Caroline Et Jp, Son Frère De Sang
Le Bon JP
je haïssais ce type et je le hais encore
Il avait dévoyé Caroline
Après leur première expérience quasi adultère, (voir récit n°3), il poursuivirent leurs jeux érotiques
Le bon JP sen était vanté à C qui me rapportait aujourdhui ses confidences.
Un jour que JP et C étaient en pause et quils contemplaient tous deux Caroline en train de discuter en fumant avec une collègue à quelques mètres deux, JP lança à C :
«- Elle est pas mal Caroline non ? (C qui à cette époque, navait pas encore gouté à sa collègue)
- oui elle est bonne
ça doit être un bon coup
- tu sais garder un secret ?
- oui bien sûr
- Elle ma montré ses seins
ils sont bandant
je me suis branlé en les regardant un soir quelle mavait ramené chez moi
. Je compte bien la baiser cette salope
.
- cest pas vrai ! Tu partageras jespère !!!
- tinquiètes
. Je suis pas chien avec mes potes
tu le sais
»
Un Jour C reçu un texto de JP en milieu daprès midi : « rapplique chez moi ya caro ça vo lcou doeil tu frappes et tu rentres . Code immeuble xxxx*»
15 mn plus tard, C tapait 2 coup à la porte du salopard et entrait dans la foulée, respectant les consignes du sms
la porte dentrée donnait dans un vestibule qui communiquait avec le salon juste en face .
En entrant, C vit de suite caroline à genou à lenvers dans le canapé, accoudée au dossier, regardant dans sa direction lair très étonnée et les yeux exorbités. Elle portait une robe printanière fleurie, remontée sur ses hanches. Son cul raisonnablement charnu était cambré à lextrême ; ses cuisses étaient largement écartée. Son sexe luisait, la fente entrouverte, ses deux grandes lèvres roses plissées pendaient délicatement de chaque côté de son vagin, comme deux pétales rose humides, encadrées par un duvet blond.
Le haut de la robe avait été dégrafé et descendu sur son ventre rebondi. Positionnée ainsi, Caroline avait ses deux mamelles qui pendaient vulgairement, telle une vache prête pour la traite.
Son corps était tendu en arrière vers JP qui était assis dans un fauteuil en osier à 1m delle. Il avait le pantalon sur les chevilles, le bassin basculé en avant sur lassise. Il tenait sa bite dans une main et le string de la blonde salope de lautre, quil avait porté à son visage. IL souriait à C encadré dans la porte dentrée en se masturbant.
Caroline revenue de sa surprise se redressa dans un sursaut, tournant le dos à C. la robe se rabattit sur ses fesses, comme tombe un rideau sur la scène dun théâtre. Elle enfila le haut de sa robe à la hate, sans toutefois pouvoir remonter la fermeture.
« Entre C ! » lança Jp. C revint de sa surprise (il sattendait à quelque chose de sympa mais ne sattendait pas à voir cette scène). C referma la porte dentrée, traversa le vestibule et pénétra dans la pièce, rendant son sourire à JP et regardant ensuite Caroline toujours de dos.
« Salut Caro »
puis il la rassura
« tinquiète pas ça ne sortira pas de cette pièce ! »
Caroline ne répondit pas et se décida à se retourner vers JP et C. elle était rouge pivoine, lair franchement gênée et décontenancée.
« ne ten fait pas Caro, personne ne saura
notre secret est bien gardé avec C »
Caroline saisit son paquet de cigarette et sasseyant dans le canapé, sortit une tige, la porta à ses lèvre et lalluma toute tremblante
toujours silencieuse
JP proposa un café à C qui refusa
« je te rapporte tes CD » dit il
»cool comme morceau de blues
tu connais Caro ? »..
- non » dit elle imperceptiblement.
Jp pris le CD et alla le placer dans le lecteur, pendant que C sinstallait dans lautre fauteuil face à Caroline, assise dans le canapé, jambe croisée . Sa robe toujours dégrafée, le décolleté baillant, la belle serrait ses bras contre sa poitrine, les mains posées sur ses cuisses ; cette position quelle voulait protectrice serrait ses nichons lun contre lautre et lui faisait une poitrine provocante.
Un morceau de blues langoureux emplie la pièce. C sortit un pétard et lalluma . Il tira une bouffée puis le tendit à Caroline :
- » tient
ça va te remettre de tes émotions »
Hésitante, elle pris le joint et tira 2 bouffées
Le joint tourna quelques minutes et le visage de Caroline qui en avait avalée plusieurs bouffées, reprit peu à peu une couleur normale
La Belle blonde ne semblait plus gênée, les effets du joint y aidant sans doute. Au contraire, elle ricanait à présent aux plaisanteries de JP et C qui tournaient en dérision ce qui venait de se passer. Elle avait desserrés les bras. Les 2 hommes pouvaient désormais se rincer lil sur ses nichons qui transparaissaient à travers le haut de la robe légère. Les deux tétons pointaient sous le tissus. Caroline toujours assise décroisa les jambes et savança pour saisir une clope dans le paquet posé sur la table basse. Ce faisant, la robe remonta sur ses cuisses entrouvertes. JP et C penchèrent la tête pour mater son entrecuisse alors quelle allumait sa clope en riant
Caroline sen aperçu et un sourire au coin des lèvre et le regard coquin, elle écarta un peu plus les jambes.
-« On voit pas très bien » remarqua JP
La coquine sépara encore plus ses genou, la robe se releva comme par magie et ses deux admirateur pure admirer sa blonde toison.
-« tas lair davoir le poil soyeux dis donc » dit C
»on peut toucher ?
- non répondit elle
les règles sont claires, on regarde mais on ne touche pas !
- ben dans ce cas allonge-toi un peu quon puisse admirer ta chatte ! »
Elle sexécuta en gloussant bêtement
la substance illicite avait altéré sa raison
elle écarta encore plus ses cuisses rondes et remonta le bas de la robe sur son ventre. Cette fois elle offrait son sexe rose au regard des deux mâles excités. Ses deux grandes lèvres se décolèrent lune de lautre, accentuant la fissure sombre quelles protégeaient.
- « fais voir tes Nibards Caro ! » ordonna JP
Mon ex femme, nouvelle salope, sexécuta, toujours avec son sourire idiot aux lèvres et le regard un peu plus provocant. Ses yeux gris bleus métal plissés étaient vitreux et sallumèrent alors quelle haussait les sourcils en baissant le haut de sa robe et déballant ses deux monts blancs qui tressautèrent légèrement sous le mouvement. Les deux boutons étaient érigés et les auréoles plissés. Elle avait avancé un peu plus son bassin qui dépassait de lassise du canapé.
-« ouvre ta chatte maintenant salope »
dit JP dun ton sec .
Linfirmière répondit à lordre derechef ; à laide de lindex du majeur et du pouce de ses deux mains dont elle fit deux pinces, elle saisit ses grandes lèvres et les sépara délicatement. Les deux morceaux de peau élastique se tendirent de part et dautre de son trou et les deux étalons se penchèrent en avant pour observer le conduit rouge sombre humide qui souvrait à eux. Un liquide mousseux reposait dans la cavité.
- « Tu mouille petite pute » dis C
- Attends ..dit JP
on a pas le droit de la toucher directement, mais les règles nous permettent de jouer un peu.
Il se leva et parti dans le placard de lentrée. C et Caroline le virent revenir avec un balai. Il se rassit sur le fauteuil en osier à côté de C à environ 2m de la blondasse avachie dans le canapé, tête rentrée dans son coup, qui surprise dabord émit un ricanement saccadé en lançant un « ah ouais » discret
.
JP baissa le manche en bois du balai et lapprocha des seins de Caroline
il caressa les pointes de la salope avec lextrémité arrondi. Il passait de lun à lautre, les faisant vibrer à chaque caresses.
-« fout de la bave dessus ! »
Caroline qui devinait où JP voulait en venir, saliva, et fit couler successivement deux langues de bave sur le bout de bois. JP le ramena immédiatement vers lui, une goute de la salive de caroline perlait et oscillait sur le bout du manche quil approchait doucement du sexe de la blonde, quelle tenait toujours ouvert
elle releva légèrement la tête et regarda son entrecuisse.
JP présenta la tige de bois sur le bord du conduit luisant, et y déposa la bave fraichement récoltée. Le liquide sinsinua dans le vagin de la blondasse offerte. Puis dun geste lent, il enfonça longuement et profondément le manche de lheureux balai dans le tunnel. Caroline se tendit, relevant le bassin et tendant le cou. Le balai senfonça jusquà cogner et Jp le maintint contre la paroi de son utérus.
-« danse maintenant sale pute ! »
Caroline, les yeux révulsés, la bouche ouverte et la respiration haletante ondula ; alternant mouvement de haut en bas et mouvements circulaires. Elle lançait de petit cris étouffés rythmés de petits « oui » discrets
JP fit coulisser le manche dans le con de la truie qui râlait de plus en plus fort. Caroline regardait ses deux mâles lun après lautre puis son regard se posa sur le sexe de C qui se branlait, pantalon ouvert et baissé sur ses hanches.
C intervint : « fout toi en levrette petite cochonne » .
Le balai fut retourné, Caroline haletant sexécuta et se remis dans la position dans laquelle C lavait trouvée. Elle cambra les reins et le manche disparu de nouveau dans sa fente trempée.
Elle sempalait elle-même sur le jouet improvisé, dans des mouvement langoureux qui mettait sa croupe merveilleusement en valeur et permettait aux deux pervers une observation précise. Elle tendait tellement son gros cul quil semblait que son anus gonflé allait éclater.
C pris le balai en main. JP le lui céda en lui faisant un clin dil. Il reprit le mouvement de va et vient, puis essaya une variante : il planta la tige au fond de la chatte de Caro et lui fit faire des mouvements circulaires, de plus en plus larges, comme pour élargir le trou déjà bien distendu. La chienne se rétracta en laissant séchapper des cris longs et stridents, mais C poussa le balai pour suivre son mouvement de fuite et continua son mouvement sadique.
La blonde faisait le dos rond, les mamelles pendantes, la tête baissée à présent, regardant sous elle lair inquiet, elle haletait rapidement.
- « putain faut trouver un truc plus gros, cest pas suffisant » dis JP
- Ouais tas raison
hein grosse salope ? tas envie de te la faire bien remplir ta grosse chatte ?
répond !
»
- Oui
allez y
oui
cest bon
. Remplissez moi
- Hein que tes une pute Caro?
- Oui je suis une pute ! vas y
. continue !!!
JP pantalon ouvert, la bite à la main, après avoir réfléchi quelques secondes, fit un saut éclair dans la cuisine pour revenir avec un concombre à la main
- « vire le balai, on va la défoncer avec lami géant vert ! »
- Génial !!! samusa C en retirant le balai
alors que leur jolie collègue le rouge aux joues, reprenant son souffle, jetait un il ahuri par-dessus son épaule au trente centimètre de longueur et au 15 cm de diamètre du légume qui se présentait déjà au bord de son con
.
- « tes prête ? » interrogea JP ?
« tu vas en prendre plein la chatte grosse truie »
- Attends, faut le lubrifier sinon elle va morfler tempéra C»
C se pencha et lâcha un flot de salive sur le concombre posé au bord des lèvres, imité juste après par son acolyte
JP fit tourner le légume afin dhumecter lentrée du conduit de la blonde qui, les yeux vitreux et la bouche bée, expirait bruyamment et par à-coup, attendant immobile et inquiète le moment fatidique.
« Tiens grosse salope
prends ça ! » : JP la poignarda dun coup enfonçant le légume jusquau fond du vagin de linfirmière qui hurla en grimaçant, en relevant la tête brusquement, la croupe tendue. JP maintenait le concombre contre lutérus de Caro qui grogna longuement
son grognement sétouffa peu à peu au fond de sa gorge
ses cuisses tremblait et sa croupe tressautait
elle se mit à hoqueter sous la pression maintenu par la main ferme de JP
Les deux salopard avaient un sourire sadique et les yeux exorbités devant le spectacle de sa chatte élargie, distendu par le pieu qui la transperçait.
JP sans desserrer les dents se pencha vers mon ex salope qui respirait comme une femme qui accouche :
- « tu le sens bien celui là hein sale chienne ?
il te remplit bien ta grosse chatte hein ? Ça te plait ça de te faire défoncer le conduit »
Carole ne répondit pas
sa respiration se coupa quand JP entama un mouvement de va et vient lent avec le légume, en donnant des torsions du poignet le faisant tourner dans lorifice. Le pourtour de son sexe distendu épousait hermétiquement le concombre ; Un bourrelet rosâtre couronné de cyprine mousseuse se formait autour du chibre vert lors de ses mouvements de recul, pour disparaître lorsquil la pénétrait de nouveau. Le mouvement se fit plus rapide
linfirmière salope laissait échapper des cri rauques incontrôlés à chaque assaut.
C se branlait et nen pu plus
.
« -putain jvai éjaculer ! »
Attend » dit JP en retirant dun coup son arme de poing
un bruit de décompression vulgaire se fit entendre plusieurs secondes et descendit dans un espèce de « P » obscène
la chatte vibra mais resta affreusement ouverte
on voyait les entrailles sanguines du vagin de Caro, ses muqueuse suintantes de mouille, le fond de son trou visqueux.
« Il va te remplir Caro
ten as envie chère collègue hein ?
dis le que t en as envie !!!
- oui rempli moi C
remplie moi
.vas y »
C sapprocha sur la pointe des pieds et tendit sa queue nerveuse bandée à lextrême près du vagin déformé. Il râla alors quun jet de sperme frappait lanus gonflé de la belle
. Les 4 ou 5 autres jets firent mouche et se perdirent dans le trou de la salope dont chaque expiration était ponctuée dun « oui » aigue
.
La première salve redescendait déjà en une coulée lente et épaisse dans le cratère de mon ex
.
Elle souriait encore davoir senti le foutre sinsinuer en elle lorsque JP planta de nouveau le concombre dans ses chaires
. Elle hurla de nouveau
.. JP confia le manche à C qui se reprenait à peine
il repris le va et vient
Lhôte des lieux attrapa la blonde par sa tignasse légèrement crépue et la tira sur le côté vers lui, de côté
« Haaaann
» fit la soumise en quittant le dossier du canapé pour se retrouver à 4 pattes sur lassise. C avait suivi le mouvement et maintenait la croupe tendue en hauteur. Une poignet de cheveux dans le poing serré, JP approcha le visage de sa proie près de sa queue quil masturbait toujours frénétiquement
. Carole rouvrit les yeux, sa bouche ouverte lui donnait un air hébété, elle le va le regard vers son ami de toujours
. JP avait un air presque méchant qui létonna sans doute
« jvai te salir ta jolie petite gueule dinfirmière bien sage
oh oui tu va tout prendre sur ta gueule de petite salope
.hein ma Carole ? Tu vas voir tu vas aimer ça
demande le moi ! »
- Oui mon JP viens sur ma gueule
oui
- encore
- viens
. Asperge moi le visage
. Salie moi
- dis ce que tu es Carole
dis le
. Tu mexcite
.
- jsuis une pute
. Jsuis ta pute mon JP
. Viens
. Jveux ton sperme
donne moi ton sperme
vas y
»
A ces mots, le bon JP retint sa bite décalottée jusquau frein
lengin se tendit et un jet de foutre frappa le front de la blonde, éclata en perles qui se perdirent dans ses cheveux, un second tire atteignit le nez de la salope qui fronça les sourcils. Le liquide commençait déjà a descendre le long de lappendice nasale épousant sa forme. Un peu du sperme stagna sous son il droit. Les 2 rasades suivantes se déposèrent sur la joue droite de linfirmière qui soufflait déjà pour repousser le liquide chaud et gélatineux qui simmisçait entre ses lèvres gonflées
les deux derniers jets tombèrent sur le canapé
Tout ce beau monde saffala sur le canapé
Carole allongée sur le côté sur le canapé la joue sur la cuisse de son ami
les jambes recroquevillées, le légume toujours en elle, qui pendait.
C assis derrière elle, une main posée sur sa hanche
La blonde reprenait son souffle
. Le visage souillé de foutre déformé
.
Ils se rhabillèrent en riant
Carole gloussait
en leur disant
« vous êtes vraiment des enfoirés«
. Tout en leur lançant des regards complices
.
Cest en retard quelle rentra à la maison
. Me prévenant de son portable
- « je suis désolé chérie, jai passé un peu de temps avec JP, tu sais il ne va vraiment pas bien en ce moment, il a besoin daide
et je nai pas vu le temps passer»
Ma douce femme si altruiste
si dévouée à son frère de sang
nétait en réalité quune truie offerte à son frère de foutre
.
Ce soir là, il me semble que nous nous sommes engueulés, jacceptais de plus en plus mal sa relation avec lautre dégénéré, alcoolo dépressif
. Elle a du pleurer comme à chaque fois
me culpabilisant
le lendemain déjà je lui présentais mes excuses pour mon incompréhension
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