Plaisirs Coquins
Je suis tentée depuis plus de trois mois, par la beauté excitante de ma voisine de pallier. Elle est grande, de ma taille, avec dans les yeux un air de « je suis bonne ». Je ne fréquente plus personne, dans le lit au moins, depuis trop longtemps. Cest pour ça que je me console le soir: en regardant la télé, en lisant des histoire de cul, et enfin à chaque fois que je prends un bain: je préfère me caresser dans leau jusquau cou. Depuis que je lai vue, je fantasme sur elle: il me semble que nous sommes ensemble couchées nos mains parcourant nos corps. Ce nest plus ma main sur mon bouton, cest la sienne qui va et vient. Cest elle encore qui entre deux doigts dans mon anus.
Il faut que je revienne en arrière:
Les plaisirs de la vie, je les ai connu très tôt, comme sans doute la plus part des femmes, un soir dans mon lit: jéprouvait comme une envie de toucher mon entrejambe. Jai donc commencé très tôt à me masturber. Je nen ai aucune honte, surtout que quelques temps après ma copine de lépoque me décrivait ses façon de trouver du plaisir. Nous allions vers une liaison saphique. Jaimais bien quand sa main remplaçait le mienne sur mon bouton. Je le lui rendais toujours. Un peu plus tard nous avons pratiqué le 69. Cétait devenu pour nous nécessaire.
Vers 18 ans , elle me fait connaitre un ami avec qui elle avait fait lamour en me disant quelle avait joui mieux quavec moi. Jen étais jalouse. Je marrangeais pour le lui chiper et nous avons passé une nuit extraordinaire. Je me souviens encore de lorgasme que jai eu avec une bite dans mon ventre. Par ma suite jai renouvelé lexpérience plusieurs fois avec des hommes différents, sans jamais plus avoir de jouissance. Je conserve de cette époque un godemichet dont je me sert quelques fois quand jai besoin dune bite en moi.
Je me suis consacré à des étreintes avec des filles: je ne le regrette pas. Jai toujours atteins des sommets de plaisir et je ne suis plus déçue.
Je rêve delle: je me vois avec mes cheveux longs sur son corps, lenveloppant totalement quand ma bouche est sur elle. Je commence à en avoir assez de penser à elle, qui naime peut être pas les femmes, ce qui est probable.
Et enfin ce début daprès midi de samedi où nous nous adressons la parole pour la première fois. Sa voix est rauque comme celle dune femme en mal damour. En me regardant dans les yeux:
- Je vous trouve belle.
- Cest réciproque, et en plus
- En plus quoi ?
- Je suis heureuse que nous bavardions un peu.
- Allons chez moi, ce sera plus agréable que sur le palier.
Elle ne pouvait me faire plus plaisir de memmener chez elle. Nous allons dans son séjour: elle mincite à massoir sur un fauteuil pour venir sur celui dà coté. Elle moffre un verre dalcool que je refuse, nous commençons à bavarder des voisins que nous ne connaissons pratiquement pas, puis du temps, dune foule de choses qui nont quun lointain rapport à lamour physique. Ce nest quau bout dun bon moment que je remarque sa tenue: elle porte une mini jupe en jean, un t-shirt, des chaussures basses. Je regarde ses jambes presque nues: elles me semble plus belle que dans mes rêves. Elle saperçoit que je la regarde.
- Vous aimez mes jambes ?
- Bien sur, elles sont belles et sexys.
- Vous nêtes pas mal non plus avec vos longs cheveux.
- Je rêve de cette rencontre depuis un non moment.
- Pourquoi ? Je vous plais.
- Bien sur jaimerai partager un moment dintimité avec vous.
Elle nen semble pas étonnée, au contraire, elle se lève pour venir membrasser sur la bouche. Je nattends pas sa langue: la mienne est déjà dans sa bouche. Je me lève pour ne pas paraitre inférieure. Nous nous enlaçons, nos corps bien contre celui de lautre. Jai un bras autour de son cou, lautre est autour de ses hanches. Notre baiser dure un bon moment.
- Jai envie de toi, me dit-elle.
- Moi aussi, jen rêve depuis quelques semaines.
Je pose une main sur un sein. Elle ne doit pas porter, pas plus que moi, de sous vêtements. Je sens ses tétons durcir. Je continu de la peloter. Elle me laisse faire, en fermant les yeux, à croire que mes caresses dépassent celles des autres. Je mets ma main sur sa cuisse: elle commence à écarter les jambe. Je monte lentement entre ses cuisses pour arriver directement sur sa chatte nue. Je ne veux rien lui faire avant que de son coté, elle aussi me touche. Elle attend pour que jarrive sur son bouton, situé en haut de sa chatte bien mouillée.
Je caresse son sexe, dabord son bouton, puis en lui faisant écarter les jambes je peux la doigter. Jai mis deux doigts dans sa vulve. Cest largement suffisant pour que je la sente jouir. Il y a tellement de temps que jattends cet instant de sentir un orgasme féminin. Je nose lui demander ce quelle voudrai pour avoir encore une jouissance. Nos lèvres sont encore réunis. Elle oublie de me prévenir quand elle mentraine dans sa chambre encore en désordre. Je peux voir sa nuisette posée sur le lit et japerçois un joli gode sur la table de nuit : elle aussi aime la masturbation, solutions des isolées. Elle prend le contrôle en commençant pas aller sous ma robe. Elle me caresse les cuisses en montant vers mon bouton. Je fais comme elle, jécarte mes jambes au risque de tomber. Jarrive péniblement à sortir de ma robe. Ma nudité lexcite pas mal. Elle aussi enlève son t-shirt et sa jupe.
Son corps me semble encore plus sexy. Jai envie delle. Je la fait sassoir au bord du lit, les jambes écartées. Jai une vue plongeante sur tout son sexe bien mouillé. Je massois sur le tapis et pose ma tête là où il faut pour que la langue la lèche où je vais la faire jouir. Je ne sais même pas ce quelle aime dans lamour. Je sais que jai encore plus envie de lui bouffer la moule. Je pose ma bouche sur sa fente comme si jembrassais tout son sexe. Je sens tout dabord son odeur qui ajoute à mon excitation. Que dire de la douceur de toute sa chatte.
Je nespère quune seule chose: quelle me branle. Je sens sa main sur le pubis, je sens deux doigts aller sur mon clitoris. Il me semble voir toutes les étoiles du ciel autour de mon corps: elle me fait jouir comme une dingue. Je suis secoué de spasmes: elle narrête pas sa caresse. Je prends sa main pour quelle me doigte. Cest encore un succès: je jouis toujours. Arrive ce que jespérai sans le lui demander: elle arrive à poser un doigt sur mon anus. Elle ne fait que le caresser avant denfoncer complètement son doigt dans mon cul. Je suis secouée encore par un orgasme monumental. Elle arrête cette masturbation. Je lui réclame un 69. Comme toute fille attirée par une autre fille, cest une chose qui ne se refuse pas. (pour mon premier 69, javais une peur bleue dêtre obliger de passer ma langue sur un sexe). Elle reste couchée comme elle est: cest moi qui lenjambe pour arriver entre ses cuisses ouvertes. Je nhésite pas à inspecter toute sa féminité. Je mattache à son clitoris: il est toujours très doux de lécher cet organe. Je lui demande de se baisser un peu plus sur moi, sinon je ne pourrai pas lui lécher le cul.
Je sens ces lèvres prendre mon bouton, elle lavale pour le rejeter et recommencer sans fin.
Il nous faut nous reposer, nous avons tout simplement mal à la langue. Nous sommes toujours enlacées et nous nous parlons longuement. Je me raconte, et elle aussi:
Quand elle était jeunes, trop jeune elle sest donné à un garçon de son âge qui la dépucelé sans savoir la faire jouir, même si elle état excitée. Ce nest que vers 21 ans quelle a pu jouir avec un de ces amis qui vous oublient en route. Elle a remonté la pente avec une connaissance qui la initié réellement au saphisme.
Depuis quelle habite en face de chez moi, elle aussi me désirait. Elle mexcite sans le savoir. Jai besoin de quelque chose de fort: je lui demande de me baiser avec son gode. Elle me touche le sexe, comme pour vérifier que je suis bien mouillée. Ensuite elle prend la gode, se met la chatte sur ma bouche, et me rentre enfin ce gode. Elle me baise comme le ferait un homme.
- Cest ma préférence, je me branle avec les doigts et toujours ce gode dans la chatte.
Je ne peux parler, jai la bouche pleine de son bouton. Je la sens jouir, à ces moment elle arrête de me baiser. Pour finir, je lui prend le gode et me baiser seule. Je suis toujours entre deux jouissances quand jarrive à la faire déguerpir de ma figure pleine de cyprine.
Je finis de me baiser et lui demande si elle veux que je la baise aussi. Je nai pas de réponse, elle vient contre moi, le sexe bien offert. Je me penche et en lembrassant jarrive enfin à la lui mettre. Je la fait encore une fois jouir quand je lui demande si elle ne veut pas que je mencule. Bien quelle ne se soit jamais faite mettre par là, elle me demande de la prendre par cette ouverture.
Je nai que peu de déplacement pour poser le gland sur son anus: elle louvre à deux mains. Je vois son cul sélargir surtout quand je commence à lenculer. Elle métonne: je la dépucèle su cul. Placée comme elle est, elle me demande de la sucer encore. Jarrive à le faire.
Maintenant il est réellement temps de nous arrêter. Je sors du lit nue, comme quand jy suis entrée. Elle me tend les bras pour un dernier baiser. Ce nest quen entrant chez moi que je me rends compte que je suis encore nue. Tant pis, je viendrai demain et pour me rhabiller et pour baiser, encore et encore, je lai dans la peau
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