Le Jeu 5

La deuxième journée commençait avec intensité et je me demandais ce que mon Maitre me réservait pour la suite, sans trop m’inquiéter réellement. J’éprouvais un du bien-être à ne rien choisir et à laisser quelqu’un décider pour moi, ai-je réalisé avec étonnement. De plus, il m’avait conduite à de grands plaisirs, et je me sentais en sécurité, malgré l’inattendu de ce que se passait depuis ma rencontre avec cet inconnu.

Toujours vêtue de ma tenue de soumise je le rejoignis au salon, où il m’attendait avec son air impassible et exigeant que je commençais à reconnaitre comme le signe de début du jeu. Je m’approchai de lui en hésitant, il me prit par la main, puis l’épaule, et je me retrouvais …à ma place… je commençais à le savoir, et n’hésitais plus à prendre son sexe en bouche, sa main sur ma tête, et ses mots en ordres secs…

« Prends ma bite dans ta bouche, suce-la bien, petite chienne, petite pouliche, fais ton travail, ouvre la bouche, mieux que ça…Répète… »

« Oui Maitre, je suis à ma place, avec votre bite dans ma bouche »,

Je n’aimais vraiment pas dire ces mots horribles et bizarres, mais je le fis, soumise à sa main dans ma chevelure. Il m’imposa à nouveau son sexe au fond de ma gorge, me retenant de mes résistances, s’arrêtant juste avant que je ne puisse plus le supporter. J’étais partagée entre douleur et plaisir car il m’avait caressée la chatte avec tant de précision que j’avais joui en même temps. Mon esprit était en confusion… Je restai haletante à côté de lui tandis qu’il se levait, tirant sur la laisse qu’il avait passée à mon cou. Je me dressai mais il me commanda de rester à genoux, ce que je fis aussitôt, me laissant guider ainsi au milieu de la pièce, comme son animal de compagnie, sans me rebeller, le corps en feu et la chatte en fusion. J’avais si envie qu’il me prenne, j’espérais qu’il le fasse, j’attendais donc...

Il me positionna de la main pour que je me cambre mieux, caressant et fessant mes fesses, tandis que je gémissais, le visage entre mes mains sur le tapis, les cuisses écartées et offertes à mon Maitre.

Il commença à toucher mon petit trou. Je gémis que je ne voulais pas, mais il continua, j’avais peur d’avoir mal, mais il me caressa si bien et me tenais si fermement que je ne dis plus rien quand il me prit enfin, doucement, par paliers, attentif à mes réactions, et je repris confiance. Je me détendis et il put s’introduire complètement en moi, j’avais un peu mal mais aussi du plaisir, et il commença à aller et venir en mon cul, et je jouis par une étrange sensation, que j’avais déjà connue, mais très intense.

« C’est bien ma pouliche, je te monte comme tu le mérites, donne moi ton cul. Dis que tu aimes ma bite dans ton cul… »

« Oui mon Maitre, j’aime… »

« Dis-le j’aime votre bite » et il me claqua la fesse jusqu’à ce que je répète sa phrase.

« Oui mon Maitre, j’aime…votre bite en moi »


J’avais de la peine à le dire, tenue en laisse, et secouée par les mouvements puissants de son sexe en mon ventre, je me sentais en feu. J’aimai être prise ainsi, même avec la petite douleur ressentie par le passage de son membre raidi en moi.
Il jouit alors en criant, tandis que je m’offrais en me cambrant et nous eûmes un plaisir partagé, secoués en spasmes très forts…Il se coucha son grand corps sur le mien, pour terminer de jouir et de répandre sa semence dans ma chatte, m’embrasant et me mordillant, pour que je finisse ma jouissance en la sentant couler brûlante au plus profond de mon corps.
Je finissais à peine de me remettre de mes émotions si intenses, que mon Maitre se retira de moi, et me relevant par la crinière, me tira à genoux devant lui… A ma place…

Il approcha mon visage de ce sexe redevenu mou, peu engageant, sorti de mon petit trou, exhalant une odeur terrible, mon odeur en fait, celle de mes entrailles, celle que toute mon éducation m’avait appris à éviter.

Sa voix impérieuse, implacable répéta les mêmes mots…

« Lèche ma bite, fais ton travail de chienne, fais le bien… ta langue, ta bouche… »

Je levai les yeux vers mon Maitre pour vérifier, mais non, cela n’avait pas l’air d’une plaisanterie.
Son regard était sans expression. Je tentai de discuter un peu, mais sa main dans ma crinière me la secoua si bien que je renonçai et me mis à la tâche…Du bout de la langue en fronçant le nez devant cette odeur et ce goût infects, sortis de moi, humiliation détestable. Pourtant je lui obéis, en montrant mon peu d’enthousiasme. Il insista sans céder, jusqu’à être à peu près satisfait…

« Je vais te dresser, et tu seras ma soumise comme tu dois l’être… Réponds….Réponds »

« Oui Maitre… »

Puis il me lâcha avec un sourire, m’aida à me relever, et avec politesse me céda la place à la salle de bain ou je me précipitai, pour me laver, et surtout rincer ma bouche…

C’était le 5ème jeu…




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