Fâcheuse Rencontre... La Suite
En retournant vers le village, Geneviève et moi ne parlions pas ! Nous nous tenions fortement par la main, et les pressions que
nous exercions nous rassuraient sur ce que pensait lautre !
Nous avions vécu quelque chose dinsensé ! Jamais dans notre jeune tête nous aurions imaginé que cela fût possible. Tant de
perversion, de brutalité dans lacte amoureux qui pour nous nétait que romantisme.
Pourtant, bien que victimes cela nous avait plu. Nous nen parlions pas bien sur, mais nous le savions lun et lautre, nous
avions pris plaisir à nous faire maltraiter et humilier. Certainement que le fait de vivre cela ensemble avait décuplé nos
sensations.
Cest sans hésiter, peut-être aussi parce que nous ne savions pas où aller, que nous sommes retournés à la grange le jeudi
suivant... et beaucoup dautres.
A chaque fois notre tortionnaire est arrivé peu de temps après notre entrée (sans doute nous surveillait il, caché dans la
campagne.
Tout de suite les mêmes menaces de dénoncer Geneviève à son père Fernand.
Les choses se sont ritualisées, il nous faisait mettre nus côte à côte, à quatre pattes, et il entamait une série de fessées qui nous
rougissaient rapidement le derrière. Jétais persuadé quil pouvait frapper beaucoup plus fort. Geneviève et moi nous nous
embrassions, avec passion unis par la langue face à notre bourreau.
Rapidement après cette correction infligée, débutaient les hostilités. Nous le sucions à tour de rôle, ensemble. Geneviève et moi
échangions des regards complices, amoureux, excités de vivre cela lun à côté de lautre. Nous avions limpression de nous
protéger mutuellement, ce qui était totalement faux.
Notre complicité agaçait un peu le rustre qui redoublait de perversité. Il nous plaçait de telle façon quil sortait du con de
geneviève pour me mettre sa queue dans la bouche.
Ensuite Il nous faisait faire la course à quatre pattes dans la paille, il nous ordonnait de nous bouffer le cul. Il exigeait que nos
langues rentrent profond dans nos oeillets. Je prenais vraiment plaisir à cette pratique et il ne manquait pas de sen apercevoir en
me traitant aussitot de PD, de petit enculé qui veut se faire prendre le fion. Ses grossières humiliations ne faisaient que renforcer
mon plaisir.
Il décida de me prendre le cul comme un PD que je suis, ce quil fît avec violence. Heureusement, sur son ordre, Geneviève vînt
me sucer la bite et les couilles ce qui atténuait ma douleur. Les mots injurieux quil débitait tout en me labourant le fion eurent
raison rapidement de moi, et jéjaculais de long jets de foutre dans la bouche de ma dulcinée qui vînt aussitôt me prendre la
bouche pour me donner à manger une partie de ma semence. Nous communions avec cette ostie liquide à la table de notre
plaisir.
Cest certain que nous nétions plus contraints, mais partenaires du gougeat. Heureux de découvrir et subir ensemble toutes ces
choses inédites.
Une fois, ce pequenot et arrivé avec un autre type, aussi sale, aussi rustre. Ils nous ont pris ensemble, nos deux culs côte-côte,
et ils alternaient tout en commentant les avantages de lun ou de lautre. Préférence toutefois au cul de ma belle qui fût ramoner
de fond en comble, en large en travers et surtout en double. Elle criait de douleur surtout, mais aussi dexitation car elle voulût
aussi que je lui donne ma bite à sucer...
Lapothéose arriva vite, et le sperme coula à flôts pour lui innonder le cul, la chatte et la bouche. Quand elle eût récupérée un
peu, je reçus lordre de la nettoyer avec la langue, et elle trouva plaisir à me rendre accessible le moindre recoin de sa chatte et
son cul.
Ils sont repartis comme ils sont venus, rapidement.
secret.... Nous jouissions dêtre mal traités et humiliés.
Nous avons vécus les deux années suivantes en fac à Lille, et je viendrais ici vous raconter quelques aventures que nous avons,
volontairement ou non, recherchées... et trouvées.
Vos commentaires me font très plaisir, nhésitez pas à communiquer avec moi.
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