Mari Femelle (Fin)
Le soir, Marc fut à nouveau rasé par les deux vieilles femmes. Il y prit cette fois beaucoup de plaisir, se montrant bien salope, toute honte bue, écartant les fesses avec les mains, levant les jambes pour faciliter leur travail, sous lil fixe des deux gardiens. Il sentait que son anus sétait très fortement élargi, et avait gagné en élasticité. Du sperme en suintait de temps à autre, que les deux femmes essuyaient méthodiquement en poursuivant imperturbablement leur travail.
Dans les jours suivants, Marc fut installé dans une sorte de parc pour s, posé à même le pont. Il disposait de toute une panoplie de godes et passait la journée à sempaler et à se travailler la chatte, interrompu de temps à autre par un matelot qui venait juter dans sa bouche. Puis il reprenait son travail, ne pensant à rien dautre quà sélargir lanus, à senfoncer des godes toujours plus gros, toujours plus longs.
Le soir, deux matelots le promenaient en laisse sur le pont pour lui dégourdir les jambes. Ils croisaient fréquemment plusieurs des autres filles qui le regardaient passer, tantôt incrédules, tantôt ricanant. Marc était dans un état second, tenaillé par la faim.
La mer était belle et Marc évoluait maintenant sans aucune difficulté sur ses talons aiguille, la croupe légèrement ondulante.
Cela faisait maintenant deux semaines quil avait embarqué. Dans une semaine il regagnerait la terre ferme mais ne serait plus jamais le même. Pourrait-il retrouver sa famille après ce quil avait vécu, ou bien essaierait-il de continuer à vivre en femelle? Il y pensait de plus en plus sérieusement.
Tard le soir, lors dune des promenades en laisse, ses geôliers et lui croisèrent un des princes, accompagné dune fille sublime. Son regard croisa celui du prince qui le regardait fixement. Il baissa les yeux et sapprocha lorsque le prince lui en intima lordre. Une belle queue brune et large sortit de la djellaba et Marc comprit quil devait la prendre dans sa bouche.
Pendant la dernière semaine, Marc dut subir toutes sortes dhumiliations de la part de léquipage dont il était incontestablement devenu la chienne. Les fellations succédaient aux sodomies, sa bouche et sa chatte étaient devenues des réceptacles à lurine de tous ces hommes. Lorsque son ventre était trop rempli, Marc saccroupissait et relâchait lurine sous les regards hilares des hommes qui lentouraient. On eût dit alors quil pissait comme une fille.
Puis le bateau remonta vers le nord pour ramener sa cargaison de putes à bon port.
Une surprise avait été réservée à Marc : la totalité des hommes déquipage lui passa sur le corps lavant dernière nuit. Il était mis à labattage et les queues se succédaient dans sa bouche et dans sa chatte désormais trop élargie pour conserver tout ce foutre qui lui coulait sur les cuisses. Marc ne vivait plus que pour se donner comme aucune pute ne laurait fait.
Puis tout sarrêta : le dernier jour, on le détacha et on le mena dans une cabine où il put se doucher et se reposer. Instinctivement, il se touchait la chatte et se prenait à espérer quun des hommes quil entendait passer continûment dans la coursive entrerait pour se vider. Mais la seule visite quil reçut fut celle dAbdou.
« Tu as été de loin la meilleure pute du bord » lui dit-il. « Tu vas rentrer chez toi dans quelques heures mais si tu le veux tu pourras nous rejoindre lété prochain dans le golfe de Saint-Tropez pour une autre croisière. Noublie pas ce que tu es maintenant : une femelle qui sappelle Loubna. On te sifflera dans un an et jespère quentre-temps tu auras entraîné ta chatte ».
(Petit détail pour un des lecteurs qui sinquiétait de voir le foutre couler à flots : cette histoire est certes basée au départ sur quelque chose qui mest arrivé, mais évidemment très largement romancée et le sexe sans préservatif suppose des tests HIV préalables).
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