Le Bon Jp Et Caroline
...C, le délateur sur le retard, me fit de nombreuses confidences sur les turpitudes de mon ex femme Caroline, infirmière de 38 ans dans un hopital du Loiret (voir mes précédents récit).
Avant cette nuit de garde qui, semblent il, fut le déclenchement véritable de ses activités libertines, elle avait eu une aventure un peu particulière avec l'un de ses collègue et ami, le « Bon JP«
... Dans son discours à mon égard, il n'était qu'un ami ... mais elle le concédait, un ami "plus" ... elle le considérait comme son frère, se plaisait elle à dire...
J'avoue que j'avais beaucoup de mal à accepter leur relation : quand j'avais eu le CV initialement, il n'y avait pas de beau frère répertorié ...Une relation qui m'avait toujours semblée ambiguë et qui avait été à l'origine de nombreuses disputes entre Caroline et moi... une relation qui en grande partie était à l'origine de mon départ.
Sur ce sujet encore, C m'apporta des éléments qui confirment aujourd'hui que mes doutes étaient fondés, mais j'étais loin d'imaginer la nature malsaine de leur relation ...
Tout aurait commencé il y a 10 ans. Le Bon JP, un énergumène dépressif alcoolique notoire et Caroline, collègues de travail, s'était lié d'amitié. Il savait y faire le bougre pour amadouer les femmes avec son passé tumultueux qui l'avait mené dans le gouffre. Agé de près de 50 ans, il est assez charmant... vivant au dépend de celles qui écoutent ses jérémiades et se prennent d'affection pour ce torturé de la vie. Il avait réussi à embobiner mon infirmière de femme, confidence qu'il fit à C qui me la rapporta. Comme de bien entendu à l'hopital, tout reviens souvent au sexe ... et c'est à l'occasion d'une discussion sur le sujet que le Bon JP confia les larmes aux yeux à mon ex qu'il y avait bien longtemps qu'il avait gouté aux plaisirs du sexe et que cela lui manquait .... à force de persévérance il su embobiner la blonde caroline qui se retrouva un après midi après le travail dans son appartement, alors qu'elle l'avait déposé chez lui.
Sans doute plus fragile que d'habitude et sous le charme du perfide dépressif, elle écouta pleine d'empathie le bellâtre geindre ... qui bientôt, à force de sanglot ... demanda à caroline si elle ne pourrait pas lui apporter un peu de réconfort, juste comme ça, personne n'en saurait rien ... pour la bonne cause et le trou de la sécu ! car son moral irait mieux et fini les cachetons !!! Et puis elle est si belle caroline ... si douce ....
Caroline refusa d'abord mais d'après le JP, sans grande conviction et il sentit une faille .... A force de persévérance, il obtint de caroline, qui, il est vrai, est très altruiste et à le coeur sur la main (d'ou sa vocation d'infirmière), qu'elle lui autorise certaines friandises .... mais sans qu'il y ait jamais pénétration !!! Au nom de la forte amitié qui les liaient, le pacte fut ainsi scellé !
La "caressant dans le sens du poil", à force de compliment sur sa personne et son physique, il obtint cet après midi là que la belle dévoila sa poitrine ... il y avait si longtemps qu'il en avait contemplé une aussi jolie .... Ils étaient si attirant ses seins, leur peau laiteuse qui semblait si douce, les frêles bourgeons qui tendaient fièrement vers le plafond ... un réconfort autant qu'une force inspiratrice pour ce poète torturé dans l'âme qui éveillait son esprit mélancolique .... et tendait son engin : il obtint l'accord de caroline qu'il se masturbe sous le tissu tendu de son pantalon en poursuivant sa contemplation... La belle Blonde assise dans le canapé face au bon JP, qui ne semblait pas indifférente et paraissait même flattée et fière de l'effet qu'elle produisait, accepta de caresser délicatement ses globes en pinçant ses tétons rouges sang, aux auréoles ridées par l'excitation qui montait.
JP émis mielleusement le souhait que sa proie lui laissa contempler son sexe. mais caroline protesta catégoriquement cette fois, non sans rougir à la demande, d'une voix douce et d'un ton néanmoins désolée.
Elle regardait de temps en temps la main de son ami branler sa bite, le regard troublé, le souffle légèrement haletant.
Elle consentit à ce que le pantalon soit ouvert pour faciliter la caresse ... elle passa malgré elle la langue sur ses lèvres d'un air gourmand lorsqu'elle vit la main s'engouffrer dans le pantalon et le mouvement de va et viens s'accélérer... c'est bouche bée qu'elle assista à la jouissance de JP qui éjaculait abondamment dans son pantalon en râlant dextase, sans quitter du regard les nichons de sa blonde collègue ; Caroline eu un sourire plein de tendresse envers son bon JP, durant son orgasme et jusquà ce quil « revienne à lui« ...
Les seins toujours à l'air, Caroline obtempéra quand JP lui demanda gentiment d'aller lui chercher un kleenex et s'approcha tout prêt pour lui donner, un sourire aux lèvres et les yeux reflétant une certaine satisfaction. Elle fut troublée presque gênée lorsqu'elle vit son "nouvel ami" nettoyer son gland qui dépassait du tissu....
Il burent un dernier café et fumèrent une dernière cigarette et Caroline s'enfuit, en retard .... elle dirait presque la vérité à son mari, de toute façon "on a presque rien fait de mal" s'accordèrent ils à dire en plaisantant.... je t'ai déposé chez toi, nous avons bu un café discuté voilà tout ... il comprendra .....
c'est ainsi que l'amitié entre mon ex et "son bon JP" comme elle aimait à l'appeler, pris une nouvelle tournure, toute particulière ....
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