excité par cette scène en fit de même et presque simultanément ils lâchèrent leurs doses. Antoine sur Yann et Lucas sur moi.
Epuisés, ils s'écroulèrent par terre, le gros sexe de Lucas redevenu flasque, pendait entre ses jambes et le gland traînait par terre. Couverts de sperme, Yann et moi ne voulions pas en rester là.
J'ai toujours été très lent à jouir et je comptais bien fatiguer Antoine, mon but atteint, je voulais quand même gicler une fois avant d'aller dormir et l'énorme bite de Yann était la seule chose qui pouvait m'y faire parvenir.
Nous n'avions jamais parlé de l'épisode où, au lycée, il m'avait enfoncé son mandrin dans le cul (voir seconde histoire), beaucoup trop macho pour admettre qu'il avait désiré un autre mec et moi beaucoup trop fier pour admettre que je m'étais laissé enculer par lui.
Ce soir là j'en avais plus rien à foutre et je voulais qu'il me fasse jouir. Il s'est posté derrière moi et m'a enfoncé sans ménagement son mandrin. 16 cm ne font largement pas le même effet quand ils sont aussi épais qu'une canette de coca. Il m'a défoncé comme ça, sans que je puisse dire quoi que ce soit, il s'entait le sperme et la transpiration et j'adorais ça. Il avait les nerfs de s'être fait enculer toute la soirée et passait sur moi sa frustration de mâle d'avoir joui comme une fille sous les coups de boutoir d'un gamins accro au sexe. Moi je morphlais à fond, mais j'aimais ça, il savait déjà comment me prendre.
Lucas et Antoine regardait la scène en se tripotant. Antoine avait à nouveau la queue raide comme un piquet et se branlait rapidement en tripotant l'anus à Lucas.
Lucas s'est alors couché à côté de moi et a commencé à me branler en même temps. Mes boules remontaient et ma queue durcissait tellement que j'en avais mal, j'ai alors lâché une semaine de frustration sur la gueule à Lucas qui m'a léché le gland avec avidité.
Un peu frustré, Yann s'est mis à regarder Antoine et en clin clin d'oeil lui a sauté dessus, le maintenant à quatre patte fermement avec ses gros muscles et malgré les coups, il l'a enculé d'un seul coup. Lucas m'a sucé une dernière fois pendant que je regardais cette scène et nous sommes allé nous choucher.
Yann et Antoine ont continué leur combat de coq toute la nuit, s'enculant tour à tour plus de dix fois d'affilée pour trouver qui était le plus viril des deux.
Le lendemain matin, nous avons trouvé Antoine et Yann nus sur le canapés, enlacés comme deux collégiens amoureux.
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