Dépaysement
Lété dernier, nous sommes allées au Cap vert, archipel à louest de lAfrique. Nous avions décidé de faire ce voyage pour célébrer nos dix ans de mariage. Nous navions voyagé quune seule fois hors dEurope et cétait pour notre voyage de noce, en Tunisie. Ma femme Céline avait beaucoup insisté pour partir dans un pays dAfrique, moi je préférais une ile. Le Cap Vert était le bon compromit et offrait des prix avantageux. Je fus séduit par son idée, je ne me doutais de rien...
Ma femme était très excitée à l'idée de partir. Voulant redonner un nouvel élan sexuel à notre couple, elle voulait que ce séjour soit dédié au sexe ce qui n'était pas pour me déplaire. Pour garder notre flux sexuel et nous mettre en condition pour cette semaine de sexe, elle décréta une abstinence de trois semaines avant le départ. Elle refusa même que je la taquine pendant le vol. Lorsque nous sommes arrivés à l'aéroport de Sal, elle n'arrêtait pas de mater les hommes. Jen étais jaloux mais les trois semaines de ceinture me mettait dans un état étrange. La voir mater un peu trop ostensiblement les beaux métis locaux mexcitait malgré la jalousie. Etonnamment, lexcitation me donnait envie de la voir sexy et provocatrice avec eux. Jétais avide de sexe. Pendant le transfert en bus, elle couvrit ma braguette avec sa veste et caressa mon membre durci par-dessus le pantalon. Autant dire que je suis arrivé à la réception de lhôtel avec une érection inextinguible.
A peine, entrée dans la chambre, elle se jeta sur ma bite. Elle avait apparemment autant envie que moi. Après avoir extrait lobjet de sa convoitise de mon pantalon, elle me prodigua ce quelle me refuse bien souvent. Elle mengouffra avec un réel plaisir dans les yeux. Jeu toutes les peines du monde à me retenir de ne pas éjaculer dans sa bouche. Je la relevai, la déshabillai prestement et lallongeai sur le lit. Je me précipitai entre ses cuisses quelle ne mavait jamais impudiquement ouvertes de la sorte et dégustai une chatte déjà ruisselante dun miel odorant et enivrant.
- Ca cest des vacances qui commencent sur les chapeaux de route ! dis-je.
- Oui, mon chéri, mais va falloir faire mieux que ça. Je suis à peine calmée. Jai encore le feu dans le ventre. Jai trop envie de sexe.
- Quest-ce qui tarrive ? Tes jamais comme ça dhabitude.
- Oui, bien justement, je veux changer les habitudes. Je veux casser la routine. Je trouve que pour nos dix ans de mariage, cest parfait.
- Je suis daccord.
- Tes daccord ? Alors cest parfait. Jai envie dêtre belle et sexy pendant notre séjour. Alors je mhabille comme je veux et je ne veux pas de scène de jalousie. Si ça marche, je te ferais lamour jusquà épuisement, sinon, à la moindre réflexion, ceinture jusquà la fin des vacances.
- Ok pour moi. Je prendrais sur moi.
Céline s'exhiba à la plage comme au bord de la piscine.
Naturellement, elle avait sympathisée avec les gars du groupe d'animations et bavardait des heures avec eux. Ils la faisaient rire en lui versant souvent des cocktails à base de rhum. Un après-midi, alors que jétais allongé au bord de la piscine, elle me dit quelle devait aller dans la chambre prétextant qu'elle avait oublié sa crème solaire. Je n'étais pas dupe, elle ne sait pas mentir et j'avais vu clair dans son jeu. Je décidais donc de la suivre discrètement.
Un animateur l'attendait devant la porte de la chambre, l'air très excité.
- Tu avais promis de ne pas me faire de scène de jalousie. Tu ne tiens pas tes promesses.
- Mais je ne pensais pas que tu irais voir dautres hommes. Répondis-je, penaud.
- Je tai pas demandé de penser, mais de me laisser vivre mes vacances comme je lentends. Alors, soit tu regardes, soit tu vas à la piscine ou soit tu rentres en France et moi je reste ici.
- Mais, chérie, tu ne vas pas quand même
- Assez discuté, le prochain mot qui sort de ta bouche, cest pour me dire ce que tu fais. Jattends
Hébété par sa réaction, je ne savais que faire. Je narrivai pas à réfléchir, obnubilé par le sexe de ce noir allongé, nu, sur mon lit.
- Bon, alors je crois que tu vas prendre ta valise et rentrer en France.
- Non, non, sil te plait. Je vais à la piscine.
- Cest une sage décision mon amour. Tu ne le regretteras pas. Dit-elle avant de membrasser langoureusement.
- Je tattends là-bas.
- Je préférerais que tu restes derrière les buissons à ma regarder, ça mexciterais et puis ça me rassurerait de te savoir pas loin, mon amour. Murmura-t-elle à mon oreille.
Elle ne referma pas complètement la baie et ne tira pas le rideau. Encore sous le choc, je me réinstallais à mon poste dobservation. Elle avait reprit en bouche le sexe qui avait molli. Il ne mit pas longtemps à reprendre de la vigueur. Etrangement, je me mis aussi à bander devant le spectacle. Je passai ma main dans mon maillot et me tripotais.
Jobservais la scène au travers des branchages de grosses plantes vertes. Les mains de lanimateur avaient déjà rejoint lentrejambe de ma femme et un doigt glissait dans sa chatte. Elle échappa à lemprise de lhomme et quitta le lit. Elle brancha son MP3 sur les petites enceintes que nous avions apportées et commença à se trémousser sensuellement. Elle prenait des poses obscènes, dévoilant sa chatte et son petit anus. Tantôt elle était à genoux sur le petite fauteuil face au lit et écartait ses fesses, tantôt elle se plaçait juste devant lui et glissait deux doigts dans son minou. Je la trouvais merveilleusement impudique et vulgaire. Elle jetait parfois vers moi de petits coups dil discrets. Lui se branlait devant le spectacle improvisé quelle donnait. Elle sapprocha de lui et le reprit en bouche. Assis de dos, je ne voyais rien mais entendais les gémissements de plaisir de son amant.
Elle le dirigea pour le mettre de profile par rapport à moi. Elle lui retira sa chemise et lui fit retirer son pantalon qui était déjà à ses pieds. Elle a fait ça pour que je la vois bien sucer son homme. Son sexe me parut encore plus gros ainsi positionné. Elle sagenouilla devant lui et lui lapa le gland. Elle parcourut de ses lèvres humides la grosse verge, goba lune après lautre les grosses balles noires. Elle remonta et lemboucha. Elle aspirait et se creusait les joues, elle pompait en exagérant les bruits de succions. Elle essayait même de forcer en la rentrant le plus loin possible dans sa gorge, elle en avait des haut-le-cur. Jamais, elle ne mavait sucé comme çà. Elle se donnait comme jamais. Je voyais bien quelle faisait ça à cause de moi.
Elle a vraiment décidé de se faire la plus salope possible. Le pire, cest que je ne débandais pas. Elle se mit à genoux sur le petit fauteuil, écartant les fesses. Il se posta derrière elle et lui glissa dune seule poussée son énorme sexe dans la chatte. Elle criait de plaisir, elle eut un orgasme pratiquement tout de suite. Il la pilonnait violemment et lui martyrisant les pointes des seins. Je voyais ses grosses couilles frapper son clito. Elle était comme une poupée désarticulée tellement il la bourrait fort. Il était endurant et elle eut encore deux ou trois orgasmes. Elle hurlait sa jouissance. Je nen pouvais plus et me branlais comme un dingue.
Soudain, il ralentit la cadence, allant et venant avec une grande douceur. Il flatta dune main le creux de ses reins, descendant quelquefois jusquà la fossette adorable qui marquait la naissance de la raie. Il se mit à caresser les jolies fesses rondes et fermes. Le souffle de Sophie saccéléra imperceptiblement, preuve certaine que les caresses portaient ses fruits. Avec des gestes précautionneux, il sapprocha insensiblement de la raie et tout naturellement, sa main sinsinua entre les fesses. Comme elle ne réagissait pas négativement à son approche, il effleura du doigt le petit trou serré aux bords plissés. Elle lui manifesta son plaisir par une ondulation de la croupe. Ayant investi cette deuxième plate-forme du plaisir féminin, il décida den profiter immédiatement. Les fesses de Sophie enserraient la main de lhomme en une étreinte chaude et moite. Il lâcha un filet de salive sur la rosette plissée et commença à masser doucement de son index les abords immédiats de lanus, y faisant pénétrer progressivement son doigt. Elle se mit à gémir doucement puis de plus en plus fort. Il était en elle désormais jusquà la deuxième phalange. Lanneau musclé le serrait gentiment comme sil ne voulait jamais le laisser partir. Il poussa alors son index jusquà ce quil ait complètement disparu dans la grotte brûlante. Il y demeura un bon moment sans bouger tandis que ma femme soupirait, ravie :
- Cest bon ton doigt là
Que cest bon
- Tu aimes ça
Hein
Cest bon le petit cul.
Elle se tortillait légèrement, ondulant comme un reptile. Il commença alors à retirer tranquillement son doigt, pratiquement sorti, le renfonça sans brusquerie, sattachant à rendre la pénétration harmonieuse en suivant la courbe intérieure du rectum. Il refit ce geste plusieurs fois et peu à peu, le sphincter se relâcha autour de son doigt. Sa patience trahissait une certaine expérience de la chose. Le sexe toujours en elle, il lui imprimait un mouvement lent et ample. Encouragé par les gémissements de plus en plus prononcés de sa maîtresse, il put alors lenculer de lindex tout à loisir. Parfois, elle soulevait son cul à la rencontre de son doigt comme si elle avait voulu que celui-ci soit plus long et la fouille jusquau fond de ses entrailles.
Il glissait à présent sans aucune résistance dans létroit conduit quil lubrifiait par quelques jets de salive ou en recueillant la liqueur gluante secrétée par les muqueuses vaginales. Il la souleva de ses bras puissant et la posa sur le lit. Il poussa alors son pouce entre les chaires intimes. Elle râlait de plaisir, agitée par une sorte de spasme ressemblant à un orgasme passager. Il ninsista pas davantage, retira son doigt tout gluant et le porta à sa bouche tandis quelle gardait son visage enfoui dans loreiller. Il laida ensuite à relever sa croupe, afin que ses fesses sévasent naturellement. Son petit trou était juste à la portée de sa queue. Il positionna son gland animé de lourdes pulsations sur la pastille sombre. Il cramponna ses hanches et commença à pousser, tandis quavec sa main droite, il sévertuait à lui caresser le clitoris. Je voyais cet énorme pénis glisser dans le petit anus vierge de ma femme. Elle poussait un râlement rauque que je ne pouvais pas interpréter, était-ce de la jouissance ou de la douleur ?
Il était maintenant bien planté en elle, la chevillant jusquau fond de son cul. Il resta alors un certain moment sans bouger lui laissant ainsi le temps de saccoutumer à cette intrusion. Il commença alors, doucement à se retirer en partie, puis senfonça de nouveau jusquà la base de sa queue. Progressivement, ses mouvements samplifiaient tandis que Céline murmurait des mots sans suite et jouissait de plus en plus bruyamment. Il sagrippait fermement à ses hanches entama un pilonnage violent du petit cul tout juste dépucelé de mon épouse. Elle hurlait maintenant, de plaisir ou de douleur, je ne pourrais le dire, mais elle hurlait. Son corps fût parcouru de spasme, réaction témoignant dun orgasme fulgurant. Il se retira du létroit conduit, la laissant pantelante quelques instant. Ma femme donna des coups de cul vers larrière, semblant réclamer la saillie anale. Il repointa et reprit le cadence. Répétant plusieurs fois la manuvre, il samusait avec les fesses de ma femme. Puis il se mit à la limer sérieusement et je le vis de bloquer fortement. Il jouissait, déversant son foutre profondément.
Il se rhabilla prestement et quittait la chambre avant même que Céline ne redescende du septième ciel. Je pénétrai dans la pièce et regardai mon épouse de plus près. En levrette, les cheveux blond en bataille, couverte de sueur et haletante. Sa minette était recouverte du sperme qui ruisselait de son anus dilaté. Elle était belle et impudique. Ny résistant pas et voulant gouter moi aussi à la douceur de ses fesses, je callai mon gland sur la rondelle ouverte. Elle murmura quelque chose que je me compris pas puis saisi mon pénis pour le mettre contre sa petite chatte. Je poussai et éjaculai pratiquement tout de suite dans son vagin distendu. Elle sallongea et sombra dans un profond sommeil. Je ne tardai pas à la suivre.
A mon réveil, elle était déjà partie. En panique, nayant pas la moindre idée de ce quelle avait en tête, je couru vers la plage, puis la piscine. Elle ny était pas. Alors que je me rendais à lun des nombreux bars pour me prendre un petit remontant, je la vu disparaître derrière les arbres de lallée qui mène à notre chambre. Elle était au bras dun gentil animateur. Elle nallait pas me faire ça, pas deux fois dans la même journée. Je retournai derrière les buissons. Je ne les vis pas entrer, car la fenêtre et le rideau étaient cette fois bien tirés. Je ne pus que percevoir ses gémissements de plaisir sans savoir ce quils faisaient réellement. Une fois le silence revenu, je fis le tour et entrai dans la chambre. Il nétait pas partie et fut surpris de mon arrivé. Il se leva du lit comme un ressort. Elle le rassura, se mit à genoux devant lui et le reprit en bouche. Elle gardait le gland entre les lèvres et de sa main droite, elle le branlait énergiquement. Sa bouche gourmande parcourait la tige marron claire, le gland rose et ses testicules épilés. Elle le suça longuement, me jetant régulièrement un coup dil. Il se crispa et éjacula en râlant dans la bouche de ma femme. Elle continua de le pomper et den extraire les dernières gouttes pendant quelques minutes, puis il se posa sur le lit et salluma une clope conique. Elle se mit à ses côtés et fuma avec lui.
Les volutes épaisses et lodeur ne laissaient pas de doute sur la composition de cette cigarette. Ne sachant quoi faire, je minstallai dans le petit fauteuil en les regardants se passer le joint. Je navais jamais vue Céline fumer. Je pense quelle navait sans doute jamais gouté à ce genre de chose. Le gars me fit signe en guise de proposition, jacceptai, poussé par les événements de la journée. Je tirai quelques bouffées et retrouvai les sensations détourdissement connues lorsque jétais étudiant. Il commença à câliner ma femme. Lembrassant sur les seins, caressant son ventre, ses seins, ses cuisses en douceur. Elle réagissait déjà malgré la léthargie dans laquelle la drogue douce lavait plongée.
Je fumai toujours lorsquil engouffra son visage entre ses cuisses. Soudain, on frappa à la porte. Le lécheur se leva pour ouvrir et laissa entrer deux grands gaillards, des ouvriers de lhôtel club. Lun était noir, lautre avait plutôt le type arabe. Sans un mot, lamant reprit sa besogne tandis que les deux nouveaux venus sinstallèrent sur la table et se roulèrent des joints. Comme moi, ils admiraient le travail de leur collègue en fumant. Lair fut bientôt saturé de cannabis et de tabac. Céline gémissait, les jambes largement écartées.
Les gars sapprochèrent du lit pour caresser les petits seins ronds de ma femme. Les tétons roses dardaient déjà comme de petites épées. De chaque côté du lit, ils sattelaient à la sucer, lui mordre, la malaxer. Elle se tordait de plaisir. Son corps semblait sanimer de son propre chef. Ils sortirent leurs sexes et les frottèrent de la poitrine à la bouche. Elle sortait sa langue lorsque lune delle passait à sa portée. Celui qui était entre ses cuisses cessa ses activités. Elle se mit à quatre pattes et les gars se positionnèrent à genoux sur le lit, les un à côté des autres, les queues bien tendues. Ma femme se mit à les prendre en bouche à tour de rôle. Elle en suçait un pendant quelle branlait lautre ou parfois en branlait deux en même temps. Elle les prenait loin dans sa gorge, forçant delle-même, salivant, crachant sur les vits pour faciliter leur intromission. Elle se déchainait sur ses belles grosses bites bien lourdes, savourant les couilles, les glands, essayant den prendre deux entre les lèvres. Excité par la scène et par la drogue, je me branlais sans lâcher mon cône.
Sous lemprise elle aussi du cannabis, ma femme s'arrêta et demanda :
- Je veux qu'on me prenne par derrière comme une chienne. Faite moi mal, je veux sentir vos bites aux plus profond de moi.
- Tes désirs sont des ordres ma belle, répondit un des hommes.
Le plus costaud des trois se calla derrière et fit pénétrer violemment sa grosse bite marron dans la petite chatte glabre. Elle poussa un cri, mélange de douleur, de surprise et de plaisir. Le va et vient commença rapidement, il lui prit les seins et les serra très fort entre ses grosses mains calleuses :
- Prends-ça salope, je vais te défoncer petite allumeuse. Dit-il avec un fort accent africain.
- Vas-y suce, suce moi bien petite pute. Renchérit celui qui lui remit sa queue dans la bouche.
Je me branlais et sentais que j'allais venir, mais je me retenais. Le noir qui la prenait par derrière accéléra la cadence et éjacula en elle en profondeur. Elle eut un orgasme bruyant au même moment. Il se retira en laissant échapper une grande quantité de foutre dans nos draps. Il laissa la place que larabe combla sans attendre et la reprit en levrette. La chatte de ma femme était bien lubrifiée par le sperme de celui qui venait d'éjaculer. Il la pénétra sans problème et avec force. Ma femme voulait l'emballer et se tordait pour embrasser son baiseur, il lui roulait de belles grosses pelles baveuses pendant qu'elle passait la main entre ses cuisses pour lui flatter les bourses. L'Arabe lui défonçait la chatte en beauté, elle adorait ça et jouissait de nouveau. Je la trouvai magnifique, à genoux, le dos contorsionné, la bouche accrochée à son amant, la chatte pleine et ruisselante. Je faisais des efforts sur humain pour ne pas ensemencer le carrelage de la chambre.
Lun des capverdien sétait allongeait sur le dos devant le couple. L'arabe se retira et souleva ma femme comme une plume. Il linstalla sur lhomme couché qui tenait sa queue bien droite. Encore en pleine jouissance, elle se faisait de nouveau empaler. Ne retrouvant pas tout de suite ses esprits, larabe et lautre noir lattrapèrent par les genoux et sous les bras et la firent monter et descendre sur le sexe bien dur. Après quelques mouvements, elle sagita seule pour trouver son plaisir. Ne résistant pas à lappel de son anus mis à découvert pas la position, Ahmed le taquina dun doigt enduit de salive qui entra facilement. Il cracha directement dessus et un deuxième doigt élargissait le passage déjà malmené plutôt dans laprès-midi.
- Vas-y encule-moi, cria ma femme, les yeux exorbités de plaisir et de rage sexuelle.
Il n'hésita pas, posa son gland enduit sur la rondelle impatiente et la sodomisa. Il lui perforait le cul avec force.
- Elle a le cul bien ouverte cette pute. Ca rentre comme dans du beurre. Prends ça ma salope.
- Oh, oui, défoncés moi, sales pervers. Jai deux queues en moi, jy crois pas, cest trop bon, salaud. Baiser moi encore.
Les deux gars sactivaient comme des forcenés, les bassins sagitaient avec beaucoup de force et de vitesse. Le sodomite expulsa le premier sa semence dans les entrailles de Céline en criant. Elle sexprimait à lunisson. Le deuxième noir poussa Ahmed et prit sa place. Il la pilonna avec plus de force que son comparse. Ma douce épouse était prise entre deux feux. Elle allait dorgasme en orgasme, un son rauque et continu séchappait de ses cordes vocales. Lenculeur décula et resta quelques instants à admirer son uvre de dilatation. Il reposa sa queue mais pas sur la rondelle ouverte. Son gland forçait déjà le passage comme pour venir rejoindre son frère africain dans la même tanière. Ils ne vont oser, ils ne vont pas y arriver. Elle va refuser, avoir mal.
Mais non, rien de tout ça. Lubrifiée par sa mouille et par le sperme reçu, la verge noire se fraya un chemin le long de son double. Je voyais la chatte de ma femme sétirer et se remplir de deux gros sexes chocolat. Non seulement elle continuait de jouir, mais jouissait de plus en plus. Ils sactivèrent en douceur mais augmentèrent régulièrement le rythme. Ils la baisèrent ainsi, les deux biens au fond, dans une belle cadence mais moins rapide que la précédente pénétration. Je nen revenais pas de capacité sexuelle de ma femme, ni bien sûr de son comportement. Je ne pouvais tenir plus longtemps et répandais ma semence sur le sol carrelé. Le gars surplombant la scène se retira pour éjaculer sur ses fesses. Les deuxième la coucha sur le dos et choisit ses seins pour finir. Larabe qui se branlait à mes côtés, mégot à la bouche, écarta les jambes de Céline et ne la pénétra que pour se vider en elle.
Ils nous quittèrent rapidement. Je regardai ma femme endormit sur le lit. Lun et lautre étaient souillés de sperme, de mouille, de salive, de sueur et de quelques traces moins glamour. Je mallongeai à ces côtés et caressai se corps ruisselants. Mon pénis reprit immédiatement de la vigueur et je me branlai dune main poisseuse de leurs semences. Il ne me fallut pas longtemps pour souiller davantage les seins de la femme de ma vie. Je mendormi à mon tour dans les draps sales et humides.
Trop irritée et rassasiée par tant de baise, elle ne se donna quà moi jusquà la fin du séjour. Pendant quelques mois, nous utilisions cette expérience pour stimuler notre libido. Jusquau jour où, obsédé par les images delle en train de faire prendre par dautres mecs, je lui ai demandé :
- Tu aimerais recommencer ce genre dexpérience, comme au Cap Vert ?
- Pourquoi pas ! Si tu en as envie, je suis partante.
- Super. Et comment on peut faire ? Comment tu vois les choses ?
- Jaimerai bien que tu memmène en vacances !
- Ah daccord ! Des vacances sexy, je suppose. Mais ou ?
- Il parait que la Turquie, cest très jolie. Et que les turcs sont très accueillants
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