Caroline Ou L'Héritage D'Une Mère Salope
Javais donc appris la relation particulière de mon ex femme Caroline avec « le bon JP » de la bouche de C, leur collègue de travail. JP sétait à mainte reprise confié à lui
Pourquoi C me confiait il tout cela ? Cette question que je métais bien entendu posée me paraissait accessoire : Je minterrogeais plus sur le comportement de Caroline et ses raisons.
Il est vrai que notre relation sétait détériorée au fil des années
comme pour beaucoup de couples
Moi-même, délaissé et affligé par le manque de libido de mon ex, je passais plus de temps devant mon écran dordinateur à visiter certains sites pornos plutôt que de me coucher à ses côtés.
C. fantasmait il ? Etait il mythomane ? Certains détails quil donnait sur la physionomie intime de Caroline prouvaient quil lavait vue nue
Dans ma réflexion, jexplorais lhypothèse dun incidence « génétique » dans le comportement de mon ex femme. Il est vrai que son père avait un penchant certain pour le libertinage
sa mère nétais pas en reste dailleurs
Le père de Caroline multipliait les relations extra conjugales. VRP, il était loin de son foyer des semaines entières. Caroline avouait quelle avait souffert de ses absences durant lenfance et ladolescence
.
Il y a quelques années, alors que lex beau père sétait fait démasquer lors dune aventure adultère, je métais rapproché de mon ex belle mère, qui sétait confiée à moi
Elle en avait beaucoup souffert, mais désireuse de garder son mari et de sauver son couple, elle avait fait de nombreux efforts
notamment sur le plan sexuel mavait elle confié en répondant à la question que javais osé poser lors de lune de nos conversation en voiture : « ah ça
il na pas à se plaindre à ce niveau là
jai beaucoup pris sur moi-même
je ne peux pas te dire de quoi il sagit, mais jai accepté certaines choses qui lui tenaient à cur pour répondre à ses attentes
»
.
Lorsque nous allions passer le week-end chez mes ex beau parents, je me laissais régulièrement aller à quelques perverses « fouilleries »
P
arfois, volontairement, je déclinais linvitation daller faire une ballade digestive, afin de me retrouver seul dans leur maison. Javais suffisamment de temps pour aller farfouiller dans la chambre de lenvoutante Martine, visitant vicieusement ses armoires et ses tiroirs ; jadmirais ses dessous, ses nuisettes et fit un jour quelques découvertes percutantes :
La belle mature empilait sous son lit des revues libertines, notamment Union
La pauvre, seule toute la semaine, il fallait bien quelle passe le temps lors des longues soirées.
Tout troublé par ma découverte, je menais plus loin mes recherches et découvrit sur le dessus de larmoire poussiéreux, un coffret qui lui ne létait pas ! coffret qui renfermait 2 godemichets : un rose dune bonne vingtaine de cm, superbement bien nervé et un blanc beaucoup plus petit
Martine était parfaitement bien équipée pour satisfaire à ses pulsions solitaires !
Dans un carton dans le bas du placard, étaient soigneusement rangés des dessous beaucoup plus extravagant, combinaison résille intégrale ouverte au niveau des seins et de lentrejambe, nuisette noire entièrement translucide, menottes, corset en latex avec portes jarretelles, un ensemble fait de lanières et danneaux de cuir destinés à encadrer la poitrine et les fesses ; maintien seins en dentelle rouge et string ouvert assorti
mini jupe en cuir noir, boules de geisha
Mon trouble se muta en excitation.
Je décidais après réflexion de remplacer la cassette par une autre subtilisée dans la vidéothèque, que je rendais dabord inutilisable, afin de masquer mon forfait
Je la visionnerai de retour chez moi.
Ce jour là, tout excité, jallais dans la salle de bain, je fouillais le bac à linge sale. Jen extirpais ses dessous salis, souillés et en les respirant, en les léchant, en les suçant, je me masturbais
elle avait un gout à la fois aigre et sucré qui me rendait fou.
Dans un état second, jallais mallonger sur son lit, je pris le gode rose et je le léchais en me masturbant plus fort ; puis jéclatais et recueillant ma semence étalée sur mon ventre, jen enduisais le gode
je nettoyais le reste de mon sperme sur son oreiller
lidée que mon jus participe à ses prochains jeux solitaires (peut être le gouterait elle en léchant le jouet) et que sa tête repose sur mon venin me rendait dingue !
Je passais le reste de la journée en regardant Martine dun autre il, fasciné par ses seins imposants et son cul avenant, limaginant nue
nos discussions auraient désormais pour moi une autre saveur
Le soir même, alors que tout le monde était endormi, je restais dans le bureau prétextant des recherches à faire sur le net pour mon travail (ce qui marrivait régulièrement). En réalité, javais prévu de réaliser une fouille en règle du PC familial. Je nétais pas au bout de mes surprises
Jentrais sur le « bureau » de Martine et je fouillais ses documents et images personnels
jy trouvais quelques photo prises avec la webcam : bingo
jy des captures de cam montrant la vieille perverse à différentes étapes dun chaud streap tease
son visage était illuminé de regards et de sourires que je ne lui connaissais pas
des expressions provocantes bouche ouverte tête relevée ; ou tête baissée regardant lobjectif par le bas, langue tirée mimant le léchage dun seins échappé du corsage quelle remontait à lextrême vers son visage.
La suivante : encore la même position, mais cette fois ci deux doigts étaient enfoui dans la chatte béante ; elle regardait lobjectif par-dessus son épaule dun regard lubrique.
Sur Les prises suivantes elle était vautrée sur le siège de bureau, le corsage totalement ouvert, le soutient gorge baissé sous les seins. Ses deux globes laiteux étaient magnifiques. Ils semblaient lourds. Me paraissaient doux. Deux tétons dun bon centimètre trônaient à leur sommet, deux framboises rouges sur des auréoles larges et fripés par lexcitation. Elle empoignait ses deux nichons à pleine main et les pressaient lun contre lautre en les remontant, les distordant presque ; le slip avait disparu et les cuisses étaient largement ouverte. Sa chatte était offerte, large, accueillante, suintante, le poil fourni. Là encore le regard et le sourire dune femme que je ne reconnaissais pas, qui navait plus rien à voir avec la douce et réservée Martine que je côtoyais.
Limage suivante, dans la même position mais 3 doigts enfoncés jusquà la garde dans le vagin
Celle daprès : lindex et le majeur de chaque main légèrement insérés dans le vagin écartant violemment les grandes lèvre et offrant un trou qui me semblait démesurément large ; et profond et toujours ce regard obscène, semblant dire, « vient me baiser » , ce sourire invitant à la luxure et la débauche.
Je visitais les autres fichiers personnels de Martine sans plus rien trouver
Je décidais de voir si je pouvais accéder à ses Emails.
Au milieu des messages communs, jen découvrais certains plus chauds, pour la plupart des échanges avec son mari, certains banal mais dautres plus coquins voire carrément chauds.
Puis un message échangé avec une de ses amies intitulée : « souvenir dune soirée inoubliable »
Le texte du message disait à peu prêt ceci : « Chère Claire, nous avons passé une excellent soirée en votre compagnie au club. Ce sera à refaire dès que possible. Ci-joint une photo souvenir. Bisous coquins
Martine
Jouvrais le fichier joint : une photo apparu. Je reconnu la Claire en question, une femme dune cinquantaine dannée que javais croisée une fois. Moins jolie que Martine. Les deux femme mures étaient assises sur un canapé rouge, dans ce qui me semblait être une discothèque. Elles étaient toute deux côte à côte, serrée lune contre lautre, joue contre joue. Elles brandissaient chacune un verre de champagne vers lobjectif, un beau sourire et un regard évocateur illuminaient leur visage.
Je détaillais Martine, délaissant Claire, une blonde trop maigre, qui nétait pas vraiment à mon gout
Mon ex belle mère semblait nue sous la robe longue fendue très haut. Assise comme elle létait, sa jambe droite était dévoilée jusquen haut. Elle était positionnée de ¾ et jentrevoyais dans le décolleté très profond une mamelle presque intégralement dénudée. Claire avait une main posée sur sa cuisse gauche
il devait sagir dun club libertin vue la tenue et lattitude des deux coquines.
Incroyable ! je nen revenais pas
je me souvenais des confidences de Martine dans la voiture :
« il na pas à se plaindre à ce niveau là
jai beaucoup pris sur moi-même
je ne peux pas te dire de quoi il sagit, mais jai accepté certaines choses qui lui tenaient à cur pour répondre à ses attentes
»
Ainsi donc pour sauver son couple, Martine était passée du côté obscur de la force. Je la pensais frêle, timide, réservée ; elle sétait vraisemblablement mutée en une chaude libertine, en une comtesse de la nuit. La femme que je redécouvrais ce soir tenais plus de la vieille salope que de la bonne mère de famille
. Miss Hyde
Il se faisait tard
. Mais je navais pas envie dabandonner mes recherches
Je fermais la messagerie qui mavait livré tous ses secrets. Jouvrais un tiroir du bureau puis un autre
rien
Je vis le cartable du beau père. Je le fouillais. Dans une pochette à fermeture, je découvrais une clef USB. Je linsérais et lexplorais. Un fichier « perso » attira mon il. Je louvrais
.
Des dizaines de photos de Martine, habillée, dénudée légèrement, carrément nue
. Dautres de groupe
Il me fallait une copie du fichier avant daller plus loin dans mes investigations. Je le copiais sur ma propre clef. Alors que je terminais ma manipulation, du bruit au rez de chaussée
. Quelques clics et jétais revenu sur mon fichier alibi. La porte du bureau souvrit et Martine passa la tête :
« Tu nes pas couché ? il est tard tu vas être crevé ! Mon pauvre ton boulot te prend beaucoup de temps ! Penses à toi un peu
Je me fais une eau chaude
tu en veux une ? «
jacceptais et fermant le PC, je la rejoignais dans la cuisine
»
ce qui me laissait également le temps de me remettre de mes émotions, de me ressaisir
javais du lui sembler confus et limite pris en faute
. Je la rejoignais après mêtre « repris en main »
Elle était de dos, devant le plan de travail. Mon regard se posa demblée sur son beau cul généreux. Elle était en peignoir de bain bleu noué à la ceinture.. pas très sexy. Elle se tourna et me sourit
« tas avancé dans ce que tu avais à faire ?
- plus que je ne limaginais
oui
- tant mieux ! »
Elle se tourna pour me tendre mon eau chaude et je ne pu mempêcher de plonger mon regard dans son décolleté
elle sen aperçu. Nous nous sommes assis au bar séparant la cuisine de la salle à manger - salon. Elle resserra le peignoir sur son décolleté
Nous avons échangé quelques banalités.
Javais bien du mal à donner le change après ce que javais découvert ! Javais Martine en face de moi et Miss Hyde à lesprit
javais envie de la prendre là maintenant, de lui arracher son peignoir de bonne mère de famille, de la plaquer contre le mur de lui bouffer la bouche, de lui pétrir ses gros nichons et de fouiller sa grosse chatte à pleine main
. De lui dire
. « je sais ce que tu es en réalité Martine, je sais ce que tu fais la nuit devant ta web cam
»
. Javais envie quelle me suce goulument
.
Elle mit un terme à la conversation en lançant « je vais me recoucher »
elle déposa une bise sur ma joue et disparu
.
Je restais seul quelques instants avant de monter moi même
Je revoyais des images. >il fallait que je me branle
que je me purge
. Ce que je fis
Je montais me coucher ensuite près de Caroline
qui se détourna
Caroline, pourquoi nes tu pas comme ta mère ?
Cest ce que jai pensé avant de mendormir
. Jétais bien loin dimaginer à lépoque que la génétique avait bien uvré dans ce sens ! Mais ça nest pas moi qui en profitais
.
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